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tu es incorrigible !mise en page par mad love Midi. Tous les étudiants n'ont pas tardé à sortir dès que j'ai indiqué que le cours était terminé pour aujourd'hui. Mes cours de la matinée sont terminés, je n'ai qu'une envie maintenant : aller me restaurer, manger dans un petit resto en ville ou quelque chose du genre parce que le restaurant universitaire très peu pour moi. Et puis j'ai le temps, cet après-midi, je n'ai aucun cours, je suis au cabinet et je suis mon propre patron. Je viens de m'installer, j'acquière ma clientèle petite à petite et c'est bien ainsi. Je sors de la salle après avoir rangé mes affaires et j'entends des voix s'élever dans le couloir. J'ai l'impression que ça chauffe un peu. Je sors, je ne vois rien. Ok les deux nanas qui s'engueulent le font fort pour que je l'entende d'ici. Mon cours est terminé mais j'observe la porte d'à côté fermée, je me dirige donc vers le bruit et aperçoit rapidement Alix de loin. Je la vois le visage fermé, faire de grands gestes, et le ton est beaucoup trop haut. Il faut que ça cesse. Je tente une petite intervention en mode nouveau professeur sympathique : « Mesdemoiselles on se calme, certains cours ne sont pas terminés. » Sauf qu'elles sont tellement prises dans leur engueulade qu'elles s'en fichent et commencent même à se menacer. Je m'impose un peu plus en me mettant plus près d'elles mais en me tournant vers Alix : « Alix stop calme toi. » Là je vois une main partir dans la direction de la jeune femme mais je l'intercepte à la volée. « Alix calme toi bordel ! » Cette brune là n'est pas commode, ce n'est pas une petite baffe qu'elle allait mettre à sa voisine, elle allait lui coller son poing dans la figure. Oui parce que c'est comme ça qu'elle règle les conflits elle, avec les poings, comme un bonhomme. Voyant que mes diverses interventions n'y font rien, je me laisse complètement emporté, me fichant bien de ce qu'on pourra dire du fait que je suis professeur ici et que ce que je vais faire ne se fait pas. Je passe un bras autour du buste de la demoiselle pour la contenir et la soulever mais elle se débat, j'ai juste le temps de dire à l'autre nana : « Passez votre chemin si vous ne voulez pas que j'avertisse le Doyen. » Ma prisonnière me fait lâcher prise grâce à ses coups et quand les gens ce sont dispersés, je la pousse jusqu'à dans une pièce ouverte qui est là et dont je fais claquer la porte derrière moi. Fort, la porte claque fort parce que j'ai les nerfs. « Putain Alix à quoi tu joues encore ? » Mon regard noir cherche celui de la demoiselle pour qu'elle comprenne vraiment mon mécontentement.
@Alix Caldwell
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