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B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård

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Nom : il porte les noms de ses deux parents. gaultier pour sa mère, un nom qui dévoile sa nationalité française. elle se retrouve également dans le nom de son père, flaubert. un nom qui ne sera pas inconnu pour les passionnés de littérature française, il a hérité du talent de son ancêtre. ◇ Prénom : de son premier prénom baron, un prénom qu'il n'utilise jamais, un prénom qu'il trouve trop éloigné de sa personnalité. ce prénom qui reflète la bourgeoisie, un titre de noblesse alors qu'il ne possède ni l'un ni l'autre. il préfère se faire appeler par son second prénom, le seul qu'il utilise, valentin. un prénom beaucoup plus passe partout, plus simple à porter. ◇ Âge : ça fait maintenant vingt-trois ans qu'il traîne ses baskets sur le bitume. il ère dans les rues avec un esprit imaginatif, il ère dans l'espoir de trouver de nouvelles histoires à tisser au fil de ses ballades. ◇ Date et lieu de naissance : il est né dans la capitale de la mode, paris, en france. le 21 juin 1994. ◇ Nationalité : française. quand ses parents sont venus s'installer aux états-unis il s'est toujours raccroché à son pays en se jurant y revenir. ce qu'il a finalement fait. mais malgré son retour sur le sol américain il continuera de chérir son pays natal à travers sa nationalité. ◇ Orientation sexuelle : hétérosexuel. il n'a jamais éprouvé la moindre attirance pour les corps masculins, pour les âmes masculines. seules les femmes parviennent à toucher son cœur.  ◇ Statut amoureux : et parmi ces femmes il n'y en a qu'une seule qui a réussit à lui arracher son cœur de sa poitrine, à l'enfermer dans une petite boîte et à la sceller à tout jamais. c'est peut-être pour elle qu'il est de retour aux états-unis. il est célibataire actuellement, mais il garde secrètement l'espoir de la reconquérir. ◇ Statut social : dans la moyenne. il n'est pas pauvre, ses parents n'ont pas besoin de cumuler plusieurs boulots pour subvenir à leurs besoins. mais il n'est pas assez riche pour se priver d'une bourse ni pour se tourner les pouces. sans sa famille il serait considéré comme pauvre. ◇ Job étudiant : il est assistant en langue française dans un lycée de boston. à côté de ça il gagne également un peu d'argent en participant à des concours littéraires, c'est d'ailleurs grâce à l'un de ces concours qu'il a réussit à trouver l'argent pour revenir aux états-unis et payer le reste de ses frais de scolarité. ◇ Études majeures : il est étudiant en langue et littérature française et il excelle dans son domaine évidemment puisqu'il part avec un avantage, sa maîtrise parfaite de sa langue natale. il rêve de devenir écrivain, de coucher sur papier des mots anglais, des mots français. ◇ Études mineures : religion. il a besoin d'obtenir des réponses sur tout ce qui touche à la religion, il a toujours voulu étudier les textes religieux, les creuser, les comprendre. peut-être qu'il a envie de percer leurs mystères, d’apporter une nouvelle lecture pour permettre aux gens de s'aimer plus facilement, faire tomber les jugements biaisés.

Code:
B. Valentin G-Flaubert - 23 ans - cinquième année - langue et littérature française (M), religion (m) - assistant de langue française en lycée.

B. Valentin G-Flaubert
feat Bill Skarsgård

Student
les confréries c'est quelque chose qui le dépasse. valentin il a besoin de sa solitude, il a besoin de garder ce brouillard mystérieux qui l'enveloppe dès qu'il se déplace dans les couloirs de l'université. valentin il n'a pas d'attache, pas d'appartenance à un groupe d'individus. dans la tête de valentin ça sonne mal les confréries, ça tambourine dans ses oreilles en hurlant « règles et lois ». les confréries c'est des codes, c'est des ressemblances. pour entrer dans une confrérie il faut ressembler à ses pairs. valentin refuse d'être comme les autres, de répondre à des règles érigés par des confréries. valentin il veut vivre sa vie à travers ses rêves, à travers sa propre volonté. il veut pas ressembler à tout le monde. il vibre pour l'originalité, il vibre pour sa liberté. il ne veut pas d'alliances, il ne veut pas d'ennemis. il veut simplement poursuivre sa scolarité en se détachant de la foule par son talent, pas pour être ce mec de cette confrérie. simplement pour sa plume.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
il faisait ses études en france lors des agressions. lui il est passé devant la télévision lorsque l'information passait en boucle, il n'était pas forcément intéressé au début alors il s'était contenté de passer son chemin. puis il était revenu sur ses pas parce que le nom de l'université l'avait interpellé. harvard ? il ne voulait pas y croire au début, parce qu'une personne qui lui était particulièrement précieuse y faisait ses études. alors ce jour-là il avait attrapé son téléphone portable pour appeler cette amie mais l'avait finalement mollement lâché sur le canapé. parce qu'il s'était montré lâche, qu'entendre sa voix aurait remonté beaucoup trop de souvenirs. mais de la france chaque jours il se posait devant sa télévision, devant son ordinateur, pour connaître les dernières informations à ce sujet. parce qu'il mourrait de peur pour elle, parce qu'il avait pas envie de la savoir mêlée à ce terrible cauchemar. et il culpabilisait de ne pas avoir plus insisté pour la faire venir en france avec lui. ils les avaient tellement mal vécu ses agressions et prises d'otage. il en avait eu des sueurs froides, en avait fait des cauchemars. il avait pleuré. il avait été désemparé par la méchanceté humaine. et pourtant lui il n'était pas présent, lui il était à des milliers de kilomètres plus loin.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
les évènements catastrophiques faisaient partis des choses qui ne pouvaient pas le toucher. du moins c'était sincèrement ce qu'il pensait, que ça pouvait arriver aux autres mais pas à lui. tout comme les agressions il était toujours en france à ce moment-là. mais dans les rues parisiennes il entendait les murmures, il entendait les doutes et la surprise. dans les rues parisienne il a connu la peur, à nouveau. la peur de perdre l'être aimé. il avait toujours naïvement cru que ça n'arrivait qu'aux autres. l'idiot. il pouvait facilement imaginer la peur dans les yeux des étudiants, les cris dans la célèbre université, pendant que lui était en sécurité dans les rues de la capitale de la mode. mais il pouvait rien faire. rien faire excepté fermer les yeux et prier. espérer. pour eux, mais surtout pour elle. puis ça s'était terminé. c'était cruel mais ces gens ils ne les connaissaient pas, son empathie s'était envolée au bout de quelques jours. parce qu'il était impuissant.

TON ADMISSION À HARVARD
c'était con comme choix harvard simplement pour retrouver son premier et unique amour. mais c'était aussi une chance pour réaliser ce rêve qu'il nourrissait depuis des années. son nom sur le dossier d'inscription n'était peut-être pas totalement inconnu par l'équipe enseignante de la célèbre université. ce nom qui parcouraient les lèvres dans un murmure, comme si il ne devait être prononcé. le nom du descendant de l'écrivain français, celui qui avait hérité de son talent et de sa plume enchanteresse. mais qui ne deviendrait peut-être pas écrivain de renom parce qu'il était trop instable. mais il était un bon élève valentin, le petit rat de bibliothèque. c'était pas son truc les matières scientifiques néanmoins, mais qui refuserait de devenir le marionnettiste du petit génie littéraire. il posait les mots sur du papier pour inviter ses lecteurs dans un voyage envoûtant. dans son cerveau les informations se bousculaient sans cesse, ils les triaient avec une facilité déconcertante. ses écrits avaient enchanté les membres du concours, pouvaient-ils seulement s'attendre à quelque chose d'autre de la part du flaubert ? autre chose que du génie littéraire. qu'une vision rafraîchissante et poétique de la religion. il s'était plié en quatre pour obtenir cette bourse qui lui permettrait d'intégrer harvard. il avait multiplié les nuits blanches pour gagner le concours littéraire qui lui avait permit de payer le reste de ses frais de scolarité. harvard ça sonnait comme une élite. dans sa bouche harvard n'était que le premier mot d'une longue histoire dans laquelle il était le protagoniste principal.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle chloki et j'ai vingt-et-un ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à sa popularité. Je suis déjà présente sur le forum sous les traits de hae-seong choi (+ winthrop house). J'utilise bill skarsgard comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par AILAHOZ. Je fais environ x mots par RP et mon personnage est un personnage inventé mais vu avec chloé e. mendes.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si personnage inventé:
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8094]►[/url] ► <span class="pris">Bill Skarsgård</span> ◊ “ B. Valentin G-Flaubert ”[/size]
si scénario:
Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ◊ “ Pseudo ”[/size]
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≈ ≈ ≈
{derrière ta cigarette,
dans mon cœur t'as fais un tabac}
crédit/ tumblr


(avant la naissance). et y'avait ce petit couple heureux, cette petite maison. y'avait aussi ce petit chien qui courait dans ce petit jardin derrière la petite véranda. y'avait ce nom de famille qui attirait les regards, ce petit héritage dans le creux de son ventre à cette petite femme. la vie du couple gaultier-flaubert était jusqu'alors ponctuée de petits évènements sans importance, des bons comme des mauvais. des moment qui viennent des moments qui repartent. et cette petite vie tranquille elle leur convenait, parce qu'ils n'avaient jamais demandé à avoir plus que ce qu'ils n'avaient déjà. lui il pensait avoir réussit sa vie parce qu'il était à la tête d'une petite entreprise d'imprimerie. quatre ou cinq employés sous ses ordres et il pensait déjà à révolutionner le monde. elle, elle pensait avoir réussit sa vie parce qu'elle était infirmière à domicile. elle soignait les malades, et elle pensait déjà à trouver des remèdes aux plus grands maux humains. et leur bonheur était fleurissant ; voilà ça leur était tombé dessus, ça c'était imposé à eux. et ça se matérialisait sous la forme d'un ventre qui s'arrondissait aux fil des jours. et la petite famille, qui pourtant était toujours heureuse, souriait encore plus, ouvrait les fenêtres en grand pour faire entrer le soleil. le soleil n'était pas aussi rayonnant que leurs visages néanmoins. puis le verdict du médecin était tombé, ils attendaient un petit garçon. le sexe de l'enfant n'était qu'une variable sans importance dans leur bonheur sans limite. tout était parfaitement en ordre dans la capitale française. ils n'étaient rien de plus qu'un petit couple vivant dans une petite maison avec un petit chien. une famille qu'un petit être allait bientôt rejoindre.




≈ ≈ ≈
{on fera sûrement naufrage,
mais on aura au moins essayé}
crédit/ tumblr


(neuf ans). il avait toujours aimé les rentrées scolaires, baron. pourtant ça sonnait pas comme une douce mélodie joyeuse dans sa tête. ça sonnait comme un cri sinistre qui lui vrillait les tympans et faisait trembler son corps frêle. la rentrée des classes rimait avec le jour des présentations. son nom à lui était connu de tout le monde, du moins son deuxième nom. parce que gaultier c'était un nom commun, y'avait plein de gamins portant ce nom là dans son école. mais flaubert. flaubert ça sonnait comme une brise légère qui te caresse tendrement le visage et se transforme brusquement en tempête ; flaubert c'était un nom qui lui parlait, qui expliquait sa plume prodigieuse à seulement neuf ans. flaubert c'était aussi la cause des moqueries incessantes. mais ils ne comprenaient pas, les autres enfants. ils comprenaient pas que plus ils se moquaient de lui, plus il se recroquevillait dans sa bulle, dans son palais mental. plus il brodait ses histoires dans un coin de sa tête. la solitude avait depuis bien longtemps glissé ses bras autour de son corps d'enfant. les phrases de ses copains, leurs demandes pour aller jouer dehors n'étaient plus que des murmures que soufflaient parfois encore les murs de la maison. évaporés dans l'air, les éclats de rire des enfants dans la petite maison. il ne restait plus que baron et ses livres éparpillés sur le sol. et voilà que son nom prononcé par sa professeur le tira de ses rêveries. provoqua des rires. mais des rires qu'il balaya d'un geste las de la main alors qu'il s'avançait dignement. peut-être que les autres enfants le prenait pour un extraterrestre. peut-être qu'il avait qu'un seul ami, aussi bizarre que lui. mais c'était la rentrée des classes, ça rimait avec le jour des présentations et pour lui flaubert était la source même de son existence, de son bonheur.




≈ ≈ ≈
{alors courons sur la plage,
avant qu'un autre t'accoste}
crédit/ tumblr


(quatorze ans). on l'avait arraché à son pays. une déchirure terrible qui s'agrandissait dans sa cage thoracique, un vide qu'il ne pouvait combler qu'en faisant danser ses doigts sur des feuilles de papier vierges. il essayait de retranscrire la vue de sa chambre en couchant ses mots à plat, du noir sur blanc. mais il avait abandonné, il avait baissé les bras, craché son dernier espoir. les souvenirs qui dansaient derrière ses paupières closes allaient finir par s'estomper au fil des jours, des mois puis des années. il avait déjà l'impression de les laisser s'échapper, lorsqu'il devait se concentrer plusieurs minutes pour dessiner dans son esprit le tracé d'un visage de son passé. des fantômes de son passé. arraché de la france, de la terre de son ancêtre. le sang de l'écrivain qui coulait dans ses veines, qui le rattachait à son génie littéraire. tout cela ne rimait plus à rien, plus aucun sens. tout s'était effondré dans la petite vie tranquille de la petite famille. la faillite. tout était parti de la faillite de l'imprimerie du père. mais le père il avait un petit partenariat avec la ville de seattle, un petit partenariat qui sonnait comme une seconde chance, une renaissance. sauf que baron il continuait d'avoir ce déchirement au cœur lorsqu'il traînait ses baskets sur le bitume. il l'avait pas demandé le rêve américain. il avait été traîné, il avait ravalé des sanglots, il avait abandonné. les vacances d'été avaient depuis ce jour un arrière-goût amer au creux de sa bouche. les soupirs qui roulaient sur ses lèvres s'étaient multipliés cet été là. il avait posé sa plume sur un coin de son bureau cet été là. il s'était accoudé à la fenêtre de sa nouvelle petite chambre, dans sa nouvelle petite maison avec leur nouveau petit chien. il avait relevé la tête vers la lune cet été là, en espérant que dans son pays natal son ami relevait la tête vers le soleil. sa dernière attache, alors que ses cahiers étaient resté fermés cet été là. que le trou béant au creux de sa cage thoracique n'avait cessé de s'étendre. le néant. alors que sa passion pour l'écriture s'était échappé entre ses doigts, pour mourir entre les murs de la petite maison française, la petite maison de son enfance.




≈ ≈ ≈
{ne te découvre pas d'un fil,
tu rendrais amoureux ton miroir}
crédit/ tumblr


(dix-sept ans). dans ses cheveux blonds il aimait glisser ses doigts, dans son regard aux iris bleutés il aimait se perdre. de la voir tournoyer dans ses bras il ne se lassait pas, de relever la tête lorsqu'elle entrait dans son champ de vision il ne pouvait cesser. la sensation de ses doigts qui dansaient sur sa peau était enivrante. il aimait glisser ses lèvres dans son cou, respirer la délicate odeur qui émanait de sa peau. cette odeur enchanteresse qui lui retournait le cerveau. à leur première rencontre il avait couché sur papier les mots qui avaient encombrés son esprit. il gardait intact le souvenir de leur première discussion, lorsque de sa voix profonde il avait prononcé son prénom. valentin. elle l'avait presque envoûté. de ses papillons qui virevoltaient dans le creux de son ventre lorsque son regard croisait le sien. il avait apprit à l'aimer, à ancrer la délicatesse de ses traits derrière ses paupières closes. penser à elle avant de dormir était devenue une habitude. la jolie chloé dont les courbes féminines attiraient son regard comme un aimant. elle était devenue sa muse, son inspiration. il avait tapé sur l'ordinateur tous les mots qui se bousculaient dans sa tête. c'était elle son oxygène, sa renaissance. il ne traînait plus ses baskets sur le bitume de seattle depuis qu'elle était entrée dans sa vie. ses lèvres retrouvaient la sensation d'être tirée en un sourire joyeux. ses doigts dansaient à nouveau sur les feuilles de papier, sur les touches des claviers. ses veines se gonflaient à nouveau du sang de son ancêtre. sa respiration était moins saccadée, ses yeux se levaient moins vers la lune en priant que de l'autre côté existait quelqu'un pour lever les yeux vers le soleil. parce que le soleil se matérialisait devant ses yeux sous les traits de la jeune femme. son cœur se gonflait de ses sentiments amoureux. le rêve américain il l'avait pas demandé. mais elle le rendait plus agréable à conquérir lorsque ses doigts entrelaçaient les siens, dans ce geste désespéré de lui faire partager son amour.




≈ ≈ ≈
{donc si aujourd'hui je plonge,
dans l'amour en criant à l'abordage}
crédit/ tumblr


(dix-huit ans). son dos glissait contre le mur de son appartement parisien, ses jambes lâchaient le poids de son corps. de ses yeux s'échappaient des torrents, des larmes qui coulaient le long de ses joues pour choir sur la moquette. sa respiration saccadée, sifflante. il avait l'impression désagréable que son cœur allait s'arracher de sa poitrine, tambourinait jusqu'à ses oreilles, remontait jusqu'au bord de ses lèvres. il était toujours ce petit enfant que la solitude avait enveloppé de son long manteau noir. dans le creux de sa main trônait l'anneau de l'amour déchu. la lâcheté se mêlait dans son sang, avait durcit son cœur. il ne ressentait plus rien, seulement de la douleur. seul dans cet appartement parisien, pour renouer avec cette vie qui lui manquait dans son pays natal. mais il était naïf. ce n'était plus vivre, c'était survivre. sans ses parents. sans elle. elle. dont les cheveux blonds lui échappaient. dont les nuances de ses iris s'estompaient dans son esprit. les souvenirs se fanaient comme la tige de fleur qui leur servait d'anneau. un symbole qui tombait en poussière. comme leur amour, parce qu'ils avaient prit des destinations différentes. le trou béant s'était à nouveau crée dans le creux de sa poitrine, lui avait coupé le souffle, arraché son dernier soupir de bonheur. pour le plonger entre des murs noirs, des murs sans vie. il n'avait plus de bouée à laquelle se raccrocher. se raccrocher dans la mer salée de ses larmes qui ne cessaient de couler. ses pommettes douloureuses, ses cris de désespoir contre les murs noirs. le cœur qui se serrait dans sa cage thoracique. cette fois il s'était arraché tout seul à la vie qu'il menait, et il avait encore une fois tout perdu. mais il n'avait pas lâché l'écriture cette fois-ci. sa tristesse sur le papier, les voyages dans les profondeurs de son mal, dans les abysses du vide béant formé dans sa poitrine. voilà ce qu'étaient les nouveaux sujets du descendant de flaubert.




≈ ≈ ≈
{à nos poisons d'avril,
nous deux c'est pire que la mer à boire}
crédit/ tumblr


(vingt-et-un ans). c'était peut-être une erreur. troquer sa brune pour sa blonde. les sentiments tourbillonnaient dans son esprit sous l'ivresse du moment. ses doigts parcouraient le corps dénudé de la blonde. la brune, elle, n'avait la droit à aucune pensée. pourtant elle avait craint, il avait promit. elle avait craint de le voir avec son ex, celle qui avait été sa renaissance. il avait promit de ne pas la croiser. promesse envolée, amour effacé pour la petite parisienne. il avait chuté dans ses bras. ses doigts glissaient à nouveau dans sa chevelure blonde, ses lèvres dansaient dans son cou, son odorat retrouvait sa délicieuse odeur fruitée. enivrante. son cœur battait au même rythme que le sien, ses doigts glissaient entre les siens pour lui prouver la force de son amour. l'amour qui continuait de tambouriner dans son esprit. cet amour qui signait sa perte, sa fidélité envolée. le valentin romantique, mystérieux. la marionnette de l'amour, des sentiments. il allait culpabiliser. il allait sentir son souffle se couper en posant son regard sur le visage de sa petite-amie. un sanglot allait se bloquer dans sa gorge en mettant fin à cette jolie petite relation. mais son vrai amour il dansait là dans ses bras, sous son torse musclé. ses lèvres scellaient contre les siennes, le souffle court. les souvenirs dans la tête. une seule et unique fois. mais elle avait été suffisante pour chambouler toute sa vie, pour la remettre en question. pour le faire douter à l'aéroport. mais malgré la délicate odeur sucrée, malgré les rayons de soleil dans ses cheveux d'or. malgré l'amour. il était à nouveau parti, dans un déchirant sanglot.





≈ ≈ ≈
{enlève tes bas, tes hauts,
t'es si jolie tu me rend dingue}
crédit/ tumblr


(vingt-trois ans). c'était un nouveau départ qui s'offrait à lui. deux ans à subir le silence de la solitude dans son appartement parisien, à ne plus poser son regard sur les corps féminins. ses mains parcourant les pages vierges pour y déverser les mots qui filaient dans sa tête trop pleine d'histoires, de poèmes. les histoires ils les avaient tissé au fil des jours. maintenant, il avait grandit. il avait grandit au rythme de l'écriture, de sa passion. il avait grandit en construisant un rêve dans lequel se réfugier lorsque la douleur de la solitude devenait trop difficile à supporter. mais il avait trouvé sa réponse. la réponse elle se matérialisait toujours de la même manière. sous la forme d'un sourire. de fines lèvres rosées. d'un rire mélodieux. d'une chevelure blonde qui tournoyait dans l'air. des nuances bleutés d'un regard envoûtant. sa réponse il la caressait du bout des doigts, il n'avait plus qu'à refermer la main dessus et s'y accrocher. pour ne se perdre à nouveau. et cette fois son rêve américain c'était lui qui l'avait demandé, qui allait le réaliser à sa façon. au rythme de ses mots, au rythme de leurs regards. et la peur au ventre, mais une peur douce et rassurante il était grimpé dans l'avion.



{je veux ton corps mon trésor,
je t'attends sur l'autre rive}




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AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2931463659  Je t'aime ma marmotte :ôô:
Je vais t'harceler de fou face Bref, rebienvenue petit caca  B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 3363626789 Ton fils t'attends, wsh, dépêche toi de me finir tout ça Je suis déjà amoureuse (emo)
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Bon courage pour ce nouveau perso B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 3850463188
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Re-bienvenuuue parmi nous ! B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 3997999705 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 1230098378
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Rebienvenuuuuuuuuuuuuuuuuue B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 3850463188 B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 2511619667
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53977
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Rebienvenue B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 1f609
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård UqVihWUg_o
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(re)Bienvenue. :heaart:
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Re bienvenue brooo B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 3850463188:heaart:
J'adore tellement le pseudo hanwii
Courage pour ta fiche B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 3850463188
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Re Bienvenue parmi nous B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 1365124802
Good luck pour ta fiche and have fun B. VALENTIN G-FLAUBERT ► Bill Skarsgård 1230098378
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