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Le soleil décline de minute en minute. Tu le vois, cet astre de feu qui s’engouffre dans l’horizon. Allongée sur ton lit, après une journée assez éprouvante, tu as effectivement terminé par t’affaler ici, sans réussir à bouger depuis. Dorénavant, tu oscilles entre la télévision et ce spectacle de la nature camouflé par les rideaux et la baie vitrée. Rassemblant le peu de forces qui te restent, tu soulèves tes fesses pour aller observer le paysage dehors. Accoudée à la rambarde qui te sépare du vide, tu t’allumes une cigarette, ce qui est rare et tu te perds dans l’eau qui ondule plus bas. Tout lentement, tu grilles ta clope, somnolente à cause du bruit des vagues qui ont un pouvoir hypnotisant. Tout à coup, la fenêtre derrière toi se referme, tu n’y prêtes pas attention, sûrement le vent. Puis, quand tu te retournes cinq minutes plus tard, tu aperçois une femme de ménage qui quitte ta chambre avec un chariot, des écouteurs sur les oreilles. Tu tentes alors de pousser la fenêtre pour qu’elle cède, impossible. Il n’y a même pas de poignées de ce côté-ci. Absolem, tu dois t’arrêter de forcer, t’es enfermée sur ta propre terrasse. Tu commences subitement à psychoter, tu traverses cette maudite terrasse plusieurs fois avant de te pencher pour estimer la hauteur à laquelle tu te trouves. Dix mètres ? Putain. Et si tu arrives à atterrir dans la piscine ? Non, trop risqué. Tu observes alors l’architecture et te tâtes finalement à escalader le garde-corps pour rejoindre une chambre qui pourrait être ouverte. Risqué également, mais plus de chances de se sortir de là. Ou bien tu campes toute la nuit en priant pour qu’on te retrouve très vite ici. Aucune patience en toi, tu enjambes sur un coup de tête la rambarde et te retrouves face à la mer, sur un rebord de trois-quatre centimètres pour accueillir tes talons. Tout à coup, t’entends une voix venant d’en bas, tu baisses la tête par réflexe et aperçois une jeune femme qui te pointe du doigt. Tu vacilles alors, surprise par son hurlement et te rattrape fermement à la barre de fer derrière toi.  

@Eden Baxter
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Le spring break, c’est le rendez-vous du moment. Le lieu où il faut être. C’est ce qu’on lui avait dit à Eden. Et même sans cela, elle y serait quand même venue. Elle a tellement entendu parler de cet événement, qu’elle y était presque obligée. Par curiosité peut-être. Le soleil lui faisait énormément du bien et changeait complètement du froid de Boston. Eden, elle avait passé la journée à visiter le coin et a même pu trouver son petit ami dans la foule de monde déjà présente ici. Elle avait besoin de se reposer, du trajet en autre chose. Il fallait qu’elle se repose avant d’aller à la soirée de lancement. Affalée sur son lit, elle rêvasse la demoiselle avant de se lever trente minutes plus tard afin de se préparer. Elle enfile une tenue légère après avoir pris une douche. Le temps ici est agréable et lui permet ainsi de ne pas s'encombrer de pull, manteau ou autre. Afin d'observer la vue et de prendre légèrement l'air avant de sortir de sa chambre, elle se dirige vers sa terrasse, qui il faut bien l'avouer donne une très belle vue. Elle était prête à faire demi tour l'écossaise, lorsqu'elle voit une jeune femme, de l'autre côté de la rambarde, et pas du bon. DOUX JESUS MARIE JOSEPH. qu'elle ne peut s'empêcher de crier. Non pas qu'elle soit foncièrement très croyante. Mais c'est la surprise du moment. Un coup de panique. Et elle aurait peut-être pas dû crier, parce que la demoiselle glisse, avant de se rattrape. Mais vous êtes folle? Qu'elle dit, une fausse demande, car elle se questionne sur la raison. Un cambriolage? En talon, peu paussible. Un défi? Il faudrait être stupide. Un suicide? Pas ici quand même. Eden, sur le moment elle ne sait pas quoi faire. Je vais appeler la sécurité, qu'elle s'écrie, complètement prise de panique, prête à retourner dans sa chambre.

 

@ABSOLEM ALTMAN
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Tu t’accroches plus fermement à la rambarde quand tu manques de lâcher en entendant une brune hurlant d’en bas. Tes grands yeux la fixent et la foudroient quand elle parle d’appeler la sécurité. Malheureusement, à cette hauteur, elle ne peut percevoir ce regard noir que tu déploies. « Nooooon ! N’appelez surtout pas la sécurité ou je saute dès maintenant ! » cries-tu sous le coup de la panique. Il manquerait plus que le personnel de l’hôtel croit vraiment que tu es suicidaire. Qu’arriverait-il par la suite ? Appeleraient-ils tes parents au bout du monde ? Tu devrais alors leur avouer que tu as complètement foiré ton premier semestre pour une histoire de coeur ? Non, impensable ! Tu tentes alors de longer le garde-fou pour rejoindre l’angle et avoir une vue sur l’autre balcon à côté du tien. Tes jambes tremblent, ton corps entier tétanise. C’est quand même haut là. Tu dérapes, t’es morte. « Allez-vous en, je veux pas que vous assistiez à ça ! » gueules-tu en te sentant encore observée par l’inconnue plus bas. « La vie c’est de la merde, autant en finir maintenant ! » C'est vrai quoi, t'en as un peu ras le bol en ce moment, sauf que tu n'en viendrais quand même pas à te buter pour ça. Pas encore. Sauf que dans ce contexte, dire une telle chose pouvait porter à confusion.
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ABSOLEM ET EDEN



Eden était sur le point de rentrer afin d’appeler la sécurité lorsque la demoiselle accrochée à la balustrade lui dit de ne surtout pas faire cela sinon elle saute. Eden, elle se rapproche de la barrière, complètement interloquée. Pourquoi maintenant, pourquoi elle. Son spring break commence bien.  Ok, déjà personne va sauter. Qu’elle dit l’écossaise en direction de la suicidaire. Parce que là, elle a des doutes l’étudiante, elle pense que la raison de ceci est bien le suicide, sinon pourquoi. Elle lui demande ensuite de s’en aller pour ne pas assister à cela, en rajoutant ensuite que la vie c’était de la merde et qu’il fallait autant en finir maintenant. Eden, elle se demande bien ce qu’il a pu arriver chez elle pour en arriver à ce point-là. Je ne vais pas parti en vous laissant là. Eden, elle se soucie pas toujours du monde qui l’entoure, mais là, elle ne pouvait pas faire comme si elle n’avait rien vu, comme si elle n’était pas là. Calmez-vous, qu’elle commence par dire de peur qu’un mouvement brusque la fasse tomber. La vie ne peut pas être aussi terrible. C’est vrai que tout n’est pas tout le temps rose. C’est vrai aussi que le monde est rempli de noirceur, mais tout fini par s’arranger. Toujours.  Elle essaye d’être convaincante la gamine. Elle essaye pour ne pas avoir à assister à une scène de suicide. Vous ne pouvez pas baisser les bras et décider de mourir, ni pour vous, ni pour vos proches. Qu’elle termine par dire. Le suicide, ça ne touche pas que la personne, ça touche aussi tout l’entourage de cette même personne.

 

@ABSOLEM ALTMAN
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Sérieux, si tu étais à sa place, toi aussi tu ne laisserais pas une jeune femme au bord du précipice. Sa réaction est compréhensible. Elle t’amuse même, t’es vraiment grave. Néanmoins, ce que tu lui avoues n’est pas forcément faux. T’es épuisée de rater tout ce que tu entreprends. Tu ne vois que du noir. L’espoir est mince. Pourtant, cette brune dont tu discernes à peine les traits pourrait être une lueur d'espoir dans l'obscurité. Elle reste là, à te parler alors que tu ne souhaites que regagner la terre ferme « Qu’est-ce que vous en savez que ça s’arrange toujours ! Y en a qui ont la poisse pour l’éternité ! » réponds-tu en évaluant la distance entre ton balcon et celui de ton voisin « J'sais plus qui sont mes proches, si j’en ai encore, s’ils se soucient vraiment de moi, tous des cons ! » fulmines-tu en lançant une jambe dans le vide pour faire flipper ton interlocutrice « Qui êtes-vous d’ailleurs ??? À qui ai-je l’honneur ? Pourquoi vous vous souciez d’une simple inconnue ? Vous devriez aller faire la fête avec les autres » Une brise se réveille et fouette ta peau à la fin de ta phrase, tu inspires profondément cet air et t’accroches à la balustrade plus fermement pour ne pas basculer lorsque tu fermes tes yeux pour t’imprégner de ces sensations.
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Gros malaise pour la demoiselle. Elle ne sait pas trop quoi dire Au fond Eden, elle en sait rien si tout s’arrange. Elle ne sait pas, mais elle préfère rassurer la demoiselle au lieu de l’enfoncer davantage. On ne peut pas avoir la poisse pour toujours, c’est ce qu’on croit quand tout va mal et puis un jour on se réveille et on se dit que ça va, que la vie n'est pas aussi moche. L’écossaise elle se veut le plus rassurant possible. Mais elle ne sait pas si elle l’est. Elle parle de ses proches, du fait qu’elle n’ait peut-être personne. Elle souffle légèrement Eden, pas forcément d’agacement, mais parce qu’elle ne sait pas si elle aura toujours les mots nécessaires pour la convaincre de ne pas sauter. C’est souvent ce qu’on se dit, qu’on n’a plus personne dans les moments difficiles, mais il y a toujours du monde qui tient à nous Pour qui on compte. Elle essaye Eden, du mieux qu’elle puisse. Elle n’a jamais eu besoin de faire ça, essayer d’empêcher de quelqu’un de faire le grand saut. Et puis une des jambes de la demoiselle s’en va d’en le vide, Eden retient son souffle légèrement avant de dire. Tenez-vous bien. Parce que l’étudiante, elle ne veut voir personne mourir, ni aujourd’hui, ni jamais. Même si je ne vous connais pas, je ne peux pas m’en aller et vous laisser seul. Ce n’est pas moral, ni même humain. Et au fond, même si parfois Eden peut paraitre froide et quelque peu hautaine, elle n’en reste pas moins humaine. Je m’appelle Eden, je suis venue pour le Spring Break, comme beaucoup de monde ici d’ailleurs, et vous ? Vous vous appelez comment ? Qu’elle demande aussi à son interlocutrice, afin de connaitre le prénom de la personne qui souhaite sauter dans le vide.

 

@ABSOLEM ALTMAN
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Voilà où tu en es. À cause d’une femme de ménage qui t’a enfermé sur ta propre terrasse, tu simules une tentative de suicide. Tu te mets à t’égosiller en vomissant sur la planète. Et cette fille que tu ne connais pas prend la peine de tenter de te faire changer d’avis. C’est fou quand même. Une inconnue vole à ton secours. « J’aimerais bien voir qui ça attristerait si je venais à crever ! » Tu tentes ensuite de mesurer la distance entre ton balcon et le suivant en faisant un demi grand écart dans le vide. Tu demandes par la suite pourquoi cette fille reste là, qui elle est parce qu’elle te touche mine de rien. « Vous êtes sans doute précieuse Eden ! Peu de monde s’attarde sur un pur inconnu » sauf toi, t’es exceptionnelle, c’est sûrement pour ça, vaste blague « Moi ? Je m’appelle Absolem et j’suis aussi venue pour le Spring Break et un autre truc un peu plus perso » comme débusquer ton ex. « Je vais te tutoyer Eden, parce que tu me sembles aussi jeune que moi, dis, tu fais des études de psycho ou quoi ? » c’est pas banal d’avoir une discussion dans une telle situation, mais pourquoi pas après tout, de toute façon, t’es totalement tétanisée « Je vais te demander un truc, si je décide de ne pas sauter, tu peux rester avec moi après ? » Du chantage ? Non, peut être si… Tu voudrais juste la remercier d’être si humaine par les temps qui courent.
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Eden se demande réellement ce qui a poussé son interlocutrice à vouloir se suicider. L’écossaise, elle n’a jamais été à ce point, en fait, elle n’a même pas le souvenir d’avoir eu une fois cette pensée-là. Il y aura forcément des personnes attristaient, répond Eden avant de poursuivre, mais le mieux, c’est que personne n’arrive à ce point-là, que personne n’ait de raison d’être triste. La demoiselle ne connait pas du tout la jeune femme à qui elle a à faire, mais tout de même, si elle se suicidait, là, devant Eden, cette dernière serait mal. Elle le sait. Elle ne sait pas si elle est précieuse. Et tout le monde aurait fait comme elle, c’est naturel. C’est humain. Un sourire pour simple réponse, d’ailleurs elle ne sait pas si la demoiselle l’a vu. Enchantée Absolem, qu’elle dit l’écossaise avant de rajouter, si c’est pour le spring break que vous êtes venus, autant en profiter, non ? Elle ne s’attarde pas sur la raison personnelle. Absolem ne connait pas Eden, donc il n’y a aucune raison qu’elle se livre sur sa raison personnelle. Même si parfois, certaine personne préfère parler à des inconnus. Je pense aussi que nous avons à peu près le même âge, on peut se tutoyer. Un léger rire, un peu nerveux en vue de la situaion, lorsqu’elle lui demande si elle est en psychologie. Non, pas de psycho pour moi, je fais des études de journalisme et toi ? Qu’elle demande à son tour, même si en réalité, elle n’avait qu’une envie c’est que son interlocutrice se retrouve du bon côté de la balustrade. Si tu ne sautes pas, je pourrais rester avec toi oui. Sa demande sonnait comme du chantage, mais qui aurait dit non dans ce genre de situation ? Si je vais appeler, pour ouvrir la porte de la chambre ou tu te trouves pour te sortir de là, on pourra continuer notre conversation. Qu’elle affirme en direction d’Absolem, avant de se retourner légèrement vers la porte de sa terrasse. Elle se retrouve ensuite vers la demoiselle. Je reviens vite, tu ne sautes pas et tu te tiens bien, ok ? Elle préfère en être sûre avant de s’en aller quelques instants.

 

@ABSOLEM ALTMAN
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Au bout de quelques échanges avec cette brune, tu t’ouvres enfin et lui délivres ton identité. Tu éclates de rire à sa question, le Spring Break, tu n’en profites pas du tout jusque là. « Fuck le Spring Break, c’est juste un prétexte pour faire augmenter les infections sexuellement transmissibles » Tu pouffes de rire et demandes la permission à la jeune femme plus bas de la tutoyer. Tu fais également des pronostics sur les études qu’elle suit et tu te foires en beauté « J’suis en design de mode et musique, le truc qui sert à rien » Étant donné que tu te sens de plus en plus fragile sur tes gambettes, tu proposes à la ravissante Eden de rester avec toi si tu décides de ne pas sauter. « Okay, alors fonce, je t’attends, je n’ai pas le choix. Sinon je tente vraiment d’atterrir dans la piscine » plaisantes-tu en finissant par te retourner pour faire face à la baie vitrée de ta chambre. Il te faut de l’aide, là, t’es incapable de pouvoir escalader, tu sens que tu pourrais facilement basculer en arrière et faire une chute ridicule comme dans une des dernières scènes de « Fenêtre sur cour » En fin de compte, tu n’as pas envie de finir comme une galette en bas, tu as sûrement encore des choses à régler et à prouver dans ce bas monde. Alors tu t’agrippes encore et encore, en attendant que cette demoiselle qui a volé à ton secours n’apparaisse sur ta terrasse.
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Eden, elle ne peut pas s’empêcher de rigoler à la réflexion de la demoiselle. Elle a peut-être un peu raison au fond, en vue des nombreuses personnes ici qui sont venus ici simplement pour le sexe. Elle n’en rajoute pas, du moins pas pour l’instant. Elle écoute ensuite Absolem parler de ses études. Ça ne sert pas à rien, s’il n’y avait pas de designer, je n’aurais pas d’aussi jolie fringue. Et clairement l’écossaise elle aime énormément les vêtements, les beaux vêtements. Elle aime bien aussi écouter la musique mais sur cela elle n’en rajoute pas. Elle lui propose ensuite d’aller chercher de l’aide, en lui disant de ne pas bouger, ni de même sauter. Elle dit un non catégorique à la dernière phase de la demoiselle, hors de question qu’elle tente la piscine. Et Eden, elle se dépêche de sortir de sa chambre pour aller appeler la sécurité. Elle ne connait pas Absolem, et pourtant elle a comme le sentiment qu’elle doit prendre soin d’elle, et la protéger, du moins à cet instant précis. Alors elle perd pas de temps et lorsqu’elle tombe sur un des mecs, elle l’accapare le plus vite possible et lui explique la situation. Quelques minutes plus tard la voilà sur la terrasse de la suicidaire, la sécurité en train de la remonter. Et une fois qu’elle est sur la terre ferme, c’est un soupir de soulagement qui sort de la bouche d’Eden. Elle ne connait pas Absolem, et pourtant elle s’empresse d’aller vers elle pour la prendre dans ses bras. D’ordinaire, elle n’est pas comme cela avec les inconnus, mais il faut croire que l’inquiétude a pris le dessus. Tu vas bien ? Je suis contente de te voir à côté de moi.

 

@ABSOLEM ALTMAN
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