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ID CARD
Nom : de Medinaceli ◇ Prénom : Javier ◇ Âge : 24 ans ◇ Date et lieu de naissance : 20 juin 1993, Madrid ◇ Nationalité : Espagnol ◇ Orientation sexuelle : Bisexuel ◇ Statut amoureux : Célibataire ◇ Statut social : Aisé ◇ Job étudiant : Aucun ◇ Études majeures : Économie ◇ Études mineures : Sport
- Code:
Javier de Medinaceli - 24 ans - Cinquième année - Économie & Sport
Javier Bernadell
feat Sean Teale
feat Sean Teale
DUNSTER
Le palpitant avide d'une aspiration pansement pour étouffer les râles d'une commotion désuète. Une ardeur qui tonne au reflet des prunelles lorsqu'elles se détournent sur les sentiers passés. Une faim de s'affirmer lancinante nécessaire pour subsister. L'ambition grogne à la jugulaire et mitraille de pluies d'acier les glandes frémissantes. Aux rives des parcelles de mon épiderme, s'épanouie la passion incendiaire d'une réussite. Une décision acide qui annihile l'échec d'une épopée. Je me veux virtuose de demain.
STUDENT
Le temps d'une éclipse et des rêves comme les étoiles deviennent poussière. Les côtes percent l'estomac, les poumons peinent, les souffles sont mistral et il ne reste qu'une carcasse gorgée d'un ocre épais qui tourne vaguement au mauve à la périphérie des orbites. Un fragment de moi qui vocifère en faveur de la winthrop avant de succomber à la noirceur de mes paupières closes. Il est fantôme, ce temps où le sport est la vertèbre de mon corps. Alors je m'abandonne à avancer, à oublier ces vestiges qui embrument ma vision aux lueurs vespérales. Un dilemme rasoir qui entaille un peu plus encore ces plaies béantes tatouant mon épave au privilège de la solitude étudiante.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Sur les plages de bitume, le pourpre incandescent des absents mélangé au soupçon salé des larmes fluettes. Un pigment d'injustice qui s'époumone à même la porcelaine de ceux qui répondent présent. Nuances et âmes cassées comme le blanc qui emportent dans un ressac violent sourires et jeux d'enfants. Une saveur de dépouille sur les mégots, des sueurs de condamnés à la surface de la peau. Un climat pesant qui résulte d'un spectacle auquel je n'ai assisté par chance.
Sur les plages de bitume, le pourpre incandescent des absents mélangé au soupçon salé des larmes fluettes. Un pigment d'injustice qui s'époumone à même la porcelaine de ceux qui répondent présent. Nuances et âmes cassées comme le blanc qui emportent dans un ressac violent sourires et jeux d'enfants. Une saveur de dépouille sur les mégots, des sueurs de condamnés à la surface de la peau. Un climat pesant qui résulte d'un spectacle auquel je n'ai assisté par chance.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Les cicatrices de mes aventures en ébullition, la ride du lion taillée au front, les papiers émeraude logés au fond. Le faciès sous la force d'une oscillation, gauche, droite, sans façon, se morfond dans la négation. Les coups comme les coûts n'ont de valeur, montre au poignet je n'ai pour autant de temps à dépenser pour être rescapé d'un malheur. Terres trop souvent côtoyées, je n'ai ni plus ni moins refusé de participer à ce voyage à travers ces contrées.
Les cicatrices de mes aventures en ébullition, la ride du lion taillée au front, les papiers émeraude logés au fond. Le faciès sous la force d'une oscillation, gauche, droite, sans façon, se morfond dans la négation. Les coups comme les coûts n'ont de valeur, montre au poignet je n'ai pour autant de temps à dépenser pour être rescapé d'un malheur. Terres trop souvent côtoyées, je n'ai ni plus ni moins refusé de participer à ce voyage à travers ces contrées.
TON ADMISSION À HARVARD
Des heures aux froideurs des torpeurs, les doigts liés à la plume triturant le grain du papier. L'angoisse somatisée qui corrode au tronc, laissant des rougeurs aux hauteurs du plastron. Des courbes circulaires, d'abord foncées puis clairs, étalées aux marges, présentes, comblant tout espace laissé au large. Des discours exagérés, saupoudrés de mensonges bien pensés, une dépression émasculée. Des retours à la ligne, à celle de mes péripéties écoulées, des parenthèses brèves sur ce sport longuement pratiqué. Un résultat à la clé, deux mille deux cent cinquante, sourire en coin affiché, admission acceptée. Une vengeance entamée contre ceux qui m'ont répudié.
Des heures aux froideurs des torpeurs, les doigts liés à la plume triturant le grain du papier. L'angoisse somatisée qui corrode au tronc, laissant des rougeurs aux hauteurs du plastron. Des courbes circulaires, d'abord foncées puis clairs, étalées aux marges, présentes, comblant tout espace laissé au large. Des discours exagérés, saupoudrés de mensonges bien pensés, une dépression émasculée. Des retours à la ligne, à celle de mes péripéties écoulées, des parenthèses brèves sur ce sport longuement pratiqué. Un résultat à la clé, deux mille deux cent cinquante, sourire en coin affiché, admission acceptée. Une vengeance entamée contre ceux qui m'ont répudié.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle sweven et j'ai 20 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart. On y revient toujours alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sean Teale comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par sweven. Je fais environ 300-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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je veux être parrainé
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8074]►[/url] ► <span class="pris">SEAN TEALE</span> ◊ “ Javier de Medinaceli ”[/size]
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