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Tournée des bars (ELLORA)

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Couleurs vibrantes dans les rétines. Bourdonnement hypnotisant dans les oreilles, dans la tête : ça résonne dans ma poitrine. Et la chaleur… C’est l’affolement des sens, la tête qui tourne, le cœur qui s’affole, c’est la folie des grandeurs. Trop de monde, trop de bruit, trop de lumières. Jamais assez pour moi. Je veux avoir le tournis, être aussi malheureuse qu’heureuse, me sentir aussi comblée que vidée telle une coquille vide, et me laisser porter. À l’alcool, aux substances, à la musique, être en chute libre. Avoir l’impression de mourir et de revivre en boucle, flancher à chaque instant, et pourtant, se relever miraculeusement. Et cette folie, on ne la trouve qu’ici. Dans les bars. Cet univers de personnes un peu dingues qui s’oublient tous ensemble, et qui tourbillonnent à la même cadence. Et quoi de mieux que de vivre ce moment à deux ? Alors que j'avance telle une folle qui veut plonger dans une mer houleuse, je m'approche de toi tandis que tu m'attends devant ton verre d'alcool, pensif et ailleurs. Sourire carnassier, je me colle dans ton dos et je plaque une main sur tes yeux pour te cacher la vue. « Ça boit déjà et ça n'attend même pas son rendez-vous ? » Comme une provocation étouffée et bouffée par mon sourire, je retire mes mains et je pose mes fesses sur l'un des tabourets à côté de toi. « Un sex on the beach pour moi s'il vous plaît ! » Que j'adresse au barman d'un signe de main avant de croiser ton regard et d'inspecter ton visage. Mes doigts se posent sous ton menton pour tourner ta tête histoire d'inspecter chaque trait à porté de vue. Gardant un semblant d'air sérieux.

@Elliot Maxwell :heaart:
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Début de Spring Break. J’suis partagé entre l’idée de me laisser aller et l’idée de me retenir. J’sais pas pourquoi, mais j’pense à Cléo. Et pourtant, je veux oublier. Je croise Nathanaël, mon meilleur ami, ainsi que Megara, ma soeur. Eux deux vont finir ensemble, c’est sûr et certain. Alors je les laisse profiter de leur soirée. Moi, j’enfile un  premier verre, puis un deuxième, puis un troisième et puis j’arrête de compter. À quoi bon? Alors après être resté longuement là à contempler l’océan assis sur le sable et à tremper mes pieds en m’imaginant sur ma planche de surf dès demain matin, je me lève et décide de partir à ta recherche. Après tout, on a bien ‘rendez-vous’ non? Je me rends donc dans le bar où l’on doit s’attendre et me dirige automatiquement vers le comptoir pour qu’on me glisse un énième verre. À force, le liquide ne me brûle même plus la gorge. J’ai presque le temps de le finir avant que tu ne colles ton corps contre mon dos, posant une main sur mes yeux. Effet de surprise un peu raté, mais j’te pardonne. Tu viens t’assoir à côté de moi et j’esquisse un fin sourire à tes mots. « Fais pas genre d’être vexée. » On sait tous les deux que t’aurais fait la même chose. Un sourire qui s’étire à l’entente de ta commande. Si ça c’est pas fait exprès… Tu attrapes mon menton entre tes doigts pour me forcer à te regarder — ou plutôt, me regarder — et je roule des yeux. « Quoi? T’aimes pas les bleus? Ça fait bad boy non? Paraît que les filles adorent. » Je t’offre un large sourire un peu je m’en foutiste, presque fier. C’est humoristique de toute façon. Mais vaut mieux en rire qu’en pleurer non?

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Toi, t'étais carrément pas dans le mood. Tu tirais une tronche de déterré et ça ne me plaisait pas du tout. Je préfère largement voir ta dentition blanche comme celles d'une pub pour Colgate. « Pourquoi ? Tu ferais genre de te faire pardonner si c'était le cas ? » Parce que sinon, j'allais tout de suite revêtir mon talent d'actrice et faire semblant d'être vexée. Et tout ça, dans le but de voir comment tu te serais débrouillé pour te faire pardonner. Enfin bref, ma commande servie, je bois une gorgée de mon liquide le laissant me brûler ma gorge. Puis, j'inspectais ton visage. « C'est impressionnant de plus près. Ils ne t'ont pas loupé mon pauvre. » J'émis un rire tandis que je lâche ton menton pour boire une nouvelle gorgée de ma boisson. Vaut mieux rire que pleurer, c'est l'une mes devises et je suis heureuse que tu ne le prennes pas au second degré. « Mais, même abîmé, tu restes beau et sexy t'sais. Et je crois qu'ils ont surtout été vénères de le constater aussi. » Que je laisse échapper dans un sourire carnassier. Poussant mon verre jusqu'au tien, je descends du tabouret pour m'asseoir sur tes cuisses. Tout peinard. « Quitte à choisir entre des cuisses musclés et un tabouret, mon choix est vite fait. » Je n'ai pas de manière, j'agis sur un coup de tête et parfois, c'est la meilleure chose qu'on puisse faire. « Et toi si t'as envie de boire des shooters sur mon corps, n'hésite pas. On dit que c'est la meilleure façon d'apprécier l'alcool. » Que j'avoue cash. Je ne suis pas prude et je ne suis pas venue dans l'intention de jouer les filles modèles pour te plaire ce soir. Au contraire, je suis une diablesse et la descente en enfer ne fait que commencer.
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« Sûrement. J’aime pas contrarier les femmes. » que je rétorquais dans un sourire carnassier. J’avais beau ne pas être dans le mood pour draguer, quand on me provoquait, je répliquais. Tu commandais un cocktail puis inspectais mon visage amoché sans aucune gêne. « Tu aurais du voir la gueule des autres, surtout. » Quoi? C’était ce que disaient tous, non? En réalité, j’avais même pas vu leurs têtes. J’avais juste cogné, cogné, encore et encore, aveuglé par ma rage et ma soif de vengeance. Et mon côté imprudent aussi. Comme si j’avais plus rien qui me retenait d’être droit. J’avais besoin de sentir cette adrénaline. Carter n’était plus vraiment là pour me donner des défis à relever, pour repousser mes limites, et même si je voulais croire le contraire, j’avais changé avec Cléo. J’étais devenu plus… doux. Plus calme. Et mon côté pile électrique d’avant me manquait un peu. Et ton compliment, ouais, il m’arrachait un sourire. « T’en fais un peu trop, tu crois pas? » J’avais plus tellement l’habitude, de ce genre de rencontres. D’être séduit, de plaire. Parce que j’m’étais fermé à tout ça depuis Cléo. Et j’avais l’impression que ça faisait une éternité, alors qu’en réalité, seulement un mois et demi avait passé depuis elle. Tu viens prendre place sur mes cuisses et je te détaille du regard. T’es sans gêne, toi. Ça me plait, cette franchise, cette spontanéité. C’était pas un secret, y’avait qu’à voir mes conquêtes : Serah, Iris, Dina. Des femmes un peu comme ça aussi, qui n’avaient pas froid aux yeux et savaient faire vivre leurs envies. Et je riais quelque peu à tes mots suivants. « L’ancien moi aurait tout de suite accepté, crois-moi. » que je réplique dans un fin sourire amusé. « Pourquoi t’es là, ce soir? Qu’est-ce que tu veux, Pandora? » J’attrape mon verre pour en boire une nouvelle grande gorgée, attendant ta réponse. Une réponse honnête, sans artifices bien sûr.

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« J'pense qu'on pourrait très bien s'entendre tous les deux. » J'ai toujours détesté les machos et t'avais l'air de respecter la femme. Toi. Et donc, tu savais bien qu'il ne fallait jamais contrarier une demoiselle. Tu me plais bien ouai. « Tu veux dire qu'à cinq contre un, t'as réussi à les dégommer aussi ? Mh, tu m'impressionnes jeune homme ! » Mes doigts viennent appuyer sur les muscles de ton bras comme pour mesurer et complimenter ta force. « Je ne suis pas le genre de fille à se retenir quand une chose doit être dite. Je dis ce que je pense peu importe si je donne l'impression d'en faire trop. » M'exprime-je en riant. Et prenant ainsi l'initiative de m'asseoir sur tes cuisses, je fus contente que tu n'objectes pas. Que tu me laisses faire. Et tes mots ? Elles m'intriguent. « L'ancien toi ? Tu sais qu'on ne se débarrasse jamais vraiment de ses démons ? Si tu désires qu'ils refassent surface, ils le feront. L'ancien toi est toujours là... » Mon index se cale contre ta tempe pour te montrer qu'ils sont toujours dans ta tête. « La question est : t'aimerais que je t'aide à les retrouver ? » Tes démons. Parce que pour une diablesse comme moi, ce serait un régale et un vrai plaisir. Attrapant aussi mon verre, je bois une gorgée de cette délicieuse liqueur. « T'es à mon goût. Ce n'est pas suffisant pour être là ce soir ? » Je ne pouvais pas être plus franche et directe que maintenant.
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Ouais, on pourrait bien s’entendre. D’ailleurs, c’était déjà le cas non? Pour qu’on se rencontre alors qu’on a échangé trois snaps et cinq sms… C’était qu’il y avait eu quelque chose d’intéressant, un genre de feeling ou même une simple curiosité d’esprit. « Ouais, fin je les ai pas achevés non plus… C’est moi qui me suis pris des coups de couteau j’te rappelle. Mais ils ont été arrêtés par les flics donc tout est bien qui finit bien. » Tu tâtes mes muscles donc je contracte le temps de ton geste d’un air faussement macho. « Tant mieux, l’honnêteté c’est la clé. » Alors tu atterris sur mes cuisses et je ne proteste pas, malgré tes avances claires et nettes. « Ouais je sais mais disons que j’ai l’impression qu’ils sont un peu trop bien enfouis… Et que j’arriverais pas à les retrouver. Même si tu m’aidais à le faire. » T’as quoi en tête, Pandora? « Y’a des tas de mecs beaucoup plus faciles que moi en ce moment, au Spring Break. Pourquoi tu forces quand même avec moi? » Ça serait plus rapide d’en séduire un autre. J’crois qu’il serait déjà dans ton lit à te dévorer là, alors que moi, la seule chose que je dévorais pour l’instant, c’était mon verre d’alcool.

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L'honnêteté est clé et tu avais totalement raison. Moi, qu'importe si mes mots pouvaient blesser, je ne les mâchais pas. Je disais tout ce que j'avais à dire sans modérer mes phrases. Et tu semblais parfaitement d'accord avec cette façon d'agir. Au fond, je suis certaine que nous avons plusieurs points en commun. Quoi qu'il en soit, tu semblais t'être pris un coup à ton égo par ta dernière ex en date. Tu semblais même avoir un petit peu perdu confiance en toi. T'étais pas certain de pouvoir retrouver à nouveau l'homme que tu étais avant et moi, je voulais t'aider. « C'est normal après une rupture de remettre tout en question. Ce que tu dois garder en tête c'est que si ça n'a pas marché, alors vous n'étiez tous simplement pas fait pour être ensemble. Tôt ou tard vous aurez cassé. T'aurais pas été heureux et vis-versa. » Buvant une nouvelle gorgée de ma boisson, tu surenchéris sur une autre question. « Tout simplement parce que la difficulté m'attire. » Voilà pourquoi je suis assise sur tes cuisses ce soir à te faire clairement des avances. « Et je sais aussi comment faire revenir l'ancien toi ! » Parce que quand je te regarde, je ne vois pas du tout un mec sage et calme à souhait. T'étais pas le genre de mec ennuyeux et tes yeux, le reflétait. Alors, je saisis l'une de tes mains que je glisse lentement et sensuellement sous ma robe, caressant mes cuisses au passage et remontant lentement jusqu'à ma partie intime. Je laisse t'es doigts découvrir le morceau de dentelle qui t'empêchait d'avoir un contact direct avec ma fleur. Puis, je viens te murmurer à l'oreille. « L'ancien toi est toujours présent, suffit juste que tu le laisses prendre le dessus. Que tu fasses le vide dans ta tête. Que tu te laisses guider par tes envies. » Je relâche ta main et te laisse libre choix de la retirer où de laisser tes doigts s'amuser à découvrir les délices sous ma robe.
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Oui, t’avais raison, mon ego en avait pris un coup. Cette rupture, ça m’avait salement abimé. Et même si je rêvais d’être celui que j’étais avant de connaitre cette connerie d’amour, j’savais pas si un retour en arrière était possible. Même avec ton aide bienveillante. Enfin, bienveillante… Ça restait à prouver. J’pense que t’étais une fille assez égoïste, qui ferait tout pour avoir ce qu’elle voulait. Et si tu me voulais moi, t’allais te battre. Même si je te repoussais, t’allais ramer, parce que t’es pas une perdante. Sauf que moi non plus, j’suis pas un perdant. Alors on était pas dans la merde. Alors tu déblatères sur le pourquoi du comment des ruptures et je ne t’écoute que d’une oreille, avalant le contenu de mon verre avant d’en commander un nouveau qui m’est rapidement glissé sur le comptoir. T’as l’air sûre de toi, c’est assez impressionnant en fait. Tellement même que tu t’empares de ma main libre et la glisses sous ta robe sans te cacher, livrés aux yeux de tous. Mes doigts effleurent l’intérieur de ta cuisse avant de rencontrer la dentelle de ton sous-vêtements. Et je relève les yeux sur toi. Un regard surpris, amusé. D’accord, je t’ai sous-estimée. J’écoute tes mots susurrés contre mon lobe, un fin sourire accroché aux lèvres. « Ça marche au début. Et quand ça va trop loin… J’ai ma raison et mes maux qui reprennent le dessus. Et je sais pas comment faire pour empêcher ça. » Pourtant, je ne retire pas ma main logée confortablement entre tes cuisses. « Et si tu perds? » Et si on essaye, et si j’essaye de me laisser tenter mais que ça ne fonctionne pas? Comment tu le prendras, hein?

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Tu fais un blocage. Ça arrive très souvent à des cas comme toi. Et tout ce que je pouvais te souhaiter, c'est que tu en sortes rapidement avant de te ramollir. Ou bien pire, que tu sombres dans cette déception sans faille. Dans ce cas, ça te prendra des mois voir un an à t'en remettre et je ne pense pas que ta main droite suffira à te combler de plaisir. Regarde-moi, je suis assise sur tes cuisses, je t'autorise même à glisser ta main sous ma robe et si tu voulais aller plus loin, je t'y autoriserais également, parce que moi, lorsque j'ai un truc en tête, il est difficile de m'en détourner. « Quand tu bloques, dis-toi qu'elle, elle doit bien s'amuser de son côté. Dis-toi qu'elle ne va pas faire vœu de chasteté. Qu'elle est déjà en train de se libérer dans les bras d'un autre. Et focus sur la fille en face de toi. Pense à ce que toi, tu pourrais faire à cette fille. Tous les délices que tu pourrais lui infliger et qu'elle pourrait te rendre. » J'avais envie de faire quelque chose que tu n’avais jamais testé avec ton ex. Peut-être que ça t'aidera. Je n'en savais rien, mais quelque chose de nouveau pourrait être le déclic non ? « Si je perds ? Eh bien j'aurais au moins essayé, c'est ce qui compte non ? Et si tu me demandes de recommencer, je le ferais. » Dis-je déterminée. Tu gardais la main entre mes cuisses et sentir tes doigts contre ma partie intime recouvert de tissu, m'arrachait un énorme frisson. « Est-ce que t'as déjà testé les menottes ? Je pourrais te menotter à mon lit et t'exciter à ton maximum. Il parait que le fait qu'on ne puisse pas se servir de ses mains, décuple l'envie de sauter sur son partenaire. » Je lâche un petit rire et resserre un peu mes cuisses sur tes doigts. « J'ai l'impression qu'on se connaît depuis des lustres alors qu'on vient à peine de se rencontrer. Et pour être honnête, je ne pensais pas accrocher avec toi aussi rapidement. Ça tu vois, c'est une belle découverte ce soir. » Et c'était vrai en plus, je pensais que j'aurais fait face à un mec hyper compliqué, dont la discussion ne serait pas aussi simple. Mais le truc, c'est que c'était hyper facile d'échanger avec toi Elliot, et en plus, tu me suivais dans mes délires. Reste à voir si tu accepteras de me suivre dans celui des menottes.
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Je décide de t’avouer les choses comme elles sont. De te dire la vérité, aussi triste et pathétique soit-elle. Oui, je bloque. Non, j’arrive plus à me laisser aller. Plus depuis que Cléo a kidnappé mon organe vital. Et qu’elle l’a poignardé, comme une vulgaire poupée vaudou. Elle a pas fait tout ça pour me faire mal, je le sais. C’est pas dans sa nature. Mais oui, ça fait mal. J’la blâme pas pour ce blocage, il vient de moi et moi seul. Alors la clé, ça doit également être moi qui la détient, non? Tu déblatères un truc sur Cléo, et même si j’évite de te contredire, j’me dis que c’est faux. Elle est pas comme ça, elle n’est certainement pas en train de chercher à coucher à droite à gauche. Pour Hadès, en revanche… J’en sais rien. Peut-être qu’en effet, elle était retournée dans ses bras. Et peut-être qu’ils avaient enfin franchi le cap. Rahhh et puis merde, j’voulais pas penser à eux deux en train de faire je ne sais quoi moi! Faut que je me concentre sur toi. Putain c’que c’est dur de focaliser un esprit hyperactif bouillonnant. Alors j’encre à nouveau mes yeux dans les tiens. Tu peux toujours tenter. Mais tu risques fortement de perdre. Et j’ai pas envie que tu m’en veuilles si je finis par te repousser. Parce que ça sera pas toi le problème, mais moi. Et ça, faut que tu le comprennes avant d’aller plus loin. Enfin, plus loin que mes doigts sur ta dentelle, quoi. « Promets-moi que tu m’en voudras pas si ça marche pas? Si j’te demande d’arrêter? » Pas que ça m’importe, en fait. On ne se connait pas, toi et moi. Alors que tu m’apprécies ou que tu me détestes, ça me ferait ni chaud ni froid. « Si ça arrive, j’veux pas que tu penses que c’est à cause de toi. » Parce que les femmes, j’les respectais, et j’voulais surtout pas leur faire de mal. Et j’savais à quel point ça pouvait blesser de se faire repousser. Surtout dans un tel moment. Et quand tu développes l’idée que tu as derrière la tête, j’hausse un sourcil. « Tu te balades avec des menottes partout ou tu vas toi? » Tes cuisses se resserrent, le bout de mes doigts se presse un peu plus contre ton point sensible. Les prélis, je sais faire. C’est après, que ça se complique. Et tes derniers mots me font lever les yeux au ciel. « Commence pas. Pas de sentiments. » T’attaches pas à moi, j’te le rendrai pas. Et la façon dont on se comportait là, ça n’annonçait pas vraiment le début d’une simple amitié. Alors je réfléchissais quelques secondes à ta proposition. Oui ou non? Oh et puis, what the hell? Aux grands maux les grands remèdes, comme on dit. « Vas-y, j’te suis. »

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