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Fifty shades of shit
— with MILABEL.
— with MILABEL.
• J'ai trouvé un adversaire à ma taille. Milena est autant, voir même plus joueuse que moi. Elle n'a rien à voir avec l'image que j'avais pu avoir d'elle par le passé. Elle est loin d'être cette fille hautaine, qui ne pense qu'à sa gueule et qui a pour seule envie de détruire tout ce qui l'entoure. Je m'étais trompé, j'avais collé une mauvaise image sur elle en pensant qu'elle était comme sa sœur, tout simplement. C'était faux. Elle était bien plus intéressante, bien plus drôle, bien plus joueuse. Elle était parfaite pour moi, d'une beauté impressionnante, elle savait me faire plaisir, comment me parler, comment me faire rire, et surtout... Comment me chauffer. Entre nous, il y avait toujours une tension sexuelle incontrôlable. Comme des adolescents en rute on ne pouvait pas se passer des lèvres de l'autre. je ne pourrais pas l'expliquer, c'était comme ça. Et là, ce film qu'elle m'avait emmené voir, c'était autre chose, un autre niveau. Je me retrouvais en plein milieu de la salle de cinéma à lui caresser la poitrine comme si de rien était, à vouloir lui sauter dessus, lui arracher ces vêtements, comme les bêtes sauvages que nous étions. "Elle l'est, te fait même pas de soucis pour ça..." Son corps est parfait, je n'ai rien à redire dessus, elle est bien plus belle que j'aurais pu l'espérer. C'est limite si elle ne me monte pas dessus, sauvagement, elle m'embrasse, sa langue joue avec la mienne, elle fait passer toutes ces envies dans ce baisé, et nous connaissant, ça va mal finir. Alors j'arrête tout, lui proposant de sortir d'ici, tout de suite. Et elle accepte, sans se poser de question. On se lève, on se dépêche de sortir d'ici, mais comme à son habitude, elle y retourne, elle a oublié son sac. Elle finit rapidement par revenir, un sourire aux lèvres, je la tire avec moi dans les longs couloirs à la recherche d'un endroit. "Bon... Allez... Bas les couilles on nous verra pas au moins..." Que je lâche en regardant la porte des toilettes. On a pas d'autres choix, on a pas le temps de retourner à l'appartement. Je la tire par la main, poussant la porte regardant à droite mais aussi à gauche, et je referme rapidement la porte. "On est crades quand même..." Un sourire aux lèvres, je m'approche doucement d'elle, frôlant ces lèvres. •
© LOYALS
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