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Tu ne sais pas trop où vas ta vie sentimentale en ce moment, et puis il y as aussi Camila qui est enceinte et complètement flippé, tu l'aide du mieux que tu peux, mais rien n'est simple, ni pour elle, ni pour toi. Et puis il y à Cléolya aussi, qui viens tout juste de subir une opération, tu soupire, rien ne vas visiblement et pour personne. Tu fini par prendre ton portable et après un bref échange de messages avec ta chérie, tu file de préparer pour lui rendre visite à l'hôpital. Tu veux être auprès d'elle, savoir comment elle vas, et la voir de tes propre yeux, pas entendre Pierre, Paul ou Jacques te dire qu'elle ce remet plutôt bien de son opération. Lissandre te conduit donc devant l'enceinte médicale et tu ne décroche pas un mot, tu as repris depuis peu un allure classe, sereine, un vraie fille à papa très riche et distinguée. Pourquoi ? Car tu fréquente Franklin et vous vous voyez à l'occasion de rendez-vous par ci par là, et ce jeune homme te fait redevenir la fille que tu devrais être, et non la roturière à qui Andrew aimerais que tu ressemble. Tu te pointe comme une fleur à l’accueil, l'air froid, mais polie à la fois, et tu demande sur un ton dénoué de tout ressentiment « La chambre de mademoiselle Strauss s'il vous plaît. » L'hôtesse de répond très rapidement et toi tu te dirige vers la chambre qu'elle t'as cité. Tu as peur de retrouver une Cléolya complètement en morceau, tant pyshiquement par son opération que émotionellement, avec l'accident de sa sœur, Hadès et ses caprices de divas, rien autour d'elle n'ai fait pour qu'elle se sente bien, tout sauf peut-être ce Elliot. Tu soupire, tu es devant la porte et tu toque avant d'entrée. Devant toi, elle est là, l'air si solide et fragile à la fois, tu t'approche et dépose un baiser tendre sur son front. « Bonjour Cléolya, comment te sent tu ? » Le changement dans ton comportement, cette soudaine prestance et classe que tu as retrouver en fréquentant Franklin, ça se vois, et sa se ressent, en seras t-elle ravie ou mécontente ?
(Invité)
J'avais besoin d'être entourée. J'avais besoin de voir du monde, parce certes, je me sentais bien avec Elliot, mais il y avait tout mon monde qui s'écroulait autour. J'avais perdu ce sourire, j'avais perdu ma joie de vivre et la seule chose que j'étais capable de faire, c'était prendre soin de ma sœur, de lui offrir ce que cet homme lui avait volé, un rein. Et si je n'avais pas été compatible ? Et si elle était décédée dans cette opération ? Trop de questions qu'allait rester sans réponse parce qu'on allait bien. On irait mieux même en tout cas. Qu'importe ce qu'il se passait autour, qu'importe si je perdais tout le monde un à un, j'avais juste besoin de respirer un peu, chose que je ne pouvais pas faire dans cette chambre. Alors quand tu passais le pas de la porte, un sourire timide dessinait mes lèvres. Je n'avais peut-être pas l'occasion de sortir, mais au moins, tu m'apportais un peu d'air frai.