Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitysister of my soul, friend of my heart (louisance)
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


sister of my soul, friend of my heart (louisance)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 
« Je vais avoir du retard, attends moi » avait-elle envoyé à son amie avant de rentrer dans la maison de Camille.

Louison venait d’avoir une vive discussion avec son petit-ami, c’était donc le moral dans les chaussettes qu’elle avait retrouvé tardivement l’appartement de sa Constance adorée. La blonde ne dormait plus très bien, jonglant entre les souvenirs vécus avec son ex, Camille, Enzo et d’autres personnes qui avaient compté pour elles, mais qui avaient disparu. Sa consommation de drogue ne cessait de croître, la rendant de plus en plus sensible, agressive, lunatique. Louison luttait pourtant pour que personne ne s’en aperçoive, mais cela commençait à faire beaucoup. Elle songeait ainsi à tout plaquer, à partir rejoindre Carter en Australie ou la France, même si cela revenait à retrouver ses parents terribles. Toquant plusieurs fois à la porte pour prévenir la Cabot de son arrivée, elle enfonça sa clé dans le verrou et pénétra ensuite au domicile de Constance qu’elle retrouva dans le salon. Fatiguée et au bout de sa vie, Louison lâcha lourdement ses sacs sur le sol et fonça à toute vitesse sur la brune pour la serrer dans ses bras « J’en ai marre, j’veux disparaître et ne plus être aussi paumée » déclara-t-elle, la voix brisée. Elle éclata ensuite en sanglots contre la poitrine de la française. Elle savait très bien que Constance allait trouver les mots justes, ou de quoi la remettre sur pieds. C'était presque sa soeur, celle qui la connaissait aussi bien que Camille et avec qui elle n'avait au moins jamais couché... 

@Constance A. D'Orléans
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 
Aujourd'hui était un jour spécial. Constance et Louison allaient être enfin réunies. Depuis son départ en France quelques mois plus tôt, la brune était très loin de deviner que son amie allait mal. C'était lorsqu'elle avait finalement reçu un texto alarmant que la princesse avait décidé de revenir enfin à Harvard pour pouvoir apporter tout son soutien à sa blonde préférée.
Mais depuis son retour, elles n'avaient pas non plus réellement eu le temps de se voir, de prendre du temps pour elles et de parler, tout simplement. Constance espérait plus que tout pouvoir aider la jeune femme et la sortir un peu de sa torpeur. Louison était certainement la personne à laquelle la princesse de France tenait le plus en ce qui concernait ses amis. Elle ne permettait pas qu'on puisse lui faire du mal et elle aurait bien volontiers écrasé ses poings quand quelques tronches mais elle n'était pas certaine que cela rende service à la Mather. Elle avait donc décidé de se tenir à carreaux; cela dit, elle était toujours là lorsqu'elle avait besoin d'elle.
Les deux amies avaient donc convenu de se retrouver aujourd'hui dans l'après-midi chez Constance. Cette dernière avait tout prévu, allant de la bouffe grasse à souhait au vin qui allait accompagner leurs discussions endiablées.
Quelques temps après avoir terminé les préparatifs, elle entendit taper à sa porte mais ne bougea pas; depuis une année déjà elle avait filé le double de ses clefs à la frenchy, lui faisant entièrement confiance. Mais lorsqu'elle la vit franchir le seuil de l'appartement pour foncer à toute vitesse vers elle en pleur, Constance en eut le coeur brisé. Elle l'accueillit sans rien dire, contre elle, la serrant affectueusement, passant la main dans son dos pour tenter de la calmer et de la réconforter. Pendant quelques minutes, elle ne dit rien, laissant Louison pleurer. Parfois cela faisait du bien, on avait toujours besoin de se lâcher à un moment. Délicatement, elle entraîna ensuite son amie pour la faire asseoir sur l'imposant canapé d'angle:

- Viens là, ça sera mieux pour que tu me racontes.

Enfin si la blonde avait envie de lui parler. Car si jamais elle préférait se taire, elle le comprendrait totalement. Mais la princesse se doutait que Louison n'allait pas rester muette bien longtemps; elle sentait qu'elle avait besoin de parler et elle espérait qu'elle allait le faire...

- J'te jure... Qui que ce soit, ils vont morfler !

Oui Constance pouvait être assez sanguine parfois. Mais elle ne supportait pas de voir sa meilleure amie d'enfance souffrir ainsi à cause de connards:

-Lou' tu peux rester ici autant que tu le veux si tu le désires... Mais ne disparaît surtout pas !, ajouta-t-elle en la serrant une nouvelle fois dans ses bras.
 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les yeux embués, Louison s’effondra sur le canapé de son amie, reniflant fort, la regardant avec une profonde détresse qu’elle ne savait plus camoufler. Elle lâcha pourtant un rire étranglé en apercevant la princesse s’énervait contre ceux qui l'avaient potentiellement mis dans cet état. « C’est moi qui m…mérite de morfler » chouina-t-elle en creusant ses paupières de ses doigts pour retirer des larmes qui s’accumulaient « C'est fou ! Tout le monde sait que je disparais quand ça ne va pas on dirait » En effet, ce type de réflexion lui faisait irrémédiablement penser à sa précédente relation et ses nombreuses fugues qui avaient mené à sa perte « T’inquiète pas, je compte rester ici, pour le moment. Je vais faire un effort pour ne pas prendre la poudre d’escampette comme on dit chez nous » arriva-t-elle à articuler en se jetant en arrière pour s’avachir sur le sofa. Du coin de l’oeil, elle observa Constance et soupira longuement « J’crois que c'est fini avec Camille, je tiens énormément à lui, mais je sens que je me suis précipitée, que certaines choses en moi ne sont pas réglées. J’ai besoin d’être seule, je n’ai pas eu l’temps de l’être tu vois… » Effectivement, Louison n’avait pas réellement fait le deuil de sa précédente relation, ni du bébé qu’elle avait perdu. Tout s'était enchaîné très vite et aujourd'hui, elle voulait s'écouter et se sentir juste libre. « Ça me saoule, Camille est finalement un bon amant, moi qui avais des doutes, mais c’est avant tout mon ami, je n’arrive pas à dépasser cette sorte d’étiquette. Je m’y autorise peut être pas… Pfffiou donne moi à boire, quelque chose de fort »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)