Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityZ. NEO FORCE ► Jack Falahee
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


Z. NEO FORCE ► Jack Falahee

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

ID CARD

Nom : Force le nom de mon paternel me colle à la peau Ødegård le nom de ma mère, à consonance Norvégienne ◇ Prénom : Zadig un peu d'originalité ne fait pas de mal après tout, mais pour tout dire, peu de monde m'appelle comme ça dans mon cercle d'amis, Néo ouais comme dans matrix, c'est surtout par ce prénom qu'on m'appelle et pour tout dire mes parents ont choisi Néo car ils m'ont "conçu" chez les Néozélandais -No Comment-, Harvey prénom à consonance anglaise/américaine c'est aussi le prénom de mon parrain. ◇ Âge : 23 ans pour encore quelques jours ◇ Date et lieu de naissance : Né le 24 Février à Monaco ◇ Nationalité : Monégasque ◇ Orientation sexuelle : Il n'y a que les courbes féminines qui attirent mon regard, sorry bro. ◇ Statut amoureux : Célibataire, l'amour c'est pas franchement pour toi ◇ Statut social : Vu la fortune de chacun de mes parents et l'argent que je gagne, j'ai pas franchement de problème de fric m'voyez ? On peut dire que je suis riche mais pour moi, l'argent n'a jamais définit qui on est ◇ Job étudiant : DJ, mais c'est pas qu'un job étudiant, c'est bien plus, avec ma soeur, nous formons un groupe de DJ Nélio connu et reconnu en Europe ◇ Études majeures : Mathématique appliqué ◇ Études mineures : Sport


Code:
Z. Néo Force - 23 ans - 4ème année d'étude - Mathématiques appliquées (M) & Sport (m) - DJ

Z. Néo Force
feat Jack Falahee


LOWELL HOUSE
On peut le dire clairement, ta vie c'est la musique, tu passes pas une journée sans essayer de modifier une chanson, sans tenter de faire mieux ou de créer un truc de nouveau. La musique c'est ce qui t'as fait tenir et en toi, t'as une vraie âme d'artiste et être entouré de personne qui sont comme toi, qui sont dans leur monde, qui adore tout ce qui touche à l'art. La Lowell serait la maison où tu te sentirais le plus chez toi, tu pourrais y prendre un nouveau départ et développer encore plus ton côté artistique. Et qui sait, peut être que là bas, tu trouveras ta muse ?
QUINCY HOUSE
T'as le coeur sur main, vraiment. T'es le genre de mec sympa, pas prise de tête, qui va aider une mamie a porter ses courses si jamais tu la vois en galère. T'es le genre de personne avec un bon fond, sincèrement. T'as jamais été prise de tête, t'as jamais eu envie de laisser les gens dans leur merde. T'es un gars un peu dans sa bulle mais solaire à sa façon alors la Quincy House serait aussi la maison idéale pour toi, pour ton épanouissement pour être heureux enfaite. Si la Lowell ne peut t'accueillir, tu serais ravi d'aller chez les oranges, même si t'es pas fan de la couleur, t'aimes l'état d'esprit de ces gens là.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Les agressions furent une période des plus stressantes pour toi, pas parce que t'avais peur pour toi, mais pour Clio, ta soeur. Tu aurais pas supporter qu'il lui arrive malheur, que quelqu'un lui fasse du mal, la blesse tout simplement alors pendant cette période, t'étais juste à l'affut et tu forcais ta soeur à t'envoyer des messages constamment histoire d'être sûr qu'elle était en sécurité.
Pendant les prises d'otage, par chance, tu n'as rien eu. Tu faisais pourtant parti des otages, t'étais dans la bibliothèque, un gars a même braquer son flingue sur ta tête. Mais ce n'est pas toi qui a été touché, non. C'est ton meilleur ami, Nelson qui s'est pris une balle et qui est mort sur les lieux. Un moment qui te laisse encore des frissons et qui te touche, t'en parles jamais.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Spring break 2016, voyage au Chili.
T'étais déjà parti, en Europe, t'étais loin, à faire ta vie, à vivre de la musique à cette période. T'as appris la nouvelle dans les journaux, un matin, dans un café, alors que t'avais fais nuit blanche. D'un côté t'étais soulagé de ne pas y être, de ne pas avoir à vivre ça, mais d'un autre, t'as eu peur, peur pour tes amis, qui y étaient présent. Certes, tu parlais plus à grand monde après ton départ et t'avais besoin d'air, mais t'as juste prier pour que rien n'arrive à tes proches, ni à personne même. C'est avec soulagement que t'as appris que tes amis n'étaient pas mort. T'as pris quelques nouvelles par SMS et t'as continuer ta vie, pas le choix après tout non ?

TON ADMISSION À HARVARD
Tu as rempli ton dossier d'admission avec application, histoire de ne pas faire d'erreur, joignant tes bulletins de notes, tes lettres de recommandation, ta lettre de motivation. Le dossier était bien chiant à rédiger, mais tu l'as fais, pousser par ton beau père, Karl qui veillait au grains. Tu as passé les testes comme tout le monde, obtenant une bonne note, 2 250, tu t'en es pas pleins. Le pire dans tout ça fût probablement l'essai à rédiger. T'as choisi la musique, ta passion, ton métier, parce que tu sais en parler. Quand tu as sû que tu devais passer les entretiens, la première personne que tu as appelé est Karl, tu lui as dis fièrement, surtout que Clio y allait aussi. On peut le dire, bien que cet entretien soit cruciale tu t'es pas mis la pression, l'oral c'est là que t'es le meilleur. Ca a payé, parce que peu de temps après, t'as reçu ta lettre d'admission à Harvard, elle est encadrée chez Karl, qui était très fier de ses petits jumeaux et de leur réussite.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Rory/Ori et j'ai 19+4 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à des connaissances. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de A. Hades de Belgique-S. (+ Eliot House) & Emilia S. de Bourbon (+ Cabot House). J'utilise Jack Falahee comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par .Cramberry. Je fais environ beaucoup de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si personnage inventé:
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u5918]►[/url] ► <span class="pris">JACK FALAHEE</span> ◊ “ Z. Néo Force ”[/size]
si scénario:
Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ◊ “ Pseudo ”[/size]



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

MORE OF YOUR OWN STORY


   
Cette histoire commence par une rencontre, une rencontre imprévu, impromptu, en journée ou en soirée. Il y a ces deux personnes qui se rencontrent et sympathise. Le feeling passe et un truc nait. Mon histoire n’est pas une exception. Ma mère Gunnbjørg Ødegård une ravissante Norvégiènne qui vit à Monaco rencontre mon père, Henri Force, fils héritier de l’empire Force Media. Entre eux c’est l’amour, le bonheur, parce que c’est toujours comme ça au début. Au début tout va bien, tout est beau, tout est rose.

Je suis né le 24 Février 1994. Ma mère a perdu les eaux dans la salle d’audience, alors qu’elle était en pleine plaidoirie, autant dire qu’elle était tout sauf préparée à être mère. Et il y a la panique qui s’est lu dans ses yeux en même temps que son bonheur, parce que bientôt, elle serait maman. Elle a été emmené dans une ambulance, et je suis arrivé en premier, par césarienne : Zadig Néo Harvey Force Ødegård. C’est du prénom hein ? Mais en claire, personne ne m’appellera jamais Zadig dans mon cercle privé, on me connaitra sous le prénom de Néo, parce que c’est plus facile à dire quand on est petit et que c’est plus court. 2 minutes après moi, c’est ma sœur qui pousse son premier cri : Yseult Clio Xélie Force Ødegård. Sa taille l’oblige a être mené en couveuse quand moi, je peux être avec mes parents, mais son état étant complexe et son stresse l’empêchant de se calmer, les médecins ont fait un truc assez commun pour les jumeaux : ils m’ont mis avec elle, bonjour la boite. Mais c’est la preuve que déjà tout petit, un lien indescriptible était là.

Mon enfance a été assez commune : j’étais le téméraire, l’aventurier des deux, j’ai un tas de cicatrice qui le prouve encore. Clio, cette traite me laissait me casser la gueule comme une merde elle observait et se lançait bien après moi. Il faut bien que quelqu’un commence mais là, ça a toujours été moi. Je crois que dès tout petit, j’avais le goût du risque et des sensations fortes. Parce que moi, j’étais le gamin qui était capable de monter sur le toit du garage pour récupérer son ballon.
On ne peut pas dire qu’on était particulièrement calme et sympa, on était plus des tornades, surtout moi, j’avais besoin de bouger, de faire des conneries. Me laisser 5 minutes dans une pièce était un défi parce qu’il suffisait que je trouve un crayon pour dessiner sur le mur.

Le bonheur a pourtant toujours une fin et celle de l’histoire de mes parents a un prénom : Brenda, 20 ans. Une blondasse, débile en plus, secrétaire de mon père, le mariage a pris fin quand ma mère l’a découvert et est partie avec nous, ne supportant pas qu’il la trahisse de la sorte. Il n’en a pas fallut plus pour que mon père fuit ses responsabilités rejoignant le cocon de la famille Force, Boston, pour y faire sa vie avec l’autre guenon. Il ne resta plus que Maman, Clio et moi. Plus que nous trois. Et c’était probablement pas plus mal. Mon père est un mauvais père. Il veut pas prendre ses responsabilités, c’est comme ça, c’est la vie, des gens vivent pire, je vais pas m’en plaindre. Il a l’air heureux dans sa vie avec l’autre et moi, je suis pas malheureux avec maman. Même si je pense qu’à un moment, elle a regretté qu’il ne soit plus là pour nous tenir, parce que clairement, mon hyperactivité pose problème, tout comme celle de Clio. Ma mère a arrêté de compter les pots de peinture pour repeindre les murs crayonnés, les nouvelles assiettes parce qu’on les a cassé et les aller retour aux urgences parce que mon âme de cascadeur prenait un peu trop le dessus. On était ce genre de gamin intenable, qu’on emmène pas au restaurant parce qu’ils retournent le restaurant enfaite. Une fois, Clio m’a même coupé les cheveux tellement court qu’on a dû me les rasé, je vous dis pas comme j’ai pleuré au début, j’étais malheureux comme tout, sauf qu’un truc s’est produit : les gens se sont mis à penser que j’étais un cancéreux en rémission et on m’offrait pleins de trucs, après j’ai eu la tête rasé pendant 2 ans, et ça rendait Clio en rage, c’était encore plus drôle.

Pendant 3 ans on était juste tous les trois, maman, Clio et moi. Pendant 3 ans, on était bien. Mais notre stabilité a été perturbé par l’arrivé d’une nouvelle personne dans notre vie : Karl Muller. Karl a 50 ans et juge à la cours suprême. Il a rencontré maman au tribunal, il parait qu’il l’a aimé direct. Coup de foudre, coup de cœur, appeler ça comme vous voulez, mais il a toujours su qu’elle serait l’amour de sa vie. Moi, ce que je retenais surtout, c’est que maman aime les vioques et papa les bébés. La copine de papa était conne, Karl lui était sévère. Le jour où maman nous l’a présenté, je m’amusais à jouer au foot dans la maison, j’ai cassé un vase et je me suis pris la soufflante de ma vie par cet homme aux cheveux poivre et sel. Je m’y attendais pas. Et j’ai vite compris que les conneries, ça allait être compliqué maintenant qu’il était là. Avec Clio nous avons donc lancé une mission : Karl dégage. Je ne compte même pas le nombre de coup qu’on a fait. Notre première attaque fût l’huile dans les escaliers à 6 ans et demi, pour qu’il tombe et qu’il parte, sauf qu’au bout d’une heure sans chute, moi j’ai oublié le coup de l’huile et que quand j’ai essayé de descendre, je me suis ramassé la gueule et ouvert l’arcade sourcilière. Clio m’a envoyé couper tous ses pantalons aussi une fois, armé de mes ciseaux, je coupais tout et elle faisait le gai, sauf qu’elle a eu envie de faire pipi et que Karl est arrivé entre temps, me trouvant tout pâle les ciseaux dans les mains, j’ai été puni direct, ça n’a pas tardé, mais il n’est pas parti. Enfaite, Karl n’est jamais parti. Peu à peu, Karl a sû s’imposer dans nos vies et dans nos cœurs. Parce qu’on a découvert ce qu’étais un vrai papa quand on a rencontré Karl. Pour m’aider avec mon hyperactivité, il m’a inscrit à l’athlétisme, il a inscrit Clio a l’équitation et ce fût une révélation pour nous. En plus de ça, on s’est mis à la danse. Moi le hip hop, avec les figures et ces conneries et Clio le moderne. Karl n’a jamais manqué la moindre compétition d’athlétisme que je faisais. Il n’a pas non plus manqué les concours de poney de Clio. Il nous faisait faire nos devoirs, il m’aidait pour l’orthographe, faisait apprendre l’histoire à Clio. Ouais, quand Karl est entré dans ma vie, j’ai eu un papa.

Mais j’aurais dû le sentir venir, ce bonheur ne pouvait pas durer. Je crois qu’on a été une famille trop heureuse pendant un temps et il fallait compliquer un peu le truc … Le coup de massue a eu lieu l’année de mes 13 ans, j’étais dans ma chambre, entrain d’écouter de la musique quand Karl m’a demandé de descendre, Clio aussi et là j’ai eu vous savez ce moment de solitude du genre « merde, mais qu’est ce qu’on a fait ? » alors je demande à Clio qui me demande surtout ce que moi j’ai fais, où bien si ils ont trouvé le vase cassé enterré dans le fond du jardin, un vase super cher qui a malheureusement été vaincu par mon ballon de foot de la coupe du monde .. Bon, je suis pas avancé, ma jolie voiture Clio n’en sait pas plus que moi … Mais ça sent l’engueulade alors pendant un instant je me repasse mes dernières conneries dans la tête … Les copains m’ont quand même pas balancé pour la colle sur la pogné de porte de la directrice ? Et Rafael m’a quand même pas dénoncé pour la mort de Capharnaüm, le cochon d’inde de la classe que j’ai tout simplement perdu dans un champ quand j’ai voulu le faire prendre l’air un peu et que j’ai remplacé par le cochon d’inde de Marley que j’ai piqué quand j’ai assisté à son anniversaire … Ou bien ils ont su que c’est moi qui a remplacé les feutres de tableaux par des indélébiles … Je le sens mal pour moi … Mais finalement j’aurais largement préféré me faire engueuler … Car quand la nouvelle est tombée, je me suis senti bien plus mal que quand Karl me prive de jeux vidéo … Ma mère a un cancer du col de l’utérus … C’est vraiment le coup de foudre en plein milieu du salon. La mauvaise nouvelle tombe et je ne me rappelle pas trop de ma réaction, je sais juste que ça a été très dur, de prendre conscience de tout ça. Ma mère allait mourir, les médecins ne pouvaient rien faire de plus… C’était sa fin qui arrivait. Alors j’ai juste profité d’elle jusqu’au bout et j’ai été témoin de ce foutu cancer qui s’infiltrait en elle et qui la rendait malade. Peu à peu, le cancer entrait en elle et ravageait tout sur son passage et je crois que ça a été une période très noir pour moi, heureusement que j’avais encore Karl et Clio auprès de moi. Ils m’ont permis de ne pas tourner fou quand je voyais ma mère peu à peu disparaitre à cause du cancer.

Ma mère décède la veille de mes 14 ans. Depuis ce jour, je déteste cette période de l’année et je préfère la passer à faire la fête à Mykonos ou n’importe où … Sa mort a été ce qui nous a un peu tous brisé, personnellement, quand elle est morte, j'ai tellement bloqué et elle aimait tant me voir lui faire des figures de hip hop que j'ai complètement arrêter. Tout le monde était mal dans cette période terrible et même pendant son enterrement mon père n’a pas pu se tenir, il est venu au début de la cérémonie avec sa pouffe et a répondu à son téléphone en plein milieu, le genre de truc qui m’a fait péter un plomb, je l’ai foutu dehors. Je crois que personne ne m’avait jamais vu aussi énervé que ce jour là, mais son comportement m’avait juste irrité, ce gars là, c’est juste un genre de géniteur mais il ne sait tout simplement rien sur nous. Ni sur Clio, ni sur moi, il est d’ailleurs un des seul à m’appeler encore Zadig, ça lui donne un côté un peu unique. Bref, la cérémonie a pu ensuite se poursuivre dans le calme sans trop de problèmes et surtout avec beaucoup de tristesse et moi j’étais en colère. En colère contre ce foutu cancer d’avoir pris ma mère, contre les autres de ne rien avoir pu faire, contre moi d’en vouloir à la terre entière et leurs condoléances j’avais juste envie de les leurs renvoyer en pleine gueule. Je crois que j’étais tellement en colère que je n’ai même pas réussi à pleurer, depuis ce jour je n’ai plus versé une larme. C’était trop dur. Et Karl comme Clio avaient beau tout faire pour tenter de me faire sourire, ça ne marchait pas, parce qu’elle était morte. C’était ma mère. Elle était un repère.

Evidemment, après ça, mon père a vu une aubaine de nous récupérer, Clio et moi, il a demandé la garde et Karl n’a rien pu faire. Oui, il est mon père Karl, mais techniquement, il n’est pas mon géniteur. J’ai donc perdu le second pilier le plus important de ma vie, Karl, et j’ai aussi perdu Monaco. Mes copains de là bas. Heureusement, il me restait mon plus grand soutient, la femme de ma vie : Clio. Je me souviendrai toujours de ce jour déchirant où Karl nous a emmené à l’aéroport. Je le voyait, il avait envie de pleurer, on avait l’impression qu’on lui arrachait le cœur. Il nous a sérer fort, très fort, promettant de venir nous voir dès que possible. Il a embrassé nos fronts, nous a accompagné vers une personne chargée des mineurs et nous a laissé à contre cœur. Dans l’avion, je n’ai cessé de répéter à Clio que ça irait et je lui ai tenu la main tout le trajet. Une nouvelle vie allait débuter pour nous et par chance on connaissait déjà pas mal de monde là bas, à Boston, alors ça a un peu été une balade de santé l’intégration. L’école était cool, en parfait bilingue, j’ai pas eu vraiment de problème a entrer ici, à faire une nouvelle vie, mais bien loin de Karl et de ses limites, les bonnes fréquentations et c’est partie pour la fête, la pente glissante de la débauche, mais après tout, ma mère est morte d’un cancer, la mort arrive trop vite, alors autant profiter de la vie, non ?

Je me suis même découvert une nouvelle passion : le mix. Avec Clio on s’y est mis car Karl nous a offert des platines, au début, ce qui n’était qu’un jeu est très vite devenu une vocation. C’est comme ci la musique me parlait, comme ci tout ça, je le faisais depuis toujours. Dans l’immense villa où nous vivions avec notre père, on avait une salle juste pour ça, juste pour la musique et peu à peu, elle s’est bien rempli.

J’ai continué l’athlétisme en parallèle, me faisant de nouveau ami, dont un, Nelson. Nelson est roux, petit et un peu bête, mais il est cool. Il m’aide dans mes croisades avec Clio pour faire chier mon cher paternel. Loin de Karl, je perds toutes mes limites, je sors jusqu’à pas d’heure, par la fenêtre si jamais mon père surveille. Lentement mais surement, je tombe dans le monde de la nuit, dans le monde des excès et de la connerie. Je plonge doucement dans les abîmes de la fête et de la débauche. Toujours entourré par ma sœur. Je passe mon permis à 16 ans, l’âge légal aux USA et emblaye avec le permis moto. Mon père, comme pour tenter d’acheter notre sympathie, nous offre un tas de connerie, mais une fois, il a quand même choisi le bon cadeau : une moto.

Avec Clio, on monte un groupe de DJ : Nélio et peu à peu, à notre plus grande surprise, c’est le début du succès. Je crois que tout commence par un mix en boite de nuit, à Monaco, c’est là que tout commence. C’est là que tout s’enflamme. Peu à peu, pour tenir les week end de set chargé, je me mets aux drogues durs, ça me permets de tenir la fatigue, de tenir les cours. Parce qu’en plus du mix qui explose a 17 ans, à 18 ans, Clio et moi intégrons Harvard, la prestigieuse université. Après les testes réussis avec succès, une inscription à la Mather House, je passe ma semaine à Harvard et le week end, je prends l’avion pour aller faire la fête en Europe. Demandé dans les festivals les plus côtés d’Europe, c’est le début du dream. Le mix reste quand même une petite partie de ma vie avec Clio, parce que les études d’abord. J’avais promis à Karl.

Clio de l’amour, elle en a eu avec son connard qui lui a filé une MST parce qu’il la trompait à tout va, avec mon autre meilleur copain, Chaol. De l’amour, elle en avait à revendre, mais moi, j’sais pas, c’était pas comme ça que je fonctionnais. L’amour, c’est pénible et douloureux. J’enchaine les relations sans jamais vraiment avoir eu de sentiments, je profite tout simplement de la vie. Sans me poser. Je suis un électron libre. J’étais enfin bien, j’avais mon équilibre, je voyais Karl régulièrement, on se parlait au téléphone, et il y avait les amis, les cours, le DJ avec Clio. Il y a eu des coups dures, comme la mort de Nelson, ce connard a été flingué pendant les prise d’otage à Harvard, moment douloureux, pénible, je crois qu’après ça, je sortais encore plus. Mais tout s’écroule vraiment quand Clio se fait abuser sexuellement, je la retrouve à la maison et elle veut rentrer, elle ne m’explique pas sur le moment pourquoi, mais on fait nos valises et on part, sans se retourner. S’en suit une période noir, une période compliquée, parce que quand j’ai sû ce qui lui était réellement arrivé, j’ai juste péter un câble, qui ne vrillerai pas ? Qui le vivrait bien ? Je me souviens de ce soir, tellement énervé, je me suis battu, ça a finit aux urgences où mon énervement était tel qu’on a dû me mettre sous calmant, parce que j’arrivai pas à redescendre. Je me suis donc fait cette promesse : Même si elle refuse de me dire qui je le retrouverai et je le tuerai. Pour lui avoir fait ça, pour l’avoir détruite à ce point là.

Paradoxalement, notre année et demi sabbatique nous a permis de nous faire encore plus connaitre et d’asseoir notre popularité en Europe. C’était du mix tout le temps, de la fête à outrance. Trop de coke, trop de drogue, trop de connerie, trop de soirée, trop d’enchainement. On a passé une année et demie dans une bulle sans règle, sans limite, sans sommeil. Notre vie était devenue la musique. La musique était tout ce qu’on avait encore.

Mais toute bonne chose a une fin, quand Karl nous a demandé de reprendre nos vies, de retourner à Boston, à Harvard, on a fait un marché : il devait nous rejoindre si on y allait. Alors on est reparti à Harvard, on a repassé les examens d’entré pour reprendre nos études et notre vie, à une différence prêt, notre vie, c’est la musique maintenant. Notre géniteur lui, n’a pas très bien pris notre retour, il était bien dans sa villa avec sa meuf ou sa maitresse. Avec l’argent du mix, on s’est acheté un yacht, amarré à la marina de Boston, personnellement, j’avais plus envie de le voir ou de dépendre de lui, donc je me suis installé là bas avec Clio et on a acheté un appartement à côté pour le mix. Notre nouvelle vie commence. C’est à la fois grisant et terrifiant, de revenir à Harvard, de reprendre ma vie en main, mais quand on a un but, c’est plus facile non ? Harvard, I’m back bitches.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Re-bienvenue joli spécimen ! Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 3997999705 Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 2511619667
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
je te dis bienvenue à toi d'abord parce que mon chaton il réclame et j'aime pas ça :dtalk:
RE BIENVENUE J'ESPERE TU SERAS PLUS SYMPA SOUS CE COMPTE Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 166564858
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
REBIENVENUE BB CHAT² Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 3850463188 t'es sex, jveux un lien Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 152426858
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Trop bon (emo)
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Re bienvenue Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 152426858
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Re) bienvenue <3
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
rebienvenue petit traitre qui a quitté les wiwis Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 387742012
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
hello you Z. NEO FORCE ► Jack Falahee 152426858 :heaart:
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)