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We're true friends in time (Sloëlle)

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Sloan était visiblement pas dans la meilleure des forme, et je n'étais gère mieux, mais je ne voulais pas le laisser seul, après tout c'est un ami à qui je tien énormément, et le savoir mal, ça me touche, et puis ce n'est pas rassurant de le savoir dormir à droite et à gauche, je préfère encore l'avoir avec moi sagement dans mon lit, que de le savoir à airer je ne sais où. Je l'avais donc inviter à me rejoindre dans ma suite, prévenant Poppy, qui visiblement était fatiguée et été partis ce coucher juste après notre discussion entre cousines. J'attendais donc que Sloan me rejoigne, je ne savais pas encore pourquoi il était mal, et peut-être que je ne le lui demanderais pas, pourquoi ? Pour ne pas remuer le couteau dans la plaie tout simplement. J'avais fais monter du champagne, et des petits fours histoire de grignoter, et puis comme le canapé était le repère de nos valises à ma cousine et moi, j'avais disposer une serviette de plage sur ma valise de lingerie sexy histoire que les yeux du beau jeune homme ne se perde pas dessus. Ce soir c'était donc dans la chambre que nous allions faire tout ce qu'il aurait envie de faire, il va mal, c'est donc sa soirée, il veux peindre, on peindra, il veux aller à la plage, on ira. Je sais me montrée attentionnée quand je le décide et avec Sloan, ça à toujours été une évidence d'être douce et gentille avec lui. J'étais en sous-vêtements, donc j'enfile très rapidement une petite robe bleu nuit, fluide, légère, décolleté et courte, pas plus longue qu'a mi-cuisse. J'attendais désormais Sloan dans le petit salon de la suite d'hôtel.

@Sloan Bushnell
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Sloan vivait au jour le jour, se plongeant toujours un peu plus dans une sombre dépression. Il ignorait jusqu'où il allait plonger et s'il allait s'en sortir indemne. Voilà quelques jours qu'il s'était séparé de Suzy sur un gros coup de tête, sur des malentendus et une incompréhension certaine. Aujourd'hui, il avait tenté de prendre contact avec elle mais s'était confronté à la cousine en rage contre lui. Tant pis, ça sera pour plus tard. L'ancien Eliot était impulsif et ne savait pas comment se comporter face à cette situation qui lui échappait totalement. Il pensait que cette rupture était la meilleure des choses à faire, puis, deux secondes plus tard, il pensait tout l'inverse. Sloan n'arrivait pas à se poser et à avoir un jugement réaliste sur les choses. Sa rupture le menait plus bas que terre et, contre toute attente, certaines personnes venaient vers lui. Des mains innocentes et bienfaisantes qu'il n'avait pas su saisir autrefois. Le jeune Bushnell ne voulait pas reproduire les mêmes erreurs que dans le passé, il allait donc ne pas fermer la porte aux personnes qui lui voulaient du bien. C'était difficile pour lui d'appréhender ce genre de rapprochement alors qu'il ne pensait qu'à mettre fin à ses jours, mais il le devait. Un vieux sage a dit un jour, là où il y a de la vie, il y a de l'espoir. Et bien Sloan était encore debout donc il se devait d'y croire. Pas forcément de croire qu'il allait se remettre avec Suzy mais juste de croire en son propre bonheur. Un bonheur qui restait qu'une illusion jusqu'ici.

Ses pas le menaient vers l'hôtel qu'il avait occupé avec sa femme. Un hôtel qui lui donnait la gerbe, ni plus, ni moins. Sloan ignorait où se trouvaient ses affaires, il en avait mis un peu chez Aaric mais ne savait pas pour le reste. Suzy avait certainement dû faire un feu de joie avec ses vêtements. Quoi qu'il soit, il entra dans l'hôtel sans chercher à regarder autour de lui. Il fila directement vers les escaliers pour atteindre le troisième étage et pénétra dans le couloir jusqu'à la chambre de la petite Athénaelle. Il toqua faiblement à la porte et se recula d'un pas en attendant qu'elle lui ouvre. « C'est Sloan .. » Evidemment, qui d'autre. L'ancien Eliot n'avait pas la force de faire une petite blague ou une remarque dont lui seul avait le secret. Il était simplement au bout de sa vie.
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Un petit tour sur Instagram histoire de liker ou tout simplement épier un peu ce qu'il pouvait bien ce poster chez certaines personnes, notamment Arthur et Franklin. Je pouvais franchement dire merci à mon Ordinateur, qui me servais pas mal depuis quelques jours, mais il fut temps de préparer l'arrivé de Sloan, et donc de le ranger, lui et la souris et le chargeur qui vont avec, une fois le tout bien à l'abris dans la housse Beige très claire, presque blanc, je regarde l'heure. J'avais fait attention à ce que tous les petits plaisir soit au rendez-vous, champagne, et compagnie. Je n'avais pas envie d'être hyper fashion ce soir, juste à l'aise dans une tenu qui me rappel un souvenir très net de ma banquière me harcelant au téléphone pour que je foute la paie à mon compte en banque, bien que ce n'était pas nécessaire, une vraie soupe au lait cette femme je vous le promet, si seulement je pouvais la noyer pour divers raisons, je ne suis pas né de la dernière pluie et je sais bien que cette conseillère à épouser un homme pédé comme une phoque juste pour l'argent et que c'est GayPride forever and party chez eux assez souvent, quel echec de sa vie sincèrement. Voilà pour la petite anecdote, mais passons, en plus elle est plate comme une limande.

Sloan de son côté ce n'était pas la joie, et je l'attendais donc dans ma suite. Bien entendue il arriva et je lui ouvrir. Au naturel de mon caractère, je ne suis pas du genre à avoir un cœur d’artichaut ou à être fleur bleue, mais j’avoue que je ne pouvais me résigner à laisser Sloan comme ça. Je le fait donc entrer. « Hey, je suis contente de te voir. » Je lui offre une accolade amicale, tout en lui souriant. Sloan se pense emmerdeur, déprimant, et celon lui je vais avoir envie de me suicidais, et bien on est pas sortie de l'auberge, puisque je suis dans une mauvaise passe aussi. « Ne fait pas attention au affaire sale, c'est au petit de ma cousine, et les bougie sont à elle d'ailleurs, donc n'y fait pas attention chaton. » lui disais-je avant de rire un peu. Je voulais surtout essayer de voir un sourire sur son visage. Je refermais la porte derrière lui, et plongeais mon regard dans le sien. Je me demandais depuis combien de temps il était aussi mal, car clairement on pouvait le voir qu'il était blessé. « J'ai commander du champagne, des truc à grignoter et des DVD's tout est dans ma chambre, si jamais ça te dit, sinon dis moi ce qui te ferais plaisir. Je suis toute à toi ce soir. » Même si il me disait vien on prend un jet, on rentre et on crâme la Mathuer House, je le ferais, juste pour avoir un sourire, quelque chose de positif en lui, sur lui.
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Sloan ne déprimant pas, non, il était juste au bord du suicide, rien de plus. Le voir en vie, debout sur ses deux jambes, était déjà une réussite et une victoire en soit. Il restait ce petit gamin sensible qui se laissait envahir par ses émotions et dépassé par les événements. Tout s'enchaînait très vite, trop vite à son goût, sans qu'il ne puisse avoir le moindre contrôle, tout lui échappait. Alors ce soir, il méritait amplement une petite pause dans ce combat acharné contre lui-même au final. Sloan se rendit jusqu'à la chambre de son amie Athenaelle, une fille qu'il avait sauvé d'une agression certaine l'an passé. Une fille qui avait vu toute l'horreur et la bestialité de sa bipolarité. Contrairement à d'autres, elle n'avait pas essayé de le changer ou de le fuir, elle l'avait accepté avec son impulsivité légendaire et ça, ça n'avait pas de prix à ses yeux.

Quelques secondes après avoir toqué, des bruits de pas se dirigèrent vers la porte qui s'ouvrit instantanément. Sloan aurait voulu sourire mais c'était visiblement trop lui demander pour l'instant. « Eh, moi aussi je suis content de te voir, encore merci d'avoir pitié d'une pauvre âme égarée telle que la mienne. » répondit-il avec aisance. Content ? Non, soulagé surtout. C'était bénéfique pour lui de voir que tout le monde ne lui tournait pas le dos comme il aurait pu le penser. Sloan avait des amis sur qui il pouvait vraiment compter en cas de coup dur comme celui-ci. C'est avec une certaine tristesse qu'il vint lui rendre son accolade, avant d'entrer dans sa suite et de regarder un peu partout autour de lui. « Elle fait une collection de bougie ou quoi ta cousine ? Tiens allumes-en nous quelques unes, on veille les morts ce soir. » Humour noir dont on se passerait bien, merci Sloan. Le jeune Bushnell enleva sa veste qu'il posa sur quelques affaires à la blondinette, pour ne pas dire n'importe où. Et là, contre toute attente, un petit sourire se forma sur le coin de ses lèvres. « Champagne, bougies, trucs à grignoter, soit t'as sorti le grand jeu pour me remonter le moral ou soit, tu attends quelqu'un d'autre. Ton mec ou un plan cul peut-être ? » demanda-t-il pour la taquiner un peu. Puis il revint à la réalité et se regarda à travers le miroir présent dans la pièce juste en face de lui. « Outch, regardes-moi Athenaelle, j'ai des cernes jusqu'aux chevilles, j'ai le teint blanc et je porte les mêmes fringues qu'hier .. elle est où ma dignité dans tout ça, hm ? Envolée .. donne moi une seule bonne raison de ne pas aller me suicider, genre là maintenant, de suite. Une seule bonne raison qui me prouverait que la vie vaut la peine d'être vécue ... » Peut-être que Sloan avait juste besoin qu'on lui ouvre les yeux sur les belles choses de la vie, peut-être qu'il se refusait d'être heureux et d'avancer. L'ancien Eliot était très terre à terre mais ce soir, il voulait avoir des pensées positives et changer d'état d'esprit, ne serait ce que pour cette soirée improvisée.
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