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CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith

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Ottis Heimann
Kaiden Winston
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ID CARD

Nom : weaver, le patronyme adoré, adulé, qui ouvre des potes et annonce un avenir doré. ◇ Prénom : chaol james, les parents ont trouvé drôle de donner CW comme initiales aux triplés. ◇ Âge : vingt-quatre années qu'il a vu le jour, la trentaine approche petit à petit sans qu'il ne veuille vraiment y penser. ◇ Date et lieu de naissance : le vingt-six août 1993 à paris, il pousse son cri après celui de son frère et de sa soeur, alors que sa mère épuisée rit de soulagement. ◇ Nationalité : franco-américain. ◇ Orientation sexuelle : bisexuel ? il en sait rien, et de toute manière, il assume pas, alors il préfère dire hétérosexuel. ◇ Statut amoureux : célibataire, il aime pas être volage malgré tout. ◇ Statut social : beaucoup trop riche. ◇ Job étudiant : aucun, pas besoin. ◇ Études majeures : administration ◇ Études mineures : économie

Code:
Chaol Weaver - 24 ans - septième année - administration (M) économie (m)

Chaol Weaver
feat lucky blue smith


ELIOT
la eliot c'est la maison de papa, la eliot c'es la classe à l'état pur, la bienséance, le prestige. la eliot c'est montrer qu'on est au-dessus du monde, et qu'on est pas forcément prêt à se baisser pour s'intéresser au monde d'en-dessous. chaol il est né pour la eliot, il le sait, il en rêve depuis qu'il a décidé de faire harvard. il veut côtoyer les princes et autres héritiers, marquer le monde de son empreinte et surtout il est prêt à tout pour que le nom de weaver fasse à nouveau partit des rangs des eliot.
DUNSTER
il veut dominer le monde chaol, alors s'épanouir au sein de la dunster sera certainement possible pour lui. il n'accepte que le meilleur de lui-même et des autres, il ne voit pas l'intérêt pour la médiocrité. que ce soit dans ses talents de pianiste ou son ambition de reprendre les rennes de l'entreprise familiale pour la rendre encore plus gigantesque, il sait qu'il veut arriver au sommet.
bien plus proche de sa famille qu'il ne l'avouera réellement jamais, le respect des siens est un élément essentiel qu'il saura apprécier au sein de la dunster... en plus de la présence de sa soeur.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
il était resté maître de lui évidemment. c'était ce qu'on attendait de lui, de toute manière, chaol weaver n'allait pas se mettre à paniquer à cause d'un malade se baladant sur le campus et décidant de faire souffrir de pauvres jeunes filles innocentes.
il n'avait montré qu'un sang froid à toute épreuve... mais dans le fond, son sang était bien plus d'encre. l'inquiétude lui enserrait constamment le coeur dès que charlie était hors de sa vue. il est presque certain que jamais il ne s'est autant entendu avec cael pour la surveiller, l'accompagner, la protéger. hors de question qu'elle ne se retrouve sans un des deux pendant cette période. et même s'il lui arrive encore de se réveiller en sursaut la nuit alors qu'il pense entendre un coup de feu, il ne peut être plus reconnaissant que d'avoir été prêt de sa soeur pendant cette terrible prise d'otage, son frère au bout du fil.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
il ne veut même pas en parler. même pas se souvenir. et pourtant, la cicatrice qui court en bas de sa colonne vertébrale est là pour lui rappeler ce terrible évènement. le sol qui tremble soudainement, et lui qui tombe, qui tombe de beaucoup trop haut. il perd connaissance alors, mais le cauchemar n'est pas terminé lorsqu'il se réveille. chaol ne sent plus ses jambes, et ça le terrifie. il voit sa vie s'effondrer. il voit également ses parents s'unir à nouveau, le faisant rapatrier à boston en un temps record, l'hospitalisant dans la meilleure clinique privée possible. il refuse de s'exprimer, il refuse d'affronter la vérité. il demande "am i going to be able to walk again ?" et y'a son monde qui cesse de tourner rond lorsqu'on lui répond "maybe. it's up to you." alors non, il n'a pas envie de discuter ou de s'apitoyer sur son sort. il devient le mec le plus désagréable du monde, avec tous ses proches -- et il s'en veut un peu dans le fond -- car il a l'impression que parler l'éloigne de son objectif. 9 mois en fauteuil. 8 mois de rééducation après qu'il en sorte. 6 mois qu'il est capable de remarche comme il faut, de courir, de faire du sport. la cicatrice est là depuis longtemps, mais la plaie est toujours bien ouverte quelque part.

TON ADMISSION À HARVARD
harvard c'était l'évidence depuis toujours. c'était l'excellence, c'était la famille, c'était l'avenir doré. des résultats plus qu'excellents au SATS qui ouvrent toutes les portes,
mais y'en a qu'une seule qui a intéressé chaol depuis toujours. il y avait tellement de choses qu'il voulait dire dans son essai, qu'il finissait par ne pas savoir quoi choisir,
quel élément lui permettrait de se démarquer, de s'assurer encore plus sa place au sein de l'établissement. il se plait finalement à raconter que son essai reposait sur ses ambitions futures et sa vision du nom weaver devenant un véritable empire grâce à lui.
en réalité, il a disserté sur sa passion pour le piano, son amour de la musique et tout ce que cette pratique artistique a pu lui amener. mais il préfère garder la vérité pour lui.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle laufeyson. et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à alice bb  CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 2474380249 . le lien avec charlie me manquait trop et j'ai beaucoup entendu parlé de ilh alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum. J'utilise lucky blue smith comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bonnie & tumblr. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par charlie weaver.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si scénario:
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8121]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t86049-m-le-numero-manquant-des-triples-weaver]►[/url] <span class="pris">LUCKYE BLUE SMITH</span> ◊ “ Chaol J. Weaver ”[/size]
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Un, deux, trois. Un, deux, trois. C’était toujours par trois, constamment. Ce n’était pas possible autrement. Ils étaient deux extensions de lui-même, deux coeurs qui battaient à l’unisson du sien. D’aussi loin qu’il se souvienne, il n’avait jamais été seul, il n’avait jamais été sans eux. Pourtant, cela finit par arriver. Parce que papa est à côté, que papa est grand et fort et que Chaol l’adule probablement un peu trop. La nouvelle fait pleurer sa mère, fait pleurer sa soeur, fait pleurer son frère. Il va aller habiter avec papa, le troisième. Il a envie de vivre avec lui, de pouvoir copier le moindre de ses gestes, de lui montrer qu’il est le meilleur. Ça le déchire de savoir qu’il ne dormira plus dans la chambre voisine de Charlie, qu’il n’entendra plus la respiration de Cael la nuit. Mais il sait qu’il en a besoin. Il le sent, dans le fond. Et puis il y a toujours le dimanche, les vacances et toutes les après-midi à courir dans le parc. Ils ne sont pas séparés, pas vraiment.

Tonnerre d’applaudissements, qui font se relever très légèrement les lèvres de Chaol. Il se lève, s’incline, face à ce public d’étrangers, de connaissances, de familles, de proches. Il est encore un peu dans son monde, perdu dans ses notes, dans sa passion. Le piano, cela fait autant partit de lui que sa famille. L’amour de sa vie, en quelques sortes. Il joue pour lui, pour les autres. Parfois il y les applaudissements d’une salle derrière sa partition, parfois il n’y a que le silence et ses larmes. Parfois, il reste seul avec lui-même, enfermé dans la salle de musique de la maison de son père, les perles salées dévalant ses joues et le coeur trop gros, au bord des lèvres. Parce qu’il sait qu’il y a quelque chose de pas normal, quelque part au fond de lui. Des fois, ça le prend à la gorge, alors que le professeur de français de son lycée dont toutes les filles sont amoureuses lui sourit. C’est comme de l’acide sur sa langue, lorsqu’il dit avec fierté que sa petite-amie est la plus belle personne qu’il n’est jamais vue. Parce que ce n’est pas le cas, ce n’est pas le cas car ce n’est pas elle qui hante ses rêves la nuit et ça le rend malade. Malade de ne pas être normal, de se pervertir l’âme et l’esprit, de ne pas suivre le chemin tracé. Alors il joue pour tout repousser au plus profond de lui, ou pour tout laisser sortir une bonne fois pour toute et tout oublier. Parce qu’il a une vie toute tracée et qu’il ne peut pas laisser ce problème se poser au travers de son chemin.  

Douleur dans son dos, dans ses épaules, dans sa nuque, et il était presque certain de ne plus sentir ses jambes. C’était un miracle qu’il se soit endormi dans cette position, vraiment. Se redressant doucement dans son fauteuil, il fit craquer douloureusement son cou, maudissant toutes les divinités qu’il connaissait. C’est en ouvrant les yeux qu’il remarqua sa soeur l’observant, ses yeux cernés et lourds, sa main toujours dans la sienne. Il s’était endormi en la veillant hier soir, comme cela était déjà arrivé plusieurs fois, comme cela ne devrait plus jamais arrivé pourtant. A chaque fois, il espérait que cette soirée serait la dernière. A chaque fois, il avait tord. A chaque fois, il avait peur qu’il s’agisse de la dernière soirée tout court, de la fin de sa vie et cela le terrifiait au-delà des mots. “What… what am I doing here ?” Silencieux, il se leva de son fauteuil, abandonnant sa soeur allongée dans son lit pour remplir un verre d’eau dans la salle de bain attenante. Il lui tendit le breuvage, et répondit finalement. “You called me last night. I brought you home.” “Thank you.” Elle semblait un peu perdu, mais sincèrement reconnaissante, et Chaol était certain qu’elle ne se rappelait pas le moment qu’il venait de lui raconter. Ça le brisait autant que cela le mettait en rage. “What time is it ?” “11. We’re having lunch with mom in an hour. I strongly advise you to get a shower, dress and put some make-up on. You don’t want her to know what happened last night, do you ?” Elle fit une grimace à sa remarque, terminant son verre d’eau. Il n’aimait pas spécialement mentir à sa mère, et il savait également que de couvrir ainsi Charlie n’était pas la meilleure chose à faire pour l’aider, mais il ne pouvait pas la laisser ainsi. “I’m not really hungry.” Il roula des yeux, lui reprenant son verre d’eau pour le poser sur le chevet, croisant finalement les bras. “I don’t care. You are going to get ready, go downstairs, smile and eat.” Elle le ferait, il le savait, elle n’avait pas le choix. Il ne lui laisserait pas le choix. Il ne la laisserait pas briser le coeur de leur mère. “Pull yourself together.” Et il quitta la pièce.

“Alright, now, one step at a time.” La douleur est là, présente, lancinante, constante. Il a les bras tendus, contractés, tentant tant bien que mal de se cramponner aux deux barres parallèles, alors qu’il se force à avancer. Vers l’avant. Toujours aller de l’avant. Même si ça fait un mal de chien et qu’il n’a jamais vécu de situation aussi humiliante. Le thérapeute est là, prêt à le rattraper, et sa soeur aussi, qui a tant insisté pour l’accompagner. Il voit l’inquiétude et l’espoir dans ses yeux, et ça le rend encore plus malade que son reflet de gamin estropié dans le miroir. Il ne veut pas qu’elle s’inquiète pour lui. Il veut qu’elle vive et qu’elle rit, pas qu’elle se fasse un sang d’encre et qu’elle reste aux petits soins pour lui. Il a plus que jamais l’impression d’être un poids, dans tous les sens du terme. Ça fait exploser des bulles de colère dans son ventre, trembler ses mains et cela suffit pour qu’il ne parvienne plus à se souvenir et le voilà au sol en un instant, sa chute amortit par les bras solides du médecin. Il fait immédiatement un mouvement pour écarter son torse de ses bras. “I’m fine.” Il est sec, antipathique, agressif même. On doit le détester dans toute la clinique, c’est certain, mais il s’en fiche. Sa soeur parle à l’homme, et soudain elle est agenouillée devant lui, ses grands yeux adorés empli de compassion. “He’s trying to help, you know.” Il détourne le regard, et celui-ci tombe sur ses jambes pliées sous lui. Le rouge lui monte aux joues. “I don’t need help.” Y’a la main fine de sa soeur qui se glisse dans la sienne. “Of course you do. And that’s alright. Everybody needs help at some point.” Il pince les lèvres, fixant son regard sur ces foutus jambes refusant de fonctionner normalement. Il a envie de hurler. De hurler contre le monde entier. “I don’t.” Elle serre sa main, et finalement il la regarde. Elle a les yeux qui brillent et maintenant il a envie de hurler contre lui-même. “Let him help you like you helped me. Chaol, please, for me. For all of us.” Parce que y’a elle, et puis y’a Cael aussi, qui passe bien trop son temps à s’occuper de sa famille que de lui-même et ça révolte bien plus Chaol qu’il ne voudra jamais l’admettre. Y’a maman, qui pense qu’il ne la voit pas pleurer. Y’a papa, qui fait comme si rien ne l’atteignait — si similaire à lui-même — mais qui fait tout ce qu’il peut pour que Chaol se rétablisse au plus vite. Alors il fixe sa soeur dans les yeux, soupire. “Alright. Let’s try again.” Et alors que l’autre homme s’approche, le sourire de sa soeur est sa récompense.

“Happy New Year.” Ils font tous les trois claquer leur coupes de champagne, alors que face à eux, le feu d’artifice illumine la Tour Eiffel de toutes ses lumières. Sur le toit de leur appartement parisien, les triplés profitent de cette nuit à eux, de cette nuit volée à leur vie à Boston. La France qui coule toujours dans les veines, même si ils ont quitté Marianne alors qu’ils n’étaient que des gamins. Il aime revenir ici, et encore plus avec ses moitiés. Il se fait embarquer dans un câlin groupé, le genre qui le fait râler pour la forme — il a une réputation à tenir après tout. Il sait qu’ils se déchirent parfois, et c’est souvent sa faute avec son caractère de merde. Mais l’important c’est qu’ils soient toujours là au final, unis comme les doigts d’une main, fêtant le début d’une nouvelle année ensemble dans la ville qui les a vu naître. “I love you guys.” Il roule les yeux à Cael. “Too cheesy brother.” Mais il n’en pense pas moins.  
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A moi CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 166564858 (bah quoi ? CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 550846730)
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Bienvenue, bon courage pour ta fiche CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 2593235929
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Lucky :hum:

Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche Vic
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Bienvenu sur le forum CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 1001568715
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la bienvenue encore une fois :heaart:
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Bienvenue parmi nous CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 1365124802
Good luck pour ta fiche and have fun CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 1230098378
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Bienvenue sur le forum, courage pour ta fiche CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 2474380249
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bienvenue CHAOL J. WEAVER ► lucky blue smith 2511619667
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