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Nom : Corleonesi ◇ Prénom : Luis Simba Zackary ◇ Âge : 23 ans ◇ Date et lieu de naissance : 7 Avril 1994 à Palerme en Sicile ◇ Nationalité : double nationalité, italien & américain ◇ Orientation sexuelle : bisexuel ◇ Statut amoureux : célibataire ◇ Statut social : riche ◇ Job étudiant : barman ◇ Études majeures : Théâtre ◇ Études mineures : Arts Visuels (Photographie)
- Code:
Luis Corleonesi - 23 ans - cinquième année - théâtre (M), arts visuels (m) - barman
Luis Corleonesi
feat Rayane Bensetti
feat Rayane Bensetti
Lowell House
Luis, il a ça dans le sang, ça lui vient de son grand-père, et d'aussi loin qu'il le sache, ça doit même venir de son arrière grand-père. Oui, cette passion accrue pour le théâtre, pour le cinéma et la photographie. Ce ne sont pas des arts très communs, beaucoup se mettent plutôt au dessin ou bien à la musique, mais Luis, il est pas comme les autres. Luis, il a pas envie de se cacher derrière son talent, il a des projets pour sa passion dévorante, il a surtout envie de marquer de son empreinte ce monde, qu'on se souvienne de lui, qu'on soit fier de lui.
Mather House
Sa deuxième passion à ce gamin ? La fête, évidemment ! Monsieur est un épicurien, il vit la vie au jour le jour, il donne le sourire aux autres et le porte lui-même, même quand ça va pas, parce qu'autour de lui, ça rit, ça sourit et c'est grâce à lui. Luis, c'est celui qui perd parfois le contrôle de lui-même, il aime bien être libre et commander les autres, c'est un peu ce qui le maintient, Luis, faut juste retenir qu'il aime faire la fête et qu'il sait comment bien faire la fête !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Il était 11h. On l'avait pas vu entrer. Dans la Cafétéria, chacun discutait, vaquait à ses occupations mais ne se préoccupait pas de lui. Cet homme instable qui avait agressée des jeunes étudiantes. Cet homme qui venait de sortir une arme avant de tirer en l'air. Le réflexe de Luis fut simple, s'abriter sous l'une des tables, particulièrement sous laquelle il était en train de manger. Il avait pas eu de chance ce jour-là, au mauvais endroit, au mauvais moment. Cet homme là, lorsque Luis avait tenté de zieuter pour voit ce qu'il faisait, il avait remarqué son regard vide et froid mais aussi son poignet tremblant. Le gamin ne devait jamais avoir tenu de flingue entre ses mains, il était pas sûr de lui le pauvre. Ôter une vie ? Il ne devait pas l’avoir fait.
Mais il avait dû sortir de sa cachette, Luis. Parce que le jeune étudiant demandait à se mettre au centre de la pièce. Alors doucement, rampant, il avait écouté tandis qu'un taré avait hausser la voix, essayant de s'opposer au preneur d'otages. Fou, oui, Luis était pareil. Mais pas au point de se mettre une cible sur le front. Il avait personne à protéger ici, il était venu seul pour une fois. Y'avait pas que lui qui était cinglé, y'en avait d'autre, mais au lieu de ça, Luis, lui, il suivait les ordres et restait serein. Il avait pas peur, il tremblait pas, son cœur battait pas la chamade. Il était bizarre. Mais il savait qu'il ne craignait rien s'il ne bougeait pas. Il savait qu'il allait pas rester ici éternellement. Il y avait pourtant quelque chose au fond de lui qui lui disait que Bambi le pleurerait plus que tout au monde, elle ne s'en remettrait peut-être pas. Alors il allait pas faire le con. Il allait attendre sagement.
Il a pas eu à attendre longtemps. Après avoir blessé deux personnes et que quelqu'un ait essayé de s'enfuir, Gaëtan, ainsi qu'il s'appelait, avait été abattu par un admirable policier. Admirable oui, c'était le moins qu'on puisse dire.
Il était 11h. On l'avait pas vu entrer. Dans la Cafétéria, chacun discutait, vaquait à ses occupations mais ne se préoccupait pas de lui. Cet homme instable qui avait agressée des jeunes étudiantes. Cet homme qui venait de sortir une arme avant de tirer en l'air. Le réflexe de Luis fut simple, s'abriter sous l'une des tables, particulièrement sous laquelle il était en train de manger. Il avait pas eu de chance ce jour-là, au mauvais endroit, au mauvais moment. Cet homme là, lorsque Luis avait tenté de zieuter pour voit ce qu'il faisait, il avait remarqué son regard vide et froid mais aussi son poignet tremblant. Le gamin ne devait jamais avoir tenu de flingue entre ses mains, il était pas sûr de lui le pauvre. Ôter une vie ? Il ne devait pas l’avoir fait.
Mais il avait dû sortir de sa cachette, Luis. Parce que le jeune étudiant demandait à se mettre au centre de la pièce. Alors doucement, rampant, il avait écouté tandis qu'un taré avait hausser la voix, essayant de s'opposer au preneur d'otages. Fou, oui, Luis était pareil. Mais pas au point de se mettre une cible sur le front. Il avait personne à protéger ici, il était venu seul pour une fois. Y'avait pas que lui qui était cinglé, y'en avait d'autre, mais au lieu de ça, Luis, lui, il suivait les ordres et restait serein. Il avait pas peur, il tremblait pas, son cœur battait pas la chamade. Il était bizarre. Mais il savait qu'il ne craignait rien s'il ne bougeait pas. Il savait qu'il allait pas rester ici éternellement. Il y avait pourtant quelque chose au fond de lui qui lui disait que Bambi le pleurerait plus que tout au monde, elle ne s'en remettrait peut-être pas. Alors il allait pas faire le con. Il allait attendre sagement.
Il a pas eu à attendre longtemps. Après avoir blessé deux personnes et que quelqu'un ait essayé de s'enfuir, Gaëtan, ainsi qu'il s'appelait, avait été abattu par un admirable policier. Admirable oui, c'était le moins qu'on puisse dire.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
C'était beau là-bas. Mieux que ça, c'était magnifique, c'était sublime. Malgré son amour pour les voyages, Luis n'avait pas encore eu l'occasion de se rendre au Chili. Un endroit qu'il rêvait de voir de ses propres yeux, de ne plus le zieuter seulement qu'à travers des photos qui servent à attirer les touristes. Non, là, il y allait pour de bon.
Il était pas déçu là-bas. Y'avait pas de quoi après tout. Et même cette fissure dans le paysage ne lui avait pas gâché le voyage. Il marchait doucement près des chutes de Petrohue avec son groupe. Il en avait trois des groupes. Et lorsque, par malheur, un tremblement de terre stoppa leur visite, Luis sentit les événements des années précédentes lui revenir en pleine figure. Cette prise d'otage qui restait gravée dans sa mémoire. Autant il était heureux de pouvoir garder aussi précisément en mémoire les bons moments, autant il l'était moins lorsqu'il s'agissait des pires.
Il avait cru qu'il n'allait pas revenir en un seul morceau, le pauvre. Il avait cru qu'il n'allait pas parvenir à rejoindre le village. Et encore une fois, sa première pensée fut à sa sœur qu'il chérissait tant. Alors, prenant son courage à deux mains, il avait fait au mieux. Quelques égratignures ne l’avaient pas arrêtés. Et le gamin, il était rentré sain et sauf grâce à la force qu'elle lui procurait, à sa simple pensée.
C'était beau là-bas. Mieux que ça, c'était magnifique, c'était sublime. Malgré son amour pour les voyages, Luis n'avait pas encore eu l'occasion de se rendre au Chili. Un endroit qu'il rêvait de voir de ses propres yeux, de ne plus le zieuter seulement qu'à travers des photos qui servent à attirer les touristes. Non, là, il y allait pour de bon.
Il était pas déçu là-bas. Y'avait pas de quoi après tout. Et même cette fissure dans le paysage ne lui avait pas gâché le voyage. Il marchait doucement près des chutes de Petrohue avec son groupe. Il en avait trois des groupes. Et lorsque, par malheur, un tremblement de terre stoppa leur visite, Luis sentit les événements des années précédentes lui revenir en pleine figure. Cette prise d'otage qui restait gravée dans sa mémoire. Autant il était heureux de pouvoir garder aussi précisément en mémoire les bons moments, autant il l'était moins lorsqu'il s'agissait des pires.
Il avait cru qu'il n'allait pas revenir en un seul morceau, le pauvre. Il avait cru qu'il n'allait pas parvenir à rejoindre le village. Et encore une fois, sa première pensée fut à sa sœur qu'il chérissait tant. Alors, prenant son courage à deux mains, il avait fait au mieux. Quelques égratignures ne l’avaient pas arrêtés. Et le gamin, il était rentré sain et sauf grâce à la force qu'elle lui procurait, à sa simple pensée.
TON ADMISSION À HARVARD
Harvard, c'était comme une évidence, une illumination. La lumière dans l'obscurité qu’était sa vie. Cette passion qu'il avait développée pour le théâtre et la photographie grâce à son grand-père a été la chose qui lui a permis de sortir du lot. Luis était fait pour ça.
Luis, il avait donné son dossier, rien de plus simple. Les SATs, c'était pas vraiment le plus gros des problèmes. Il était intelligent et avec son hypermnésie, cela facilitait la tâche. Le student's essay n'avait pas non plus été une lourde tâche puisque le jeune n'attendait que ça : lâcher ce qu'il avait sur le cœur à propos de son grand-père. Il savait pertinemment qu'avec ce texte, il parviendrait à émouvoir son jury.
L'entretien néanmoins avait été un peu plus délicat. Mais Luis avait du tac, il était curieux et du genre bavard mais surtout, il restait lui-même à toutes épreuves, rien ne le ferait jamais changer. Il y a de ces gens qui ne changent jamais pour certaines choses. Et même s'il est ouvert d'esprit, même s'il adopte parfois quelques doctrines, Luis a tout de même son code d'honneur et ce code, il est là, dans son cœur.
Et quand c'est dans le cœur, y'a pas de soucis à se faire avec lui, ça y reste.
Harvard, c'était comme une évidence, une illumination. La lumière dans l'obscurité qu’était sa vie. Cette passion qu'il avait développée pour le théâtre et la photographie grâce à son grand-père a été la chose qui lui a permis de sortir du lot. Luis était fait pour ça.
Luis, il avait donné son dossier, rien de plus simple. Les SATs, c'était pas vraiment le plus gros des problèmes. Il était intelligent et avec son hypermnésie, cela facilitait la tâche. Le student's essay n'avait pas non plus été une lourde tâche puisque le jeune n'attendait que ça : lâcher ce qu'il avait sur le cœur à propos de son grand-père. Il savait pertinemment qu'avec ce texte, il parviendrait à émouvoir son jury.
L'entretien néanmoins avait été un peu plus délicat. Mais Luis avait du tac, il était curieux et du genre bavard mais surtout, il restait lui-même à toutes épreuves, rien ne le ferait jamais changer. Il y a de ces gens qui ne changent jamais pour certaines choses. Et même s'il est ouvert d'esprit, même s'il adopte parfois quelques doctrines, Luis a tout de même son code d'honneur et ce code, il est là, dans son cœur.
Et quand c'est dans le cœur, y'a pas de soucis à se faire avec lui, ça y reste.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle light et j'ai seize ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. trop de beauté en vous alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Rayane Bensetti comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par .Cranberry. Je fais environ 200-700 mots par RP et mon personnage est un pré-lien de Bambi.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8172]►[/url] ► <span class="pris">RAYANE BENSETTI</span> ◊ “ Luis Corleonesi ”[/size]
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