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I will always come back to you - Andnaëlle

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Ton jet est arrivé à Boston, et toi tu es à Aspen. Pourquoi ? Car ton pilote est parti chercher Andrew, et que Lissandre et dans le jet lui aussi pour veiller à ce que le voyage ce fasse sans encombre. D'ordinaire le voyage été de six heure presque sept, mais en jet ça va bien plus vite, il n'y en aurais que pour cinq heure de vol. Andrew est persuadé que tu l'attend en Thaïlande, et non pas à Aspen. Tu as acheter sur place un petit chalet très petit, limite un studio en un peu plus grand, assez rustique, et tu t'accorde une petite sieste de trois heure à la lueur d'un feu de cheminée, car oui il y as quand même la cheminée. Finalement il va être l'heure de rejoindre Andrew, et tu prend la vieille jeep de ton père que tu as fais remorquer jusque ici. Une fois sur la piste de l'aéroport tu n'as plus que à attendre qu'il arrive. Ton cœur bat fort et vite, tu ne l'as pas revue depuis votre dernier drame sentimentale. La neige tombe, et tu attend sagement dans la voiture. Lissandre aller repartir pour Boston avec le Jet et Andrew et toi aller rester seuls en toute intimité.
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J'étais rentré depuis maintenant 2 semaines de Londres. J'avais besoin de travailler, mon voyage avec Aymalyne était cool mais bon, on a compris tous les deux qu'on était maintenant devenus différents, j'ai pu lui donner ce qu'elle voulait, j'ai enfin pu la voir sourire et ça me plait. J'espère qu'elle va retourner avec Abélard car de toute façon c'est ce qu'elle veut, qu'elle souhaite. Il ne se passera jamais rien de plus entre elle et moi que de l'amitié. Je l'a connais par coeur. Bref, aussi depuis maintenant quelques semaines, Athénaëlle recommençait à me parler par SMS. Ca me fait toujours aussi mal en faite, je ne sais pas, je l'aime toujours bien sur que je n'arrive pas à me l'a sortir de la tête mais je ne sais pas. J'ai une appréhension maintenant, j'ai ces images en tête d'elle et ce mec. C'est répugnant. On parle beaucoup même, je pense qu'elle est... Sincère dans ces paroles mais je dois le voir dans ses yeux avant tout, qu'on discute réellement comme des adultes. Elle me demande de la rejoindre mais elle me dira pas où. Je lui ai dis que je ferais tout pour la retrouver mais en ce moment j'étais totalement débordé du travail que j'avais à faire. Mon nouveau patron m'en donnait beaucoup, j'étais qu'en stage mais ça me permet de me former et me perfectionner. Ce stage j'en rêvais et je l'ai décroché, je ne dois pas le foiré. Les études, mon futur est important pour moi, bien sur que tout cet argent que j'ai eu de mes parents. Ils m'ont aidé dans le financement je dois maintenant avoir mon empire dans les années à venir. Je vais réussir. Bref, je sors du travail, et je lève les yeux et je vois Lissandre. Je fronce le regard, en le saluant. Il avait déjà ma valise, mais comment il fait? Je le suis sans rien dire, trop de questions en tête. Je n'ai même pas le temps de me changer qu'on arrive à l'aéroport. Non mais j'allais prendre l'avion habillé comme ça? Je suis en costume?! J'ai ma chemise blanche et mon costume bleu foncé, ma cravate. Je l'enleve du coup en montant dans l'avion et j'ouvre les boutons de ma chemise. Je m'asseois. Je reconnais ce jet, c'était le sien. Qu'est ce que ça va être quand on va se revoir, comment on va pouvoir discuter tous les deux? Je ne sais pas du tout qu'est ce qui va arriver. Et si l'amour qu'on avait ensemble, était maintenant mort? Disparu avec notre confiance envers l'un et l'autre. J'avais tellement maigri depuis notre rupture, j'étais un peu plus musclé car je passais beaucoup de temps à la salle pour oublier, ne pas réfléchir. Je ne dormais plus beaucoup j'avais des cernes de dingue. On pouvait voir que j'avais pris des années en plus limite j'étais au plus mal. Personne n'avait réussis à me faire rire, aller mieux. Même les autres filles... Rien. Je ne pensais qu'à elle, à eux. A mon coeur brisé. Bref je dors un peu avec la musique dans les oreilles dans l'avion puis je sens une secousse, on atterrit. Je prend ma valise dans la main enfin le petit sac, on me donne ma veste d'hiver que j'avais lors de mon précédent voyage au ski. Je sors de l'avion et on me dirige vers une voiture. Je marche en regardant autour de moi. Aspen? Je reconnais cet aéroport. Je fronce le regard et j'entre dans cette voiture. elle était là. Mon coeur fait qu'un bon. "Bonsoir..." Je souris faiblement. Voila je ressens à nouveau cette peur de la revoir, de la retrouver. Je vais la perdre je le sais, je l'ai perdu. Je l'aime. Je l'aimerais toujours, mon coeur me le fait savoir. Il y avait un blanc entre nous, je ne savais même pas quoi dire.
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Lissandre après avoir mis les bagages d'Andrew dans le coffre de la voiture, laisse enfin le jeune homme sortir du jet, et quant à lui, il remonte dedans et referme la porte de l'appareil, histoire de faire comprendre à Andrew qu'il n'avais plus d’échappatoire. Je le vois dans le rétroviseur, il se dirige vers le véhicule, et mon cœur ce met à battre la chamade, je ne comprend pas pourquoi, dans le fond peut-être que je suis toujours amoureuse de lui, mais genre vraiment amoureuse. Je stresse un peu et en fin de compte Andrew monte dans le véhicule. Un fin sourire se dessine sur mon visage, je ne sais pas trop quoi faire ou dire à ce moment là. Et si tout simplement je commencer par lui répondre à son bonjour ? C'est pas une mauvais idée tiens. « Bonjour. » Je répond timidement d'une voix peu confiante, à nous voir on dirais deux amoureux transit lors de leur premier rendez-vous. Je démarre le moteur, on à quand même pas loin de deux heures de route pour rejoindre le petit chalet perdue au beau milieux de nul part, et personnellement j'ai envie de rentrer. Je suis dans ma quinzième semaine de grossesse et maintenant mon petit entre arrondie se vois bien, même au assise au volant de ma voiture. Je me mordille la lèvre et monte un peu le chauffage. « Tu doit avoir froid ?  Je peu augmenter encore si tu veux. » En réalité c'est plutôt moi qui suis complètement glacée,mais il fallait bien que je trouve une excuse. Je profite d'une belle ligne droite pour ralentir un peu et lancer un bref regard sur lui, très rapidement je repose mes yeux sur la route, il est toujours aussi beau, et mon cœur bat toujours aussi fort pour lui. « Tu veux qu'on passe en ville acheter une pizza ? » Habituellement jamais je ne lui aurait parlais de pizza, je suis trop bourgeoise pour sa, mais là, je voulais lui montrer que je pouvais être une fille parfaitement simple, pizza, vieille voiture à papa, minuscule chalet perdu en pleine nature, et surtout rien que vous deux. « Lissandre c'est permis d'ajouter ta guitare à tes bagage, ne lui en veux pas, il à crus que tu l'avais oublier. » oui je protège mon chauffeur, il ne pense pas en mal quand il fait des choses sur un coup de tête, en réalité il ne veux que nous aider. Tu rougis en posant un regard sur lui du coin des yeux, sauf que tu remet ton regard sur la route, tu ne veux pas que vous ayez un accident. La neige qui tombe, lui avec moi dans cette voiture, et de la musique de fond assez romantique qui passe à la seule station radio que je capte dans le véhicule, c'est parfait, je ne demande rien de plus, juste sa présence.
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J'arrive dans la voiture et elle était là, magnifique comme toujours. Je n'en reviens pas. Elle était parfaite quand même, j'étais amoureux d'une fille superbe, je comprend pourquoi tant de mecs l'a veulent dans leur lit. Je comprend oui. Et moi je suis simplement là comme l'ex petit ami. Je ne sais même pas si un jour on arrivera à se comprendre, à se faire confiance. Elle était même rayonnante. Je ne sais pas ce qui lui procure cela. Aucune idée, mais je ne pense pas que ça soit moi.  Je l'aime, je le sais. Mon coeur bat si vite quand elle parle quand je l'a regarde. Je suis sous son emprise. Elle augmente le chauffage. Ah oui ça me fait du bien je le ressens. Je me demande comment il peut y avoir du chauffage dans cette voiture qui date du siècle dernier limite mais bon tant que ça roule ça me va. Je ne suis pas compliqué, j'en ai marre des belles choses, etc. Je suis un homme simple et j'aime les choses simples un peu. Quitter tout le luxe qu'on a toujours eu c'est ça que j'aime. Et c'est aussi ça que je voudrais voir dans ma relation avec Athénaëlle. On est surement des Eliots mais on ne le restera pas toute notre vie. "Merci bien." je souris, ça va mieux puis elle me demande si je voulais qu'on s'arrête en ville pour une pizza. J'hoche la tête, je commence à avoir un peu faim en effet après une pizza ou pas je m'en fous tant que je mange. "Ouais si tu veux. Ca me dérange pas." Je ne reconnais pas Athénaëlle. Une pizza c'est pas pour le bas peuple ça? Elle n'a pas de boy pour lui faire à manger ou je ne sais pas quoi? J'aime bien ce qu'elle essaye de me montrer en tout cas. Je ne parlais pas beaucoup, je ne savais pas quoi dire. J'étais perdu dans mes pensées, je ne savais pas comment ce voyage allait se passer. Si on allait retrouver cette flemme, ce nous qu'on avait avant. J'ai peur de souffrir qu'il n'y ai plus rien qu'elle ne ressente plus rien et qu'elle s'oblige à tenter de sauver notre relation pour notre fill qui grandit dans son ventre maintenant. Comme me l'a prouver la photo qu'elle m'avait envoyé par SMS la dernière fois. Puisqu'elle est assise je ne peux pas le voir dommage. J'aimerais juste le voir en vrai pour voir que voila j'allais être père. J'ai juste encore du mal à le croire, j'ai que 26 ans. Je passe la langue sur mes lèvres en regardant la route puis elle me dit que Lissandre avait pris ma guitare. Je souris en secouant la tête. "Ce fou... Ba je ne pensais pas la prendre tout simplement. Mais ça veut dire quoi ça? Pourquoi il a pris ma guitare?" Je ne comptais pas la prendre, je ne comptais pas chanter. Elle m'a jamais entendu chanté, elle n'a jamais lu la chanson que j'avais écrire pour elle. Jamais vu les paroles. Jamais compris les sentiments profond que j'avais pour elle, cette bague qui n'ai jamais sortit de sa boite. Bref, je me cale dans le siège mon regard sur la route. Puis furtivement je l'a tourne vers elle, pour la regarder de haut en bas. C'était ELLE, la bonne. C'était ELLE, la perle rare malgré qu'elle me fait souffrir comme pas possible. C'était ELLE, la femme de ma vie, la mère de mes enfants. Ma princesse, mon tout et ma force surtout. Je le sais. Dans ce regard je sais. Je veux lui prendre la main mais j'ose pas. Je veux lui faire arrêter la voiture, et l'embrasser mais j'ose pas. On arrive en ville et on sort alors vers cette petite pizzaria. Je l'a suis elle a l'air de mieux connaitre ici. J'étais déjà venu à Aspen mais voila avec les Eliots comment vous dire qu'on ai pas sortit du chalet sauf pour faire du ski et en plus je suis tombé avec Noah. Cette poisse. Bon je ne veux pas penser à ce ritale aujourd'hui. Juste elle, moi, ce bébé, nous. Elle commence une pizza pour elle pour je regarde la carte en commandant la mienne me mettant derrière elle, elle avait mon souffle dans les cheveux. Mon regard se pose sur elle. La tension était toujours là entre nous je l'a sens. Est-ce qu'elle l'a sent. Je sors de mes pensées quand on nous demande de payer. Je sors ma carte bleue. "Laisse, je paie pour nous." Je souris en la tendant. Je devais tout de même faire le mec galant n'est ce pas? Je me prend pour un ado avec sa première fois putain. Qu'est ce qu'il m'arrive?
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Rapidement vous arrivez devant la pizzeria, tu te gare et tire le frein à main, tu pose ton regard dans le sien et l'observe un petit moment tout en lui souriant. Tu ne te souvenais plus ce que sa te faisait que de le voir, cette sensation étrange dans le ventre, ce sourire qui se colle sur tes lèvres pour ne jamais en repartir, ce n'étais pas toi ça et pourtant il t'avais transformée, changée en une personne tel que tu est aujourd'hui face à lui, une personne meilleure, et ça t'effraye autant que sa t'existe. Tu soupire tout en gardant ton sourire et tu fini par lui avouer. « Lissandre à trouver la boite avec tes affaires dedans. Il m'as dit que je ne devrais pas l'ouvrir et te la rendre, alors j'ai suivis ses conseil et elle est au chalet cette boîte. Selon sont contenue Lissandre à trouver judicieux d'ajouter ta guitare à tes bagages. » Voilà maintenant il sais pourquoi tu as sa guitare dans le coffre de la vieille voiture de jeunesse de ton père. Finalement vous passé votre commande et Andrew prend l'initiative de payer, tu lui souris.Si seulement il savait que tu n'avais pas pris ta carte et que ta seule et unique fortune pour finir vos vacances c'était la générosité des habitant du coin que tu connais depuis ta tendre enfance. « Merci. » Tu fais un petit clin d'oeil au restaurateur qui hausse les épaule et fait donc payer Andrew. Tu ne veux pas paraître pour une passe-droit devant lui. Vous regagniez rapidement la voiture et après plusieurs kilomètre et en plein milieux d'une route dans une forêt la belle jeep très ancienne tombe en rade. « Oh non non non merde fais chier. » Tu soupire et pose ta tête sur tes mains, qui sont fermement agripper au volant. « Je suis désolée c'est une vieille voiture de famille. » Tu décent et ouvre le capot. Ton père t'as toujours appris à bricoler cette voiture là de façon très particulière. Avec une méthode de système D. « Chéri, tu peux regarder dans la boite à gant, il doit y avoir un rouleau de scotch argenté et large. » Tu n'as pas fait attention à l’appellation que tu as utiliser tant tu es occupé les main dans le cambouis à essayer de localiser la panne. Tu n'est pas une blonde pour rien, tu soupire et te frotte la joue droite qui te gratte, résultat ? Un peu de noir sur la figure. Andrew fini par enfin te donner l'adhésif et tu souris, après presque dix minutes la tête dans le moteur, et après avoir vingt mille fois refuser l'aide de l'homme que tu aime, tu fini par redémarrer la voiture, contente de ton exploits tu embrasse instinctivement Andrew. Tu fini par te rendre conte de ce que tu fais et tes lèvres se décroche instantanément des siennes. « Je suis désolée, je me suis laisser emportée, je ne sais pas ce qu'il m'as pris. » Tu baisse la tête et fixe ton volant, tes deux main son dessus. Tu n'ose plus toucher à rien, et pourtant si tu n'enlève pas le frein à main tu ne pourra jamais démarrer.
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Je regarde Athénaëlle qui m'explique pourquoi son chauffeur avait mis ma guitare dans mes affaires. Une boite chez elle? Retrouver? Je réfléchis puis je commence à savoir de quoi elle parle. Putain je cherchais tout ça pendant un moment c'était encore chez elle, enfin chez nous. Je ne sais même plus où c'est en faite. Je n'ai pas pu profiter de notre nouvel appartement comme il le fallait. Elle m'avait aussitôt trompé et même avant qu'on emménage. Ca me fait toujours autant souffrir d'y penser. Lissandre était donc tomber sur mon texte pour elle, sur la bague que je voulais lui offrir pour son anniversaire. "Ohh je comprend mieux dans ce cas." Je souris en regardant à nouveau la route. On arrive enfin à la pizzaria. J'avais faim maintenant avec l'odeur, je paie pour nous et on attend. Ensuite dès qu'on a tout récupéré, on retourne dans la voiture, les pizza sur mes genoux. Et j'entend un bruit bizarre, la voiture 'arrête sur le côté et fume. Je regarde Athénaëlle sortir et elle me demande du scotch épais. Je sors alors du véhicule pour lui donner. "Ahhh c'est rien. C'est juste la durite, ça se change tu sais." Je rigole, c'était pas le plus dure. Je voulais l'aider mais non elle me disait non qu'elle gerait. Je rigole elle avait le visage remplis de noirs. Je secoue la tête. "T'es mignonne comme ça, on dirait que tu vas à la guerre." Je tire la langue. Ca me fait du bien un peu de la retrouver.

Elle se met à m'embrasser d'un coup sous la joie que la voiture démarre à nouveau. J'étais surprise, j'ouvre de grand yeux. Je ne pensais pas qu'un tel élan allait arriver. Elle se recule de moi, et s'excuse. "T'en fais pas." Je souris timidement. Mais qu'est ce qui m'arrive dans le fond je voulais la maintenant l'embrasser moi aussi, la serrer contre moi mais non ça serait trop rapide. Il nous faut du temps pour ensuite recommencer notre histoire. Apprendre à nous connaitre à nouveau. Je me dis que si c'était pas moi qui été là avec elle, est-ce qu'elle aurait embrassé l'autre mec de la même façon, est-ce qu'elle aurait embrasser Noah si c'était lui à ma place. Je pense, non je ne veux pas penser encore à ça. Pourquoi ça vient toujours me hanter, l'image d'eux deux est toujours présente. J'aimerais qu'elle s'efface de ma mémoire. Mais comment? Je regarde Athénaëlle en riant. "JE crois que si tu n'enlèves pas le frein à main et le mode parking on ne va jamais bouger d'ici." Je veux arriver au lieu qu'elle m'a dit, je veux enfin limite manger et m'allonger. Profiter d'elle, parler avec elle, qu'elle me raconte tout comme avant, que je l'écoute en la regardant alors qu'elle est allongé sur mes genoux, ma main dans ses cheveux. Je veux revenir son Andrew, celui dont elle est tombée amoureuse et j'aimerais qu'elle redevienne la fille dont je suis tombé amoureux. Celle qui ne pensait qu'à moi.
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