Athénaelle ✱ Seul face à l'envie de se revoir, la détresse de ce moment suit son instinct.

Seul face à l'envie de se revoir, la détresse de ce moment suit son instinct.
— with @Athénaëlle A. Wildingham

Silence qui trouble. Silence qui apaise. J'observe la route. Ce sombre décor. Cette partie de la ville endormie. Moment propice à la lumière des fars de la voiture. Je m'interroge. Je ne sais pas pourquoi. Je ne sais pas comment. J'ai demandé à cette femme de m'accompagner. Un gala en l'honneur de l'entreprise de mon père. Un gala. Simplement. Rien de bien énorme. Mais pourtant. J'aurais pu inviter Zeus. Mais j'ai invité une femme. La voiture se garre. Le chaffeur me regarde. Je suis dans mes pensées. Il racle sa gorge. Je lève les yeux vers lui. J'en soupire presque. Difficile de ne pas être ailleurs. Je pense à mon pays. Ma Belgique. Je suis nostalgique. Mais ce soir. Oui ce soir. Je suis avec une belle jeune femme. Et il faut juste que je me ressaississes. Je sors de la voiture. Je porte encore ce costume hors de prix. Ajusté. Taillé. Parfaitement parfait pour moi. Comme toujours. Et me voilà. Devant chez elle. Je sonne. Une seule fois. Et pourtant je suis nerveux. Personne n'est jamais rentré dans ma vie. Beaucoup de femmes ont passé le cap de la vie avec moi. La preuve. Ca a duré deux jours. Grand maximum. Mais là. Plusieurs fois que je la vois. Et je ne me détache pas d'elle. C'est bizarre. Mais y'a rien. Non. Strictement rien. Le jeu. Le calcul. Une Wildingham dans ses relations. Rien de plus. Rien de moins. J'observe. La porte s'ouvre. Je souris. Un homme. Bien taillé. Je ne bronche pas. Je ne bouge pas. Je viens voir Mademoiselle Wildingham, nous avons une sortie ce soir. Je m'apprête à l'emmener. Pourrais-je la voir ? Politesse formelle. Simplement. Et l'homme laisse la place. Il s'en va. J'observe. Je regarde derrière moi un instant. Et quand je tourne la tête vers l'intérieur. Elle est là. Devant moi. Un léger sourire s'affiche. Mademoiselle Wildingham, vous êtes magnifique Politesse. Gentleman. Parfait homme. Comme toujours. Je ne suis pas Franklin De Spoelberch pour rien. Et puis, je ne suis pas Eliot pour rien voyons.

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— with @Franklin Z. De Spoelberch

Je suis seule chez moi et voilà qu'en quelque seconde le programme de ma soirée est entièrement refait. Je souris, ce jeune homme est vraiment imprévisible, et je n'ai toujours pas eu d'informations sur son identité. Je file me préparer, et bien entendue j'opte pour une robe de créateur, une pièce unique qui m'as été faite sur mesure et offerte par un créateur des très grande renommé mondiale. J'aime être unique, que l'on me remarque, mais tout de même pour ce soir, je coiffe mes cheveux en chignons et choisi une parure de bijoux discret, mais en diamant et or blanc. Très élégante, voilà comment je suis. J'ai représenter mon père à tellement de Gala, et diverse soirée mondaine que j'ai pris l'habitude. Arthurus Théophile Wildingham, voilà qui est mon père, l'homme d'affaire le plus important et influant de Boston. Donc oui représenter mon père à n'importe quelle soirée mondaine est devenue une tâche que je réalise toujours avec brio. La sonnette ce fait entendre et c'est Lissandre qui accueil le jeune homme. Mon homme de confiance viens me chercher « Merci Lissandre. » Je m'avance jusqu'à la porte d'entrée et tombe nez à nez avec le beau jeune homme. « Et vous semblez parfait ce soir. » Je lui souris, bien plus naturellement que lors de notre première rencontre. Ce jeune homme me trouble, mais en même temps, je suis agréablement surprise que nous ayons l'un comme l'autre envie de nous revoir. Lissandre très protecteur n'aime pas le fais de me voir avec un jeune homme et referme assez rapidement la porte après que je sois sortie. « Il ne faut pas lui en vouloir, mon père lui mène la vie dure pour qu'il me protège. » Je souris naïvement et plante mon regard azure dans le sien avant de finalement lever les yeux vers le ciel. « Le temps est clément ce soir. » disais-je en étant rassurer de ne pas voir trois tonne de neige nous tomber dessus. Je plante à nouveau mon regard dans le sien. Nous étions tout deux de fière Eliot, tout deux aussi observateur l'un que l'autre et calculateur aussi visiblement, mais avions nous le droit de croire innocemment que l'un avec l'autre nous étions différent ?

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— with @Athénaëlle A. Wildingham

Une soirée en tête à tête. Autant dire que j'adore ça. Surtout avec une magnifique jeune femme. Je l'observe. Je la séduis à ma façon. J'aime sa façon d'être. Sa façon de parler et bien sur. J'aime sa tête de s'habiller. Sinon cela n'aurait pas été elle. J'observe cete femme arrivée. Elle est vraiment magnifique comme ça. Je vous en remercie. La courtoisie. La délicatesse. Des mots qu'elle a l'air d'apprécier. Cela me fait plaisir. Je suis toujours comme ça. Enfin presque. Sauf quand je suis dans le côté observateur et destructeur. Là. Je fais mal. Je détruis les gens et j'adore ça. Je lui tends mon coude pour l'emmener avec moi. Elle me parle de cet homme. Intéressant Donc c'est lui que je dois payer pour pouvoir vous emmener un autre soir diner ? Ou bien pour m'introduire chez vous, afin de vous préparer le diner un soir ? Référence à cette soirée où la jeune femme rouge était magnifique. Encore une fois. Je lui souris. J'en ai profité. Je lève les yeux vers le ciel. Effectivement. Nous avons de la chance Ajoute-je simplement. Je lui ouvre la porte de la voiture pour la laisser rentrer. Je suis galant. J'entreprends même le fait de rentrer en voiture ensuite. Puis le silence de la route. Je n'aime pas parler pour rien dire. Je trouve ça inutile. Mais j'entreprends de lancer la conversation au moment où la voiture s'arrête. Arrêter par le frein ? C'est humain non ? Le chauffeur ouvre la porte. Je sors aussitôt. Je remets ma veste. Je souffle un coup et je me tourne vers ma cavalière pour lui tendre la main. Galant. Charmant. Délicat. Comme toujours. Une fois sortie. Je lui offre mon coude encore une fois. Je fais un signe à mon chaffeur. Et nous voilà. Une orde de journaliste. Mon sourire reste le même. Un simple sourire discret sur mon visage. Pour mon père. Et j'avance sur cette allée rouge digne du tapis rouge avec elle. Une fois à l'intérieur. Il faut être honnête. L'or et le luxe y sont représentés. Le simple fait d'avoir de la lumière. Des chandeliers en or. Une vraie soirée de gala. Tout ça pour une simple bière. Mais j'observe ma cavalière. J'espère que vous n'êtes pas gêné par le monde. Je veux juste éviter qu'elle s'en fui. Même si je ne lui ai pas parlé de la soirée du tout en détail. J'avance. Je prends une flute pour ma cavalière et une pour moi. Il s'agit d'un gala d'ouverture pour l'une des bières de l'entreprise de mon père. Je suis le principal actionnaire depuis mes vingt un ans et je suis obligé de venir à ce genre d'événement. Ce soir, le gala se fait à Boston puisque nous venons également d'ouvrir une fabrique à Boston, grâce aux nombreux bénéfices de cette année. Commence-je finalement. Et bien sur. Je me fais interpeller par ma très chère mère. Tu es magnifique mon fils. Une embrassade rapidement. J'humecte mes lèvres avant de sourire en coin. Mère. Je vous présente Mademoiselle Wildingham, ma cavalière ce soir. Mademoiselle Wildingham, je vous présence Eleanor. Ma mère. Présentation rapide. Un peu. Mais ce n'est qu'un détail. Ma mère qui a l'habitude. Toujours cette habitude. De serrer la main. Même celle des femmes et elle fait la même chose. Je la vois ensuite repartir. Elle devait avoir un planning pour saluer tout le monde. Je me tourne vers ma cavalière. Parlez moi de vous. Nous n'avons eu la chance de faire amplement connaissance au bal. J'en suis désolé d'ailleurs. Demande-je. Et à partir de maintenant. Je n'allais plus rien dire. C'était ainsi. L'observation. Le réflexion. L'agissement.

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— with @Franklin Z. De Spoelberch

Cette politesse, cette façon d'être j'en avais presque oublié ce que sa faisait d'être une personne importante. Andrew m'avais simplifiée en quelque sorte pour le plus grand malheur de mon père, alors autant dire que me savoir enfin redevenue moi même le ravis, et je doit admettre que cela me ravis aussi. Je l'observe avant d'accepter le bras qu'il m'est tendue et de le suivre jusqu'à la voiture. « Sachez très cher qu'il n'est pas dans l'habitude de Lissandre d'accepter une quelconque sommes d'argent pour accorder des passe-droit. Il vous faudra gagner sa confiance. » Oui Lissandre travail pour ta famille depuis presque ta naissance. Tu entre dans la voiture, et le trajet ce passe en silence, tu l'observe de temps en temps, cherchant à défaire le mystère de ce jeune homme. Finalement le trajet terminé il sort et t'aide à sortir. Tu sort du véhicule avec un mince sourire sur les lèvres. La orde de journaliste tente de vous arracher un mot, une phrase, mais rien, mise à part de magnifique photo de la jeunesse dorée et parfaite de Boston, il n'auront rien. « Je suis habitué à la foule, au gala, et soirée mondaine. » répondais-je simplement avec un petit jeu de regard charmeur. J'écoute attentivement ce qu'il dit, le laissant énoncé la raison de ce Gala, je sais que mon père doit y être présent, puisqu'il ne m'as pas demander de le représenter, et il ne loupe jamais un soirée, après tout il possède l'empire financier de la ville, la plus imposante société de finance, et il est aussi propriétaire d'une luxueuse marque de bijoux en guise de passe temps. Alors que ton regard azure et accrocher au sien, une dame le salut. C'est sa mère et le jeune homme à rapidement fait les présentation. Je lui tend ma main pour une poignée de main tout en délicatesse, nous somme des femmes après tout. Cela se fais dans le silence, puisque mon père m'as toujours appris que le silence est la plus belle forme de respect quand on à face à soit une personne bien plus importante que nous. Faire plus ample connaissance ? Pourquoi pas. « Le mystère est il déplaisant ? » répondais-je en buvant une gorgée de la flûte que m'avais tendue le jeune homme. « très bien. Commençons simplement. Athénaëlle Ambre Wildingham. » je lui fait une légère révérence pour marquer le respect que je lui porte et connoter par mon comportement le milieux plus que aisé dont je viens. Je lui souris, la soirée promet d'être agréable.

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— with @Athénaëlle A. Wildingham

Tout homme possède un prix. Tout homme possède un amour pour l'argent. Peu importe qui. Lui aussi. Ce Lissandre va me donner du fil à retorde. Je le sens venir. Je le sens bien. Je souris alors. Je n'ai pas l'habitude de répondre. Mais là. C'est beaucoup trop tentant. Pourtant. Aucun son ne sort à par peut-être trois ou quatre mots. Mais la confiance est difficile a avoir. Des mots que répétaient souvent mon père. Mais des mots vrais. Le trajet fut sous silence. Je n'aimais pas parler. Pas vraiment du moins. A part peut-être pour charmer et obtenir ce que je veux. Mais là est la différence. J'appréciais cette personne a mes côtés. Et je ne savais rien d'elle. Enfin. Je le faisais croire. Abelard et Hades m'en avaient parlé. Noah m'avait mis en garde contre son toutou. Et j'étais presque sur que j'arriverai à l'avoir si je le voulais. Il fallait que je tente. A l'heure actuelle ? Ce n'était rien. Rien du tout. Montrer mes capacités à avoir une personne est belle. La détermination à grandiose et sans démotivation. Ainsi. Je pouvais profiter de cette femme. Dans cette tenue charmante. Juste le temps d'une soirée. La possisibilité d'être seul est moindre. Mais une chose est sure. Je serais le seul à l'avoir ce soir. J'appréhende la chose. Le fait d'être seul sur le tapis rouge. Mais elle a l'habitude. Elle a l'habitude de tout. Ce qui est parfait. Bien vite coupé par ma mère. Elle a l'habitude de ça. L'habitude de me voir avec une femme différente à chaque fois. Et le pire dans tout ça. Elle adore ça. Je ne sais pas pourquoi. Je la regarde s'éloigner. Elle a l'air pressé. Et cela ne m'étonne pas. Le monde et la foule se font victimes ici. Je trouve ça bien pour elle et mon père. Cependant. Fini les plaisanteries. Place à la discrétion. Je regardais cette femme qui avait accepté un gala. Sans broncher. Sans donner de détails. Sans poser de questions. Et j'en souriais légèrement à sa remarque. Le mystère est la plus belle chose qui soit. Mais j'aime également connaitre les personnes que je cotoyes. Oui. Et aussi sans doute leur loyauté. Mais ce n'est qu'un détail parmi tant d'autes. Je prends ma coupe. Je la bois légèrement et voilà que j'avance quand même un peu. Evitons de rester dans l'entrée. Et voilà qu'elle me fait une référence. Je souris légèrement. Coupe en main. Main dans la poche. Et bien, je suis ravi de connaitre votre identité complète mademoiselle Wildingham. Même si je la connaissais déjà. Politesse et délicate intention. J'ajoute finalement. Mais vous n'allez pas me dire que ça quand même ? Une question de curiosité. Bien que moi, je m'en contenterai quand même. Mais j'ai aussi envie de savoir des choses sur elle que je ne connais pas.

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— with @Franklin Z. De Spoelberch

Cette situation te dépasse, te retrouver seule à un gala avec un jeune homme que tu ne connais que trop peu, c'est presque tarifiant, sauf pour toi. Toi tu est là observatrice et souriante, polie et distinguée, tu ne compte pas lui laiser cette chance d'en savoir trop sur toi, et puis très clairement ta vie n'ai un secret pour personne, les journaliste en alimente leur torchon, CS ce fait un malin plaisir avec ces article, et les rumeurs vont bon train. Tout le monde le sais, tu est cette pauvre enfant orpheline de mère depuis ta naissance, et tu ne veux pas revenir sur ta vie. Tu pose ton regard sur lui, et souris légèrement. « Très bien, dite moi plutôt ce que vous ne savez pas et je tâcherais de vous répondre. » Oui faisons les choses comme ça, tu n'as pas envie de parler pour rien, de lui dire des choses qu'il sais déjà. Tu est joueuse mais jusqu'à un certain point, et là tout de suite tu voudrais connaître son identité à lui aussi, puisque si lui à la chance de déjà te connaître, certainement via les dire des deux frère DBS, toi en revanche tu ne possède pas cette chance là. Alors oui tu voudrais le connaître autant que lui te connaît. « Et si vous m'en disiez un peu plus sur vous. » Oui cela t'éviterais de demander à Lissandre d'user de ses sources pour en apprendre plus sur lui via d'autre moyen. Tu bois une nouvelle fois dans la flûte que tu fini par déposer sur le plateau d'un serveur. Tu lance un regard sur la foule tout en souriant, ce jeune homme te fait renouer avec celle que tu es vraiment et tu apprécie sa. Quand ton regard se pose à nouveau dans le sien tu reprend sur un ton plutôt doux. « Merci de m'avoir invitée. » Oui après tout rien ne l'y obligé, mais il l'as fait.

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— with @Athénaëlle A. Wildingham

J'aimais ce genre de réception. Pour le calme. Pour le champagne. Mais aussi pour le simple fait de pouvoir avoir une femme à mes côtés. Et ce soir. Ce soir c'est spécial. C'est la petite Wildingham. Personne ne peut m'en vouloir. Elle est magnifique. Elle est presque parfaite. Parce que je lui suis plus. Je suis parfait. L'homme parfait. Le parfait gentleman. J'aurais pu être rouge. Mais le bleu l'allait beaucoup mieux. Autant dire que je préférais ça en plus. Je prends cette coupe que je lui tends. Et bien sur. A ces paroles. Je souris. Ce que je ne connais pas sur elle. Tellement de choses. Je réfléchis alors. Je prends une gorgée de ma boisson. Et je me lance.   Très bien. Autant commencer quelque part. Même si je veux clarifier.   Sachez que je ne lis aucun torchon qui peut sortir de n'importe quelle édition de journaux, livres ou sites internet. Cela ne m'intéresse pas. J'ai au moins le plaisir d'être clair.   Et donc ma première question est. J'aimerais savoir si vous avez quelqu'un dans votre vie ? Toujours droit. Toujours direct. Bien centré dans mes chaussures. Je la joue directe. Je la joue fonceur. Mais j'ai réfléchi. je réfléchis toujours. J'humecte mais mes lèvres. Je la regarde. Je suis face à elle. Je ne peux pas détourner les yeux. C'est ainsi. Et voilà. Elle commence à détourner mes questions à son avantage. Ma coupe en main.   Le mystère est-il déplaisant ? Oui. Exactement la même phrase. Séduction. Envie. Directive. Je suis comme ça. J'aime charmer. Je suis ainsi et je ne vais pas changer. Pourquoi le faire ? Je ne suis pas comme tout le monde. Je suis simplement normal. Enfin non. Je suis un Eliot. Je finis par sourire. Ce petit sourire angélique. Mais tellement démoniaque à la fois.   Que voulez-vous savoir dites moi ? Je suis tout ouï. Et je ne vais pas me dégonfler non. Je dépose ma coupe sur un plateau vide. Autant dire que le serveur passe au bon moment. Et je ne veux pas être malpoli. Je ne compte pas. Je ne suis pas ainsi voyons. Je suis un belge. Et un homme parfait.

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— with @Franklin Z. De Spoelberch

Les échanges de regard, la politesse, tout est fait pour te ravir, et tu souris, complètement sous le charme de la soirée, et non pas de ton interlocuteur, et pourtant il est temps de faire connaissance, tu aime le mystère, tu aime que le gens te regarde et se ose tout un tas de question, en somme, tu aime être celle qu'on ne peut approcher. Mais ce soir feras tu un efforts pour lui ? Te présenteras tu au moins un minimum, peut-être qui sais. Tu l'observe encore et toujours, cherchant à analyser son comportement, à mémoriser des manières, des mimique. Tu est une fine observatrices, et rien ne t’échappe.Tu souris à ces dire. « Je suis ravie de savoir qu'il y as en ce bas monde, une personne intelligente qui ne prête gère attention à ces vils ragots. » Toi tu n'y prête pas attention non plus, mais tout le monde a courts pour te les montrer la plus part du temps, et pourtant tu ferais tout pour fuir ses article et divers potin de torchons. Sa première questions te touche directement, et ton regard devient sérieux. Tu ne décroche pas ton regard du sien, cela dit ton sourire reviens peu à peu. « J'avais quelqu'un, plus maintenant. » C'est plutôt claire, l'intonation de ta voix est neutre, avec un parfait détachement vis à vis du sujet. Tu détourne la situation à ton avantage, sortant ton épingle du jeu comme toujours, et voilà qu'il utilise la même phrase que toi. Tu laisse un léger rire t'échapper, serait-il entrain d'essayer de te charmer ? Tu n'as pas envie d'y penser, car tu n'y est pas réceptive dans tout les cas, ou peu. Tu souris et lui lance un regard espiègle. « Et si vous commenciez tout simplement par vous présenter. » Oui décline donc ton identité, histoire que nous soyons quitte. Après peut-être que tu lui demandera autre chose, mais pour l'instant tu veux juste un nom et un prénom c'est tout. Il t'intrigue, et tu veux en apprendre d'avantage sur lui.

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— with @Athénaëlle A. Wildingham

Je ne m'occupe pas des gens. Encore moins de leur vie privée. Je m'en fiche. La seule chose qui m'intéresse. C'est Zeus. Et son bonheur. Je suis son meilleur ami. Je ne suis pas n'importe qui. Alors pour être honnête. Le fait d'être là. Face à elle. De lui dire la vérité sur ces journaux de presse à scandale. Qu'est que je m'en fiche. Mais l'honnêteté à sa part de vrai. Je souris en coin. Sa remarque me fait sourire. Je pense qu'on parle de moi Je suis bien un Eliot. Egocentrique. Maitre de lui même. Je continue de sourire avant d'ajouter. Vous avez oublié l'adjectif "extrêmement beau" Et qui se charme lui même. Mais il s'agit simplement de la faire rire. Un rire si difficile à avoir. Mais tellement appréciable pour moi. Je prends ma coupe et la termine. Honnêteté. Elle n'a pas fait long feu. Mais peu importe. Je pose le point faible. Voir la personnalité de cette personne en face de moi. Fragile. Désireuse de garder ses problemes pour elle. Mais elle veut faire la forte. Elle veut montrer sa force malgré son mal. J'hoche la tête une ou deux fois avant d'ajouter. Donc, j'ai le champ libre pour vous courtiser ? Une demande directe. Pourquoi y aller par quatre chemins. Autant être honnête non. Je passe ma main dans mes cheveux. J'en profite pour regarder ma mère. J'ai entendu sa voix. Elle salue tout le monde. Elle est impressionnante. Et mon regard revient sur elle. Au bout de deux secondes. Elle veut en savoir plus sur moi. Je ressors cette phrase. Si belle. Si magnifique. Que je lui ai emprunté. Et j'hoche la tête doucement. Je souris. Je réfléchis.  Et bien. Je me prénomme Zéphyr. Je suis belge et je vais avoir vingt quatre ans cette année. Que voulez-vous savoir d'autres ? Je pose cette question. Sincère. Désireuse de réponses. Petite richesse qui s'échappe. Je le vois. Elle en veut plus. Mais c'est tout ce qu'elle aura. Je lui tends mon bars pour avancer. Et ainsi. Je commence à faire le tour de la salle. A moi alors. Le dernier mensonge que vous avez prononcé ou écris Mademoiselle Wildingham.  Oui. Je veux savoir à qui j'ai affaire. J'ai le droit. Et puis. Il ne doit pas être terrible après tout. Juste pour l'amusement.