Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEt ta débauche ne leurre qu’un instant ton désespoir caché (dina)
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Et ta débauche ne leurre qu’un instant ton désespoir caché (dina)

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Rendez vous au People's Republik ce soir à 23h. Je relisais le sms pour être sûr de pas m'être trompé d'heure avant d'entrer dans la boîte la plus fréquentée par les étudiants. L'intérieur puait la transpiration, le sexe fait à la va vite et la débauche. Par ci, par là je voyais des gens se refiler de la poudre et je repensais à ma soirée avec Louve. Ouais, j'avais repris de la drogue et putain ça avait fait du bien. Je m'étais jamais senti aussi léger. Du coup j'en avais repris avant de venir ici, pas beaucoup mais assez pour planer un petit peu, pour pas être dans mon état normal. Pour pas penser à la sale gueule que j'aurais le lendemain. « Mettez du déodorant vous puez les mecs en chaleur » que je balançais en riant à mes potes après les avoir retrouvé. Fallait avouer qu'ils passaient pour des chiens à mater le cul des autres en buvant leur verre d'alcool. Verre que je commandais moi même, histoire d'accompagner la coke dans mon organisme. Tout ça ça avait commencé à cause de Charlie, j'avais foutu en l'air notre relation et elle, elle me foutait en l'air. Pense pas à elle que je me répétais, saisissant mon verre pour en boire une grande partie. Plus vite je finirais mon verre, plus vite j'arrêterai de penser à elle et à son putain de sourire d'ange. Puis, comme si elle avait lu dans mes pensées, une femme passa à côté de moi, regard de braise, fesses comme des ballons de baudruche. « Alors tu les as toujours pas dégonflés ? Non parce que là tu pourrais voler avec et faire Boston-Paris en quelques heures ». Sourire arrogant qui venait se loger sur mes lèvres, s'agrandissant à cause de mes potes qui riaient derrière moi. D'un signe de la main, je faisais un petit coucou à la femme, histoire de la provoquer encore plus. « Coucou Dina, je t'ai manqué ? » que je rajoutais comme le petit con que j'étais. J'étais le fils du diable et elle me tentait. Et fallait pas tenter le diable. Parce qu'il craquait toujours et malheureusement, il gagnait aussi à chaque fois. Peu importait le pari, le jeu, car c'était un tricheur, un bluffeur professionnel. Comme lui, je n'avais rien à perdre et tout à gagner.

@Dina J. Ricci
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❝ Et ta débauche ne leurre qu’un instant of ton désespoir caché.❞
ELIAM & DINA

Je reprenais les mauvaises habitudes, les bonnes parce que quand je change, c’est pire. Ça fait mal. Et j’avais plus envie de changer, ni pour lui ni pour personne. À quoi ça pouvait servir ? Hein ? Entendre de belles paroles pour tout foutre en l’air en baisant une de mes potes ? Non. C’était fini tout ça, j’étais consciente, la mémoire presque toute retrouvée, seules des bribes de mon passé manquant. Mais je savais tout de lui, de nous, de ce qu’on était avant qu’il ne gâche tout et je faisais volontairement une croix dessus. J’avais choisis d’oublier, volontairement cette fois. Alors je venais noyer mes démons, mon démon au fond de cette boîte où les âmes en peine en font autant que moi. Ils font semblants eux aussi. Ils viennent oublier ici. C’est tout. Et il y a une voix que j’aimerais casser, un visage que j’aimerais déchirer en lambeaux quand je me retourne. Eliam. Lui et son sourire insolent, lui et sa tête de con invétéré et sa bande de potes derrière tout aussi pathétiques que lui. Qui se ressemble s’assemble parait, non ? Je me retourne, m’approche d’un sourire faussement amicale sur les lèvres. - Alors quoi, tu fais une fixette sur moi ou comment ça se passe Wintson ? J’arque un sourcil, je te laisse pas vraiment le temps de répondre que je réplique déjà. - Moi je devrais dégonfler mon cul, toi tu devrais gonfler ta queue parce qu’elle m’a pas fait vraiment d’effet pour que tu puisses me manquer.. Je mens. Tu m’as jamais touché, je te laisserais probablement jamais le faire. T’en vaux pas la peine, t’es tout sauf ce que je veux. Alors, je mens, l’occasion est trop bonne pour me taire. J’attrape ton verre au passage, le soulève dans ta direction. - Merci. Que je souffle à ton oreille avant d’enfiler d’une traite le fond de ton verre.

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Elle répliquait et je rigolais parce que c'était juste ridicule en fait. On dirait des gamins qui se chamallaient pour savoir qui aurait le dernier mot. Mais, quelque part, j'aimais ça. La provoquer c'était ce que je faisais de mieux, après le sexe bien sûr. Mais elle me laissait pas le temps de répliquer qu'elle attaquait à nouveau. Du Dina tout craché, avoir tellement peur de perdre qu'elle essayait de me mettre KO en quelques répliques. Sauf que ça marchait pas comme ça. Pas avec moi. J'étais pas le genre de mec à prendre les insultes au sérieux, surtout quand je les avais provoquées. « Tu dois avoir un problème de mémoire parce qu'on a jamais fini ensemble. Crois moi j'ai des critères plus élevés qu'une fille qui couche avec tout ce qui bouge. T'as sûrement dû me confondre avec un autre. Ah ouais, non, ça c'est impossible j'suis unique. » Connard arrogant, voilà ce qu'elle devait penser au fond d'elle et, quelque part, ça me plaisait. Et son sourire qui me narguait alors qu'elle finissait mon verre m'excitait un peu, je devais l'avouer. Bon sang, pourquoi les femmes les plus belles étaient les plus inaccessibles ? Tant pis pour l'attirance, fallait que je continue le jeu. « Je t'en prie, ça me fait plaisir d'aider les défavorisés qui n'ont pas de quoi se payer un verre ». T'allais répondre quoi à ça Dina ? J'attendais, impatient de ta prochaine réplique, ta prochaine tentative pour gagner. Et ouais je disais tentative parce que jamais t'y arriverais. Dans la vie il y avait les forts et ceux qui voulaient le devenir. Malheureusement, t'appartenais à la deuxième catégorie.
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❝ Et ta débauche ne leurre qu’un instant of ton désespoir caché.❞
ELIAM & DINA

Je reposais son verre sur le comptoir. Je devrais partir, continuer ma route sans lui prêter la moindre attention.. Parce que vous connaissez la suite, donnez de l’importance à un âne et il se prend pour un cheval. Mais j’avais besoin d’une distraction ce soir, n’importe quoi à quoi m’accrocher pour oublier le reste. Alors je continue d’écouter les conneries qui bavent de ta bouche et qu’avec le son de ta voix, j’arrive à déceler que tu me mens. Je te dévisage et ça me confirme un peu plus mes pensées. T’es le pauvre connard bien cliché qui n’a justement, aucune critère. Tout est bon à prendre pour toi, même le mauvais, même le sale, même le sans intérêt pour oublier un peu que t’es terriblement seul. Que ça te tue au fond. T’es presque comme moi, sauf que je m’habille pas de faux semblants pour oublier ce que je suis. Ce que je n’ai pas. - Ah oui, c’est vrai ! Je n’ai jamais voulu de toi.. Pour une meuf qui prend tout ce qui bouge, je me trouve quand même pas mal sélective. La fausse innocence qui découle de ma voix, le sourire orgueilleux au bout des lèvres. J’écarquille les yeux, lâche un rire moqueur avant d’hausser les sourcils l’air surprise. - Wouaaah, ton ego est encore plus gros que mon cul ! Je soupire, laisse mes yeux analyser ta silhouette de haut en bas. T’es beau, t’as ce truc mais t’as pas grand chose non plus. Je fronce les sourcils quand tu parles de défavoriser, ça me fait doucement rire mais je préfère juste te tendre la main en guise de salut. - Dina Ricci. Je crois qu’on se connaît pas assez pour que tu saches que je pourrais me payer cette boîte si l’envie m’en prenait. Un bref regard autour de moi avant de reposer mes yeux dans les tiens. - Mais je préfère laisser l’arrogance à ceux qui aiment se pavaner avec « pas grand chose ». J’hausse les épaules, une mimique désolée. Et je laisse mes doigts glisser dans mon sac, fouillant dans mon portefeuille pour en sortir quelques billets et les faire glisser jusqu’à toi. - Tient, pour toi et tes potes. Amusez-vous bien les gosses ! Je plaque la paume de ma main contre mes lèvres, l’embrasse pour te souffler un baiser mortel avant de te tourner le dos pour rebrousser le chemin.

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Okay elle avait du répondant et, quelque part, ça me faisait rire. Parce que j'avais enfin trouvé une adversaire digne de ce nom, qui n'abandonnait pas après quelques clashs. Ouais, cette femme me plaisait de plus en plus. En fait, je savais pas pourquoi je la provoquais étant donné que j'avais rien contre elle. Au contraire, je la trouvais sexy avec son air arrogant et son regard qui semblait vous traverser. On aurait dit qu'elle s'apprêtait à vous démontrer l'être minable que vous étiez après seulement quelques coups d'oeil. Alors ouais, c'était dangereux de se frotter à elle, fallait avoir une sacré confiance en soi. Mais j'aimais ça me mettre en danger, danser au bord du gouffre. « Heureusement que tu te la payes pas parce que vu ton amabilité il n'y aurait plus grand monde ». Je me présentais pas, c'était pas la peine. De toute manière j'avais rien à dire à part bonjour, moi je suis un bâtard, on me donne du fric quand je le demande pour cacher le fait que je sois un fils illégitime. Elle en rirait et, cette fois, j'aurais pas besoin d'elle pour me ridiculiser. Puis elle continuait en parlant de laisser l'arrogance. Sauf que elle, elle en jouait de cette arrogance. C'était un instrument dont elle connaissait toutes les partitions. « Trop aimable, tu pourrais aussi laisser ton numéro » que je rétorquais, sourire amusé en coin. A coup sûr j'allais me prendre un vent mais j'en avais vraiment rien à foutre. Qui ne tentait rien n'avait rien pas vrai ? D'ailleurs elle me tendait des billets que je prenais sans rechigner. Au moins j'aurais pas à dépenser mon fric. Mais compte pas sur moi pour te remercier Dina. Car je savais que derrière la provocation se cachait de la cruauté. « Regardez les mecs les ballons de baudruche s'envolent vers d'autres horizons ». Rire avant de me retourner vers mes potes, distribuant les billets.
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