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Nom : D'Albenas. Du foutre en lettres pour marquer mon être du sang de mes aïeux. Pour qu'encore et en corps j'existe pour eux. Je suis de ceux qui ne connaissent pas de décès. Les grandes lignées, les grandes fortunes, les destins tracés. Petit déjà, j'prenais les autres pour des cons. J'savais la valeur de mon nom. Le fier fils du saint père. ◇ Prénom : Anaël. C'est difficile à hurler alors souvent, elles ou ils m'appellent Ana. Je ne sais pas d'où ça vient, je sais juste que c'est moi. Trois voyelles, pour deux consonnes. Cinq lettres que tu ne retiendras pas. Que je ne veux pas que tu apprennes. Qui n'appartiennent qu'à moi. Que je ne te donnerais pas. Je ne suis pas le plus sociable ni aimable des malfrats. ◇ Âge : 23 ans. Dans ma tête, j'en ai dix sept. On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans. On a tout le temps. Je suis de ceux qui comptent les années en saison. Pour qui il n'y a que des Automnes, jamais de Printemps. ◇ Date et lieu de naissance : 7 novembre 1994, à Londres. Où j’ai grandis, où j’ai vécu toute ma vie. Je suis scorpion, « Le Scorpion est à la fois passionné et plein de sang-froid. Il s'exprime avec passion et passion dans une quête constante d'anti-conformisme et un désir violent d'aller au fond des choses et jusqu'au bout des situations. Il y a toujours un riche potentiel de créativité chez les natifs de ce signe. Chacun d'entre eux en fera ensuite bon ou mauvais usage. » Devinez quel usage j’ai choisis d’en faire. ◇ Nationalité : Anglaise et Espagnol. Ma famille vient d’Espagne, nous sommes en Angleterre depuis trois générations. ◇ Orientation sexuelle : Je n’ai pas de boussole. ◇ Statut amoureux : Tout ce qui n’est pas monnayable n’existe pas. Aussi, les sentiments sont de la mièvrerie inventée par les riches producteurs de films pour les pauvres, afin qu’ils et elles puissent supporter leurs existences insupportables. ◇ Statut social : Sur mon poignet, il y a une montre dont la valeur seule pourrait payer le salaire d’une vendeuse ou d’un vendeur pendant une année entière. ◇ Job étudiant : Parfois j’accompagne mon père en affaires pour apprendre le métier. ◇ Études majeures : Droit ici ◇ Études mineures : Economie
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Anaël D'Albenas - 23 ans - Troisième année - Droit
Anaël D'Albenas
feat Adrien Sahores
feat Adrien Sahores
Student
Quoi ? Moi, Anaël d’Albenas, Student ? Pourtant, il parait évident que j’aurais toutes les caractéristiques requises pour être un excellent Eliot. Mon père lui-même fut un Eliot. Mon père croit que je suis Eliot. En réalité, ça fait trois ans que je lui mens, trois ans que je lui raconte des salades sur ma prétendue place à la confrérie. J’ai même presque réussis à lui faire avaler que j’allais me présenter à la vice présidence. Le mensonge est si gros, mon appartenance à cette confrérie si évidente, qu’il n’a pas, ne serait-ce, que l’ombre d’un soupçon. Mais, que voulez vous. Quand, à mon inscription, on m’a demandé si je voulais rejoindre une confrérie, j’y ai vu là une occasion de plus de jouer avec le feu. Plus excitante encore que toutes celles que j’avais connu. Alors oui, je suis Student. Par défiance. Par passion du risque. Et parce que je ne sais rien faire d’autre que me mettre systématiquement en danger de mort. En l’occurrence, le meurtre que commettra mon père s’il en venait à découvrir la vérité.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Je n’étais pas encore inscrit à Harvard. J’étais au Japon où mon père m’avait imposé une année d’études drastiques avant d’entrer à l’université. Le Japon est un pays merveilleux, il n’y a pas de réticence à jouer les malfrats. Aussi, ais-je rencontré un gars, Light, avec lequel un soir, nous avons décidé de faire une partie de Monopoly grandeur nature. Acheter les hôtels du centre ville fut chose aisée, le plus compliqué été de sortir de prison après une altercation avec des policiers. Mon père m’y a laissé croupir deux heures avant de venir payer ma caution. Le lendemain, je me suis levée avec un mal de crâne terrible et trois hôtels de classe moyenne en ma possession. Aujourd’hui, ils renferment les clubs les plus luxurieux d’Osaka, chacun avec son ambiance, du plus burlesque au plus SM. Pourquoi je vous raconte ça ? Somme toute, ma vie, même dans ses détails les plus futiles, me parait bien plus intéressante qu’une histoire d’agressions et de prise d’otage dont je n’ai strictement rien à faire.
Je n’étais pas encore inscrit à Harvard. J’étais au Japon où mon père m’avait imposé une année d’études drastiques avant d’entrer à l’université. Le Japon est un pays merveilleux, il n’y a pas de réticence à jouer les malfrats. Aussi, ais-je rencontré un gars, Light, avec lequel un soir, nous avons décidé de faire une partie de Monopoly grandeur nature. Acheter les hôtels du centre ville fut chose aisée, le plus compliqué été de sortir de prison après une altercation avec des policiers. Mon père m’y a laissé croupir deux heures avant de venir payer ma caution. Le lendemain, je me suis levée avec un mal de crâne terrible et trois hôtels de classe moyenne en ma possession. Aujourd’hui, ils renferment les clubs les plus luxurieux d’Osaka, chacun avec son ambiance, du plus burlesque au plus SM. Pourquoi je vous raconte ça ? Somme toute, ma vie, même dans ses détails les plus futiles, me parait bien plus intéressante qu’une histoire d’agressions et de prise d’otage dont je n’ai strictement rien à faire.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Cette fois, j’étais déjà à Harvard. J’en ai entendu parler, vaguement, par les journaux surtout. Les gens avaient l’air traumatisés. Et moi, j’avais envie de les gifler. Bien au chaud, à l’abri, aux Etats-Unis, ils trouvaient le moyen de se plaindre plus que les chiliens eux-mêmes. Vous voyez, c’est ça que je déteste le plus dans cette comédie humaine. Le fait que moi, je sois perçu comme un être affreux comme j’assume pleinement mon rôle de méchant, et que les autres, qui ne valent guère mieux, ont l’audace encore de se faire passer pour des personnes biens. Pourquoi ? Parce que ces personnes pleurent et quand elles pleurent elles aiment être regardées. Tout ce qui les intéressait ? Que leurs ami-e-s soient sain-e-s et sauf-ve-s. Et surtout, surtout, parler du, ômondieu, traumatisme que leur a provoqué cet épisode de leur vie. Je les ai détesté, méprisé encore plus que d’accoutumé. Je ne suis pas sentimentale, je ne suis pas sensible, mais l’égoïsme me fait vomir quand il n’est pas assumé. Les chiliens eux, sont restés au Chili, pas de rapatriements, pas d’avions de secours. Elle est là la véritable injustice. Voilà ce qui me débecte, voilà ce que je méprise dans ce tas purulent de miasmes et de médiocrités : le fait qu’on soit tous mauvais, que personne ne l’assume comme moi, et que dans le fond, tout ce qui compte, c’est d’avoir plus de larmes et de paillettes à mettre sur instagram. Hashtag retour du Chili, mon dieu on a faillit mourir mais on poste quand même une photo depuis l’avion avec le pilote.
Cette fois, j’étais déjà à Harvard. J’en ai entendu parler, vaguement, par les journaux surtout. Les gens avaient l’air traumatisés. Et moi, j’avais envie de les gifler. Bien au chaud, à l’abri, aux Etats-Unis, ils trouvaient le moyen de se plaindre plus que les chiliens eux-mêmes. Vous voyez, c’est ça que je déteste le plus dans cette comédie humaine. Le fait que moi, je sois perçu comme un être affreux comme j’assume pleinement mon rôle de méchant, et que les autres, qui ne valent guère mieux, ont l’audace encore de se faire passer pour des personnes biens. Pourquoi ? Parce que ces personnes pleurent et quand elles pleurent elles aiment être regardées. Tout ce qui les intéressait ? Que leurs ami-e-s soient sain-e-s et sauf-ve-s. Et surtout, surtout, parler du, ômondieu, traumatisme que leur a provoqué cet épisode de leur vie. Je les ai détesté, méprisé encore plus que d’accoutumé. Je ne suis pas sentimentale, je ne suis pas sensible, mais l’égoïsme me fait vomir quand il n’est pas assumé. Les chiliens eux, sont restés au Chili, pas de rapatriements, pas d’avions de secours. Elle est là la véritable injustice. Voilà ce qui me débecte, voilà ce que je méprise dans ce tas purulent de miasmes et de médiocrités : le fait qu’on soit tous mauvais, que personne ne l’assume comme moi, et que dans le fond, tout ce qui compte, c’est d’avoir plus de larmes et de paillettes à mettre sur instagram. Hashtag retour du Chili, mon dieu on a faillit mourir mais on poste quand même une photo depuis l’avion avec le pilote.
TON ADMISSION À HARVARD
Si je suis à Harvard, c’est son choix. Celui de mon père. Comme tout dans ma vie. C’est toujours lui qui choisit, tout a besoin de son aval puisque tout a besoin de son chéquier. Comme tout grand chef d’entreprise, il avait ses relations au sein de l’université. Et après m’avoir imposé une année pleine de cours intensifs au Japon, mon père m’a conduit à l’inscription. Le plus ironique dans tout ça est que je comprends tout. Ce que je lis, ce qu’on m’apprend. J’ai une bibliothèque de je ne sais combien de centaines de livres, c’est même eux qui m’ont fondamentalement éloigné du genre humain. Mais par ennui, par défiance, ou bien parce que je n’y vois pas de sens ni d’intérêt, je n’ai jamais voulu exceller. Sauf quand c’est nécessaire, comme aux examens d’entrée. Risquer que mon père soit fier de moi ? C’est impensable. Je crois que lui et moi, on se complet dans cette relation. Il a besoin de me détester, et moi j’ai besoin de n’être aimé de personne.
Si je suis à Harvard, c’est son choix. Celui de mon père. Comme tout dans ma vie. C’est toujours lui qui choisit, tout a besoin de son aval puisque tout a besoin de son chéquier. Comme tout grand chef d’entreprise, il avait ses relations au sein de l’université. Et après m’avoir imposé une année pleine de cours intensifs au Japon, mon père m’a conduit à l’inscription. Le plus ironique dans tout ça est que je comprends tout. Ce que je lis, ce qu’on m’apprend. J’ai une bibliothèque de je ne sais combien de centaines de livres, c’est même eux qui m’ont fondamentalement éloigné du genre humain. Mais par ennui, par défiance, ou bien parce que je n’y vois pas de sens ni d’intérêt, je n’ai jamais voulu exceller. Sauf quand c’est nécessaire, comme aux examens d’entrée. Risquer que mon père soit fier de moi ? C’est impensable. Je crois que lui et moi, on se complet dans cette relation. Il a besoin de me détester, et moi j’ai besoin de n’être aimé de personne.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle MRM et j'ai 27. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à google. J'avais déjà passé d'hypers chouettes moments sur ce forum avec Noah alors j'ai décidé de m'inscrire sous les traits de Anaël D'Albenas (Student). J'utilise Adrien Sahores comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par google et tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8090]►[/url] ► <span class="pris">ADRIEN SAHORES</span> ◊ “ Anaël D'Albenas ”[/size]
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