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ID CARD
Nom : lockton-blather, nom de famille qu'elle porte comme une couronne. fille unique et héritière des joyaux, c'est dès sa plus tendre enfance que la belle a pris conscience du poids et de l'importance de son patronyme. ◇ Prénom : daisy, c'est doux, ça glisse et ça donne un air de printemps, ça s'épanouit comme une fleur de saison. milda aussi, pour porter le souvenir de sa grand-mère, sans oublier theodora, la mère de maman. ◇ Âge : vingt années se sont maintenant écoulées, si vite, si vite. les responsabilités de la vie adulte s'abattent à présent sur daisy, qui voit enfin son heure arriver et surtout, l'occasion de faire ses preuves. ◇ Date et lieu de naissance : c'est dans les bras de sa mère sybil que la princesse a été doucement déposée le huit mai 1997 à bismarck, dakota du nord, états-unis d'amérique ◇ Nationalité : même si maman est canadienne, daisy a gardé la nationalité américaine de papa, ainsi que la fierté qui va avec. rouge, blanc et bleu sont marqués au fer rouge. ◇ Orientation sexuelle : beau fils à papa, supplément compte à cinq chiffres. ◇ Statut amoureux : encore célibataire, daisy compte bien se préserver. après tout, maman dit qu'elle est encore trop jeune pour tout ça, et elle a raison. ◇ Statut social : et les billets verts débordent des poches, glissent de mains en mains, se reposent au chaud dans un porte-feuille le temps d'une partie de golf, puis se rangent dans la caisse d'un magasin dior. ◇ Job étudiant : papa ne laisserait jamais daisy s'abaisser à user de ses mains et à faire couler la sueur de son front pour payer ses études et se faire plaisir. alors, papa subventionne généreusement. ◇ Études majeures : junior student, daisy est en troisième année d'étude d'administration. si la jeune fille est née avec les poches bien pleines, la tête n'est pas restée en reste. qui sera capable de prendre les rennes de l'entreprise familiale, sinon elle ? ◇ Études mineures : daisy a choisi de suivre le cursus de droit pour ses études mineures.
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Daisy Lockton-Blather - 20 ans - junior student - administration
Daisy Lockton-Blather
feat Hailee Steinfield
feat Hailee Steinfield
ELIOT HOUSE
Eliot House n'est pas un choix, ni même un besoin : c'est une obligation. Papa est passée par là, puis sont père avant lui, et puis surement son grand-père aussi. Portant sur ses épaules le poids colossal de la fortune familiale, la question ne se pose pas pour Daisy, et elle ne doit pas faillir à ses obligations. Papa serait tellement fier, puis elle serait avec des gens de son rang, dans son milieu. La richesse et l'élitisme de cette maison pourrait suffire afin d'attirer la jeune femme dans ses filets, mais il y autre chose ; elle agit sur Daisy comme un aimant, une attraction que pourrait éprouver un magnet hâtif de se coller sur la porte d'un frigo. La gloire de son père, de ses pairs et la réussite dorée des membres de la Eliot House ont eu raison d'elle. C'est ici qu'est sa place.
CABOT HOUSE
Cabot House, à choisir entre toutes les autres. Daisy est une véritable peste, mais sait que pour construire quelque chose de grand, être seule ne suffit parfois pas. La jeune brune respecte ses accords, ses promesses et ses engagements. Si le contact peut être dur à passer entre elle et d'autres, il tient bien quand il est établit. Daisy n'a pas moins une vision assez pratique de l'amitié, mais honore la confiance qu'on lui donne. La réputation honorable de la Cabot House sont ce qui attirent le plus Daisy, mais elle se sent néanmoins mal à l'aise avec les actions humanitaires entreprises par cette sororité. Elle est très consciente que l'empire de son père s'est bâti (et continue de vivre) sur le capitalisme et l'appropriation des richesses. Comment sera-t-elle capable de se montrer crédible devant toutes ces filles au cœur sur la main ?
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
« Tu vois ? » siffla Sybil d'un ton agressif à l'adresse de son mari. « Si elle était allée à Mont Holyoke, rien de tout cela ne serait arrivé ! Avec la racaille qui s'y promène, ce n'est pas étonnant. Je t'avais pourtant bien dit qu'elle aurait été mieux dans l'une des Sept Sœurs, tout au plus ! Dans un campus de filles, jamais cela ne... » « Sybil », la coupa son mari d'un ton sec et tranchant. « N'en rajoute pas, s'il te plaît. Daisy est assez bouleversée par les événements, tout comme nous. Le fait qu'elle soit à Harvard ne change rien, Mont Holyoke ne l'aurait pas plus mise en sécurité ». Daisy ne parvint pas à entendre la réponse de sa mère, qui s'était à présent levée du fauteuil pour se ruer dans la cuisine. Cachée en haut des escaliers, assise sur la dernière marche et invisible derrière la rambarde en bois, la jeune brune observa son père suivre sa femme en se passant une main dans les cheveux. Daisy se mordit la lèvre ; encore cette même dispute incessante. Depuis les agressions sur le campus et la couverture médiatique qui avait suivi, l'atmosphère, à la maison comme à l'université, était devenue irrespirable. Sa mère était devenue hystérique après les prises d'otage et avait interdit à sa fille de quitter la maison pendant que la vie reprenait doucement à Harvard. Malgré les protestations de Daisy (« J'ai des cours à suivre maman ! Et des devoirs à rendre ! »), rien n'y avait fait. Sybil avait même relancé sur la table le vieux débat qui l'opposait à son mari. Toute sa vie, elle avait tenu à ce que sa fille puisse suivre ses études supérieures dans l'établissement pour filles de Mont Holyoke, où elle-même avait effectué ses études. Un établissement « plus que respectable ». Elle n'avait jamais vraiment bien vécu le fait que Daisy ait toujours voulu intégrer Harvard plus que l'une des Sept Soeurs, pour imiter son père mais aussi pour la renommé et le prestige de l'université, qui restait encore aujourd'hui inégalé. Bien que lasse d'avoir été enfermée chez elle et sous le joug de sa mère pendant quelques jours le temps que les choses s'apaisent, les agressions, comme les prises d'otages, avaient heurté Daisy au plus haut point. Elle y repensait tous les soirs avant de se coucher, si ce n'était pas toute la journée. Et si elle s'était trouvée sur le campus le jour des prises d'otages ? Et si elle avait été une des étudiantes agressée ? Rien que cette idée la faisait frémir. Elle avait bien ressenti ce climat de peur et d'insécurité, mais aussi les regards apeurés que se lançaient toutes les filles au détour d'un couloir ou lorsqu'une porte s'ouvrait trop brutalement sur elles. En vain, malgré toutes ces péripéties, il était hors de question pour Daisy d'écouter sa mère et de changer d'université. Harvard était sa maison.
« Tu vois ? » siffla Sybil d'un ton agressif à l'adresse de son mari. « Si elle était allée à Mont Holyoke, rien de tout cela ne serait arrivé ! Avec la racaille qui s'y promène, ce n'est pas étonnant. Je t'avais pourtant bien dit qu'elle aurait été mieux dans l'une des Sept Sœurs, tout au plus ! Dans un campus de filles, jamais cela ne... » « Sybil », la coupa son mari d'un ton sec et tranchant. « N'en rajoute pas, s'il te plaît. Daisy est assez bouleversée par les événements, tout comme nous. Le fait qu'elle soit à Harvard ne change rien, Mont Holyoke ne l'aurait pas plus mise en sécurité ». Daisy ne parvint pas à entendre la réponse de sa mère, qui s'était à présent levée du fauteuil pour se ruer dans la cuisine. Cachée en haut des escaliers, assise sur la dernière marche et invisible derrière la rambarde en bois, la jeune brune observa son père suivre sa femme en se passant une main dans les cheveux. Daisy se mordit la lèvre ; encore cette même dispute incessante. Depuis les agressions sur le campus et la couverture médiatique qui avait suivi, l'atmosphère, à la maison comme à l'université, était devenue irrespirable. Sa mère était devenue hystérique après les prises d'otage et avait interdit à sa fille de quitter la maison pendant que la vie reprenait doucement à Harvard. Malgré les protestations de Daisy (« J'ai des cours à suivre maman ! Et des devoirs à rendre ! »), rien n'y avait fait. Sybil avait même relancé sur la table le vieux débat qui l'opposait à son mari. Toute sa vie, elle avait tenu à ce que sa fille puisse suivre ses études supérieures dans l'établissement pour filles de Mont Holyoke, où elle-même avait effectué ses études. Un établissement « plus que respectable ». Elle n'avait jamais vraiment bien vécu le fait que Daisy ait toujours voulu intégrer Harvard plus que l'une des Sept Soeurs, pour imiter son père mais aussi pour la renommé et le prestige de l'université, qui restait encore aujourd'hui inégalé. Bien que lasse d'avoir été enfermée chez elle et sous le joug de sa mère pendant quelques jours le temps que les choses s'apaisent, les agressions, comme les prises d'otages, avaient heurté Daisy au plus haut point. Elle y repensait tous les soirs avant de se coucher, si ce n'était pas toute la journée. Et si elle s'était trouvée sur le campus le jour des prises d'otages ? Et si elle avait été une des étudiantes agressée ? Rien que cette idée la faisait frémir. Elle avait bien ressenti ce climat de peur et d'insécurité, mais aussi les regards apeurés que se lançaient toutes les filles au détour d'un couloir ou lorsqu'une porte s'ouvrait trop brutalement sur elles. En vain, malgré toutes ces péripéties, il était hors de question pour Daisy d'écouter sa mère et de changer d'université. Harvard était sa maison.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Daisy n'avait pas quitté le canapé depuis une heure maintenant. La télécommande visée dans sa main droite, le regard consterné et la main de sa mère posée sur son bras dans un geste de réconfort, les images de ponts fracassés, des routes défoncées et des toits effondrés passaient en boucle sur l'écran de télévision. En gros titres, le journal télévisé présentait le tremblement de terre survenu au Chili comme une catastrophe naturelle, mais aussi humaine. Plusieurs élèves d'Harvard était au même moment sur place, certains peut-être encore un peu soûls, certains sous le choc, d'autres en sécurité où même certains sous les décombres en ce moment même. Daisy n'avait jamais apprécié les beuveries, les fêtes et autres trivialités du même genre. C'est donc avec évidence qu'elle avait refusé de s'embarquer dans le fameux Spring Break, qui unit chaque année tous les étudiants de l'université pour un séjour des plus épiques. Aujourd'hui, elle remerciait son caractère calme et peu enclin aux soirées de l'avoir retenu d'y aller. Sa mère Sybil ne se serait jamais pardonné d'avoir laissé partir sa fille alors que de telles nouvelles passaient en boucle aux informations.
Daisy n'avait pas quitté le canapé depuis une heure maintenant. La télécommande visée dans sa main droite, le regard consterné et la main de sa mère posée sur son bras dans un geste de réconfort, les images de ponts fracassés, des routes défoncées et des toits effondrés passaient en boucle sur l'écran de télévision. En gros titres, le journal télévisé présentait le tremblement de terre survenu au Chili comme une catastrophe naturelle, mais aussi humaine. Plusieurs élèves d'Harvard était au même moment sur place, certains peut-être encore un peu soûls, certains sous le choc, d'autres en sécurité où même certains sous les décombres en ce moment même. Daisy n'avait jamais apprécié les beuveries, les fêtes et autres trivialités du même genre. C'est donc avec évidence qu'elle avait refusé de s'embarquer dans le fameux Spring Break, qui unit chaque année tous les étudiants de l'université pour un séjour des plus épiques. Aujourd'hui, elle remerciait son caractère calme et peu enclin aux soirées de l'avoir retenu d'y aller. Sa mère Sybil ne se serait jamais pardonné d'avoir laissé partir sa fille alors que de telles nouvelles passaient en boucle aux informations.
TON ADMISSION À HARVARD
Sybil se dirigea vers la porte d'entrée du haut de ses escarpins. C'était une belle femme pour son âge, rousse aux yeux verts, à la taille fine et aux jambes longues. Si presque rien ne pouvait la relier à Daisy sur le plan physique, mère et fille possédaient le même air froid, le même sourire faux et maîtrisé, le même mental d'acier. Pas dénuées d'amour ni de sentiments non, mais toujours sous contrôle. Sybil tourna la poignée massive et tira la porte. Le jardin était organisé à la perfection : à la française, taillé et à la roseraie fleurie. Il ne fallut pas plus de quelques secondes pour repérer Daisy, assise sur la balançoire, un livre ouvert sur sa jupe et ses lunettes perchées sur son nez. « Daisy, chérie ! », appela Sybil à sa fille qui tourna la tête. « Viens ! Dépêche toi ! ». Un grand sourire habillait le regard de la mère alors que Daisy traversa la pelouse pour la rejoindre. Les Hamptons pouvaient être une région tellement chaude en été et la jeune brune était seulement vêtue de ses habits de golf. « Qu'est ce qu'il y a Maman ? J'attends Vicky, son père doit nous amener sur son terrain. Ils passent me chercher dans cinq minutes, mon club est déjà prêt ! » se hâta Daisy en posant le doigt sur sa visière, comme pour appuyer ses propos. « Victoria et Richard attendront, si tu veux bien. Cela ne prendra que quelques minutes. Entre ! » répondit Sybil avec une sorte d'exaltation qui n'était pas de son habitude. Daisy fronça les sourcils et entra dans le hall climatisé. Sa mère lui posa une main chaude sur l'épaule et la guida jusqu'au salon. Son père était assis dans l'un des fauteuils de lecture devant la cheminée éteinte. Il leva les yeux de son journal pour accueillir sa fille. « Daisy, ma grande, comment vas-tu ? ». La brune hocha les sourcils et posa sa main sur la hanche de manière exaspérée et impatiente, roulant des yeux. « Je vais bien, merci. Je dois rejoindre Vicky papa ! C'est pour quoi, tout ça ? ». « Eh bien, "ça", ma fille, c'est la réponse à ta candidature pour l'université d'Harvard », dit-il en sortant un papier plié de la poche de son pantalon. Vicky, son père Richard et l'image du nouveau terrain de golf s'envolèrent aussitôt de la tête de Daisy. Les battements de son cœur doublèrent de vitesse et elle sentit la main de sa mère excercer une pression encourageant sur son épaule. Elle leva la tête vers elle. « La réponse ? Si... Si tôt ? ». L'attitude arrogante de la jeune fille avait disparu pour laisser place à un visage angoissé. Sybil hocha lentement la tête, l'air confiant. Daisy se rapprocha de son père, qui lui tendit le papier. Il n'y avait plus d'enveloppe et à travers le papier blanc se dessinait le blason rouge de l'université et sa devise « VERITAS », écrite noir sur blanc. La tension de la brune descendit d'un cran. Si ses parents avaient ouvert la lettre et que la réponse avait été négative, ils l'auraient surement brûlée, puis auraient attendu la prochaine lettre de confirmation pour Mont Holyoke ou Princeton. Daisy prit le papier des mains de son père et le déplia, fébrile, sous les yeux fiers de sa mère. Ce soir là, dans la maison estivale des Lockton-Blather, une soirée de célébration fut organisée, pour fêter l'admission de la princesse de la famille à l'université d'Harvard. Et pendant que la viande rôtissait, que le champagne coulait à flot et que des barons de l'industrie, amis de Nixon Lockton-Blather, donnaient une tape amicale sur l'épaule de sa fille, la lettre du Doyen reposait dans la chambre du deuxième étage, à gauche du couloir, pleine de promesse.
Sybil se dirigea vers la porte d'entrée du haut de ses escarpins. C'était une belle femme pour son âge, rousse aux yeux verts, à la taille fine et aux jambes longues. Si presque rien ne pouvait la relier à Daisy sur le plan physique, mère et fille possédaient le même air froid, le même sourire faux et maîtrisé, le même mental d'acier. Pas dénuées d'amour ni de sentiments non, mais toujours sous contrôle. Sybil tourna la poignée massive et tira la porte. Le jardin était organisé à la perfection : à la française, taillé et à la roseraie fleurie. Il ne fallut pas plus de quelques secondes pour repérer Daisy, assise sur la balançoire, un livre ouvert sur sa jupe et ses lunettes perchées sur son nez. « Daisy, chérie ! », appela Sybil à sa fille qui tourna la tête. « Viens ! Dépêche toi ! ». Un grand sourire habillait le regard de la mère alors que Daisy traversa la pelouse pour la rejoindre. Les Hamptons pouvaient être une région tellement chaude en été et la jeune brune était seulement vêtue de ses habits de golf. « Qu'est ce qu'il y a Maman ? J'attends Vicky, son père doit nous amener sur son terrain. Ils passent me chercher dans cinq minutes, mon club est déjà prêt ! » se hâta Daisy en posant le doigt sur sa visière, comme pour appuyer ses propos. « Victoria et Richard attendront, si tu veux bien. Cela ne prendra que quelques minutes. Entre ! » répondit Sybil avec une sorte d'exaltation qui n'était pas de son habitude. Daisy fronça les sourcils et entra dans le hall climatisé. Sa mère lui posa une main chaude sur l'épaule et la guida jusqu'au salon. Son père était assis dans l'un des fauteuils de lecture devant la cheminée éteinte. Il leva les yeux de son journal pour accueillir sa fille. « Daisy, ma grande, comment vas-tu ? ». La brune hocha les sourcils et posa sa main sur la hanche de manière exaspérée et impatiente, roulant des yeux. « Je vais bien, merci. Je dois rejoindre Vicky papa ! C'est pour quoi, tout ça ? ». « Eh bien, "ça", ma fille, c'est la réponse à ta candidature pour l'université d'Harvard », dit-il en sortant un papier plié de la poche de son pantalon. Vicky, son père Richard et l'image du nouveau terrain de golf s'envolèrent aussitôt de la tête de Daisy. Les battements de son cœur doublèrent de vitesse et elle sentit la main de sa mère excercer une pression encourageant sur son épaule. Elle leva la tête vers elle. « La réponse ? Si... Si tôt ? ». L'attitude arrogante de la jeune fille avait disparu pour laisser place à un visage angoissé. Sybil hocha lentement la tête, l'air confiant. Daisy se rapprocha de son père, qui lui tendit le papier. Il n'y avait plus d'enveloppe et à travers le papier blanc se dessinait le blason rouge de l'université et sa devise « VERITAS », écrite noir sur blanc. La tension de la brune descendit d'un cran. Si ses parents avaient ouvert la lettre et que la réponse avait été négative, ils l'auraient surement brûlée, puis auraient attendu la prochaine lettre de confirmation pour Mont Holyoke ou Princeton. Daisy prit le papier des mains de son père et le déplia, fébrile, sous les yeux fiers de sa mère. Ce soir là, dans la maison estivale des Lockton-Blather, une soirée de célébration fut organisée, pour fêter l'admission de la princesse de la famille à l'université d'Harvard. Et pendant que la viande rôtissait, que le champagne coulait à flot et que des barons de l'industrie, amis de Nixon Lockton-Blather, donnaient une tape amicale sur l'épaule de sa fille, la lettre du Doyen reposait dans la chambre du deuxième étage, à gauche du couloir, pleine de promesse.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Marie et j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. J'ai trouvé le forum vachement actif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise hailee steinfield comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par neon cathedral.. Je fais environ une page word par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration/
je veux être parrainé.
Je recense mon avatar ▲
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8065]►[/url] ► <span class="pris">HAILEE STEINFIELD</span> ◊ “ Daisy Lockton-Blather ”[/size]
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MORE OF YOUR OWN STORY
Daisy n'aurait jamais du se prénommer ainsi. Milda, le prénom de sa grand-mère paternelle, aurait du être celui de la jeune fille. Cependant, quelques jours avant sa naissance, Sybil, sa mère, avait terminé de lire Gatsby le Magnifique, sûrement l’œuvre la plus célèbre de Scott Fitzgerald. Fascinée par le personnage de Daisy, un changement de dernière minute s'opéra et c'est sans peine que Sybil pu convaincre son mari Nixon de nommer leur fille après l'héroïne du bouquin. Il semble alors qu'en portant son prénom, la brune ait aussi capturé l'essence du personnage, étant de caractère cynique et constamment d'humeur variable. ☆ Là encore, Daisy n'aurait jamais du naître à Bismarck, dans le Dakota du Nord. Ses parents habitaient (et habitent toujours) à New-York, mais c'est lors d'un voyage de quelques jours dans leur résidence de campagne que sa naissance survint. Née avec un mois d'avance dans la plus grande clinique de l’État du Dakota, Daisy et sa mère restèrent à l'hôpital pour quelques semaines, avant qu'elles ne reviennent s'installer à New-York. C'est dans la Grosse Pomme que la brune vécu toute sa vie et fut scolarisée. ☆ Très sage, Daisy a toujours respecté les consignes et les règles qui étaient données, autant à la maison que dans les lieux publics ou scolaires. Cependant, elle a un pêché mignon qui ferait hurler d'horreur sa mère : la cigarette. C'est en seconde que Daisy a fumé pour la première fois, sur les conseils d'une amie. D'abord hésitante, puis ensuite pour se donner un certain style devant ses camarades, Daisy a trouvé une véritable utilité dans le fait de fumer. De plus en plus consciente des attentes de son père au fil du temps et à la tâche qui lui incombera quand il sera incapable de diriger l'entreprise familiale lui même, une pression significative s'est abattu sur les épaules de la jeune fille. La cigarette lui permet alors de décompresser. Elle continue, encore à 20 ans, de le cacher à ses parents, de peur de les décevoir (surtout sa mère). ☆ Daisy a grandi dans une famille très riche, mais aussi très pieuse. Ils pourraient être ce qu'on appelle les WASP (White Anglo-Saxon Protestants). Daisy ne croit pas en Dieu, et n'y a jamais cru. Cependant, tradition familiale obligée, elle continue de pratiquer la religion. C'est avec hypocrisie qu'elle se montre aux yeux de tous comme une jeune femme sainte et bénie. En réalité, Daisy se fiche bien du protestantisme. Seulement, une fois encore, tout est question de faire semblant devant ses proches, une famille blanche du Middle-West américain, à qui la religion apparaît comme une évidence. ☆ L'entreprise de son père est très ancienne et a amassé des centaines de millions de dollars depuis sa création. La famille Lockton-Blather s'est installée en Amérique à l'époque de la ruée vers l'or et de la découverte de l'Ouest. Ayant fait fortune dans la technique des chemins de fer, la société familiale a continué à évoluer. Aujourd'hui, l'entreprise Lockton and Blather est devenu un investisseur immobilier. ☆ Daisy a reçu une éducation très complète et digne des enfants les plus riches de l'Upper East Side. Très tôt, ses parents ont insisté pour qu'elle joue de la musique. Inscrite à des cours de piano depuis sa plus tendre enfance, la jeune brune n'a malheureusement jamais montré d'aptitudes particulière à la musique, ne se montrant pas très douée. Cependant, Daisy s'est révélée dans une autre activité : le volley-ball. Capitaine de l'équipe féminine de son établissement depuis le lycée, elle a participé à des championnats, et continue de pratiquer quand le temps lui permet. ☆ La mère de Daisy aurait aimé qu'elle poursuive sa scolarité à Mont Holyoke, l'une des Sept Soeurs, ou encore à Radcliffe. Cependant, c'est son père Nixon qui a insisté pour qu'elle suive son cursus supérieur à Harvard, étant un ancien élève lui-même. Depuis petite, Daisy à travaillé très dur pour atteindre ses objectifs, désirant le meilleur pour elle-même et le bien de l'entreprise de laquelle elle aura les rennes dans peu de temps déjà. ☆ Daisy possède de nombreuses qualités, comme de nombreux défauts, mais a toujours souffert d'un trait de caractère particulier : son incroyable manque d'empathie. Non pas qu'elle soit méchante (un peu peste sur les bords, oui), mais la jeune fille possède beaucoup de mal pour se mettre à la place des gens qu'elle croise et à éprouver de la sympathie pour ce qu'ils éprouvent.
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