Noam ♪ Family is everything

Lorsqu’Eden avait décidé de venir à Harvard, c’était plus sur un coup de tête, un acte irréfléchis qui lui semblait bien sur le coup. Oh, elle ne regrette pas non, parce qu’elle commence petit à petit à se faire à cette vie ici. Cependant, elle ne se doutait pas à quel point son Ecosse lui manquerait et surtout sa famille. Elle ne le dira que très rarement, mais être loin de ses parents et de son frère, c’est quelque chose de dur et pénible pour elle. Les avoir au téléphone c’est totalement différent. Elle n’a jamais eu l’habitude d’être aussi loin d'eux, aussi longtemps. Alors l’écossaise, elle est tout de même contente de savoir qu’ici elle avait un membre de sa famille. Noam. Cousin du côté maternel qu’Eden a toujours apprécié. En fait, lorsqu’elle était petite lui c’était son modèle au masculin. Elle n’avait pas de grand frère, ni même de grande sœur, alors Noam, il a un peu joué ce rôle de grand frère du moins pour la demoiselle. Le gars intelligent, sûr de lui, indépendant, bref. Un exemple pour la petite Eden. Et en grandissant, cette admiration pour lui est restée. Les parents Baxter, lui ont dit de faire attention, ils n’étaient pas franchement d’accord pour qu’elle fréquente ce cousin, sans réellement dire pourquoi, mais elle, elle s’en fiche pas mal. Alors, lorsqu’elle a un coup de mou, elle sait qu’elle peut compter sur Noam, qu’il sera là pour la rebooster. De plus, cela faisait un petit moment qu’elle ne l’avait pas vu, et quand même il lui manquait, alors elle lui avait envoyé un message pour savoir si ça lui disait d’aller manger un bout tout les deux. Et pour son plus grand bonheur, il a accepté. Et c’est dans un restaurant spécialisé dans la cuisine italienne à l’ouest de boston qu’ils se sont donnés rendez-vous à 19h30. Me fais pas attendre, il caille. Qu’elle envoie à son cousin lorsqu’elle arrive quelques minutes en avance, accompagné d’un grand smiley.  En même temps, elle aurait dû mieux se couvrir.  

Chez les Fitzgerald nous avons toujours été très famille. Mes parents ont toujours été liés, par un lien qui remonte à très loin, et ma soeur Emma, et moi c'est pareil. Des jumeaux, quoi de mieux dans la vie pour avoir une certaine proximité ? Sauf que malheureusement Emma, est décédée à la suite d'un accident de voiture. Cela m'a anéantie. Même si je fais l'homme fort, qui se passionne toujours autant pour tuer des gens, je souffre intérieurement. Il ne se passe pas un jour sans que je ne pense à elle. Dès que je vais en Ecosse, je vais sur sa tombe. Avec sa perte, une partie de moi s'est échappée et je ne sais comment y remédier. Heureusement qu'Eden est là. Elle et Emma étaient très proches, nous étions souvent tous les trois et même si j'ai toujours su qu'elle me préférait je sais que la mort d'Emma l'a attristée aussi. Eden c'est une petite poupée, t'as juste envie de la protéger et de la serrer dans tes bras. Je l'ai toujours considéré comme ma petite soeur, même si je sais que ses parents étaient contre notre lien. Parfois nous ne pouvons pas toujours écouter les parents, et heureusement sinon je ne ferais pas de mon second métier tueur à gages. Alors que je suis sur la route, elle m'envoie un message me disant de me dépêcher. Elle manque de patience, ça me fait sourire. J'arrive quelques minutes après son message devant le petit restaurant italien. Hello toi ! Je lui fais un baiser sur la joue, je peux être affectueux avec elle, c'est rare envers d'autres personnes.

Après qu’elle ait envoyé son message, Eden ne tarde pas avant de voir apparaitre son cousin, qui après l’avoir salué lui dépose un baiser sur la joue. Salut, qu’elle lui dit en souriant. Elle ne s’était pas réellement rendue compte, mais en voyant Noam en face d’elle, elle se dit que cela faisait quand même un bon moment qu’elle ne l’avait pas vu. Je meurs de faim, qu’elle dit en prenant le bras de l’écossais afin de l’entraîner à l’intérieur du restaurant. Une fois entrée les deux attendent quelques instants avant d’être accueillis par un serveur qui les accompagne vers une table. Une fois installée et avant de s’intéresser au menu la demoiselle tourne son attention vers son cousin. Tu vas bien ? J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on ne s’est pas vu. Qu’elle s’exclame. Même si elle sait qu’il lui répondra que ça va, elle pose tout de même la question. Parce qu’on ne va pas se mentir, Noam, il ne montre jamais ses faiblesses, ni même sa tristesse à Eden. Peut-être une question de fierté, ou autre. Peut-être un jour qui sait… Mais même lorsqu’Emma est morte. Le jeune homme n’a jamais montré sa tristesse devant Eden, alors qu’elle sait pertinemment qu’il a été très attristé, et le mot est faible, par cette perte. Elle se souvient la demoiselle de tous les moments qu’ils ont passés tous les trois ensembles. Ils semblent si loin maintenant. Eden est plus jeune qu’eux deux, mais ces derniers ne l’ont jamais laissé de côté et l’ont toujours bien accueilli. Elle adorait Emma, vraiment, et quand elle est morte, ça a beaucoup touché Eden et contrairement à Noam, l’écossaise n’est pas du genre à conserver ses émotions pour elle, même si parfois elle le souhaiterait.

Cela me fait plaisir de retrouver Eden, depuis que Emma est partie j'ai cette envie de me rapprocher encore plus d'elle, d'apprendre davantage à la connaitre même si depuis le temps je commence à la cerner. Un baiser sur son front, des sourires échangés, une réponse, un simple mot : Salut. Eden me dit mourir de faim, et cela me fait décrocher un sourire. Je dois bien avouer que moi aussi, et ce n'est pas mon ventre qui dira le contraire. Surtout que passer du temps avec elle me fait toujours chaud au coeur. Je la laisse me tirer par le bras, c'est rare que je sois aussi affectueux envers quelqu'un, mais Eden c'est différent, ça l'a toujours été. Nous entrons dans le restaurant, gentleman que je suis je lui ai tenu la porte. Un serveur nous accueille rapidement, et nous installe sur une petite table loin des regards indiscrets. J'attrape le menu, et alors que je commence à lire la carte, la voix de ma cousine se fait entendre. Je lève les yeux vers elle Tu vas bien ? J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on ne s’est pas vu. Je ne suis pas le genre à déballer ce que je ressens, surtout pas devant Eden. Je veux qu'elle garde cette image de l'homme fort et pas de pleurnichard qui ne se remet pas de la mort de sa soeur. Un sourire passe sur mes lèvres, un temps de réflexion se faufile dans mon esprit et je lui dis Tout va bien pour moi ! Le cabinet commence à marcher, je suis sur quelques affaires assez importantes donc c'est plutôt cool. Je marque une petite pause, mais reprends rapidement, me souvenant de mes parents et du message à faire passer. Au fait Papa et maman te passe le bonjour, je les ai eu en ligne toute à l'heure. Mais, toi comment tu vas ?

Comme Eden l’avait prédit, Noam lui que tout va bien pour lui. Elle s’attendait en effet à cette réponse venant de son cousin. Et c’est peut-être ce qui amplifie l’image qu’elle a de lui, l’image d’un gars fort et résistant. Elle sourit ensuite lorsqu’il lui dit que le cabinet commence petit à petit à marcher. Oh mais c’est super ça, félicitation. Qu’elle commence par lui dire plein d’enthousiasme. Tu as l’air de bien aimer ce que tu fais. Qu’elle remarque et elle ne peut s’empêcher de le lui dire. Elle espère elle aussi quand elle aura fini ses études trouver un boulot qui lui plait. Généralement intégrer Harvard et lorsqu’on a des bonnes cela permet de trouver ensuite un travail convenable, voir même plus que cela d’ailleurs. Et elle l’espère. Mais ce qu’elle souhaite réellement, c’est faire quelque chose qui lui plait, qui lui donne chaque matin l’envie de se lever et d’aller bosser. Un métier dans lequel elle peut s’épanouir. Tu leur passeras le bonjour de ma part si tu les as en ligne de nouveau, qu’elle lui répond en souriant, c’est vrai qu’elle pourrait aussi les appeler la demoiselle. Elle aimerait bien dire que ses parents lui passaient également le bonjour, mais il faut dire que s’ils appréciaient Emma, Noam, ils ne le portent pas dans leurs cœurs, alors elle ne leur parle pas de lui, sauf s’ils posent la question. Je vais bien, les cours c’est fatiguant, j’ai l’impression que c’est plus intense que dans la fac où j’étais avant, elle rigole légèrement, elle ne devrait pas se plaindre, après c’est elle qui a décidé de venir ici, pour retrouver Douglas, alors il faut qu’elle assume ses choix. Mais sinon ça va, c’est cool, oh et tu sais j’ai rejoint un nouveau club à la fac, c’est un peu un club féministe, qu’elle finit par dire en rigolant légèrement.

Oh mais c’est super ça, félicitation. commence alors par me dire ma cousine avec enthousiasme me faisant décrocher un petit sourire. Tu as l’air de bien aimer ce que tu fais. Je hoche positivement de la tête, en effet je ne peux pas nier que j'adore le métier d'avocat, c'est quelque chose qui me donne envie de me lever chaque matin, en plus du fait de tuer des gens. Ma vie professionnelle est ce que j'ai le mieux réussi dans ma vie, mes parents en sont fiers. Oh que oui, j'adore ça ! Un jour je te ferais visiter, la vue est magnifique. lui dis-je tout sourire. Il est vrai que la brunette n'a jamais visité mon cabinet et je suis sûr qu'il va lui plaire. Je lui parle ensuite des mes parents, qui me manquent malgré tout. J'ai toujours mis un point d'honneur sur la famille, même si je ne le montre pas tous les jours.Tu leur passeras le bonjour de ma part si tu les as en ligne de nouveau me dit-elle toute joviale. Promis, je leur dirai ! D'autant plus qu'ils adorent Eden, ils ont toujours trouvé charmant son petit côté naïf et gentil. Je lui demande par la suite comment elle va. Je m'intéresse à elle, savoir si ses études de journalisme lui plaisent toujours autant, elle doit avoir des choses à raconter avec tout ce qui se passe à l'université et je suis ravi d'entendre que ça lui plait. Je vais bien, les cours c’est fatiguant, j’ai l’impression que c’est plus intense que dans la fac où j’étais avant me dit-elle en rigolant. C'est certain qu'à Harvard le niveau est élevé, tu n'as pas le droit à l'erreur. Mais tu vas y arriver, j'en suis certain ! Si je peux t'aider pour certains cours, ou te présenter des gens qui pourront t'aider n'hésite pas. C'est pas comme ci le Doyen m'avait déjà sollicité par le passé. Elle continue de rire en ajoutant Mais sinon ça va, c’est cool, oh et tu sais j’ai rejoint un nouveau club à la fac, c’est un peu un club féministe Je plisse légèrement les yeux. C'est nouveau sur le campus ce truc. C'est quoi encore cette connerie ? Oui je ne suis pas amateur des clubs de ce genre. Le serveur vient prendre nos commandes, je prends une bouteille de vin blanc pour nous accompagner et des lasagnes saumon et épinards en guise de repas.

Oh que oui, j’adore ça ! Un jour je te ferais visiter, la vue est magnifique, que dit Noam après avoir hoché la tête positivement. J’adorerais que tu me fasses visiter, quand tu auras le temps. Qu’elle lui répond en souriant. En effet, elle aimerait bien voir le lieu de travail de son cousin et elle ne doute pas que ça soit un lieu plutôt agréable. Promis, je leur dirai ! Elle sourit une fois de plus lorsqu’il dit cela. Mais tu vas y arriver, j’en suis certain ! Si je peux t’aider pour certains cours, ou te présenter des gens qui pourront t’aider n’hésite pas. Noam a toujours été prévenant et aidant envers Eden et elle apprécie beaucoup ce côté de lui. En fait, du plus lointain qu’elle se souvienne il a toujours été là quand elle avait besoin de lui. Et elle espère un jour lui rendre l’appareil. Bien sûr pas pour quelque chose de grave, mais elle espère tout de même un jour lui rendre le soutien et l’aide qu’il lui a toujours donné. Non pas qu’il le réclame, mais c’est plus pour Eden, même si elle pense que cela n’arrivera jamais. Mais à ce qu’il parait, il ne faut jamais dire jamais. Merci, c’est gentil. Pour l’instant ça va, mais si jamais j’ai besoin je te le dirai, qu’elle lui dit. Puis alors qu’il lui demande ce qu’était encore que cette connerie de club, elle ne peut s’empêcher de rigoler légèrement, mais le serveur arrive au moment où elle allait répondre. Lorsque Noam a fini de passer sa commande, elle demande à son tour une pizza végétarienne, avec du parmesan. Aujourd’hui, elle n’avait pas spécialement envie de manger de la viande. Alors ça lui paraissait bien. Une fois le serveur parti, elle prend le temps de répondre à l’écossais. C’est pas une connerie, qu’elle commence par dire sachant très bien que les clubs comme cela n’était pas du tout au goût de Noam. C’est tout récent en fait, pour l’égalité, les droits et tout, c’est bien non ? Qu’elle dit avant de rajouter aussi vite, Mais je suis pas une féministe à l’extrême ne t’inquiètes pas, c’est juste que je voulais voir ce que ça peut donner et tu sais, ça m’a toujours intéressé, alors quand j’ai vu, je me suis inscrite. On n’a encore rien fait de concret, mais j’espère qu’on pourra faire des choses intéressantes.  

Lorsque le boulot ça va, tout va j'ai envie de dire surtout lorsque le boulot en question nous prend tout notre temps. « J’adorerais que tu me fasses visiter, quand tu auras le temps. » Je lui fais un petit sourire, j'ai toujours adoré la douceur qu'elle a et sa détermination à toujours penser aux autres avant. « Mais pour toi j'ai le temps ! » Après tout la famille ça sert à ça je pense. Et c'est pour cela que je me la joue protecteur avec elle, c'est la petite soeur que je n'ai jamais eu, celle dont j'ai toujours rêvé. Douce, gentille et toujours à l'écoute sans s'en rendre compte c'est déjà beaucoup pour moi. Elle me fait me souvenir que malgré ma vie de tueur, il y a des gens biens sur terre. « Merci, c’est gentil. Pour l’instant ça va, mais si jamais j’ai besoin je te le dirai. » me répond-elle lorsque tout naturellement je lui propose mon aide. Avec un petit sourire je lui réponds. « Avec plaisir. » Et ce n'est pas mentir lorsque je le dis cela. Elle me parle ensuite d'un club à la con, que je trouve totalement ridicule et lui fais bien comprendre. Sa réponse ne se fait pas attendre et me fait décrocher un sourire. « C’est pas une connerie. » Je plisse les yeux, restant sur mes positions malgré tout ce qu'elle pourra me dire. «  C’est tout récent en fait, pour l’égalité, les droits et tout, c’est bien non ? » Poursuit-elle sans me laisser le temps de répondre. « Mais je suis pas une féministe à l’extrême ne t’inquiètes pas, c’est juste que je voulais voir ce que ça peut donner et tu sais, ça m’a toujours intéressé, alors quand j’ai vu, je me suis inscrite. On n’a encore rien fait de concret, mais j’espère qu’on pourra faire des choses intéressantes. » Je hausse des épaules puis me racle la gorge. Ce n'est absolument pas mon délire et son discours ne pourra rien changer à mes convictions. « Du moment que tu ne te ballades en sous-vêtements dans la rue pour défendre une idée je m'en fous. Je vois juste pas l'intérêt. Mais tu fais ce que tu veux et si un jour ça dégénère je serais là ! » Même si elle est nue dans la rue je viendrais la chercher.

Mais pour toi j’ai le temps, qu’il lui dit et elle esquisse un sourire en direction de son cousin. Elle aussi aura toujours du temps pour ses proches, c’est quelque chose qu’elle essaye de faire parce qu’elle sait qu’il n’y a rien de plus important. Alors il faudra qu’on essaye de se programmer ça. Qu’elle lui dit finalement. En vrai, elle est impatiente et excitée à l’idée de visiter le lieu de travail de Noam. Ce n’est rien de trop important, rien de bien gros, mais ça lui tenait à cœur quand même. Et puis Eden se lance dans son discours pour le nouveau club qu’elle vient d’intégrer. Elle le sait rien qu’en regardant son cousin qu’il n’est pas fan de cela et en fait, elle aurait pu s’en douter. Mais elle explique, donne son avis, même si elle est encore une fois consciente qu’elle ne le fera pas changer d’avis. Du moment que tu ne te ballades en sous-vêtements dans la rue pour défendre une idée je m’en fous. Elle rigole légèrement à la réplique de son cousin en l’écoutant parler. Je vois pas l’intérêt. Mais tu fais ce que tu veux et si un jour ça dégénère je serais là. Cela elle le sait, mais elle essayera de faire en sorte de ne jamais arriver à un point où elle aurait besoin du secours de Noam. Ne t’inquiètes pas, je me baladerais jamais en sous-vêtements ou autre. Et puis je ne ferais rien d’irresponsable, ne t’en fais pas. Puis comme je te l'ai dit, je ne suis pas dans l'extrême, sinon tu le saurais. Léger rire qui s'échappe de sa bouche. Ce n’est carrément pas le genre d’Eden d’aller se dénuder pour plaider n’importe quelles causes. C’est peut-être le cas de certaines filles, mais elle n’est pas à ce point-là. En fait, elle se sentirait mal à l’aise. Elle comprend qu’il puisse trouver cela sans intérêt, en fait de nombreuses personnes le pensent. Mais Eden ça lui tient à cœur, l’égalité des femmes, ici déjà, mais aussi et surtout dans les autres pays du monde. Certains endroits où les femmes ont très peu de droits. C’est certains que le petit mouvement naissant n’aura pas d’impact à l’international, mais c’est déjà un petit début.

J'accorde une importance grande à la famille, surtout la famille proche et Eden en fait plus que partie. « Alors il faudra qu’on essaye de se programmer ça. » C'est vrai que j'ai un emploi du temps assez chargé, entre mes dossiers à gérer au quotidien dans mon cabinet, et mes dossiers un peu moins professionnels, ceux de tueurs mais ça elle ne le sait pas. « Avec plaisir ! Je t’appellerais au moment où ça sera moins le rush. » Et en toute franchise je ne saurais dire quand. Mais qu'elle voit là où je travaille me fera bizarre. Et il faut que je vois avec mon associé si une petite visite guidée pourrait le déranger, dans tous les cas je pense que la réponse va peut m'importer. Eden vient alors à me parler de son groupe féministe et je lui fais clairement comprendre que ça ne me plait absolument pas. Sa réponse ne se fait pas attendre, mais elle me fait sourire « Ne t’inquiètes pas, je me baladerais jamais en sous-vêtements ou autre. Et puis je ne ferais rien d’irresponsable, ne t’en fais pas. Puis comme je te l'ai dit, je ne suis pas dans l'extrême, sinon tu le saurais. » Je lâche ensuite un petit rire face à ses dires. Elle a tout à fait raison, mais ça ne change rien au fait que cela ne plaise pas vraiment. Je hoche donc de la tête et lui dis « Bon on verra bien ! Mais tiens moi informé des évènements féministes que tu feras je veux être aux premières loges. Pas pour mater des nanas, j'en ai rien à faire mais au cas où des fous débouleraient. » Et j'en ai déjà une qui me tourne en tête depuis un moment.