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Un jour ma princesse viendra...

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Andrew lui avait énormément de chance qu'on y pense. Contrairement à la belle princesse il n'avait pas besoin de suivre des protocoles, il ne vouvoyait pas ses parents, il avait énormément d'argent surement même plus que certains nobles de France ou d'Europe, mais pouvait en jouir comme il voulait. La richesse de sa famille ne remontait pas assez loin pour devoir respecter des principes d'un autre monde, d'une autre époque même. Mais voilà depuis tout petit le jeune homme avait dit qu'il se marierait avec une princesse, un rêve que toutes les petites filles ont, mais dans le sens inverse. Lui l'avait en temps que petit garçon et comptait bien le respecter. Pas la peine de savoir qui héritait, qui était la tête ou le successeur, les enfants auraient part égale et ensuite feront ce qu'ils veulent. Il avait la belle vie comparé à celle de son amie Constance, amie Constance qu'il allait bientôt croiser au hasard des chemins de l’université. Cette fille il l'adorait, d'une parce qu'elle était adorable et de deux parce qu'elle était princesse. Sur le papier elle avait tout pour être la femme idéale, belle, drôle et réalisant le rêve qu'il avait depuis tout petit. Sur le papier seulement parce qu'en vrai un petit jeu de rôle c'était installé entre eux. Pour tout le monde ils étaient en couple, un couple parfait sur le papier, mais qui n'en était pas réellement un au grand damnes du jeune homme. Il pensait que ce jeu l’empêcherait totalement de sortir un jour avec la belle, mais tant pis pour lui. Il passait de bon moment avec elle et c'était déjà super.

Il l'avait maintenant vu au loin, elle avait l'air passablement énervé, en ce moment il le savait son père voulait la marier et devenait de plus en plus insistant. Il était la seule roue de secours qu'elle avait, mais mentir à une tête couronnée il ne savait pas s'il s'en sentait capable. Pour elle il pouvait tout faire et de toute manière un moment donné la presse mettrait son nez la dedans et fouillerai pour jeter au grand jour la supercherie. Il n'était pas pressé de voir ça et avait toujours ce petit espoir en lui que ce faux couple en devienne un vrai à un moment donné. « Et bien si ça t'arrange, marrions nous dans deux semaines. Il aura ce qu'il veut, une fille marié avec un super parti américain. Et on pourra vivre notre amour au grand jour » dit-il lui aussi en souriant. Se marier pour lui ne voulait pas forcement dire grand-chose, alors s'il fallait le faire il le ferait.
La question de la jeune femme le fit sourire, franchement elle ignorait tout de même pas mal de choses sur les parents du beau blond. Tout comme lui ignorait beaucoup de chose sur le père de la belle brune et tout ce qu'elle avait pu subir dans sa vie. Pour les parents d'Andrew il était en couple avec Poppy Walton, cette fille avec qui il était sortit étant jeune. Les parents Walton et les Koch étant amis ils avaient tout fait pour que la relation ne tienne pas et avaient réussit. Puis les deux anciens tourtereaux c'étaient vu à Harvard et se fréquentaient en tout bien tout honneur. Chose que ses parents et les Waltons ne croyaient pas, pire que ça Poppy était maintenant maman, les deux familles pensant qu'il en était le père. Alors si en plus de ça ils apprenaient qu'il jouait un jeu avec une princesse je pense que sa mère passerait l'arme à gauche. Les femmes étaient dans la vie du beau blond de vrais rebondissements. Elles étaient à la base de beaucoup de désagréments et de déconvenues. Mais bon il aime tellement les femmes qu'il ne pouvait pas faire sans elles.

« Ils sont super heureux, franchement une princesse, une belle princesse. Je te l'ai peut-être jamais dis, mais depuis tout petit je leur dis que je vais me marier avec une princesse. Alors une aussi belle que toi ils sont heureux pour moi » Tout heureux que son père à elle qui n'est pas au courant et que ses parents qui ne le sont pas du tout. Il ignorait totalement ce que l'avenir lui réservait, plus le temps passe plus il s'entourait de femmes importantes à ses yeux. Pour le moment il y en avait deux la belle Poppy et la belle Constance. Lui qui adorait enchainer les conquêtes n'avait jamais rien fait avec elles et pour cause. Il voyait les deux jeunes femmes comme de potentielles femmes de sa vie. Affaire à suivre de loin, mais pas trop...
(c) sweet.lips
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Depuis un petit mois déjà, l'ambiance n'était pas au beau fixe au sein de la famille D'Orléans. Pourtant Constance avait failli perdre son père juste avant les fêtes de Noël et il avait semblé, aux yeux du monde, qu'ils étaient plus soudés que jamais suite à cette épreuve. Pfff tu parles ! Depuis quelques temps, le paternel s'était mis dans la tête de trouver le parfait prétendant pour la princesse de France... Ce qui menait à des crises régulières de la part de la brune. La dernière chose dont elle avait envie c'était d'accepter un mariage arrangé. Depuis petite elle rêvait de pouvoir vivre sa vie tranquille, sans difficultés. Et avec son frère, il devenait évident qu'elle n'était pas la première héritière de la famille, mais que c'était son frère qui allait reprendre tout l'empire familial... Sauf que son père lui avait fait comprendre qu'il aurait préféré sa fille à la tête de la famille. Aah tiens, autre coup de pression ! Oui mais voilà; il y avait encore ce stupide protocole en France... Sauf si son père l'a nommait officiellement comme son successeur bien entendu... Mais là c'était encore une autre histoire.
Faisant les cent pas, elle se rongeait allègrement la peau qui se trouvait autour de ses ongles alors qu'elle était en pleine conversation téléphonique, encore. Ses talons claquaient sur le sol alors qu'elle avait juste envie d'hurler, de partir très l'on et de tout oublier. Bon d'accord, de partir avec sa carte bleue parce qu'avoir de l'argent apportait son lot de commodités.

- Non père, ça ne marche pas ainsi... , finit-elle par déclarer. Vous savez très bien ce que j'en pense...

La tension montait considérablement alors qu'elle fronçait les sourcils, visiblement insatisfaite de la réponse qui lui était donnée. Telle une furie, elle se mis à avancer sur le chemin du campus qui menait aux différentes maisons des confréries présentes à Harvard.

- Et puis de toutes les façons tu sais que je suis engagée auprès de quelqu'un en ce moment !

Avant même qu'elle ne raccroche, quand on parlait du loup en se plantant devant elle. Dès qu'elle aperçu Andrew, un sourire vint automatiquement étirer ses lèvres. Il était gentil avec elle et tentait toujours de la faire rire, surtout en ce moment, alors qu'il était bien au courant de la situation avec sa famille. Elle retira son téléphone de son oreille et appuya sur raccrocher au moment où il vint lui faire la bise. Instinctivement, elle le serra dans ses bras en poussant un soupir de soulagement:

[/b]- Bon sang mon sauveur ! Tu ne peux pas savoir à quel point ça me fait plaisir de te voir !![/b]

Elle le lâcha et pouffa de rire lorsqu'il évoqua une demande de fiançailles. Elle était assez contente que, inconsciemment, ses pas l'aient conduise là où elle était actuellement. Ainsi elle avait pu le croiser:

- Rigole pas ! Voilà qui finirait pas m'arranger ! Ça le mettrait bien dans la merde, le paternel ! Mais tu sais que je lui ai parlé de toi, voyons ! , ajouta-t-elle en lui accordant un clin d'œil.  

La présence d'Andrew la rassura, automatiquement. Il faisait parti de ces personnes à qui la française avait accordé sa confiance et cela n'était pas une mince affaire. Bien souvent, les gens se disaient que la princesse avait de la chance. De part son titre dans un premier temps, qui apportait la fortune qui allait avec; ainsi beaucoup pensaient qu'elle devait avoir bien moins de soucis que les autres, que sa vie devait se résumer à résider dans un palais doré. Foutaise. Depuis sa plus tendre enfance, elle avait connu des coups durs, à commencer par la mort de sa mère alors qu'elle n'avait que 8 ans et qu'elle se trouvait aussi dans la voiture qui allait causer la perte de sa génitrice. Puis cette lourde trahison de sa meilleure amie l'année de ses 15 ans... Il n'y avait que très peu de personnes en qui Constance pouvait confier ses peurs les plus sombres, peu de gens à qui elle parlait ouvertement, avec qui elle pouvait être vraiment elle, se laisser aller à rire sans retenue, à pleurer sans remords, à donner une image qui n'était pas pour les médias. Andrew était l'une de ces personnes.

- Et toi ? Comment tu vas ? Ta famille prend bien le fait que tu sortes avec une princesse ?!

Au moment où elle prononça le mot "sorte", elle utilisa ses doigts pour mimer des guillemets. Oui parce qu'aux yeux de beaucoup, ils étaient un couple mais en réalité, ils se rendaient mutuellement service et restaient libre comme l'air.
 
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Andrew lui avait énormément de chance qu'on y pense. Contrairement à la belle princesse il n'avait pas besoin de suivre des protocoles, il ne vouvoyait pas ses parents, il avait énormément d'argent surement même plus que certains nobles de France ou d'Europe, mais pouvait en jouir comme il voulait. La richesse de sa famille ne remontait pas assez loin pour devoir respecter des principes d'un autre monde, d'une autre époque même. Mais voilà depuis tout petit le jeune homme avait dit qu'il se marierait avec une princesse, un rêve que toutes les petites filles ont, mais dans le sens inverse. Lui l'avait en temps que petit garçon et comptait bien le respecter. Pas la peine de savoir qui héritait, qui était la tête ou le successeur, les enfants auraient part égale et ensuite feront ce qu'ils veulent. Il avait la belle vie comparé à celle de son amie Constance, amie Constance qu'il allait bientôt croiser au hasard des chemins de l’université. Cette fille il l'adorait, d'une parce qu'elle était adorable et de deux parce qu'elle était princesse. Sur le papier elle avait tout pour être la femme idéale, belle, drôle et réalisant le rêve qu'il avait depuis tout petit. Sur le papier seulement parce qu'en vrai un petit jeu de rôle c'était installé entre eux. Pour tout le monde ils étaient en couple, un couple parfait sur le papier, mais qui n'en était pas réellement un au grand damnes du jeune homme. Il pensait que ce jeu l’empêcherait totalement de sortir un jour avec la belle, mais tant pis pour lui. Il passait de bon moment avec elle et c'était déjà super.

Il l'avait maintenant vu au loin, elle avait l'air passablement énervé, en ce moment il le savait son père voulait la marier et devenait de plus en plus insistant. Il était la seule roue de secours qu'elle avait, mais mentir à une tête couronnée il ne savait pas s'il s'en sentait capable. Pour elle il pouvait tout faire et de toute manière un moment donné la presse mettrait son nez la dedans et fouillerai pour jeter au grand jour la supercherie. Il n'était pas pressé de voir ça et avait toujours ce petit espoir en lui que ce faux couple en devienne un vrai à un moment donné. « Et bien si ça t'arrange, marrions nous dans deux semaines. Il aura ce qu'il veut, une fille marié avec un super parti américain. Et on pourra vivre notre amour au grand jour » dit-il lui aussi en souriant. Se marier pour lui ne voulait pas forcement dire grand-chose, alors s'il fallait le faire il le ferait.
La question de la jeune femme le fit sourire, franchement elle ignorait tout de même pas mal de choses sur les parents du beau blond. Tout comme lui ignorait beaucoup de chose sur le père de la belle brune et tout ce qu'elle avait pu subir dans sa vie. Pour les parents d'Andrew il était en couple avec Poppy Walton, cette fille avec qui il était sortit étant jeune. Les parents Walton et les Koch étant amis ils avaient tout fait pour que la relation ne tienne pas et avaient réussit. Puis les deux anciens tourtereaux c'étaient vu à Harvard et se fréquentaient en tout bien tout honneur. Chose que ses parents et les Waltons ne croyaient pas, pire que ça Poppy était maintenant maman, les deux familles pensant qu'il en était le père. Alors si en plus de ça ils apprenaient qu'il jouait un jeu avec une princesse je pense que sa mère passerait l'arme à gauche. Les femmes étaient dans la vie du beau blond de vrais rebondissements. Elles étaient à la base de beaucoup de désagréments et de déconvenues. Mais bon il aime tellement les femmes qu'il ne pouvait pas faire sans elles.

« Ils sont super heureux, franchement une princesse, une belle princesse. Je te l'ai peut-être jamais dis, mais depuis tout petit je leur dis que je vais me marier avec une princesse. Alors une aussi belle que toi ils sont heureux pour moi » Tout heureux que son père à elle qui n'est pas au courant et que ses parents qui ne le sont pas du tout. Il ignorait totalement ce que l'avenir lui réservait, plus le temps passe plus il s'entourait de femmes importantes à ses yeux. Pour le moment il y en avait deux la belle Poppy et la belle Constance. Lui qui adorait enchainer les conquêtes n'avait jamais rien fait avec elles et pour cause. Il voyait les deux jeunes femmes comme de potentielles femmes de sa vie. Affaire à suivre de loin, mais pas trop...
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