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the end. (camison)

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C'est normal que je pense que tout est du faux avec Louison. Elle me jette pour y voir plus clair, moi qui ai pensé que tout été déjà bien clair dans sa tête, je constate que ce n'est pas du tout le cas. La repoussant sur le canapé, je me lève pour ne pas avoir à être à côté d'elle, ne posant pas même un regard sur elle. Non, ce que tu veux, c'est juste profiter d'être seule pour aller baiser à droite et à gauche. C'est vrai ou qu'elle me dise clairement le contraire. Je finis par la regarder, cette dernière venant m'embrasser, je ne la repousse pas mais ne réponds pas du tout à ce baiser. A la fin de celui-ci, je m'écarte, continuant ce que je veux dire : Je pense que je suis mieux célibataire qu'en couple, c'est sûr. Ouais, je peux peut-être l'appeler Ivy numéro deux. En tout cas, elle le sait que je ne vais pas l'oublier... Je ne peux pas oublier toutes ces années qu'on a passé ensemble, après tout.
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Les raisons de cette rupture étaient bien trop difficiles à exprimer pour la française. Elle ne voulait pas voir la vérité en face, cette vérité juste devant ses yeux, dans ses rêves. Ezio la hantait trop pour être totalement disponible. Si elle voulait avoir l’occasion de refaire sa vie une bonne fois pour toute, une conversation avec l’italien s’imposait. Louison fut alors offusquée par les propos de Camille, ce n’était absolument pas ce qu’elle avait en tête à cet instant. Qu’il puisse penser une telle chose avait finalement réussi à la faire parler « Non c’est pas ça… » La blondinette dévastée déposa ensuite un léger baiser sur les lèvres de Camille marquant un au revoir. Elle avait flingué leur relation si pure, parce qu’elle était juste faible. Elle s’en mordait déjà les doigts, mais c’était le plus juste à faire. « Dis pas ça… T’es un mec en or, j’suis peut être pas faite pour toi, pas maintenant, jamais, j’en sais rien. Ce qui me fait le plus mal c’est ce regard là, enfin, tu me regardes même plus… Je le mérite t’façon » Louison rattrapa son sac à main, secoua sa tête bonde en tournant les talons vers la sortie « J’serais toujours là pour toi… J’espère que tu me pardonneras et que j’aurais la force de rester dans l'coin » La Mather étouffa un sanglot et quitta la maison à toute vitesse. Les larmes dévalèrent le long de ses joues une fois à l’extérieur. Son coeur était prêt à imploser, il ne restait désormais plus rien de ce bout de femme minuscule. Ce monde d’hommes l’avait englouti. Elle fonça alors s’abriter dans sa voiture et hurla de toutes ses forces en tabassant son volant. Le huit février deux mille dix huit, on pouvait dire que Louison Chamberlain retrouvait sa liberté, malheureusement, au fond d’elle, elle était encore enchainée à un homme.      
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