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Las Vegas baby
— with Wifey
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Elle était pas excitée. C'était un euphémisme pour décrire son état à Clarisse, les joues rouges, les yeux brillants, le babillage incessant. Non sérieux, quatre heures du matin ou presque et elle était déjà là au pied des marches de la Eliot House, téléphone à la main en train de parler à Violet. Elles partaient à Vegas. Son rêve de petite européenne allait être exaucé en compagnie de son essentiel. Partir juste avant le Spring Break, enchaîner avec les Bahamas, c'était le paradis. La belle n'eut pas le temps de saouler plus sa brune de meilleure amie que celle ci passa les portes de sa confrérie, valises à la main. « La plus beeeeellllle ! Passe tes valises, Gaspard s'en occupe. » Le chauffeur privé de Clarisse s'inclina devant Violet et posa les sac dans la Mercedes. La belle prit la main de Vee et l'emmena à l'intérieur de la voiture, direction Las Vegas baby !
« On ne fait rien avant que j'ai mangé quoique ce soit. » Six heures de vol, il lui fallait son petit déjeuner, absolument. Les valises, elle n'en avait rien à faire, on s'en occupait pour elle, apportées dans un hôtel de la ville, avec une chambre que les filles n'utiliseraient probablement pas. Qui dormait la nuit ici ? Clarisse prit Violet par la main, et sortit de l'aéroport, grâce à un taxi qui les amena en centre ville, juste devant une boulangerie française. « Encore meilleur ici qu'à Paris. » Clarisse finit son croissant en deux bouchées et éclata de rire. « On visite ? Il faut absolument que mon père crise devant ce que je compte dépenser aujourd'hui ! » L'allemande passa son bras autour des épaules de Violet, se sentant plus que jamais vivante.
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« On ne fait rien avant que j'ai mangé quoique ce soit. » Six heures de vol, il lui fallait son petit déjeuner, absolument. Les valises, elle n'en avait rien à faire, on s'en occupait pour elle, apportées dans un hôtel de la ville, avec une chambre que les filles n'utiliseraient probablement pas. Qui dormait la nuit ici ? Clarisse prit Violet par la main, et sortit de l'aéroport, grâce à un taxi qui les amena en centre ville, juste devant une boulangerie française. « Encore meilleur ici qu'à Paris. » Clarisse finit son croissant en deux bouchées et éclata de rire. « On visite ? Il faut absolument que mon père crise devant ce que je compte dépenser aujourd'hui ! » L'allemande passa son bras autour des épaules de Violet, se sentant plus que jamais vivante.
LOYALS.
@Violet D. Goldman
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