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Il t'avais fallu un coma éthylique pour que tu reconnaisse enfin que t'avais un problème. T'étais alcoolique et tu ne le niais plus. La preuve c'est que t'avais même fais le premier pas vers une association qui t'aiderai à sortir de là. Les Alcooliques Anonymes. Tu le criais pas sur tout les toits mais t'étais plutôt fière d'avoir franchi le pas, d'avoir enfin admis qu'il fallait que tu te fasses aider. Bien sûr que Jim y avait été pour beaucoup. Et jamais t'aurai eu le cran d'aller chez les AA si il ne t'avais pas soutenu.
Pour l'heure, tu te retrouvais avec les filles. Dans cette chambre que vous partagez depuis maintenant un bon moment. Votre dernière soirée. Parce que être sur le chemin de la guérison, impliquez certaines décisions. Et l'une d'entre elles était de quitter la Mather House. Cette maison à laquelle t'appartiens depuis maintenant plus d'un an. C'était bizarre d'en partir et surtout, de devoir laisser les filles. Mais il le fallait, pour ton plus grand bien. Il fallait que tu éloignes toute source de tentation possible. Et être à la Mather House ne t'aidait pas vraiment à tenir le coup. Cela faisait maintenant une semaine que tu tentais d'être sobre et cela n'avait rien de facile. Assise à même au sol, le dos posée contre ton lit, tu regardes les filles qui te font face et leur lance un sourire. Empli de nostalgie. « - J'vous jure, ça va me manquer de plus être dans cette chambre les filles. »
Pour l'heure, tu te retrouvais avec les filles. Dans cette chambre que vous partagez depuis maintenant un bon moment. Votre dernière soirée. Parce que être sur le chemin de la guérison, impliquez certaines décisions. Et l'une d'entre elles était de quitter la Mather House. Cette maison à laquelle t'appartiens depuis maintenant plus d'un an. C'était bizarre d'en partir et surtout, de devoir laisser les filles. Mais il le fallait, pour ton plus grand bien. Il fallait que tu éloignes toute source de tentation possible. Et être à la Mather House ne t'aidait pas vraiment à tenir le coup. Cela faisait maintenant une semaine que tu tentais d'être sobre et cela n'avait rien de facile. Assise à même au sol, le dos posée contre ton lit, tu regardes les filles qui te font face et leur lance un sourire. Empli de nostalgie. « - J'vous jure, ça va me manquer de plus être dans cette chambre les filles. »
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