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how to get away with fucking deep shit (elliot)

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@Elliot Maxwell & Eliot Llewellyn
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Le trou noir. Un tambourinement incessant dans son crâne fit sortir Eliot de son sommeil. Sa tête menaçait même à tout moment d'exploser tellement elle lui fit mal. D'autant plus qu'il semblait être allongé à sol même, sur du béton, ce qui n'arrangeait rien à sa douleur. Il ouvrit les yeux, doucement, avec beaucoup d'efforts. Et fit face à une pièce. Majoritairement plongée dans le noir. Seul la lumière qui traversait l'unique petite fenêtre située en hauteur cassait l'obscurité de la pièce. S'il en croyait tous les films et séries qu'il avait regardé, cette pièce ressemblait fortement à un... cachot ? Putain de merde, où est-ce qu'il était ?! Un pseudo cachot, parce qu'une porte se distinguait à deux ou trois pas de lui, et non des barreaux de prison. Bonne nouvelle déjà, il n'était pas en prison (!). Eliot grogna, puis tenta difficilement de se relever; son foutu crâne en plus de le martyriser comme jamais, semblait peser dix kilos de plus. Grand soupir. Dorénavant assis, il se permit deux secondes de pause, la tête dans les mains pour tenter de se remémorer les aventures d'hier soir - en vain. Le trou noir. C'était le putain de trou noir qui s'déroulait dans sa tête quand il repensait à la soirée, à ce qui l'avait mené ici. Il se souvenait vaguement du début de la soirée, de la fin du SB qu'il voulait fêter avec des amis puis... rien. Arg. Agacé, il se leva, s'aidant de ses deux mains pour se remettre sur les pieds, posant à plein sol ses mains. Et rencontra un liquide visqueux- ugh. Il leva la main devant son visage, histoire de juger ce truc dégueu et... cria en y crachant presque ses poumons. C'était rouge, vraiment vraiment rouge. Et ça ressemblait à du sang. Oh putain oh putain oh putain ! Son cri avait d'autant plus sembler réveiller la personne avec lui derrière lui- attendez quoi ?! Il y avait quelqu'un ?! Il se retourna vivement, la respiration saccadée avant de tomber nez à nez avec Elliot. Oh mon dieu, qu'est-ce qui se passait putain ?! « Mec ? Mec, mec, c'est toi ? C'est bien toi ?! » Allez savoir pourquoi, mais à cet instant, il doutait de tout. « Qu'est-ce tu fais là ? Non attends : qu'est-ce qu'ON fout là ? Qu'est-ce qui se passe et putain, c'est QUOI ce sang ?! » Eliot, paniqué ? A peine.

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Pourquoi j’pouvais jamais avoir des réveils paisibles ces derniers jours? Soit j’me réveillais avec un mal de crâne affreux, soit je me réveillais dans un endroit que je ne connaissais pas, soit on me secouait pour me tirer des bras de Morphée. Et parfois, les trois combinés. Mais un réveil d’un cri perçant, ça, c’était une première. Putain, c’est quoi ce délire? C’est qui le con qui s’est dit que gueuler de bon matin était une bonne idée? J’ai la joue écrasée sur le sol — un sol froid, dur, rugueux. Pourquoi j’ai la gueule contre le bitume? Qu’est-ce que j’ai encore foutu hier soir? Je grogne, je grommèle entre mes dents en ouvrant peu à peu les yeux. Il fait noir, à part pour un mince faisceau de lumière qui s’échappe d’une petite fenêtre. Et il fait un peu froid aussi. J’dois être dans un genre de sous-sol, parce que c’est étrange qu’il fasse aussi frais alors qu’on est aux Bahamas. À moins que… non, c’est pas possible, je suis toujours aux Bahamas, on n’a pas pu me faire quitter le pays sans que je m’en rende compte. Je me redresse lentement, difficilement, appuyant sur mes mains contre le sol. J’arrive à m’asseoir, mes plaies suturées me font mal. Et quand je relève la tête, c’est Eliot que je vois. Dieu merci j’suis pas enfermé avec un taré. Mais tu me donnes mal au crâne à répéter quinze fois les mêmes mots avec ton air paniqué et ta respiration saccadée. Je me passe les mains sur le visage, comme si ça allait m’aider à me réveiller et à résoudre le mystère de la situation, soupirant longuement. Non, rien, le trou noir. Et toujours ta panique ambulante qui me tord les nerfs. « Tu poses trop de questions, tais-toi, j’ai mal au crâne… » que je grogne, la voix rauque. Mais ta dernière question, elle m’éveille, elle me fait ouvrir grand les yeux et paniquer à mon tour, ayant un mouvement de recul. Dans un réflexe, je soulève mon t-shirt pour inspecter mes plaies. Est-ce qu’elles se sont réouvertes? Est-ce que c’est moi qui ai saigné? Dieu merci non, je remarque que mes points de suture sont bien là, toujours à leur place. Alors je lâche un soupire de soulagement non-dissimulé. Mais en fait… Si c’est pas moi qui ai saigné… « Eliot, désappe toi. » Et devant ton regard d’incompréhension, je perds un peu patience. Fais-moi confiance un peu! « Retire tes fringues j’te dis! T’es peut-être blessé! » Si c’était pas moi, c’était sûrement toi, non?

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On se croirait à un film d'angoisse au scénario douteux ou dans un épisode de Pretty Little Liars (oui Eliot regardait et ne le jugez pas, Margot savait être très convaincante de temps à autre) et il n'aimait franchement pas ça. Ce qui pouvait se voir sans aucune difficulté vu la panique qui s'éveillait petit à petit en lui à la vision de l'environnement qui les entourait avec Elliot ET ce putain de sang qui gisait à leurs pieds. Merde merde merde ! Il criait, il criait partout, sans se soucier de qui pouvait l'entendre. Il faut savoir que dans des situations peu ordinaires comme celles-ci, Eliot ne gardait jamais vraiment son calme - comment on pouvait garder son calme sérieusement ?! - alors quand son frère winthrop lui intima de se faire, il n'écouta même pas, continuant de paniquer, s'imaginant tout genre de scénarios dans sa tête, tentant de se souvenir de cette putain de soirée d'hier. Il ne fit même pas attention à Elliot qui se tripotait presque pour vérifier on ne savait quoi jusqu'à ce que ce dernier s'adressa à lui. Là, il sortit de sa pseudo torpeur et adressa un regard interrogatif à son ami. Attendez, est-ce qu'il venait bien de lui demander ce qu'il pensait ? « Je- quoi ? » Ses yeux lui sortaient presque de la tête alors qu'il lui répéta l'ordre : retire tes fringues! « Jsuis pas blessé ! » Pas besoin d'enlever ses fringues pour le savoir, il ne sentait aucune douleur sur aucune partie de son corps - ce qui le soulagea à moitié. Mais Elliot ne semblait pas être convaincu par de simples paroles. « Je t'assure, j'suis pas blessé, regarde ! » Il souleva à son tour son tee-shirt et se tapota le reste du corps - s'il saignait, le sang allait sûrement se diffuser. Hors là, rien ne se passait. Conclusion : il n'était pas blessé, Elliot n'était pas blessé; à qui était ce sang ? « Elliot, est-ce que tu te souviens de ce qui s'est passé hier soir ? Même une bribe de la soirée, juste un moment ? » Parce que lui putain, rien et c'était franchement pas normal. Rien n'était normal.

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Bon, ok, on se réveillait sans savoir où on était. Peut-être que ça t’arrivait pas souvent à toi. Ouais, t’étais le gars droit, fidèle, loyal, posé, sérieux. Mais moi, ça m’était arrivé littéralement 4 fois en deux semaines. Donc tranquille, pas de panique. Ah, si, un peu de panique en fait parce que y’a une grosse flaque de sang par terre. Après vérification, non, ce n’est pas le mien et ouf. Dina m’aurait tué sur place si elle avait du refaire mes points de suture. A toi de te désapper. Pas pour que j’te mate — quoique — mais pour vérifier à ton tour que c’est pas toi qui a perdu tout ce sang, que t’es pas blessé. Parce que j’ai beau être un petit con de première, t’es quand même mon grand frère de coeur et j’tiens à toi alors si c’était toi qui t’étais à moitié vidé de ton sang, j’crois que là réellement je commencerais à paniquer. Allez, fais pas de manières, retire tes fringues. Ok, il n’est pas blessé, pas de sang à l’horizon. « Sympa les abdos. Depuis quand tu t’es mis au sport? » rétorquais-je à son lever de t-shirt dans un petit sourire en coin amusé. « Heureusement que c’est pas à toi ce sang parce que j’pouvais pas te laisser crever avec moi, t’as trop de famille et d’amis qui seraient venus me défoncer. » Bah quoi? L’humour, ça faisait du bien dans ce genre de situation. Enfin, pour moi oui. Pour toi… Pas sûr. J’haussais vaguement les épaules. « Non. » Et j’voyais déjà ton regard tueur me fusiller sur place de ne pas faire plus d’efforts que ça. Alors je soupirais. « Non, j’me souviens juste qu’on était sur la plage, y’avait une fête organisée pour la fin du Spring Break, on s’est croisés, on est allé au bar boire un verre. » Visiblement pas qu’un… « J’suppose qu’on a enchaîné les suivants et qu’on a blackout. » C’pas si grave de toute façon, si? Ah, si, j’en oubliais le sang. Mais attends… Si c’est pas le mien et que c’est pas non plus le tien… « Eliot… » que je soufflais doucement, la mine bien moins joyeuse tout à coup. « Si c’est pas notre sang… » J’voulais pas finir ma phrase. J’voulais pas, parce que le dire à voix haute, ça rendrait la chose réelle. Et c’était pas possible. « C’est le sang de qui putain? » Parce que y’avait personne d’autre dans ce sous-sol. Mes yeux avaient déjà balayés la pièce malgré l’obscurité. J’étais habitué à vivre la nuit, c’est pas ça qui me dérangeait. Mais putain… là j’étais paniqué. Perdu. Et c’était pas la panique extériorisé, qui te fait hurler et faire les cents pas et trembler de tout ton être. Non, c’était la pire des paniques. La panique intérieure, silencieuse, qui te ronge doucement mais sûrement. Comme quand j’faisais une crise de panique. Parce que ces dernières, je ne les connaissais que trop bien depuis le crash. Depuis l’accident de voiture. Je me levais, doucement, titubant quelque peu jusque le mur contre lequel je posais mes mains à plat pour m’y appuyer, y trouver un certain équilibre. J’expirais, longuement, lentement, un peu trop bruyamment. Je serrais les poings contre le mur, fermais les yeux. Pas maintenant Elliot, pas maintenant.

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« J'essaie de t'égaler niveau abdos, tu valides ? » Elliot tentait l'humour malgré la situation, alors il suivait même si l'humeur n'était pas réellement au rendez-vous, forçait un léger sourire en coin. Dans sa tête, c'était le bordel complet, il se retenait d'exploser alors qu'ils constataient à deux que d'une, aucun des deux n'avaient des souvenirs de la soirée et de deux, aucun des deux n'étaient blessés. Ce qui n'était qu'à moitié une bonne nouvelle. « Si tu crèves avec moi, ça sera difficile de venir te défoncer. A moins qu'on te déterre pour te retuer par le suite. » Il esquissa un autre deuxième sourire forcé mais en soit, personne ne serait dupe et n'irait accuser Elliot de quelconque crime vis-à-vis de lui, surtout ses proches. Preuve est-il, ils étaient dans cette galère ensemble, totalement largués ensemble, si quelque chose s'était passé, c'était obligatoirement soit ensemble soit contre eux. Si seulement, un des deux pouvait se souvenir d'un brin de la soirée, putain. Mais non, c'était totalement le trou noir du côté d'Eliot et son frère Winthrop lui confirmait également la même chose, ce qui n'apaisait en rien les craintes qu'il pouvait avoir. Au contraire, il acquiesçai anxieusement la tête de haut en bas, en passant la main dans les cheveux, prêt à se les arracher. Ce n'était pas son habitude de blackout à une soirée, quant bien même il était bien saoul, il gardait toujours sa tête. « C'est pas normal mec, c'est pas normal.. » Non sans dec Eliot ? Il ne savait plus quoi dire, comment réagir. Ajoutez en plus ce putain de sang qui n'appartenait donc ni à l'un ni à l'autre et.. putain, merde ! « Je sais pas si je veux savoir à qui ce sang appartient. » Qu'il murmura plus pour lui-même que pour son pote, qui semblait d'un coup très mal en point. La panique devait commençait à lui monter, parce que malgré l'obscurité, Eliot le sentait se lever, et s'appuyer contre un mur, la respiration saccadée. Malgré sa propre panique à lui, Eliot s'inquiéta pour son frère. Il mit ses mains devant lui afin de se déplacer à son tour et tâter si un quelconque obstacle se présentait devant lui pour atteindre Elliot. Lorsque sa main droite atteignit l'épaule de ce dernier, il lâcha un soupir de soulagement et prit appui sur lui et donna un coup de pression sur ce même épaule pour le rassurer, à moitié. Parce que lui-même n'était pas rassuré. « Ça va aller mec, inspire, expire ! On va trouver un moyen de sortie. » Lâchant son épaule, il tâta ensuite les murs, avançant de plus en plus vers la gauche pour trouver une quelconque porte ou quoi. Quand ses doigts effleurèrent quelque chose en fer un mètre plus loin, ses yeux s'écarquillèrent. « Elliot, regarde, viens ! Des barreaux ! » Première fois de sa vie qu'il était si excité de sentir des barreaux. Son cerveau fit vite le calcul ceci dit et il perdit vite son excitation lorsqu'il se rendait compte que ouais, ils semblaient être dans un putain de cachot ?! « Putain mais merde, où est-ce qu'on est ?! »

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J’apprécie que tu me retournes un peu mon humour. Ça m’aide à me détendre en fait, j’essaye de dé-dramatiser la situation, la merde dans laquelle on est. Parce que je flippe. Mais j’me contiens, je ne dis rien, parce qu’à quoi bon? À quoi bon céder à la panique dans une telle situation? C’est pas ce qui va nous aider. Au contraire. Mais plus je réfléchis et plus je panique. Parce qu’on est dans un sous-sol froid, on a aucun souvenirs de comment on est arrivé là ni même de la soirée de la veille en elle-même, et y’a une putain de flaque de sang par terre qui n’est visiblement ni à toi, ni à moi. Alors à qui il est hein? Est-ce que y’avait quelqu’un avec nous qui était blessé? Est-ce qu’on a nous-même blessé quelqu’un? Putain Eliot, qu’est-ce qu’on a foutu? On est en plein Very Bad Trip là, à se réveiller on-ne-sait-où, kidnappés je-ne-sais-pourquoi. Et peut-être qu’il fallait que j’arrête le cinéma, mais ouais, mon rythme cardiaque s’affolait et je me levais pour aller m’appuyer contre le mur reprendre mes esprits. Tu me rejoignis bien vite, posant ta main sur mon épaule pour me ramener à la réalité. ‘Inspire, expire’ ? Sérieux? T’as pas assisté à des cours de relaxation toi dans ta vie, au moins c’est clair et net. Mais justement, mon air sidéré me fait oublier la panique. Ça passe pour cette fois, t’as de la chance. Tu tâtonnes les murs et crie hallelujah d’avoir trouvé… des barreaux. « Euh, des barreaux = la prison. Alors pas sûr que ce soit bien de se réjouir… » Mais je te rejoins quand même, mes yeux s’habituant à la pénombre — qui n’est pas d’une grande aide, y’a rien dans ce cachot. « C’est verrouillé ? Essaye de secouer la grille avec moi, peut-être qu’elle va céder, elle a l’air vieille. » J’attrape deux barreaux entre mes paumes et commence à faire pression sur la grille, priant pour qu’elle cède sous nos muscles. Tes biceps et les miens, ça devrait le faire non?

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@Elliot Maxwell & Eliot Llewellyn
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Sérieusement, Eliot ne savait pas quoi faire, comment agir, comment réagir. Il se forçait à ne pas paniquer, même si au fond de lui, il était prêt à se désintégrer à tout moment mais voir Elliot atteint par la situation le forçait à se prendre en main, ou un semblant de prise en main. Il était comme ça, toujours adulte, à vouloir protéger ceux qui l'entourent même si lui-même n'était pas en état ainsi par habitude, il protégeait les autres avant lui. Quand bien même il n'avait pas toujours les bons mots au bon moment, il tentait au mieux. C'étaient des mots de réconfort assez faibles mais mieux que rien, avant qu'il ne tente de trouver une solution de sortie. Parce que sortir de là ne serait pas une si mauvaise idée, n'est-ce pas ? Sortir, et découvrir comment ils avaient atterri là, putain. S'ils avaient été emprisonnés ici. Emprisonnés, c'était le mot, oui. Les barreaux qu'il avait trouvé en tâtonnant dans la pénombre leur avaient donné une indication de leur état. Il n'y avait vraiment pas de quoi se réjouir, c'était certain mais c'était un pas de plus vers une porte de sortie et pour ça, Eliot sentait une bouffée de soulagement l'envahir.  « On a trouvé une sortie mec donc si, y'a de quoi se réjouir mine de rien.  » Qu'il contra en espérant qu'il le rejoigne assez vite pour parvenir à sortir de ce trou. A deux, ce serait sans doute plus rapide. Et heureusement, c'est ce qu'Elliot fit, le rejoindre et lui proposa même un semblant de plan. « Je suis pas sûr qu'on y arrive mais qui ne tente à rien n'a rien, hein ?  » Après tout, Eliot était tout de même affaibli que ce soit physiquement ou moralement par hier et aujourd'hui mais il joignit ses deux mains à deux autres barreaux aux côtés de son frère Winthrop et commença à secouer frénétiquement de toutes ses forces. Il ne savait pas si c'était qu'une impression mais il sentait les barreaux lâcher petit à petit. Est-ce qu'ils y arrivaient ? « Putain et y'a personne ici qui nous entend ?  » Un autre plan d'évasion aussi tiens : crier jusqu'à se faire entendre. Dans les films, ça fonctionnait. La plupart du temps.

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Heureusement, j’avais repris un semblant de contenance, j’avais réprimé la crise de panique qui pointait le bout de son nez. Elle aurait bien le temps de se manifester plus tard, quand on serait tiré d’affaire. Si on se tirait d’affaire. Mais on formait une bonne équipe non? Toi la tête, l’adulte responsable, l’intelligence, et moi les muscles. Un bon équilibre. Sauf que quand tu te réjouissais d’avoir trouvé des barreaux, j’étais pas trop sûr de ton coup. Ça voulait dire qu’on nous avait enfermé. "Waouh, on s’croirait aux enlèvements de Thanksgiving." Mais bon, on s’en était sortis indemnes à Thanksgiving donc ça irait. Ouais, sauf que y’avait pas une flaque de sang au milieu de la pièce. "Eh j’ai une idée." Je t’abandonne deux secondes pour aller imbiber une petite partie du tissu de mon t-shirt dans le sang et revenais. "J’pourrais envoyer ça dans un labo, comme ça on saura à qui appartient ce sang." Ouais, j’étais content de regarder autant de séries tout à coup. Je suggère ensuite donc de faire céder la porte, et on agite sans relâche les barreaux, qui bougent de plus en plus. "Encore un peu vas-y!" que je lâche en guise de motivation, les barreaux étant lestes. "Recule." Et je balance un gros coup de pied qui fait tomber la grille pour nous libérer. Yes baby! Petit cri de la victoire, suivi d’un check pour reconnaitre notre travail. "J’crois pas qu’il y ait qui que ce soit dans les parages en fait… Allez viens." Et je sors du cachot pour parcourir un long couloir tout aussi glauque. Et au bout? Nos téléphones. "Yeeees!" Je te file le tien, déverrouille le mien. "J’ai plus que six pour-cent de batterie, essaye de checker si t’as des photos, des vidéos, des messages de la veille… Peu importe, un truc qui nous donnerait des pistes." Je continue de me diriger vers la lumière qui est encore assez loin devant nous. "Une fois sortis j’appellerai un taxi." Et tout rentrerait dans l’ordre non? Enfin… On aura qu’à attendre les résultats du labo pour le sang, et on contacterait le gars savoir s’il va bien quand même non? Ça s’trouve… "Imagine c’est nous qui avons causé les blessures de la troisième personne?" Qui sait? Qui sait ce qu’on peut faire en étant totalement défoncés?

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