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ALIX ◇ tu es incorrigible !

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Midi. Tous les étudiants n'ont pas tardé à sortir dès que j'ai indiqué que le cours était terminé pour aujourd'hui. Mes cours de la matinée sont terminés, je n'ai qu'une envie maintenant : aller me restaurer, manger dans un petit resto en ville ou quelque chose du genre parce que le restaurant universitaire très peu pour moi. Et puis j'ai le temps, cet après-midi, je n'ai aucun cours, je suis au cabinet et je suis mon propre patron. Je viens de m'installer, j'acquière ma clientèle petite à petite et c'est bien ainsi. Je sors de la salle après avoir rangé mes affaires et j'entends des voix s'élever dans le couloir. J'ai l'impression que ça chauffe un peu. Je sors, je ne vois rien. Ok les deux nanas qui s'engueulent le font fort pour que je l'entende d'ici. Mon cours est terminé mais j'observe la porte d'à côté fermée, je me dirige donc vers le bruit et aperçoit rapidement Alix de loin. Je la vois le visage fermé, faire de grands gestes, et le ton est beaucoup trop haut. Il faut que ça cesse. Je tente une petite intervention en mode nouveau professeur sympathique : « Mesdemoiselles on se calme, certains cours ne sont pas terminés. » Sauf qu'elles sont tellement prises dans leur engueulade qu'elles s'en fichent et commencent même à se menacer. Je m'impose un peu plus en me mettant plus près d'elles mais en me tournant vers Alix : « Alix stop calme toi. » Là je vois une main partir dans la direction de la jeune femme mais je l'intercepte à la volée. « Alix calme toi bordel ! » Cette brune là n'est pas commode, ce n'est pas une petite baffe qu'elle allait mettre à sa voisine, elle allait lui coller son poing dans la figure. Oui parce que c'est comme ça qu'elle règle les conflits elle, avec les poings, comme un bonhomme. Voyant que mes diverses interventions n'y font rien, je me laisse complètement emporté, me fichant bien de ce qu'on pourra dire du fait que je suis professeur ici et que ce que je vais faire ne se fait pas. Je passe un bras autour du buste de la demoiselle pour la contenir et la soulever mais elle se débat, j'ai juste le temps de dire à l'autre nana : « Passez votre chemin si vous ne voulez pas que j'avertisse le Doyen. » Ma prisonnière me fait lâcher prise grâce à ses coups et quand les gens ce sont dispersés, je la pousse jusqu'à dans une pièce ouverte qui est là et dont je fais claquer la porte derrière moi. Fort, la porte claque fort parce que j'ai les nerfs. « Putain Alix à quoi tu joues encore ? » Mon regard noir cherche celui de la demoiselle pour qu'elle comprenne vraiment mon mécontentement.

@Alix Caldwell
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Rien à foutre. De toi qui débarque, du monde autour, de tous ceux qui s'ennuient tellement dans leur vie, qu'ils se sentent bien excités de voir ce spectacle. Je sais, que ça ne va pas jouer en ma faveur, moi qui doit faire profil bas, avec ma condition d'Eliot bizut. J'suis censée me taire, arbore ce sourire hypocrite, et me la jouer calme. C'est trop me demander d'un coup. La blonde s'est visiblement cru au-dessus de la politesse, pour me bousculer, ne pas s'excuser, et se satisfaire d'un espèce de sourire hautain. C'est bien mal connaître Caldwell, que de penser que la belle va laisser passer ça. Ne pas en faire toute une affaire. Ne pas la ridiculiser devant tout Harvard, s'il le faut. Les voix s'envolent, des cris, bientôt. Ils n'essayent pas de les séparer, forcément. La populasse attend de voir jusqu'où elles iront. « Mesdemoiselles on se calme, certains cours ne sont pas terminés. » Super, j'm'en fous j'te dis. J't'entends même pas, à dire vrai. Toi qui prend tellement de place, toi qui est si différent des autres. J't'ellipse. « Alix stop calme toi. » Voit comme elle se calme. Elle se calme tellement bien qu'Alix arme sa main, pour l'abattre sur le visage féminin. Pas une giffle, mais un poing. Les gifles c'était pour la cour de récrée, et encore. Enfin, ça, c'était le plan initial. Plan que t'as foutu en l'air Ezra, toi et ta foutue manie de jouer les chevaliers servants. « Alix calme toi bordel ! » Son poignet se retrouve bloqué, et c'est juste à ce moment là, que la belle se rend compte de la présence de l'homme, du professeur pour les autres, de l'ami pour elle. Et tout un tas d'autres trucs, aussi. S'ils savaient. « Lâche-moi ! » Qu'elle couine, entre ses dents serrées, le regard noir. « Putain mais LACHE-MOI ! » Force sur son poignet, et si toi aussi, t'hérites pas de mes phalanges contre tes traits, c'est juste parce que je te dois trop de choses. « Passez votre chemin si vous ne voulez pas que j'avertisse le Doyen. » Se débat, ses ongles s'enfoncent contre le bras de l'homme, et son coude va pour chatouiller ses côtes, sans aucune délicatesse. « Toi reste dans le coin, j'en ai pas finis. » Menace la délicate, le sourire acide. La blonde file, ne demandant pas son reste. Fait volte face, prête à hurler sur son protecteur, mais avec la même douceur qu'elle, se fait pousser jusqu'à une pièce à l'écart. « Putain Alix à quoi tu joues encore ? » Caldwell pousse l'homme, de ses bras sur ses épaules. Juste pour le tenir éloigné d'elle, pour manifester son mécontentement, aussi. Elle a plus de mal avec les mots, qu'avec les gestes. « Pourquoi t'es intervenu bordel? En quoi ça te regardes ? » Souffle, fort, piétine. « Maintenant elle va croire que j'ai besoin de toi, j'passe pour quoi moi ? » Va jouer les princes avec celles qui en ont besoin, tu sais très bien que j'ai besoin de personne.
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En entendant les cris, en reconnaissant la voix d'Alix, je n'ai pas hésite une seconde à m'interposé dans ce conflit puéril. Puéril ? C'est si peu dire. Si j'en écoute les mots, les cris, la blonde ne s'est pas excusée en bousculant la brune. Je comprends que ça l'énerve, que ça la rende folle, mais merde, pas besoin de se croire dans une bassecour pour autant surtout que si elle aime risquer sa vie, là c'est son avenir qu'elle risque et je suis pas sûre que vivre comme une pauvrette sans ambition lui plaise. Ca lui pend au nez si elle ne se calme pas, ça lui pend au nez de se faire virer d'ici si c'est le Doyen qui passe et pas moi à ce moment. Enfin pas cette fois, mais la deuxième, la troisième... Parce que je sais que si ça arrive une fois ça se reproduira. On parle d'Alix quand même. J'ai le don pour m'entourer de femmes avec un putain de caractère. J'aime ça. Je déteste m'ennuyer. Mais quand même j'aime pas qu'elle se saborde. Je serre les dents quand elle me plante ses ongles dans l'avant bras et pense à Carter en rigolant. Elle va se faire des films, c'est marrant. Les deux demoiselles incendiaires face à face si la blonde se fait des films, ça promet. « Arrête tes menaces Caldwell ! » Lui dis je avant de l'entrainer vers une petite pièce ouverte non loin de là. Je me fiche qu'on se passe des idées, y'a pas d'angouille sous roche. Je finis par la lâcher alors qu'elle se débat, je la laisse tourner en rond comme un lion en cage et m'adosse à la porte d'entrée, un pied sur la porte, les bras croisés. Je la laisse parler, je la regarde, je souris par moment. J'attends qu'elle me laisse en lacer une. « Tu veux te faire virer ? » Dis-je calmement. « Si t'avais pas fait attention à elle tu serais passée pour une fille intelligente. Là t'es passée pour une nana aussi gamine qu'elle. » Ca répond à la question ? Pas franchement, mais je m'en fous. Après tout elle ne fait jamais comme on lui dit de faire, alors pourquoi moi je devrais répondre aux questions qu'elle me pose. « T'es pas à New York ici. Les règles sont les règles Alix. Puis ça t'a pas servi de leçon ? » Je ne précise pas, elle sait de quoi je parle. On est peut être à l'abri des regards, mais on reste dans un lieu public et je n'oserai jamais évoquer son secret comme ça, à voix haute dans un lieu public. C'est entre nous, pas besoin de mot pour qu'elle comprenne de quoi je veux lui parler et par rapport à quoi je veux lui faire la morale. Foutue Alix. Je l'aime bien cette nana, j'ai pas franchement envie qu'elle se fasse virer et la voir disparaitre de ma vie.


@Alix Caldwell
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« Arrête tes menaces Caldwell ! » Compte là-dessus, ouais. Maintenant que je suis lancée, maintenant que la colère se déballe, maintenant que mes muscles se contractent, que mes billes s'injectent, c'est déjà trop tard. Je peux plus faire machine arrière, j'peux plus me calmer, pas toute seule, en tout cas. Pas sans me défouler, pas sans qu'on m'empêche. La respiration est saccadée, le cœur est pas très stable, l'enflammée est lancée pour refaire le charmant visage de la blonde. Elle l'a bien enregistré, et elle n'est pas prête d'oublier ce qui vient de se passer, et surtout, le fait qu'on vienne de l'embarquer dans une autre pièce, l'empêchant de réagir comme il lui semble opportun. Pas comme une personne normale, certes. C'est pas normal tu sais Alix, de rager dans ton coin, tandis que le prof te bloque dans cette pièce. C'est pas un prof lambda, d'accord, tu le vois même pas comme un enseignant, d'ailleurs. « Je serais passée pour une conne ouais. Pour une fille qui se laisse bousculer, qui se laisse manquer de respect sans rien dire. » Qu'elle réplique, l'énervement au bord des lèvres, rapprochée de l'homme, ses prunelles bien plantées dans celles d'en face. Et, la suite n'arrange pas. « T'es pas à New York ici. Les règles sont les règles Alix. Puis ça t'a pas servi de leçon ? » Ses billes s’agrandissent, virent à l'orage. Ses doigts finissent sur son torse, dans un coup mesuré. « J't'interdis de parler ça, t'as pas le droit. » Pas ici, nul part, t'as pas le droit de le dire à haute voix, ni même d'y penser. J'veux pas en parler, jamais. « C'est pas pareil. » Rajoute la belle, dans un souffle. J'risque rien ici, j'suppose. Ses traits la trahissent, il sait qu'il touche, quand il sort ce genre de choses. Il sait qu'il la désarçonne. Alors, Caldwell recule un peu, lève légèrement le menton, essaye de retrouver de la prestance. De l'assurance. « T'es conscient que c'est pas normal pour un prof de s'enfermer avec une élève ? » Essaye de toucher, elle aussi, sans les mêmes armes.

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« Tu lui faisais remarquer et basta. Comme tout le monde le fait. » Aucun demi-mesure chez ma brune préférée. Avec elle, c'est soit le feu, soit la glace, c'est l'été ou l'hiver, il n'y a jamais de printemps ou d'automne. J'aime ça chez elle, j'aime cet avis tranché sur tout, mais parfois elle doit apprendre à mettre de l'eau dans son vin, parce que bordel ça va lui rejouer des tours à un moment et j'ai aucune envie de la retrouver à nouveau comme je l'ai fait qu'il y a quelques années. Cette nana, je m'y suis attaché avec le temps, elle a fait parti de mon quotidien à un moment, parce que je la voyais souvent, même sans lui parler, elle était là dans ma vie jusqu'à ce jour là. Je suis content d'avoir des échanges avec elle aujourd'hui, mais j'aurais préféré ne pas en avoir car ces échanges ont commencé le jour où je l'ai retrouvé entre la vie et la mort. C'est la merde, sa vie jusque là c'était de la merde et si elle continue elle va ressemer la merde de partout où elle va passer et ne s'en sortira jamais. Désolé, je t'apprécie et je te laisserai pas le faire. « T'as envie de m'interdire de beaucoup de choses Alix, mais avec moi c'est pas toi qui décide. » Pas de bol. Je suis pas tout le temps sur ton dos, t'as de la chance parce que sinon tu étoufferais, mais je vais pas te laisser faire n'importe quoi quand je passe à côté de toi. Ne m'interdis pas de réagir, c'est peine perdue. « Et c'est pareil. Tu ne connais pas la réaction des gens. Tu crois qu'elle s'imaginait que t'allais la frapper parce qu'elle t'a bousculée sans s'excuser ? » Sois moins sûre de toi, pense toi moins intouchable et peut être que je te foutrais la paix. Mais ce jour n'est pas arrivé. Je serre ses poings dans mes mains alors qu'ils sont dans sa poitrine, mes yeux plantés dans les siens, elle finit par se dégager et reculer, rompant tout contact et essayant à son tour de blesser. « Tu tentes quoi là ? » Un petit sourire se dessine sur mes lèvres. Si seulement elle savait que je fais bien pire que m'enfermer dans une pièce avec une élève. « Tu m'atteindras pas de cette façon là. Je suis prêt à perdre mon taff pour aider les gens à qui je tiens, et pas de bol t'en fais parti. Puis je crois pas qu'on soit en train de dépasser les limites si ? Je crois pas que le bluetooth permette ce genre de chose. » Je me moque ouai, c'est plus fort que moi, désolé pour toi Caldwell.


@Alix Caldwell
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« Tu lui faisais remarquer et basta. Comme tout le monde le fait. » Si t'as pas encore vu, j'suis pas comme tout le monde. Tout le monde, ça m'ennuie, j'aime pas ces gens convenus, qui font exactement ce qu'on attend d'eux. Je sais que ça part d'une bonne intention, que tu ne veux que me protéger de mes propres excès, mais j'n'entends rien. « C'est comme ça que les cons prolifèrent. » Qu'elle se contente de répliquer, entre ses dents serrées. Demoiselle ne supporte pas les comportements de la plupart des étudiants, mal élevés au possible. Le pire, c'est que la grande majorité ont des parents richissimes. Enfin, qu'importe, Alix ne connait pas vraiment d'autres manières de réagir, même si elle apprends, doucement. Ca finira par venir, à force de s’abîmer les phalanges sur les visages. « T'as envie de m'interdire de beaucoup de choses Alix, mais avec moi c'est pas toi qui décide. » Esquisse un sourire amer, et secoue la tête de gauche à droite. J'suis pas vraiment d'accord avec cette idée. « Fait pas le prof avec moi, Ezra. » C'est pas toi qui décide, t'as rien à décider sur ma vie, ni sur ma manière de la mener. « Et c'est pareil. Tu ne connais pas la réaction des gens. Tu crois qu'elle s'imaginait que t'allais la frapper parce qu'elle t'a bousculée sans s'excuser ? » Croise les bras contre son ventre, et s'explique d'un : « Je lui ai demandé de s'excuser, c'est elle qui m'a prise de haut. » La suite, tu la connais. J'ai essayé, elle n'avait qu'à saisir cette occasion de régler les choses à l'amiable. Son refus a entraîné des conséquences logiques. « Pourquoi tu la défends, sérieux ? Tu la connais ? » T'es censé être de mon côté, pas du sien. Demoiselle se complaît dans son ambiguïté. Elle ne veut pas qu'Ezra la couve, mais souhaiterait qu'il se range de son côté. J'peux pas te perdre comme alié, peu importe combien c'est difficile de me supporter parfois. T'es l'un des rares dont les épaules peuvent m'acceuillir. « Tu tentes quoi là ? » Je tente n'importe quoi, une solution prise au hasard, mal choisie surement, mais j'manque d'argument. « Tu m'atteindras pas de cette façon là. Je suis prêt à perdre mon taff pour aider les gens à qui je tiens, et pas de bol t'en fais parti. Puis je crois pas qu'on soit en train de dépasser les limites si ? Je crois pas que le bluetooth permette ce genre de chose. » Ses traits laissent transparaître cette jeune fille insupportable, un tantinet immature, qui se raccroche aux branches. « J'en sais rien ? J'pourrais hurler. Il doit bien y avoir quelques rumeurs sur toi, que j'pourrais accentuer de mon propre témoignage.. » Qu'elle souffle, d'un air malin. J'en pense pas un mot, mais tu vois, j'essaye de garder la face. J'peux pas admettre m'être ridiculisée, sans répliquer.
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« A voir de quel côté sont les cons ! » J'hausse simplement les sourcils. Je clos un peu le débat. Visiblement elle n'a pas envie d'en démordre et moi non plus. C'est toujours le cas, c'est toujours comme ça mais ce n'est pas pour ça qu'on ne s'entend pas, au contraire. Les opposés s'attirent ? Et ben là nos avis divergent nous rassemblent, nous renforcent. La preuve, on n'est jamais d'accord sur rien et toujours là à s'aimer comme on sait le faire, à notre façon. « Je fais pas le prof avec toi mais tu sais bien que je te laisserai pas foutre ce que t'as ici en l'air. » Elle me colle l'étiquette du professeur, moi j'aurais plutôt dit grand frère mais on s'en fout, elle s'en fout, elle n'a rien envie d'entendre, elle veut juste me contredire sur tout. « Ok alors t'as bien fait. Je prends pas sa défense. Mais avoue que c'est quand même con de se battre pour si peu non ? » Allez Alix, avoue juste un peu que j'ai peut être un petit peu raison. Promis ça ne va pas t'étouffer. Et arrête de croire que je suis pas de ton côté, parce que tu sais très bien que c'est faux, je suis toujours à côté de toi, pour te protéger comme je peux, comme tu me laisses le faire : c'est à dire presque pas. Sale gosse. « Alors hurle. » Je lui adresse un sourire avant de reprendre. « Kennedy. Je me souviens plus son prénom. Elle m'a donné rendez-vous en plein milieu de la nuit à la bibliothèque, j'y suis allé. Sers toi en. » Elle a un nom, elle a un début d'histoire, mais elle n'a pas la suite ni ce qu'il s'est passé. A elle de voir ce qu'elle veut en faire mais je le sais. « Pourquoi t'es si têtue ? Hein ? On peut pas juste se voir des fois quand ça va bien et que je suis pas obligé de te faire la morale ? » Parce que je ne suis pas ton père, et je ne suis pas père du tout alors je ne crois pas être doué pour cela. C'est même une certitude.
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J'veux bien que ça saute pas aux yeux, que notre relation n'est pas compréhensible, pas lisible, que vous ne comprenez rien à comment on marche, tous les deux. Nous on le sait. On le sait, qu'on se maudit, mais qu'on se tiendra la main quand le montre s'effrondrera. Que tu seras celui qui me sauve, et moi celle qui mentira, qui se sacrifiera pour toi. Juste parce que t'as fais ce que personne d'autre n'est foutu de faire, me protéger. « Je fais pas le prof avec toi mais tu sais bien que je te laisserai pas foutre ce que t'as ici en l'air. » J'ai quoi ici, en fait ? La meilleure université des états unis, certes. Des amis, plus ou moins. Une confrérie d'Elite, même si leurs mœurs sont discutables. Je sais qu'il a raison, mais mon ego ressort sans cesse, j'arrive pas à le faire taire. « Ok alors t'as bien fait. Je prends pas sa défense. Mais avoue que c'est quand même con de se battre pour si peu non ? » Les yeux se baissent, à peine, tu sais que tu viens de marquer un point Ezra. Tu viens de la toucher, d'obtenir un peu d'attention de sa part. Je sais ce que t'attends, un pas ? Le moindre pas, même minime, que je revienne vers toi. Se mord la langue, retient les excuses, retient l'explication. Attends de trouver le courage de les sortir. « Alors hurle. » Esquisse un fin sourire, relève ses prunelles vers l'Ami. Tu sais que je le ferais pas. « Kennedy. Je me souviens plus son prénom. Elle m'a donné rendez-vous en plein milieu de la nuit à la bibliothèque, j'y suis allé. Sers toi en. » S'humidifie les lèvres, s'amuse d'un fin sourire. « T'as salis quelle étagère ? » Bien-sur que j'ai envie de savoir ce qu'il s'est passé dans cette bibliothèque, tu me connais bien. « Pourquoi t'es si têtue ? Hein ? On peut pas juste se voir des fois quand ça va bien et que je suis pas obligé de te faire la morale ?» J'sais pas, c'est comme ça. J'ai appris à me débrouiller toute seule, à tout gérer, et surtout les problèmes. « Okay, j'y suis peut-être allée un peu fort avec cette fille, j'le reconnais. » Qu'elle fini par lâcher, difficilement. « Mais elle m'a énervé. » Se justifie la belle, comme une enfant. Détendue, plus que tout à l'heure en tout cas, elle ironise d'un amusé : « Enfin, on retiendra surtout que t'es tapé une étudiante dans une bibliothèque, c'est moche. » Fait gaffe à tes arrières.
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