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(Nolia) When the past resurface

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Hades t'avait fait chier. Quatre heures de courses, une heure de discussion. Et vu le week end de malade que vous veniez d'avoir, tu n'avais qu'une envie de sortir pour profiter du soleil ou dormir. Bon, tu avais pris la deuxième option pour plus de liberté. Un silence dans l'appartement puisque Hades avait décidé de rentrer chez lui, même si il débarquait toujours quand il voulait. Tu passas ta main dans tes cheveux, tu mis ton casque et la moto partit à folle allure. Comme toujours. Ce besoin de fuir, de se faire du bien, de se sentir libre sans la moindre hésitation. Tu commenças à tourner en direction de la fameuse allée que tu aimais tant, l'allée italienne. Tu ralentis petit à petit, alors que tu te garas sur le côté, au parking, toujours. Tu enlevas ton casque, de façon plus discrète, ou pas. Les motos Ferrari n'étaient pas très répandues à Boston que niveau effacement, tu étais nul à chier. Tu passas ta main dans tes cheveux, tenant ton casque pour venir rentrer dans ce café. Pas n'importe lequel encore. Et non, c'était ce café, le seul de la ville a faire les meilleurs cafés italiens de la ville avec les meilleurs patisseries de la ville. Tu soupires en voyant ainsi la queue. Fais chier lâches-tu en regardant ainsi les vendeuses et les gens autour de toi, heureusement que le côté emporté part plus vite que le côté sur place. Tu prends donc ton café, pas chance bouillant pour venir en prendre une gorgée, jusqu'à te retrouver à cette porte. Face à toi cette femme, belle, magnifique et parfaite. Et le choc, tu en lâches ton café. Ce dernier attérit par terre, éclabouissant tout sur son passage, mais qu'importe. Elle était là, de l'autre côté de cette porte vitrée. Lia était face à toi, toi qui la pensait en Italie depuis des années, sans l'ombre d'un doute, ce n'était qu'un rêve..

@Cassilia Borgia
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Boston ne lui avait pas manqué. Pas la météo plus qu’étrange, ni la fameuse bonne fausse humeur des américains, et encore moins les cafés bondés à toute heure de la journée. Mais elle voulait absolument ce café. Parce que c’est son préféré dans cette foutue ville, parce qu’il représente un souvenir impérissable, parce qu’il était le lieu où ils se retrouvaient toujours. Le lieu où elle trouvait le plus de souvenirs d’eux. Secouant sa tête, ses longs cheveux blonds bougeant dans sa queue de cheval, elle avançait lentement jusqu’à l’entrée de l’échoppe. Elle n’avait toujours pas croisé Noah, mais elle redoutait fortement le jour où elle le reverrait. Ne voulant pas forcer le destin, elle faisait attention à ne pas l’accoler au pied du mur. La dernière chose qu’elle voulait, c’était le repousser. Le forcer la haïr plus qu’il ne le faisait déjà. Elle l’a quitté, elle est partie. Elle a pris la fuite, comme toujours. « Un ristreto s’il vous plait. » qu’elle lance sans même regarder le serveur qui passe à côté d’elle. Son regard focalisé sur son téléphone, elle voit d’un coup une flaque marron se répandre à ses pieds. Prête déjà à commencer un scandale, elle lève les yeux pour tomber nez à nez avec Noah. La seule personne qu’elle craignait de voir. La seule personne qui pouvait la destabiliser. « Noah, putain, merde. Heeeeu ! » Complètement sans mots, elle était figée devant le fantôme de son passé. Mais Lia est d’une impulsivité sans faille, sans égal. Prenant la main de Noah, elle l’entraîne à sa suite hors du café. Sa commande passée, elle s’en fiche complètement. Seul Noah compte. Après à peine cinquante mètres parcourus, elle s’arrête et se retourne pour regarder Noah en face. Elle ne sait pas quoi dire alors elle agit. Sans réfléchir, elle l’embrasse. Un baiser, qu’elle regrette à l’instant même où elle le fait. « Désolée. Je suis désolée. » Elle était désolée pour tout mais ne savait pas par où commencer.
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Tu n'étais pas là pour t'amuser, ni même passer du temps dans une solitude. Tu voulais juste un putain de café, un petit moment avec Hades et revenir à ta vie de cours et de Eliot. Mais il a fallut que tu lèves tes yeux vers elle. Tu n'avais pas même pas vu que ton café était par terre, encore moins que ta bouche était légèrement ouverte. Aucune émotion, aucun souvenir, rien. Juste elle face à toi. Et à sa remarque, tu te rendis compte que vous étiez devant du monde. Sauf que tu n'avais pas cherché la merde pour une fois, pour une fois et pour rien au monde tu aurais voulu la revoir. Ton café s'était explosé par terre, et mine de rien, cela te faisait chier. Tu fronças les sourcils, tu te fis embarquer vers une rue, peu importe laquelle. Tu étais totalement perdu de la voir devant toi, la voir comme si de rien était, tu serras la machoire, prêt à dire quelque chose. Elle t'embrassa, d'un coup, comme ça. Un baiser plutôt savoureux, mais c'était dérangeant, tu la regardas face à toi. Pourquoi t'as fait ça ? T'es dingue ou quoi ? Tu n'es pas en colère non, parce qu'à l'heure actuelle, tu avais plus envie de la pourrir d'insultes que d'embrassades, mais tu te retiens. Tu n'étais pas si éloigné que ça, face à elle, dans ce silence. Tu ne savais pas quoi dire, ni quoi faire. Ta langue passa sur tes lèvres, d'un mouvement naturel et habituel et finalement, tu ne pouvais pas la quitter des yeux. Mais il fallait que tu t'éloignes, que ce soit pour toi ou même pour Ana. Tu n'avais pas envie de retomber aussi bas que la dernière fois. Le petit con en toi n'avait pas envie de ça, et pas maintenant, jamais même.
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C’était comme retourner dans le passé. Une machine à remonter le temps. Une éclipse temporelle irréelle, impensable. Pour elle, rien n’avait changé. Il était toujours aussi beau, aussi magnétique, aussi lui. Celui qui faisait des conneries à la pelle et qu’on pardonnait grâce à un sourire. Sauf que c’est elle qui a merdé. Et en beauté. Elle a fuit, comme toujours. Elle a prit la poudre d’escampette et a fauté encore et encore avec une personne qu’il déteste. A croire que faire en sorte qu’il la haïsse juste pour être partie n’était pas assez. Non, il fallait en rajouter une couche. Mais il ne savait pas tout ça. Du moins, elle l’espérait. Elle priait pour même. « Je ne sais pas. Tu ferais quoi toi si tu revoyais la personne que tu aimes après trois ans. » qu’elle réplique un peu brusquement. Oui, elle est folle, mais ça il l’a toujours su. Elle le fixe, voyant bien qu’il reculait, mettant une distance de sécurité entre eux. Elle respecte ça. Après tout, c’est elle qui foire à chaque fois. « Désolée. » Baissant la tête, honteuse – et elle se devait de l’être – elle joue avec ses mains, entrelaçant ses doigts, jouant avec ses jointures, triturant ses ongles. Une mauvaise habitude qu’elle n’avait pas perdu depuis des années. Noah détestait quand elle faisait ça, prétextant que ça abîmait sa peau. Surtout quand elle jouait avec ses cuticules. « Tu as l’air d’aller bien. Tu es toujours à la Eliot ? » Conversation bateau, sourire gêné, elle ne savait plus où se mettre mais en même temps, comment faire pour s’excuser de lui avoir brisé le coeur.
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Tu n'étais pas comme ça à repousser les gens qui t'embrassaient. Mais là, on parlait de Lia, on parlait de cette femme qui t'avait brisé. Celle pour qui tu avais pleuré, pour qui tu avais ressenti de la haine et de l'amour à la fois. Celle qui t'avait rendu comme ça. Alors oui, tu l'avais mauvaise qu'elle t'embrasse, tu l'avais mauvaise qu'elle soit là, face à toi, sans qu'aucune remarque soit lancée et que tout se passe bien. Mais c'était pas ce que tu voulais non. Elle te répond, tu la regardes, tu fronces les sourcils Arrête, on parle pas de ça, on parle de ce baiser, on parle pas de tes pseudos sentiments pour moi Oui, tu l'avais encore mauvaise, ça va, tu réagis différement des autres. D'ailleurs, depuis ce jour-là, cette bague est autour de ton cou, celle que tu as essayé de donner à Asia ou même à ta mère mais que personne ne voulait. Cette bague si mortelle et destructrice. Mais au moins, elle ne pouvait pas la voir derrière ta veste et heureusement. Tu recules, tu ne veux pas être tenter, encore moins avoir envie d'autre chose que de parler. Et elle s'excuse, tu arques un sourcils. Pourquoi tu t'excuses ? Pour la merde que tu as foutu dans ma vie ? Pour le fait d'être partit comme une voleuse ? Le fait de m'avoir quitter comme une mal propre, ou ben le fait d'avoir fait tomber mon café par terre ? et ce n'est qu'une petite liste de ce que tu as contre elle. Tu mets tes mains dans tes poches, tu es calme, d'un grand calme. Toi qui a toujours l'habitude d'avoir ce petit côté rebelle, destructeur, dévastateur, là, c'est tout le contraire. Elle a la tête baisée, elle joue avec ses doigts, tu soupires. Tu veux qu'on parle de banalités maintenant ? Sérieusement ?! J'ai autre chose à foutre .. Cassilia Toi qui allait osé le Lia, tu te retiens. Vous n'étiez pas aussi proche que d'habitude, tu allais devoir t'habituer et rapidement.
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Elle s’en fiche un peu de le brusquer, de le choquer ou une autre merde du genre. Elle est ainsi Cass, libre de faire ce qu’elle veut. Elle fait attention, mais sa liberté de vivre ne changera jamais. Ok, elle n’allait pas lui sauter dessus en public ni jamais sans son consentement, mais elle ne pouvait pas empêcher certains instincts qu’elle avait. Celui de faire Noah sien, celui de le reconquérir, de le retrouver dans sa vie. Un long périple dont elle n’avait pas vu le bout. Megara lui donnerait une tape derrière la tête si elle entendait ses pensées. Mais elle s’en fiche Lia. Elle a toujours eut besoin de lui dans sa vie dès le moment où leur chemin se sont croisés. « Pseudos sentiments ? De quel droit tu ...  Je suis désolée de t’avoir embrassé sans ton consentement, ce n’est pas juste. » Elle s’est calmée seule, ne voulant pas faire une esclandre en pleine rue. Et surtout, ne voulant pas lui donner un moyen de la détester encore plus. Non, ses sentiments pour lui n’ont jamais changés. Mais les siens, oui. Ça se voit dans son regards, sa manière de se tenir, la tension dans ses épaules. Alors elle s’excuse, encore une fois. Pour tout, pour tout ce qu’elle a foutu comme merde en partant du jour au lendemain. « Pour tout. Pour tout putain. Et je te paye un autre café. Mais je n’ai jamais voulu mettre la merde dans ta vie. » Elle veut s’expliquer, elle veut lui dire les choses, mais comment mettre des mots justes sur un acte impulsif. Passant sa main dans ses cheveux, les remettant derrière ses oreilles, elle analyse un peu ses gestes à lui. La tension ne part pas, mais le Noah sauve et destructeur n’apparaît pas devant ses yeux comme ce qu’elle aurait pu imaginer. Au contraire, il a un calme olympien, digne d’une statut. A croire qu’elle ne lui fait aucuns effets, rien, pas une once de vent dans ses cheveux doux. « Je ne sais juste pas comment aborder le sujet de ma fuite. C’est pas tous les jours que tu croises ton ex fiancé. Je vais pas lancer un ‘ hey désolé au fait d’être partie comme une lâche après avoir passé 4 heures sous des décombres. Je me sentais prise au piège et perdue dans ma vie. Au fait, je vais bien et j’ai failli aller en taule pour trafic de drogue à Rome. ’ » Une fois que Lia est lancée, peu de choses peuvent l’arrêter à part sa respiration. Elle venait de résumer en trois phrases, trois ans de sa vie.
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Tu es calme, bien trop calme, mais à quoi bon s'énerver, tu avais déjà frappé l'homme qui avait mis ta mère a l'hôpital, tu n'allais pas en plus, t'acharner sur Lia comme ça ? Bah ça aurait pu être possible, mais tu préfères de loin rester calme. Mais les piques, eux, continuèrent et tu te fais plaisir. Le droit que je veux, tu es partie, c'est toi qui est en tord, tu as tout quitté pour te barrer je ne sais ou, c'est toi qui est en tord. Alors j'interprête ton départ comme je veux. Et si je dis que tu n'avais aucun sentiment pour moi, c'est que c'est vrai ! Finalement ton calme olympien disparait petit à petit, tu commences à t'énerver, et elle aussi, tu ne serres les dents. Son café, sa vie, mais tu t'en fous royalement. Tu as qu'une envie, la prendre et l'avoir contre toi. Mais tu te retiens, tellement fort Un autre café ? Tu crois que c'est ce que je veux après avoir bousiller six ans de ma vie avec une femme qui n'en avait strictement rien à foutre de ma gueule ?! Garde le pour toi ton café, je m'en tape ! lâches-tu avant de te calmer, tu essayes, tu es oux, simple, gentil. Enfin non. Tu es la tornarde qui détruit tout quand il veut ou il veut. Tu es l'enfoiré de première qui détruit les couples quand ça lui chante. Mais tu es aussi l'impulsif sans retenu, le désireur d'accomplissement et de notoriété. C'est toi ça. Et là actuellement, tu avais envie de te barrer. Comme elle, la fois dernière. Mais tu fronces les sourcils, elle pète son câble, ressemblant à une petite fille capricieuse. Comme toujours. Tu soupires finalement. T'as fini ? je peux rentrer chez moi ? le connard excellence, le fouteur de merde par excellence. Mais c'est parce que tu ne veux pas souffrir, tu ne veux plus avoir mal. Lia. Puis Ana. Puis finalement le Néant. La destruction de l'âme. Tu as l'impression qu'elle l'a fait exprès, qu'elle est revenue le jour où tu n'avais pas besoin de ça. Tu prends sur toi avant de passer ta main dans tes cheveux Très intéressante la disussion, maintenant je m'en vais et tire toi de Boston, personne ne veut de toi ici ! t'es violent, t'es direct, mais qu'est que tu as besoin d'une bonne paire de claques sérieux pour te faire comprendre tellement de choses. Sauf que tu ne le supporterais pas de partir comme ça, tu as trop envie d'être avec elle, d'être contre elle, d'être non loin d'elle. Toujours et encore...
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Il garde un calme olympien, étrange, trop tendu pour être vrai et pour durer dans le temps. Même après tout ce temps, elle le connaît Noah, trop bien pour son propre bien, trop bien pour passer à autre chose. Elle le connaît comme elle se connaît elle, elle voit bien à quel point ça le ronge de la rendre aussi folle qu’elle ne l’a fait. Elle a détruit son coeur sans un regard en arrière et il sait bien qu’elle l’a fait sans penser aux conséquences, qu’elle est partie sans regret. Jusqu’à maintenant. Jusqu’à ce qu’elle se réveille et réfléchisse à ses actes. « J’étais à la maison. Si tu avais aussi ne serait-ce qu’appeler pour savoir, tu l’aurais su. » Parce que pas un instant elle avait ne serait-ce que vu un appel manqué de sa part. Elle est partie, elle l’a quitté, mais elle aurait au moins espéré qu’il essaye de savoir pourquoi. Oui, elle a eut tord, mais chacun à fait sa merde dans l’histoire. « Tu déformes tout espèce d’idiot. Tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez putain. » Elle explose, comme lui. Elle explose et lui dit ces petites choses qui ont tout gâché. Elle en a marre de passer pour la méchante. À peine cinq minutes qu’elle le revoit, et déjà son coeur explose. Déjà elle en peut plus et n’a qu’une envie, passer ses doigts dans ses cheveux et sa main sur sa peau. Elle a envie de le retrouver, de réellement le retrouver. Qu’ils reprennent là où ils se sont arrêtés, en comprenant pourquoi elle est partie. Mais Noah est un homme fier, orgueilleux, il ne va rien lâcher malgré ses envies qui sommeillent en lui. Et elle non plus. Elle veut le faire plier, elle veut qu’il ouvre ses putains d’oreilles et comprennent qu’elle aussi a souffert. « T’as eu cinq ans de repos, tu as eut le temps de te remettre. » qu’elle dit d’une voix froide et glaciale. Lia en a marre de son ton. « Tu sais pourquoi je suis partie réellement ? Pas parce que je n’étais pas heureuse avec toi, au contraire. C’est quelque chose qui aurait pu me faire rester. Mais chaque fois que je passais devant ces bâtiments, à chaque fois que je voyais les décombres depuis la fenêtre de ma chambre d’hôpital, je faisais des crises d’angoisses, je respirais encore la poussière qui s’installait dans mes poumons, je ressentais encore la douleur d’avoir ma jambe fracturé à TROIS PUTAINS D’ENDROITS. » Elle crie les derniers mots, des larmes perlant au coin de ses yeux. Elle le regarde droit dans les yeux, pas le moins du monde gêné de pleurer devant lui. « Et pas une seule fois j’ai regretté. Oui j’ai merdé, mais j’ai merdé pour me sauver moi, pour ne pas avoir à devenir une fiancée complètement névrosée qui ne dort pas, pleure toute la journée et a l’impression d’étouffer en dormant. Tu peux m’en vouloir tant que tu veux Noah, mais jamais tu ne pourras m’en vouloir pour ça. » Ses bras croisés, ses longs cheveux blonds se balançant au gré du vent, elle le regarde, triste et honteuse, mais en même temps fière d’avoir pu lui dire ce qu’elle n’a jamais pu dire à qui que ce soit. Ces mots lui étaient réservés à lui seul et personne d’autre.
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Et elle commence faire ça. Ca, quand elle a tord et qu'elle s'explique pour essayer de se donner raison, comme toujours et chaque fois. Tu ne l'écoutes pas, tu la regardes, mains en poche. Mais voilà, elle t'insulte et tu en rajoutes une couche Tu n'as plus d'argument donc tu insultes, sympa ta technique, je suis pas encore au stade insulte, tu m'en veux pas j'espère ? tu la cherches, tu veux la trouver, tu veux qu'elle te hait, comme tu la hais. Enfin la hair est un gros mot. Tu passes ta main dans tes cheveux, finalement, tu commences à t'énerver. Mais tu es calme, Hades serait fier de toi. Tu profites de la situation, pour hocher la tête Sinon, tu veux que je te plaignes ? Non parce que je m'en fiche en fait lâches-tu avant d'ajouter Mets toi par terre, j'adore quand on me supplie Phrase trop facile à placer, dis-tu avant de soupirer doucement mais tu soupires une nouvelle fois Je m'en fiche de tout ce que tu as pu faire, de parler futur. La seule chose que je garde en tête, c'est que tu es partie, parce que tu ne voulais pas être avec moi. C'est tout ce que je vois .. Lia Honnête ou malhonnête, tu ajoutes Et le pire c'est que j'y croyais que j'avais trouvé cette femme parfaite, mais tu as préféré repartir, te barrer en me laissant comme une merde dans mon mal. Et le pire dans tout ça, c'est que j'aurais du appeler, alors que c'était à toi de le faire. Tu n'as pas pris une nouvelle pendant 6 ans ! Alors, va te faire foutre Lia, mais pas par moi cette fois-ci.. préfères-tu ajouter. Dans ton récit, tu t'étais rapproché d'elle avant de l'avoir finalement comme tout à l'heure, à quelques centimètres d'elle, malheureusement. Comme si ton attirance pour elle était encore visible et voyante. Mais on parlait de Lia, pas de n'importe qui ...
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Se justifier, toujours se justifier. C’est un peu la technique ultime de Lia. Elle n’aime pas avoir tord. Qui aime ça en même temps. Pour elle, elle a raison, elle aura toujours raison. Butée, acharnée, têtue, elle veut avoir le dernier mot, elle veut avoir raison et qu’on lui donne raison. Son côté princesse, son côté enfant gâtée, parce qu’au fond, elle est toujours une enfant, perdue dans une vie qui semble hors de contrôle. Elle qui aime le contrôle ne fait que nager dans un océan de doute depuis ce fameux mois de janvier. « J’insulte pas. Idiot est un mot de liaison. » Là encore, toujours vouloir avoir raison. Mais il a raison Noah. Il a raison de lui faire remarquer ça. Ce n’est pas juste pour lui de voir son fantôme si bien partie revenir ainsi, sans la moindre annonce. « Va te faire foutre. » Là, elle le pense. Il se fout de sa gueule, il fait le connard, il fait l’odieux. Il sait tellement bien le faire. L’italien par excellence, le mec qui ne ressent rien, celui qui rend coup sur coup. Rien d’autre, rien de plus, rien de moins. « Mais jamais je ne t’ai dit que je ne t’aimais pas putain ! » Et c’est vrai. Jamais elle n’a prononcé ces mots, jamais elle ne lui a dit que son amour pour lui était mort, jamais elle ne lui a dit qu’elle ne voulait plus être lui. Mais elle ne pouvait plus. Elle n’était plus qu’une poupée cassée, une marionnette désarticulée, une sorte de coquille vide dans laquelle il ne restait qu’une sorte de mélange étrange de sentiments et de confusions. « Je n’ai jamais été parfaite Noah. Jamais. Tu me voyais parfaite alors que je suis loin de l’être. Une sacrée princesse chiante, ouais, j’assume. Mais parfaite non. Arrête de croire que je n’ai le droit à aucune erreur, de croire que je suis censée tout bien faire et ne pas merder royalement. » Leur deux corps l’un près de l’autre, leur respiration se mélangeant l’une à l’autre. Elle se retient Lia, elle se retient tellement de ne pas lui sauter au cou, de ne pas prendre son visage entre ses mains et de poser ses lèvres sur les siennes. « Je mourrais d’envie de revenir, de me faire pardonner. Et je l’ai fait. Je suis revenue, exactement deux ans après mon départ. Je m’en voulais tellement. J’en perdais encore plus le sommeil. Et tu sais quoi ? J’ai failli me faire violer deux jours après mon arrivée, pas loin de là où les bombes ont explosés. » Elle sent les larmes couler le long de ses joues, elle sent son coeur se serrer, elle entend sa voix se briser à plusieurs moments, mais non, elle est forte. Du moins, elle pense. « J’ai essayé Noah, mais c’était trop dur. Soit honnête avec toi même, tu aurais préféré que je reste en étant malheureuse, l’ombre du soleil que j’étais ou tu aurais voulu que je parte et remonte la pente, même loin de toi ? » Elle s’en fichait un peu de la réponse car le mal était déjà fait, mais elle avait quand même envie d’entendre sa réponse. Elle la devinait, mais Noah était très difficile concernant ses sentiments, ses émotions. Elle adorait ça, le fait que rien ni personne ne puisse réellement le blesser. Sauf qu’elle avait réussi cet exploit et s’en voulait tous les jours à cause de ça.
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