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look at the stars look how they shine for you (thomas)

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pluie de météorite. quel bonne nouvelle pour une passionnée d’étoile. les astres ce sont donnée rendez vous ce soir, pour faire vivre une très très belle nuit. tu as envoyer un message tout excité à Thomas, ce soir, pas de fête, pas de shoots de tequila, pas de danser andiabler sur le danser floor entourer d’autre loser, ce soir, c’était lui, toi et le ciel à vos pieds. ou plutôt à vos têtes, si elle est d’humeur à se partager. elle enlèvera les nuages qui cache la vie, pour donner un ciel dégager et merveilleusement lumineux, si elle est d’humeur, ce sera même possible de la voir à l’oeil nu. t’avais quand même pris ton télescope, toujours enrouler entre les robes de plage et les serviettes de bain et tu lui avait donner rendez-vous ce soir pour admirer le spectacle. « tu te rend compte Tommy, on va voir une plue d’astre, c’est comme être honoré des Dieux, c’est.. géant. » pas d’autre mot te venais à l’esprit alors que tu calculer la trajectoire des étoiles, au sol un drap fin que t’avais ramener de l’hôtel pour pouvoir vous posez et ton sac remplis de bouffe, pas pour toi, bien sur, pour lui, toujours affamer le Thomas. « si on est chanceux, on pourras même voir jupiter, c’est le moment ou elle est le plus prêt de la terre, comme attirée par celle-ci. » des étoiles y en avait déjà plein dans tes yeux à ce moment précis. « j’aurais voulu me marier sous cette pluie d’étoile, ou avoir un orgasme. »
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— solaris bb

C’est toi et elle, elle et toi, vous et le ciel, le ciel et sa voie lactée. Lactée comme le lait, le milk shake qui te secoue le ventre, celui que tu as accepté au bar par la serveuse qui te faisait de l’œil, ouais, dans le vide. Ses yeux bleus qui tentaient de jouer avec tes prunelles sombres, en vain, hein. Le milk shake qui te rend malade, tourbillon intestinal, gargouille la jackouille. Merde. Tu vas gerber, sur elle, ton soleil, la lumière dans ses yeux. Tu vas éteindre ce scintillement dans ta vie, d’un coup de vomis. Elle veut voir les étoiles, celles que tu décrocherais pour elle, les comètes pour cette femme, non cette gamine, un enfant. Inconscience, naïve, tu l’aimes, fort, toujours plus fort. Tu l’as rejoint sur la plage, les pieds dans l sable, ta peau éclairée par cette lueur blanche en reflet sur la l’océan. T’es pâle, comme un cul, malade, ton milk shake, cette merde. Aussi blanc que l’aspirine que t’as trinqué à ta loosité. tu te rends compte Tommy, on va voir une pluie d’astre, c’est comme être honoré des Dieux, c’est.. géant. Tu sais même pas ce que c’est, toi. Merde, une pluie, pour te mouiller la gueule, par des étoiles. Tu lèves un regard au cil, noir velouté, ses yeux émerveillés. Ha, ouais. T’as pas compris, t’es perdu, avec tes poils au cul. C’est ça qui t’intéresse, objet du désir, ce sac, ses effluves de nourriture qui remonte à tes narines. Ton cerveau te dit non, ton cœur n’a pas compris. La gerbe, manger, il faut choisir, faire un choix, réfléchir. si on est chanceux, on pourra même voir jupiter, c’est le moment où elle est le plus prêt de la terre, comme attirée par celle-ci. Tu ne l’écoutes que d’une oreille, perdu dans les volutes qui sonnent dans ton bide, t’es dans le mal. j’aurais voulu me marier sous cette pluie d’étoiles, ou avoir un orgasme. Tu avales ta salive, comme un rappel à la raison, un orgasme, mot magique, tu sors de tes pensées, à la nausée. Ça va mieux, soudainement, bizarrement. Tu penses que du coup mariage pluvieux d’étoles, mariage heureux aussi ? Tu donnes un coup de coude dans son bras frêle, fragile, Solaris. Pour l’orgasme ça peut s’arranger hein. Toi, t’as queue vierge de tout liquide vaginal, calme-toi. Ce clin d’oeil faussement aguicheur, tes yeux dans les siens, tu fais le con, put être pas au fond. T’as pris quoi à manger ma dulcinée ?

©️ LOYALS.
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il n’écoutait pas, non il écoutait pas, il vacillait allongé sur le bout de tissus que t’avais foutue sur le sol. « Thomaaaas. » tu râles, enfin non, tu lâches un grognement qui ressemble étrangement à son prénom que tu martyrises entre tes lèvres. tu l’aimais, ô dieu sait que tu l’aimais, il est l’unique étoile qui guide tes pensers, comme un journal intime sur patte, comme un pense bête humain, comme l’être qui arrive à faire revivre chaque instant de ta vie en un sourire et redonne sens à tes pensers. il est le Gus, tu es Hazel, et tu disparaîtrait si il n’était pas là. tu restes un instant devant le télescope, relisant les marques de ton bras du bout de tes doigts, oui tu ne serait plus de ce monde is il n’était pas là. mais dieu qu’il est chiant. son coup de coude te réveille, tu lui tire la langue, ses mots te font de même rire. « ce phénomène arrive une fois toute les milles lune et on a la chance de pouvoir y assisté. » tu lui donne un coup de coude à ton tours et relis le blog sur lequel tu été tomber. à quel heure ça devait arrivée, quand commencer à regarder, ton carnet entre les doigts prête à d’écrire chaque moment de ce fabuleux évènements. tu sais qu’il été content de venir, juste pour être avec toi, juste pour te tenir compagnie, juste pour que tu ne te sente pas seule à l’idée de voir quelque chose qui te plaît. tu sais qu’il serait prêt à tout faire JUSTE pour toi, et tu te sentait mal de ne pas réussir à lui rendre l’appareil. tu ne lui apporter rien dans sa vie, à par misère et ennuie. « t’es pas censé avoir une copine ? » le ton de ta voix été un mélange de jalousie et reproche. pourtant, pourtant. tu aimerais que rien ne change, tu aimerais qu’il soit à toi, encore et toujours, qu’il n’aille pas voir ailleurs, que tu ne soit qu’à lui pour toujours et lui à toi pour l’éternité. c’est égoïste à dire, même à penser, mais si il avait une copine les choses changerais; il ne serai plus ton Thomas, elle aura de l’influence sur lui, car elle sera capable de lui apporter ce que tu ne peux pas lui donner, et il sera heureux, et il ne voudra plus avoir de trou noir comme toi dans sa vie. il sera heureux. il le sera car pour le moment.. il ne l’est pas, surtout à cause de toi… sa voix te chasse de tes penser. tu lèves le panier et fouille dedans en énumérant. « Mh.. sandwich, pringels, cookie, wrap au poulet et je m’en suis pris un au légume et.. du coca! » tu lèves la bouteille fièrement, avant d’en avaler une gorger. « Merci d’être venu avec moi, en fait. » tu embrasses son front en souriant, buvant une autre gorger de coca.
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— solaris bb

Non tu comprends rien, ça t'intéresses pas forcément, non. Pourtant tout est intéressant, non ? L'univers, l'espace dont on cherche encore la fin et que personne n'arrive à la trouver. Ses milliards d'étoiles qui longent la galaxie narguant les télescopes des astronautes les pieds sur Terre. Non tu comprends rien, si, peut être une chose, la plus importante, ouais. Elle, c'est ce qu'elle aime, ça la passionne, ses yeux sont pour toi la voie lactée au gout sucrée. Des profondeurs contrastées, prunelles remplies de trous noirs que t'as parfois réussi à reboucher, pour la revoir sourire, sortir de ses conneries avant l'Ultime. Elle, c'est tout ce qui compte, à la fin, malgré tout, pour toujours, elle est en haut de ta tour. La tour d'argent dans ton coeur, la plus haute, la plus importante. Tu aimes la taquiner, comme cette nausée qui aime te faire chier. Merde, tu vas surement lui vomir sur sa serviette avant d'avoir le temps de faire un trou dans le sable fin pour y dégueuler sans aucune élégance. Elle va te détester, tu vas t'en vouloir, vous aller vous pardonner, comme toujours, parce que vous, on le sait : ça ne s'arrêtera jamais. Un vomis, un de plus, un de moins. Comme ceux qu'elle lâchera sur ton futur blouson en cuir tout neuf quand elle sera enceinte de vos cinq enfants. ce phénomène arrive une fois toute les milles lune et on a la chance de pouvoir y assisté. Elle se rend même pas compte, de ce qu'elle est. De sa beauté, celle qui fait tourner la tête, ta tête ? Ses pupilles ébènes si profondes où l'ont arriverai à se noyer, y faire des brasses sans pouvoir jamais en ressortir, elle te prend, en otage, elle ne s'en rend même pas compte, non. Elle est belle, ses paumettes remontées, ses douces lèvres. Celles que t'arrives pas à lâcher du regard quand elle a les yeux tournées, qu'elle te voit pas entrain de la bouffer, la dévorer. Elle comprendra surement jamais, ce qu'elle est, sur Terre, la puissance de sa présence. Jamais, probablement, c'est trop con. t’es pas censé avoir une copine ? Tu pouffes de rire, parce que non, t'as pas de copine, t'es la friendzone, toujours, tout le temps. C'est con, ça aussi. Tu ris parce que c'est drôle, au final, ça te fais marrer, t'as presque appris à l'accepter, vas finir ta vie seul, avec des figurines pop autour de ton lit partout. Tu finira même par avoir du désir pour celle d'Harley Quinn. Tu sais bien que la seule personne qui voudrait un date avec moi c'est ma mère. C'est presque triste, tu fais à la limite pitié. Toi et ton ombre, la friendzone. Bonnie and Clyde. Forever. Tu attrapes rapidement les cookies en les ramenant près de ton torse, une grimace qui déforme ton doux visage qui est trop repoussant pour les possibles femmes de ta vie. Tes lèvres qui se retroussent pour laisser apparaître tes dents en avant. MON PRECIEUX. Tu ne risques pas de pécho comme ça non. Mais tu t'en fous après tout, Thomas, la tête de gland, c'est une marque de fabrique maintenant ! Sur un malentendu, peut être qu'un coup de foudre pourrait exister. Tu tentes d'ouvrir tes cookies dans un bruit de plastique grinçant à vos oreilles. Chiant, en plus. Tu as du mal à l'ouvrir ce bruit est incessant, oppressant, c'est frustrant putain t'es relou. Merci d’être venu avec moi, en fait. Dans ton vacarmes qui glisse sous tes doigts tu la regardes un point d'interrogations sur la gueule. Pourquoi tu dis ça ? Tu comprends pas, non plus. Pourquoi elle te remercie ? Tu arrêtes finalement de luter en lui tendant le paquet de gâteau vaincu. Te moques pas s'teuplait. Viril.

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et ça faisait six ans, mais il été toujours là. et sa voix été toujours mielleuse, et son corps été toujours droit, et ses mains avait toujours ce même pouvoir, de porter tes peines et tes pleures, et ses bras été toujours le seul médicament que ton médecin ne pouvait pas te prescrire et ses yeux ne voyait toujours que toi, toi, toi et personne d’autre. et jamais personne d’autre n’avait été capable de te regarder comme il le fait, avec les même yeux qu’il te donne, avec cette même aura qu’il t’entour. son âme été étrangement mêler à la tienne, comme sceller par un sceau invisible qui vous liera à jamais, car comme hercule il a ramener ton âme du pays des morts, comme hercule il t’as porter tel une reine jusqu’au nouveau monde, celui que tu contemple à présent. le ciel est grand, le monde est veste et à chaque fois que tu poses tes yeux dans ton télescope tu te sent ridiculement petite, inutile, poussiéreuse. c’était agréable, car tu te disait sans cesse qu’avec ou sans toi, le monde continuerais à être celui qu’il était. il tournera, avec ou sans solaris ferguson sur lui, pourtant, pourtant, c’est dans ses yeux que tu te sent exister, à travers ses lobes, à travers son sourire, tu te sentait géante. trônant sur son coeur, monopolisant son existence, piétinant son espace vitale. et si demain tu disparaissait, son monde ne serait que tristesse, vide, saccager par la géante que tu es. tu ne lui aura apporter que de la peine, de la tristesse et de la mélancolie, vers un monde auquel tu n’existera pas. redescent, doucement, de tes penser obscure qui vacille un peu trop loin. peut être que la pluie d’étoile t’avais déjà emporter dans un autre monde? tu griffonnes, gribouille, sur ton carnet, oublie ce que tes penser voulait former et au final, tu lache l’idée de rédiger quelque chose de correct. des photos suffisant, si t’arrives à en avoir. tu te tourne vers thomas, ses yeux dans les tiens. pourquoi on idéalise toujours les yeux vert, pourquoi on y met toujours un point d’honneur alors que ses yeux couleurs amande et chocolat été tout aussi hypnotisant. « c’est super sale. » dit-tu en riant, non, non, maman prada avait bien d’autre chat a fouetté que de savoir si son fils a tremper son biscuit ou pas, il semble même que c’est le dernier de ses soucis, bien qu’elle aime et chérie sa progéniture, elle a tellement d’autre chose à faire que cela n’est qu’un détail. c’est égoïste avoue-le, c’est même horrible de le dire, de le penser encore pire, tu le veux. tu le veux rien qu’à toi, tu refuses qu’il soit à quelqu’un d’autre, car personne d’autre ne pourras le sauver comme il le fait. car il est le seul à pouvoir endosser ton âme torturer. tahar à fuit, il a pris ses jambes à son cou quand les choses ce sont compliqué, paumer ou juste apeurée, quel crétin. pourquoi tu dis ça ? tu hausses les épaules. il le sait, pourquoi il veut te faire répété? « tu le sais. » c’est évident, surtout entre vous deux. il se débat avec le paquet de gâteau et fini par te le tendre, tu ris et ouvre le paquet de gâteau, avant de lui rendre. tu boit une autre gorger de coca cola avant d’essuie ta bouche sur le revers de ta manche, reste un moment silencieuse, les yeux bloquer sur le ciel. c’est possible de voir les étoiles à l’oeil nue, mais il fallait s’entrainer à voir par dessus la poussière et la pollution, l’avantage ici, c’est qu’il n’y a rien de tout ça. tu inspires un coup avant de lancer  : «  tu m’as sauver. tellement de fois. je serais pas capable de rendre l’appareil, j’espère que t’en ai conscient. j’ai rien à t’offrir, rien du tout, à par mes penser périmé. » un autre silence, rien de pesant, rien de grave, juste quelque moment pour assimiler la soudaine envie d’exprimer ce que ton coeur a renfermer depuis tout ce temps, gratitude énorme et amour éternelle. « je suis désolée d’avoir si peu à donnée, mon corps, mon âme, je te donnerais tout si je pouvait. »
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— solaris bb

Tu le sais. Non tu le sais pas. Tu devrais savoir quoi ? Parce que savoir, ça veut dire quoi ? C’est savoir ce qu’on sait. Mais tu sais pas. Tu sais pas pourquoi elle te remercie, de ta présence, d’être en sa compagnie, de poser ton cul comptant une absence indéniable de muscle, si ce n’est une malformation causée par le canapé à force de rester planté devant un écran. Mais non, tu sais pas. Si tu sais. Tu sais que Mario est né en 1981, que la pizza c’est bon, que tu seras certainement puceau toute t vie et que tu seras viré de ton travail pour avoir trop regardé les fesses de la stagiaire lui avoir dit qu’elle n’a rien à craindre parce que t’es puceau. Tout ça, tu le sais. Mais tu sais pas pourquoi elle te remercie d’être là. Tu es désolé, pour elle, ses pensées. Elle ne veut pas comprendre que tu l’aimes, bien. Que tu n’es là pas seulement pour elle, pour toi, aussi, bah oui. Elle te donne le sourire, t’envoies balader sur un petit nuage doré. Celui sur lequel elle plane toujours, l’univers où elle ne comprend pas ce qu’elle est pour toi. Tu l’as laissée ouvrir ton paquet de cookies, le vide dans tes yeux. Ça te fais chier, ça te tracasses. Merde. Quand est-ce qu’elle comprendra, pourquoi elle ne veut pas comprendre. Te n’es peut-être pas assez claire, est ce que tu lui as déjà dit ? Ouais, au moins une centaine de fois, nombreuses chances pour elle d’assimiler, la vérité. tu m’as sauver. Tellement de fois. Je ne serais pas capable de rendre l’appareil, j’espère que t’en ai conscient. j’ai rien à t’offrir, rien du tout, à par mes penser périmé. C’est lourd, elle te gonfle, finalement. Lamentable, sa manière de voir les choses. Sa tête tourne sur des idées désagréables. Son nuage doré est peut-être bien plus noir que c’que tu pensais. Tu ne parles pas, tu laisses le silence faire les choses, ne pas en rajouter. Un cookie éclaté en miettes dans ta bouche, yeux sur l’horizon, c’est con. Ça t’emmerdes, royal, ça te casses les couilles, les petites innocentes. Je suis désolée d’avoir si peu à donner, mon corps, mon âme, je te donnerais tout si je pouvais. Tu te redresses, l’affalé qui bouge s’asseoir devant elle, en tailleur, proche d’elle. Tu veux monopoliser son attention, qu’elle détourne ses irisées de son tableau étoilé. Tu dis n’importe quoi. Un coup d’épaule en l’air comme si c’était juste une pure vérité, ça l’est. Tu ne comprends pas Solaris, j’te jure tu comprends pas. Tu soupires en jetant un regard ailleurs, un instant, voyageur, tu cherches tes mots, il faut les peser, avec elle, petite tête innocente qui ne comprend rien. Parce que putain, elle force à pas vouloir saisir, et toi. Toi qui ne sait pas t’exprimer, t’es maladroit, pas très adroit. Tu replantes tes yeux dans les siens, des miettes encore sur le rebord de tes lèvres, élégance. Je t’aime tu sais, enfin, je te n’aime pas en amour, j’crois. T’es con ? J’tiens à toi. Beaucoup plus que tu penses c’est clair. Parce que merde, j’ferais tout pour toi moi, mais tu le sais ça. Tu pousses son front du bout du doigt gentiment un sourire presque abruti sur ton visage. Mais j’comprends pas pourquoi te n’arrives pas à comprendre que j’ai pas besoin de plus que ce que t’es. Tu reprends un cookie dans tes doigts pour lui présenter, sous l’nez. Tu mangeras un cookie à chaque fois que tu penses mal comme ça, tu penseras à ce que je te dis là. Tu vas t’enrober vite j’te jure.

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les étoiles brillent tellement ce soir, mais ceux qui brillent vraiment ce sont ses yeux. ô âme torturer de solaris ferguson, pourquoi es-tu passer à côté de ton âme soeur sans jamais le remercier ? tu fais preuve de franchise et d’un peu d’honnêteté, un peu trop même. car trop d’honnêteté de ta part fini toujours en lynchage de ta propre personne, ce qui a le don de faire grincer les dents de monsieur Prada. ses sourcils se fronce et tu voit sa bouche se déformer, mais les mots ne cesse de sortir de ta bouche comme envahit soudainement de lui faire remarquer : tu es inutile. « j’essaie, thom’, j’essaie de comprendre ce qui te pousses à me sauver sans cesse, ce qui pousse le monde entier à me sauver, mais ça sert à rien. j’ai l’impression de couler, tout le temps et d’emmener les gens avec moi. j’ai l’impression de crée des trous noir partout ou je passe et c’est horrible, parce que je veux pas que ta vie soit remplacer par un trou noir… » tu marques une pause, un instant, une minute, ou vous vous échangiez un regard. comme inquiet l’un pour l’autre, comme conscient soudainement de l’importance de l’un et de l’autre. ce soir les étoiles vont tomber et pourtant tu as l’impression qu’elles te couler déjà dessus, comme pour heurter ta vie sans cesse et te rappeler qu’il est temps que te mette à la vivre pleinement. mais tes idées noir reste tes idées noirs et tes moeurs reste tes moeurs et tu aimerais, un jour, être capable de te voir à travers les yeux de thomas. te voir comme lui il te voit. « je voudrais ensoleiller ta vie. faire de ton quotidien quelque chose de beau. être la raison pour lequel tu te réveiller le matin, de bonne humeur, du bon pied. je veux être le pied droit, celui sur lequel on se lève quand on est heureux. » je t’aime. je t’aime aussi, je sais que tu m’aimes, je sais que ses mots ne signifie pas que des mots, pour toi. toi qui attend impatiemment que quelqu’un puisse l’aimer pour de vrai, pour pouvoir faire les premiers pas d’une relation avec quelqu’un qui en vaut vraiment la peine. toi qui n’a pas mélanger le sex avec des envies animal et bestiale. toi qui ne t’es pas débarrasser de tes désires en un claquement de doigt avec une personne random que tu ne reverra jamais. toi, l’être parfait, l’être aimer, l’être qui mérite le bonheur absolue, c’est toi Thomas. « je suis déjà énorme. » dis-tu dans un sourire, presque vrai, mais forcer, pour ne pas qu’il entende l’amertume et la réalité de cette phrase. car c’est revenu, comme une vague, ses idées noir qui pousse dans un coin de ta tête. cette voix douce et lente qui te fait penser que tu n’a rien à faire sur cette terre. fait la taire, oui, fait la taire. tu poses tes doigts sur la joue de ton meilleur ami, ton âme soeur. caresse sa joue avec le bout de ton pouce. « ça va commencer. » dans quelque minutes, les étoiles aller descendre du ciel pour pleuvoir sur vos têtes.
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J’essaie, thom’, j’essaie de comprendre ce qui te pousses à me sauver sans cesse, ce qui pousse le monde entier à me sauver, mais ça sert à rien. j’ai l’impression de couler, tout le temps et d’emmener les gens avec moi. j’ai l’impression de créer des trous noirs partout où je passe et c’est horrible, parce que je ne veux pas que ta vie soit remplacée par un trou noir… Elle ne comprend donc vraiment pas ouais. C’est comme ça qu’elle voit les choses, elle a peur de te tirer vers le fond, de tirer les gens vers le fond. Elle ne voit pas, qu’elle est un rayon de soleil, celle qui illumine tes yeux noirs sans une seule nuance de luminosité. Elle se sent comme un bateau sur l’eau, le Titanic qui se prend un iceberg, tout le temps, sans raison. Elle se sent se noyer, immerger dans un tas de conneries dont elle accorde trop d’importance. Des futilités, à tes yeux, toi. Tu t’en fous de tout, pratiquement. L’avis des autres, le regard des gens qui t’entourent. Les codes de la société, tu t’en bas les couilles, royalement. Tu vis pour toi, pour eux, tes proches. Tu ne veux pas répondre à tout ça, tu te contentes de la regarder avec tes yeux de chiens battus, le cocker et ses oreilles pendantes, l’innocence. Je voudrais ensoleiller ta vie. faire de ton quotidien quelque chose de beau. Être la raison pour lequel tu te réveiller le matin, de bonne humeur, du bon pied. je veux être le pied droit, celui sur lequel on se lève quand on est heureux. Tu pousses un léger rire, nerveux, sans doute. Tes doigts qui enlacent son visage en manquant de lui en planter un dans l’œil. Maladroit, toujours. Je te promets qu’un jour tu comprendras que tu es déjà mon soleil. Tu déposes un baiser sur le haut de son front avant de finalement détacher ton emprise d’elle. Un jour elle sera prête à comprendre, t’en es sur. ça va commencer. Tu te couches devant elle, lui faisant dos, ta tête qui se pose sur ses jambes allongées sur la couverture qui caresse le sable de la plage. T’es bien comme ça, ici, par là. Tous les deux, devant vos étoiles.

FIN.

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