Kaélia jonhson × Bryden jenkins

Did we take too many chances ? Or did we let too many pass us ? Did we throw it all away?
Dans la voiture avec mes parents, je finis par retirer mes écouteurs quand j'entends mes mères râlaient que je ne les écoute pas une fois de plus. Je regarde ma mère, celle qui m'a porté dans son ventre. Joalia. Elle est grande fine, blonde avec des yeux noisettes d'une beauté incroyable, elle soupire et elle me murmure que mon autre mère essaie de ne parler depuis dix minutes déjà. Je mordille ma lèvre par réflexe. Mon autre mère elle, elle s'appelle Débora. Elle est petite, fine aussi et est brune les cheveux cours, vous me direz qu'il s'agit d'un cliché mais, elles sont tout sauf un cliché.

L'histoire de ma famille est complexe dans les faits. Ma mère, Joalia était en couple avec Armand, mon père. Ils se sont aimés pendant longtemps mais, mon père étant un homme d'affaire pas assez présent dans la famille, il a préféré mettre fin à sa relation avec ma mère. Ma mère n'avait plus de sentiments amoureux pour lui à alors accepter de se séparer bien que je sois présente dans l'histoire. J'ai donc dû déménager avec elle à New York, j'ai vécue longtemps avec elle, on était deux et très bien ensemble, on avait notre petite routine mais, voilà qu'elle vien quelques années plus tard me dire qu'elle est amoureuse. J'étais contente dans le fond parce que je savais que ma mère aurait besoin de quelqu'un de plus que moi, quelqu'un qui pourrait prendre soin d'elle, cependant je m'attendais à tout sauf à avoir une seconde mère. Ouais ma mère c'était tourné vers les femmes, elle avais trouvée Débora et elles prenaient soin l'une de l'autre alors qui est-ce que je pouvais être de la privé de ce qui semblait la rendre heureuse, j'étais jeune c'est vrai mais je savais que le bonheur de mes parents comptaient plus que tout. Dans l'histoire, je dois aussi vous expliquais que je partais bien souvent en vacances avec mon père, il venais me prendre à New-York et on partait ensemble, on s'amusait comme des fous tous les deux, lui ne s'est jamais remarié.

En grandissant je suis resté chez mes parents à New-York, j'avais trouvé le grand amour, celui qu'on ne trouve qu'une fois dans sa vie. Il était doux, bon et gentil avec moi. Il prenait soin de moi et savais comment me rendre heureuse mais, encore une fois rien ne s'est passé comme prévus puisque la vie lui à été enlevé. Un accident de voiture. J'ai perdu le seul homme que je n'ai jamais aimé. J'en avais souffert pendant longtemps mais, même si ma blessure n'était pas refermée je n'en pouvais plus des gens qui se sentait désolé ou coupable vis-à-vis de lui et de moi. Un soir en rentrant j'avais donc pris la ferme décision de partir vivre à Boston chez mon père, enfin pour les vacances chez lui et une fois la rentré arrivée j'étais entré à Harvard, je passais aussi beaucoup plus de temps sur mon ordinateur, je suis une prodige mon père, me le répète assez souvent.Cette perte m'a totalement changé, elle à fait que je ne suis plus celle que mes mères ont connu, maintenant je suis plus introverti, pas totelement mais, presque, je n'ai pas vraiment envie de me confier sur la vie qu'on m'a donnée avant d'arriver à Harvard. J'y suis entré et j'y suis bien parce que personne ne me connait, pourtant j'en ai vécu des choses ici, pendant les agressions je me suis faite violée, mon père n'avait pas été là et pourtant rien n'empêcher plus que je sois proche de lui plus que de mes mères à présent. J'avais besoin de lui de sa puissance de protection. Puis il faut dire les choses telles qu'elles sont, je suis une petite fille à papa maintenant, je suis riche grâce à lui. J'en profite parce que j'essaie d'oublié tout ce qui me blesse. Je suis aussi une sacré maniaque maintenant je suis concentré sur la perfection des choses. Mes parents sont des personnes qui comptent énormément pour moi et j'en suis très proche Ils sont ouverts d'esprit et ne me jugent pas pour ce que je fais de mon corps, de mon caractère, ils jugent pas mes fait et gestes, ils me laissent vivre à ma manière. Ils me laissent simplement être moi et c'est le plus beau cadeau qu'ils peuvent me faire. Je les en remercient encore parce que même si ma famille est bizarre ma famille est mon rempart.