Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCatalyes - je t'aime comme je te déteste.
Le deal à ne pas rater :
Pokémon Évolutions Prismatiques : coffrets et dates de sortie de ...
Voir le deal


Catalyes - je t'aime comme je te déteste.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une bonne journée, totalement différente des autres. Pour une fois, tu avais décidé de te rendre en cours à l’heure et non pas avec des heures de retard. Tu passais un moment difficile et c’est pour cela que tu t’autorisais à sécher un ou deux cours, même si c’était plutôt mal vu. Tu avais eu le temps de prendre un bain, te faire un petit déjeuner royal avant de te rendre à l’université. Des cours intéressants, les heures défilaient sans même que tu y fasses attention, jusqu’à ce fameux moment. Une personne déboula lors de la pause, avant que quiconque sorte de la salle. Il avait une boîte, pleine de rose bien rouge, certaines comportaient des mots et d’autres non. Il en déposa une sur ta table, anonyme certainement. Ton regard se leva dans sa direction et il haussa les épaules, continuant son chemin et son travail. Qui aurait bien pu vouloir t’offrir une rose, après tout, tu n’avais pas un harlem autour de toi, à moins que ça soit un admirateur secret. Tu avais écarté Elyes, il ne t’aurait certainement jamais envoyé une rose, après tout il était ton ami, rien de plus, enfin tu n’en savais rien. Au final, ta journée avait été chamboulée et tu n’avais pas réussi à te remettre correctement dans tes études. Une fois l’heure de la fin des cours venue, tu avais l’intention d’aller directement chez Elyes pour lui montrer cette fameuse rose et essayer de trouver l’identité de la personne. Tu avais décidé de laisser ta voiture sur le parking et d’y aller à pied, tu n’étais pas très loin et tu avais le besoin de marcher, prendre un coup l’air. Sans attendre, tu avais déposé dans tes oreilles, les écouteurs, mis en marche la musique et tu traversais les différentes routes, ruelles qui menaient à son studio. Ce chemin, tu le connaissais par coeur, et c’est pour cela que tu connaissais chaque raccourci et c’est en seulement trente-deux minutes que tu étais au pied de son bâtiment. Tu connaissais le code pour la porte principale, tu prenais le temps de monter les escaliers, mais une fois arrivée à son étage, une femme sortait au même moment de chez lui. Tu ne la connaissais pas, il ne t’en avait jamais parlé et te voilà face à elle. Bien évidemment, tu continuais ton chemin, sans t’arrêter devant sa porte. Lançant la rose au passage et tu reprenais l’escalier pour retourner à l’université récupérer ta voiture. Tu broyais du noir durant tout ton trajet, l’énervement, la tristesse, la peine, l’impression d’avoir été trahie. Tellement de sentiment, que tu n’arriverais même pas à faire la part des choses. Une fois chez toi, tu avais enfilé sans attendre tes vêtements de sport, tu avais besoin d’aller courir, de te vider l’esprit et d’évacuer. Un simple legging, un débardeur et un sweat, tes chaussures et ton casque beats. Tu courrais sans t’arrêter, tu te rendais dans le parc pour y faire le tour et par la suite tu rentrerais pour bosser tes cours, prendre une douche, manger et te coucher. Finalement, tu avais déjà prévu toute ta soirée, et il en faisait pas partie.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Offrir des fleurs à une femme ne te faisaient pas peur. Pas du tout même. Pour autant tu ne l'avais jamais fait avec Cataleya jusque là. Elle était revenue peu de temps avant que tu n'aies écho de cette initiative spéciale roses à offrir alors sans trop pouvoir faire autrement tu avais pensé à elle. Tu t'étais dit que c'était un bon moyen de voir si elle se douterais que la rose venait de toi. C'était un moyen comme un autre de t'assurer que ce qui se tramait timidement entre vous n'était pas que dans ta tête. Oui depuis son retour, bien plus encore, tu t'y accrochais autrement que par amitié. Tu pensais souvent à elle, de plus en plus souvent. Quoiqu'il en soit, tu t'apprêtais à rentrer, et grimpant les marches des escaliers deux à deux, tu avais remarqué la présence d'une rose sans trop y porter trop d'attention. Ce n'est que plus tard quand on t'a laissé entendre que tu avais eu de la visite, et bizarrement ton instinct se portait directement vers elle. Tu as essayé de l'appeler mais sans retour, ce qui pour le coup t'avait perturbé. Alors quand plus tard tu apercevais sa silhouette en plein footing, tu osais te dire que les étoiles s'étaient alignées en ta faveur. Loin qu'elle était, tu avais crié son prénom sans retour et tu osais te dire que le casque y était pour beaucoup. Alors tu as accéléré le pas, traversé l'espace d'herbe pour coupe le chemin coureur, et la croiser en pleine course. Je n'savais pas qu'il t'arrivait de courir sans moi le soir. Prétentieux ? Oui et non. Le soir de ton anniversaire vous aviez couru ensemble tard dans la nuit. Et il fallait le reconnaître vous qui aviez longtemps été en contact, il était souvent arrivé qu'elle t'écrive avant de courir ou après. C'était souvent dans son planning, et le plus souvent tu le savais. Non pas que c'était important entre vous, mais ça disait à quelques points vous échangiez au quotidien. Alors finalement à cet instant la question que tu te posais c'était comment elle n'avait pas fait suite à ton appel plutôt dans l'après-midi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Qu’est-ce que tu t’imaginais, après ton départ pendant plusieurs semaines, il avait pu très bien rencontrer cette femme, il n’était pas obligé de t’en parler. Après tout, c’était sa vie, et tu étais juste son amie, il n’y avait jamais rien eu de plus, que des belles paroles, une belle amitié entre vous. Un léger soupire sortait de ta bouche, car finalement, peut-être que tu aurais aimé plus. Tu as eu du mal à rentrer jusqu’à chez toi, le coeur un peu lourd, la tête totalement ailleurs. Tu étais blessée, car tu pensais compter bien plus que ça pour lui, car quand tu étais avec lui, il y avait cette liaison, chaque moment était parfait jusqu’au bout. Il n’y avait jamais un mot plus haut qu’un autre, toujours des câlins, des bisous, des caresses, jamais quelque chose de négatif. Mais, il était possible qu’il se comportait avec toutes les femmes ainsi, et que tu n’étais peut-être qu’une femme parmi tant d'autres. Ton sac à main tomba de tes mains en plein milieu de ton salon, et tu ne prenais même pas la peine de le ramasser. Tu jetais tes vêtements dans la corbeille du linge sale, tu posais ton regard sur ce cadre ou tu avais une photo de lui et de toi. C’était peut-être que dans un sens et que tu t’étais fait prendre à ton propre jeu, tu n’aurais jamais dû lui donner ton vrai numéro, tu n’en serais pas là. Tu devais chasser ces mauvaises pensées et prendre l’air, ça faisait bien trop longtemps que tu n’étais pas allée courir. Tu ne perdais pas une minute et tu prenais le chemin habituel pour te rendre au parc, là où tu courrais en permanence en sa compagnie. Mais, ce soir tu passerais la nuit seule, courir seule, tu en avais fortement besoin. Dans tous les cas, il était certainement plus qu’occupé avec cette femme. Après tout, tu n’avais besoin pour être heureuse, tu pouvais continuer le chemin que tu avais fait jusqu’à ce que tu le rencontres, tu peux tout reprendre à zéro et continuer ta vie de célibataire, sans sentiment, sans attache, sans souffrance. Tu pensais à tellement de choses, tu ne faisais même pas attention qu’une personne s’approchait de toi en coupant l’herbe sur le côté. Tu continuais ton chemin, jusqu’à ce qu’il apparaisse face à toi et qu’il te lança une parole. Il te coupa dans ta course, mais tu ne disais rien, enlevant juste ton casque, tu portais un instant ton regard dans sa direction « Comme quoi, tout peut changer parfois. » tu n’avais aucune envie de trainer encore bien longtemps. Tu reprenais ta course sans même attendre sa réponse. Tu avais répondu froidement, chaque mot venait de ton coeur, et tu les pensais vraiment. S’il ne comprenait pas, tu ne pouvais plus rien y faire, tu reprenais ta vitesse et replaçais ton casque sur les oreilles, faisant comme s’il n’était plus vers toi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle t'avait remarqué une fois que tu avais pu la rejoindre, et tu n'avais pas décelé le manque d'expression à ton égard sur son visage. Cela ne t'avait apparemment pas sauté aux yeux. Par contre, sa remarque venait à te perturber grandement. Tes sourcils se plissèrent d'incompréhension. Qu'est-ce q.. Okay tu avais fini complètement largué. Tu ne savais pas le moins du monde ce qui se passait, où ce qu'il lui arrivait, et surtout tu ignorais ce que tu avais bien pu faire. Elle prenait ses distances en redoublant d'effort pour s'éloigner, et sans trop réfléchir, tu en faisais de même pour la rattraper à nouveau. Toi, qui avais plutôt tablé sur un footing pour ce soir, tu ne t'étais pas attendu à ce que ça finisse en série de sprint chargée d'énigmes. Tout peut changer ? Tu étais complètement largué, c'était officiel. Approchant doucement de sa silhouette, toujours en courant, tu gardais le silence vu qu'elle avait remis son casque mais à peine avais-tu pu tendre le bras vers elle, que tu finissais à deux doigts d'avoir son attention, si elle le voulait bien. Attends ralentis ! Tu ne voulais pas brutalement coupé sa course, mais finalement tu te rendais bien compte que c'était peine perdue. C'était à peine si elle devait t'entendre. Alors simplement tu n'as lâché son avant bras, pour la freiner et en insistant un peu plus finir la faire s'arrêter après l'avoir exaspérée vu son humeur. Essoufflé, tu finissait par demander. Tu m'expliques ce qui t'arrives ? Pour le coup, tu n'en avais aucune idée! La question n'était pas de savoir comment elle avait pu prendre un de tes comportements, mais bien plus de savoir ce que tu avais pu faire pour la rendre si hostile envers toi, quand elle était tout l'opposé en temps normal. Tu en étais resté aux taquineries, aux appels, aux textos, aux gestes tendres. Puis il y avait cette rose que finalement tu oubliais presque à cet instant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Même quand tu lui en voulais au plus haut point, il y avait toujours une part de toi qui voulait lui pardonner. Il te faisait craquer en moins d’une seconde, son sourire, son regard, lui, tout simplement. Tu ne pouvais pas l’écouter, car tu retomberais bien trop facilement dans ces bras et ce n’était pas ce que tu désirais. Tu voulais prendre du temps pour réfléchir, pour te retrouver et faire le point dans ta tête, mais surtout avec ton coeur. Il faisait celui qui n’avait pas compris ta remarque, mais comment pouvait-il jouer aussi bien la comédie. Tu n’avais tout de même pas rêvé en voyant cette jeune femme sortir de son propre studio. Tu ne t’étais pas trompée d’étage, non, bien sûr que non, tu connaissais tellement bien ce chemin qu’il avait été impossible pour toi, de t’être trompé d’étage, de bâtiment… Tu ne prenais pas la peine de l’attendre, après tout, tu étais là pour ton footing et non pas pour trainer des pieds. Tu avais remis ta musique assez forte, et tu continuais ton chemin, courant à peine plus vite que d’habitude. Tu retrouvais à peine un rythme qui te convenait que tu sentais une pression au niveau de ton avant-bras, ça n’aurait tenu qu’à toi, tu aurais continué, mais finalement tu as freiné, levant les yeux au ciel. Décidément, il n’avait pas l’intention de te laisser en paix pour ce soir. La musique coupé en quelques secondes, ton regard méprisant dans sa direction. D’un geste rapide, ton bras s’échappa de sa main. Tu n’avais pas envie d’avoir de contact avec lui, tu croisais les bras contre ta poitrine. Cela faisait deux fois qu’il t’empêchait de faire ta course correctement, la troisième fois, tu ne seras pas aussi aimable et compatissante. « Écoute, ça peut m’arriver de vouloir courir seule non? » lançais-tu froidement, histoire qu’il comprenne un peu, que tu n’étais pas à lui, que tu pouvais faire ce que tu voulais de temps en temps. Après tous, chacun avait le droit d’être solitaire un moment, d’avoir son moment pour réfléchir, se retrouver. « Je ne suis pas avec toi, on n’est pas en couple Elyes, je suis juste une amie. Je pense que tu as bien d’autre chose à faire avec la meuf chez toi, que de me courir après. » soufflais-tu doucement. Tu commençais à t’étirer, de toute façon c’était foutu pour reprendre ta course, il commençait à se faire tard dans tous les cas. « Tu veux savoir autre chose peut-être? » voilà tes derniers mots, jamais tu ne lui avais parlé sur un ton aussi froid, jamais tu n’aurais osé auparavant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Avait-elle le droit de courir seul ? Bien sûr! Complètement, pleinement. D'ailleurs tu ne pouvais même pas répondre à sa raillerie. Tu l'avais abordé de manière taquine, au second degré quand elle te répondait au premier degré avec un ton très hargneux. Autant dire que tu ne comprenais pas du tout, et pire ça ne t'était pas très agréable. D'ailleurs tu avais fait un pas en arrière, inconsciemment. J'ai l'air de penser qu'on est en couple ? Qu'avais-tu fait de plus que d'habitude ? Rien. Si ce n'était cette rose. Et là tu trahissais l'anonymat sans prévenir. Ce n'était qu'une rose tu devrais te détendre. Ce n'a toujours été qu'une rose, mais en prenant le pari de la lui faire parvenir tu avais comme espéré lui montrer que tu ressentais ce petit truc en plus, comme si ton intuition première  du soir de votre rencontre ne t'avait pas trahi. Mais là, tu lui retirais toute symbolique quand elle se montrait si virulente à ton égard. C'était le jour et la nuit. Tu n'y comprenais rien. Elle s'étirait tout en t'accablant de reproches incohérents. En puis en quoi ça te regarde qu'il y ait une nana ou quinze nanas qui sortent de chez moi ? Tu viens de le dire tu n'es qu'une amie, et on est pas ensemble. Tu ne savais même pas ce qui se passait dans sa tête, parce que oui si tu devais être honnête tu n'aurais certainement posé une telle question si elle n'avait été froide avec toi. Tu avais beau être doux comme un agneau, tu détestais ce sentiment qu'elle te prenait presque de haut. Tout ça, ne vous ressemblait pas. Puis à sa question, tu gardais le silence, la questionnant du regard. Tu étais dans l'incompréhension la plus totale et au fond la déception était là aussi, et la rose n'y était pour rien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il te taquinait comme à chaque fois, mais cette fois-ci tu n’avais pas envie de lui répondre comme d’habitude. Aucune envie de rire, de chamailler avec lui, juste de te dépenser, de te vider l’esprit et de rentrer chez toi pour une soirée cocooning. Un bon bain, un bon petit repas devant la télévision sous une couette et un petit chocolat chaud. Tes paroles avaient peut-être dépassé tes pensées, il était trop tard pour revenir en arrière, c’était dit et tu t’attendais forcément à cette réponse. Tu n’avais rien à ajouter, tu n’avais rien à lui dire, tu levais les yeux en direction du ciel. Toi qui ne savais pas d’où venait cette rose, maintenant tu le savais, qui était l’auteur de cette rose. « Donc c’était toi. » lançais-tu moins froidement que tes anciennes paroles, pourtant ça ne te faisait changer pas d’avis. Au final, toi qui essayais de lui faire comprendre un message, il te faisait comprendre un autre message. Pourquoi t’avait-il fait venir cette rose, si c’était pour le retrouver dans les bras d’une autre femme peu de temps après? Tu étais totalement perdue et tu ne savais vraiment pas quoi penser… Était-il sincère ou jouait-il avec tes sentiments? Trop de questions sans réponse, et tu commençais à en avoir marre de te prendre la tête. C’est bien pour ça que tu ne voulais pas t’attacher, tu ne voulais pas d’histoire, tu ne voulais pas souffrir, tu étais égoïste. Tu pensais à ton bien avant celui des autres, car autres fois tu pensais peut-être trop aux autres. Ces phrases te blessèrent, tu ne pensais pas qu’il oserait dire une chose pareille, tu pinçais tes lèvres et ton regard se détacha d’un seul coup du sien. Reculant d’un ou deux pas, tu ne savais pas ce que tu devais répondre, ou plus… « Tu n'es vraiment qu’un con Elyes, vraiment. » laissais-tu échapper de ta bouche. Tu ne l’avais jamais insulté, mais ces mots étaient sorti d’un seul coup, venant du coeur, tu étais juste blessée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu avais tellement hésité à y mettre un mot à cette rose. Puis finalement tu t'étais dit qu'avec un peu de chance elle comprendra que cette rose vient de toi. C'était une manière de ne pas renoncer à cette attention tout en ne t'emballant pas de trop. Finalement tu avais l'impression qu'il aurait fallu que tu t'abstiennes. Regrettais-tu ? Pas tellement. Mais tu regrettais sa réaction, que tu n'avais clairement pas vu venir. Et là sans prévenir, tu venais de vendre la mèche. Tu clamais qu'elle venait de toi. Oui mais apparemment tu t'en serais bien passée. Je l'ai bien compris. Cataleya avait toujours été très chaleureuse. Incroyablement chaleureuse et à cet instant t, c'était la douche froide. Tu n'y comprenais plus rien. Et mine de rien elle venait de t'avait blessé par ses réactions, sa froideur et son ton moralisateur. Alors blessé tu n'avais même pas su t'expliquer sur cette potentielle demoiselle. Il n'y avait pas trente six solutions, il s'agissait de Rose. Tu en étais proche, très proche, mais ce que tu ressentais pour la colombienne, tu ne le ressentais pour personne d'autre. Si seulement elle avait su te demander des explications naturellement, en étant fidèle à elle-même, fidèle à vous. Non, certainement pas. Tu es une femme intelligente Cat', si vraiment j'étais un con comme tu le dis, il ne t'aurait pas fallu six mois avant de le remarquer, crois moi. Un rire nerveux quitta le fond de ta gorge, et pour le coup, tu ne sentais plus la force de faire semblant, et encore moins d'essayer de comprendre. Elle n'avait fait aucun effort, elle n'avait posé aucune question, et le mauvais soupçon qu'elle t'attribuait te dérangeait. Pourtant elle n'avait aucun regard à avoir sur les nanas qui entraient et sortaient de chez toi, non ? Puis, elle se doutait que la rose venait de toi, elle devait bien savoir que tu n'étais pas le genre de mecs à avoir une attention pour une femme comme elle, pour en fréquenter une autre dans son dos. Tu la regardais encore un peu, et finalement en faisant quelques pas en arrière tu enfilais ta capuche, et finissait par lui tourner le dos pour t'en aller à petites foulées, à contre cœur, mais tout de même.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C’était bien plus que tendu entre vous et c’était bien à cause de toi. D’habitude tu prenais sur toi, tu savais te gérer et tu te contrôlais, mais cette fois-ci, c’était simplement impossible. Tu te rendais compte qu’il y avait une fail et qu’il pouvait te blesser sans problème. Tu sentais les sentiments grandir petit à petit et le fait de voir cette magnifique femme sortir de chez lui, t’avais blessé. Si tu voulais prendre le risque, tu le voudrais juste pour toi et non pas avec d'autres. Tu n’as jamais été très partageuse, encore moins quand il s’agissait de ton petit ami ou d’un ami très proche comme Elyes. C’était bien trop tard pour faire marche arrière, tu l’avais certainement blessé, tu aurais du lui en parler comme les grandes personnes le font, malheureusement, tu avais pris l’autre décision. Peut-être que tu le perdras, peut-être que tu lui reparleras comme si rien ne s’était passé. Par contre, de son côté, ce n’était pas gagné… Un léger soupire sortait de ta bouche, sans le savoir tu venais juste de casser quelque chose dans cette merveilleuse amitié. Rancunière, jalouse et parfois mauvaise, tu ne voulais pas l’avouer. Tu ne répondais plus rien, restant sur la réserve, tes yeux se posaient parfois quelques instants sur lui et parfois divaguaient vers d’autre horizons. Tu commençais à avoir froid, tu commençais à sentir les frissons parcourir ton corps, avant tu te serais blotti dans ses bras, maintenant tu te frottes simplement les bras. Tu avais diminué la clope depuis le décès de ta grand-mère, mais là, tu en avais besoin d’une. Tu sortais ton paquet, place une clope entre tes lèvres pour l’allumer directement. Il n’avait pas tellement tort sur ces dernières paroles, pourtant, ça ne te prouvait rien, ça ne répondait pas à la seule question qui trainait dans ta tête. Il commençait à prendre le large, repartir de là où il venait. Tu te mordillais la lèvre, comme ayant un regret, car oui, tu en avais un, celui d’avoir foutu la merde entre lui et toi. « Explique-moi pourquoi tu m’offre une rose et quelques heures après, cette femme qui sort de chez toi? Dis-moi, car là je ne suis pas assez intelligente pour comprendre ton jeu. » lançais-tu assez fort pour qu’il puisse comprendre, vu la distance qu’il avait mise entre vous deux. Tu restais là, planté en plein milieu du chemin. La clope entre tes doigts, les yeux rivés sur lui, attendant une simple explication.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Six mois, six mois c'était long. Jamais on aurait pensé que vous auriez eu ce lien, cette complicité, cette amitié, ce feeling, ce soir-là où tu étais allé l'aborder de la manière la plus nulle qui soit. Et là, ce soir, ces six mois semblaient presque être du gâchis. Non pas que tu courrais derrière un objectif depuis le début, mais la manière dont ça se passait entre vous à cet instant, était plutôt minable. Elle venait de te juger sans l'ombre d'un bon soupçon, et au fond ce qui te blessait le plus c'était qu'elle descendait votre lien, bien plus que ta personne. Mais soit. Les mecs étaient peut-être tous des cons dans le fond, mais les nanas étaient bien difficiles à suivre. Tu t'étais éloigné tellement que tu avais fini par devoir presque lui crier ta réponse. Peut-être parce qu'il n'y a jamais eu de jeu ! Cette option semblait inexistante dans l'esprit de Cataleya et voilà ce qui pouvait aussi être blessant pour toi. Puis de toute façon, tu finissais vite par jouer dans la même cour qu'elle. Après qu'elle t'ait dit ne rien te devoir, tu ne voyais pas non plus pourquoi tu devrais t'éterniser à lui expliquer pourquoi tu lui offrais une rose, quand une nana quittait ton studio. Cette rose avait été symbolique mais avait bel et bien eu un sens. Tu avais espéré lui montré que tu tenais à elle d'une manière qui n'était pas celle qui liait simplement deux amis. Non c'était tellement plus. Et comme elle avait laissé tombée cette rose, elle venait de faire tomber tes intentions plus bas que terres. Elle sortait de chez moi tout à l'heure, et elle y est encore sûrement maintenant, tout simplement parce que je l'héberge ! Mais pas le genre d'explications qu'n se doit, à priori! Cette fois tu lui tournais à nouveau le dos, et tu reprenais des foulées plus rapides. Cette nuit là, tu avais couru dans l'espoir de rentrer épuisé, et te coucher après une douche chaude, et c'est un peu ce qui s'était passé.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)