Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Angleterre) Travel brings power and love back into your life • Denleigh
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(Angleterre) Travel brings power and love back into your life • Denleigh

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Denys avait fini le boulot avec Abélard et tout de suite après vous avez filé pour l'aéroport. Pour lui faire plaisir, t'avais prit des places dans un avion dit basique. Pas d'avion privé pour toi, tu te retrouvais avec des tas de personnes, des inconnus, à faire la queue pour monter dans l'engin. T'avais râlé, plus d'une fois, faisant remarquer à chaque occasion que ton jet privé aurait été bien mieux. Pas d'attente, pas de gens qui bousculent, pas de gens tout court. Ca aurait été que vous deux. Tu accentues sur chaque chose, comme cette femme à côté de vous qui a envie d'aller aux toilettes et vous oblige à vous lever car elle est côté fenêtre et vous côté couloir. Leur toilette doit être trop petit et trop sale en plus, sinon on aurait pu occuper les six heures autrement qu'assis... Argument de taille, ta main qui glisse sur sa cuisse pour lui faire comprendre tes intentions. Peut être que pour le retour il acceptera le jet privé, remplit d'espace pour faire tout ce que vous y voulez. Pour l'heure, tu dois supporter votre voisine et tous les autres. Les bébés y compris, qui pleurent, les enfants qui font des vas et viens. T'aimes pas ça, t'aimes ton petit luxe, et il a intérêt de voir l'effort que tu fais. Mais forcément, le lieu remplit de monde, trop tentant pour ta personne. Tu reposes sa main sur sa jambe alors que vous avez lancé un film dont tu n'as pas vraiment prêté attention. Lui, concentré, tu souris en le regardant du coin de l'oeil tandis que ta main remonte doucement sur sa cuisse, se rapprochant dangereusement de son entrejambe. Le regard fixé vers lui, tu aperçois la mamie à côté de lui qui a bien vu ton geste et qui te lance un regard. Ton sourire s'agrandit encore plus et comme pour la provoquer tes lèvres viennent se poser dans le cou de ton petit ami, unique but de lui donner des frissons, de le mettre dans une posture délicate entre l'envie et devoir résister. Ta langue titille sa chair, venant lui chuchoter : On prend mon jet au retour ? D'une voix sensuelle, alors que ta main vient frôler son sexe pour se poser sur son ventre et glisser ta main sous son haut.

Six heures plus tard l'avion se pose enfin à Londres. T'as écouté de la musique, t'as parlé avec lui et t'as aussi dormi. Sur son épaule, la tête sur ses jambes, les jambes entre les siennes. Voyage de nuit oblige pour ne pas perdre de temps dans ce petit séjour qui s'annonce déjà trop court à ton goût. Tu l'as regardé être dans les bras de Morphée, beau comme à son habitude. Et voilà que le séjour commence. Décalage horaire de six heures avec les Etats-Unis, ce qui fait que vous arrivez le vendredi au petit matin, parfait pour le petit déjeuner à l'hôtel que t'as réservé. J'espère que tu t'es bien reposé... que tu souris, haussant les sourcils presque sadiquement. Et profite bien du petit déj, la journée s'annonce longue, très longue, mais à la fois très courte.

@Denys Zacharias
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Trop fier d'avoir fureté sur le net pour dénicher nos deux billets à prix défiant la concurrence, je n'avais même pas songé à la rareté de la chose pour ma petite amie, au fait qu'elle voyageait en jet usuellement, ou qu'au pire les vols long courrier qu'elle faisait via des compagnies aériennes, c'était en première classe ou au minimum classe affaire qu'elle devait les effectuer. Oui, habitué que j'étais à barouder, voyager, c'était comme le commun des mortels et comme la plupart des gens lambda que j'avais procédé, traînant sur le web, comparant les prix... Ce n'est que le jour J , une fois à l'aéroport, devant les ronchonnements de miss Strauss que je compris... Et qu'une fois encore je réalisais les différences entre nos monde. Je la laissais râler sans perdre mon sourire. Bien trop enthousiaste à l'idée de ces quelques jours anglais en sa  compagnie pour laisser quoi que ce soit altérer ma bonne humeur, surtout après la tempête qu'on avait traversé, une tempête du nom de Dina où j'avais bien cru plus d'une fois que ma petite amie allait me larguer. Une fois à bord, les remarques de princesse de la demoiselle continuaient. "Dans tous les avions faut être assis Ashleigh. " repliquai-je en rigolant, sans saisir d'abord le sous entendu de la jeune femme lorsqu'elle se désolait de la taille des sanitaires. "Allez c'est trop bien regarde on peut choisir les films qu'on veut regarder.  On se matte Dunkerque ?" Lançai-je pour faire diversion et essayant de la brancher sur autre chose que sur tout ce qui la dérangeait dans ce boeing qui, manque de bol, semblait plein à craquer de familles avec enfants pour ce voyage, avec tout le chahut qui allait avec.  Un film sur la deuxième guerre mondiale, ouais. Pas forcément ce qui allait faire arrêter de grogner la blondinette, mais je tentais la diversion... Puis, bien trop enjoué par ce voyage, du genre à m'extasier devant le cache yeux offert par la compagnie ou encore le paquet de cacahuètes servi, j'en zappais que c'était pas le genre de standing auquel Ashleigh avait l'habitude. Et ce n'est qu'après plusieurs minutes de film, que je compris enfin où elle avait voulu en venir avec sa remarque précédente. Sa main contre ma jambe remontait dangereusement. Sa bouche au creux de mon cou, le baiser qu'elle y déposait, la voix qu'elle utilisait pour souffler à mon oreille alors que ses doigts se faufilaient sous mon T shirt... "Ash..." Effet immédiat sur moi, mes pensées, et surtout sur mon entrejambe... Je me tortillais un instant sur le siège, gêné, sentant bien que mon pantalon commençait à se déformer à l'endroit qu'elle avait stratégiquement frôlé... Mon regard se détacha de l'écran pour venir chercher le sien... "On a pris un billet aller retour je te ferais dire." Lui rappelai-je, pour ne pas lui faire l'affront de lui citer l'impact carbone d'un vol en jet avec deux seuls uniques passagers à son bord. Conscience ecolo oblige, j'avais du mal avec ça, ces politiciens, princes et autres gens de la haute qui brûlaient des quantités astronomiques de kérosène pour leurs petits déplacements perso... En garçon arrangeant que j'étais, je tentais un compromis : "On pourra essayer de faire surclasser nos billets au retour si tu veux ? J'ai toujours pris que des places eco." Alors bon la petite nappe, les menus gastro, les boissons haut de gamme et les sièges couchette, j'en avais simplement entendu parlé, jamais testé, budget serré oblige. En tout cas , elle avait réussi à me faire passer toute envie de regarder le film, faisant naître toute sorte de pensées absolument pas catholiques dans mon esprit. "Et puis tu peux pas parler de la taille des toilettes sans avoir testé..." lui chuchotai-je alors. Quoi que connaissant Ashleigh,  elle avait peut être déjà testé justement. L'occasion de reprendre notre habituel petit jeu : "Tu l'as déjà fait dans un avion ? " sûrement pas la question à poser pour calmer mini Denys et retrouver mon aisance. Mais fallait croire que j'aimais me torturer...
Plusieurs heures, un mini dodo et quelques courbatures plus tard, le commandant annonçait la descente de l'avion et notre arrivée imminente. Nouveau check à la douane avant de filer jusqu'au tapis où les bagages défilaient, faisant le planton un bon moment pour récupérer mes notres, sous de nouveaux ronchonnements de ma petite amie vous l'aurez deviné. On traversait le terminal puis direction l'hôtel. La partie qu'Ash avait réservé, heureusement sûrement, j'imaginais même pas sa réaction si je l'avais traîné dans le genre d'établissements où je dormais habituellement lors de mes virées. Dortoirs mixtes dans les auberges de jeunesse premier budget... Oui on avait plein de concession à faire l'un l'autre pour nos futures vacances assurément... En tout cas, devant le copieux petit déjeuner, je ne trouvais rien à redire sur son choix. Il fallait simplement que j'évite de zieuter le prix... "Longue ? Je ne peux toujours pas savoir le programme ? " Questionnai-je intrigué après une nouvelle gorgée de café. Ça faisait plusieurs jours que je la tannais avec ça et qu'elle se plaisait à entretenir le mystère. " C'est maintenant que je dois mettre mon cos..." Et je ne terminai pas ma phrase, me figeant soudain, me repassant une scène de ma veille avec Abé dans la tête... j'avouai finalement : "J'ai oublié mon costume... C'est juste que j'avais mis le bleu sur moi, Abélard me l'ayant demandé, mais quand il m'a vu ça n'allait plus. Alors je me suis changé en vitesse pour enfiler le noir. J'ai oublié de remettre l'autre dans la valise..." Est-ce que j'allais échappé aux sorties dans les clubs et restaurants huppés de la ville comme ça ?  Peut-être, et dans un sens ça ne me dérangerait qu'à moitié n'ayant jamais été très à mon aise dans ce genre d'endroit, incapable que j'étais de faire la différence entre mousseux et champagne.

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C'était tout toi, à râler, faire la mécontente. Pas habituée aux gens, à être parmi la foule, collé les uns aux autres, à devoir patienter quand tu n'as pas de patience. C'était t'en demander pas mal. T'es sociable mais avec des limites. Et forcément pour faire un peu culpabiliser Denys, pour qu'il ne veuille plus faire la même erreur une autre fois, tu utilisais le sexe comme moyen. Toilettes trop petit, trop de mondes, trop obligé d'être assis. Chose qu'il trouvait normal, ne voyant pas où tu voulais en venir. Il proposait même un film, trop à fond, ne comprenant pas ton allusion. Levant les yeux au ciel, tu tentes de te focaliser sur le film qui te saoule bien vite. Alors tu te faisais plus explicite, d'une main sur sa cuisse qui remonte dangereusement et qui s'amuse à le frôler là où il faut, murmurant une phrase lourde de sens. Tu vois bien vite qu'il a tilté, de ton diminutif qu'il prononce avec un ton de voix bien comme tu aimes, puis son entrejambe que tu devines bien plus rigide qu'au départ. Tu t'amuses de le voir se tortiller pour masquer tout ça mais sourit moins quand il évoque l'aller/retour soit l'impossibilité de prendre ton jet. Il a payé, tu veux pas qu'il perd son argent bêtement. Je peux te rembourser et consciente d'avance qu'il voudra pas un centime, tu abdiques. Okay, va pour la première classe. Un peu ronchon, tu portes ton regard sur lui fasse à sa remarque sur les toilettes et sa question. Je tiens pas à attraper une maladie, et je suis pas certaine qu'un toilette qui pue la pisse ça me rendra sensible à tes charmes. Il avait beau être doué, avoir un effet de ouf sur toi mais non, sans avoir essayé tu savais que ça te couperait toute envie cette odeur nauséabonde. Mais oui, j'ai déjà fait, mais pas entouré de gens en première classe. Une voix défiante, tu faisais comprendre qu'au retour, dans la couchette ça pourrait être tentant, en toute discrétion. Au moins des préliminaires pouvaient être jouables à tes yeux. Et toi ?

Puis ton cinéma s'arrêta, pas mal occupé à essayer de dormir et à te coller à ton petit ami pour trouver un peu de confort. La sortie de l'avion était presque pire que la rentrée. Douane pour savoir ce que vous faites là, vérification de passeports, identités, des questions, un enfer. Denys devait avoir les oreilles qui sifflent à cet instant et tu lui faisais comprendre ton mécontentement. C'était long et pénible. Mais une fois tout ça bouclé, tu souriais, heureuse d'être de retour dans ton pays natal et qu'il soit avec toi. Bien que la dernière fois que tu y avais mis les pieds c'était pour aller enterré ton père... C'était aussi là que t'avais failli perdre le grec. Qu'il avait claqué la porte, à toi, votre amitié, votre relation. Que tu t'étais sentie au plus bas et que n'ayant aucune nouvelles tu avais craint le pire pour lui, pour vous. Tout ça te revint au visage, ces souvenirs, ces douleurs, que tu tentes de cacher au jeune homme. Direction l'hôtel, c'était mieux, pour te changer les idées et avec un petit déj bien garni c'était tout bénéf. T'avais prit un pas loin du centre ville pour avoir pas mal de choses à proximité. Je vous connaissais pas aussi impatient monsieur Zacharias que tu t'amuses le laissant languir. Non, pas pour mainte... Coupé dans ton élan, il avoue avoir oublié le costard. Tu te tapes le front devant sa tête en l'air. C'est pas grave, on ira t'en acheter un. Non que tu n'aimes pas son style mais connaissant ta mère il valait mieux qu'il porte un costard où il se sentirait peut être encore plus mal à l'aise en sa présence ET dans la demeure de Madame. Je t'assure que le costard c'est un peu obligatoire, puis ça te va super bien. Tu te souvenais du 31 décembre, de son look et de la classe qu'il avait même dans une tenue qu'il n'avait pas l'habitude d'enfiler. A la table, alors que vos valises étaient montées dans votre chambre, tu te jetais sur des œufs brouillés, du bacon et des muffins. Accompagnée d'un café bien sûr. Y a t-il des choses que tu aimerais visiter ? Il avait dû se renseigner sur quoi faire vu le globe trotteur qu'il est. Il devait y avoir des lieux précis qu'il aimerait se rendre comme Big Ben, le fameux pont, la grande roue, des musées, où Piccadilly Circus.
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Y’avait de ces moments où j’en oubliais le gouffre entre nos vies, nos mondes. Avec le loft, nos soirées bières et pizza, sa manie de se balader dans un de mes T shirts trop grand en guise de tenue d’intérieur, Ash ne laissait rien présager de son côté princesse que j’avais parfois tendance à zapper. Et si pour moi c’était normal d’étudier les prix sur internet pour choper le vol au meilleur prix, pour Ash, c’était naturel dans un claquement de doigts de s’envoler à bord du jet familial… Sauf que c’était le genre de petits privilèges de riches qui m’avaient toujours un peu hérissé, surtout vis à vis de ma conscience écolo. Alors quand j’objectais gentiment, au sujet des billets déjà réservés, et qu’elle me répondit qu’elle pouvait me rembourser, je secouais la tête. « C’est pas qu’une question d’argent… » Attention, je gagnais mieux ma vie désormais alors je pouvais aussi me permettre des extras. Et histoire de le lui montrer, et aussi pour trouver un compromis, je suggérais qu’on surclasse nos billets retour en première ce qu’elle accepta, avec un petit air ronchon quand même. Mais moi de mon côté, j’avais encore les pensées enflammées par son petit manège… Et complètement déconcentré de mon film, me voilà lancé dans une conversation qui n’allait probablement pas calmer mon esprit, même si Ash et son discours sur l’état, qu’elle imaginait, des sanitaires n’avait rien de très excitant. Peut être que me concentrer sur l’odeur soit disant nauséabonde qui régnait là bas était un bon plan pour que je retrouve ma contenance sur mon siège. « Ouais enfin si tu l’as déjà fait dans ton jet privé ça ne compte pas ça, petite joueuse. » Ouais c’était comme de dire qu’on l’avait déjà fait sur la banquette arrière de sa voiture… garée dans son garage perso. En gros, aucun risque de se faire prendre sur le fait. « J’ai jamais volé en première classe… » soufflai-je en guise de réponse, avant de ressasser ses mots, et de recommencer à avoir des images en tête… Mauvaise idée. Regard vrillant à nouveau vers l’écran, j’essayais de reprendre le cours du film pour ne pas commencer à fantasmer sur nos occupations lors du vol retour…

A l’hôtel après l’attente et les formalités d’usage post atterrissage, c’est sur notre futur programme que la discussion s’orienta, Ash soulignant mon impatience… « J’ai pas voyagé depuis… Depuis le spring break. » me défendis-je alors. Puis fallait avouer qu’il n’y avait pas que ça qui me rendait aussi pressé. Le fait d’avoir cet aparté, ce moment seul à seul avec elle, en couple, après nos récents accrochages, ça n’avait fait qu’accentuer ma hâte. J’avais pris conscience de mal de choses, la première étant qu’Ash n’était pas intouchable, que je l’avais blessée, que si elle n’aimait pas les mots doux, ce n’était pas pour autant qu’il fallait que je me change en mec détaché… Alors ce voyage c’était un peu aussi pour se retrouver, me retrouver, nous retrouver. Je reprenais ensuite sur le costard qu’elle avait exigé que j’emmène, me coupant en court de phrase, repensant que j’avais oublié ce dernier à Boston. « De toute façon, il m’en fallait un pour le mariage de Priape… » ajoutai-je, comme pour me justifier, m’auto pardonner mon étourderie. Je n’irais pas en costume de boulot au mariage de mon aîné donc autant déjà investir dans une tenue pour juin prochain. « Merci… » soufflai-je ensuite, en souriant à son compliment. « J’ai un peu l’impression d’être… déguisé quand je mets ça. » confessai-je. Déguisé en pingouin, aussi à l’aise que si j’étais sur une banquise glissante. Sirotant mon café devant le petit déjeuner copieux, ma guide me questionnait ensuite sur mes envies concernant nos visites. « On pourrait commencer par visiter notre chambre… » Mon tour de me pencher vers elle, de laisser mes doigts voyager sous la table, tout contre sa cuisse en poursuivant : « …notre salle de bain… tester la douche… » Comment dire que son petit numéro pendant le vol avait laissé mini Denys sur sa faim. J’espérais qu’elle avait quand même prévu ce genre de petits extras dans notre programme ultra chargé…


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Pas qu'une question d'argent qu'il avait trouvé le moyen de glisser quand tu avais envisagé de le rembourser pour pouvoir être plus tranquilles à votre retour. Enfin, tu avais su à la seconde où tu avais émis l'idée que c'était une mauvaise idée. Il était déjà toujours contre le fait que tu l'aides, que tu payes pour lui si besoin, tu le voyais mal accepter cette fois alors que c'était lui qui avait prit en charge les billets. C'est pour ça que tu y mettais du tien, que tu essayais de râler le moins possible malgré que ce soit dur. Et puis, ta façon à toi de t'occuper, te changer les idées, c'était de le chercher avec le sexe. Main baladeuse, baisers bien placés, phrases suggestives, il en fallait pas énormément pour qu'il soit réceptif. Et tu aimais ça. Ce qui vous engagez sur votre jeu qui n'avait pas eut lieu depuis une éternité. Si tu avais test dans un avion. Avouant que oui, monsieur rétorque que ça compte pas dans un jet privé, genre bien moins à la vue et aux oreilles des gens. Tu vas voir la petite joueuse... Il aurait pas dû, parce que ta main se trouvant sous son haut tentant de se frayer un chemin, de façon discrète, sous le pantalon du grec. T'es sûr de toi ? T'en oubliais la dame à vos côtés. Tu l'as connais pas et d'ici six heures tu n'aurais pas à le recroiser un jour alors tu t'en moquais bien de ce qu'elle pense. Et tu souriais en l'écoutant parler de la première classe, dont il semblait avoir compris où tu voulais en venir. Je te laisse avoir un avant goût du retour... et pour que ça soit plus discret tu attrapais une des couvertures données pour faire semblant de vous couvrir et former de l'épaisseur, tandis que ta main allait sous son caleçon, joueuse, défiante, bien décidée à lui faire ravaler ses paroles. Une simple caresse sur son intimité et tu en sortais ta main, le laisser ainsi allait avoir plus de conséquences sur les mots qu'il avait osé prononcé...

Enfin à l'hôtel, tu t'amusais à le narguer, encore et encore, sur votre programme dont il ignorait tout. Il se montrait impatient et tu aimais bien. T'avais toujours adoré avoir le contrôle, être celle qui mène le bateau, qui laisse l'autre découvrir. Et il te rappela vos premières vacances ensemble... Le spring break. Premier voyage, celui qui t'avais donné envie d'en faire bien d'autres en sa compagnie. Voyage qui était devenu complètement dangereux avec ce défi d'abstinence alors que Denys tout près de toi, tu n'arrivais pas à résister à tes envies. C'est là que t'avais flanché sans même le savoir à l'époque. Le spring break... que tu redis, cette voix à la fois nostalgique et triste. Ce bon vieux temps où rien ne pouvait vous séparer. Où juste rire, bonne humeur et moments à deux y avait. Okay il avait mal fini mais ça avait été bien rattrapé, très bien rattrapé même. Mais c'était autre chose qui te chagrinait : tu pourras pas venir cette année ? Comment dire que tu ne serais pas à l'aise de le savoir sur Boston et toi là bas ? Y aurait peut être plus de tentations pour toi mais celui qui avait merdé récemment c'était lui et tu avais encore ce goût amer à la bouche. Peut être qu'Hadès aura besoin de son chauffeur pour là bas aussi ? que tu tentes de positiver. C'est vrai que le sb t'était sorti de la tête avec vos embrouilles récentes. Et la discussion bascula sur le costard qu'il avait oublié. Unique chose dont tu lui avais dit de prendre absolument et qu'il avait zappé. Mais y avait pas de raison de s'inquiéter, ça serait rapide de lui en trouver un ici. Chose dont il refusa pas, à ta grande surprise. Tu vas pas mettre le même costard pour le mariage de ton frère que pour aller voir ma m..., toussant pour masquer la fin de ta phrase, de la boulette que tu avais quasi faite, tu reprenais bien vite : aller voir ce que je veux te présenter. Il t'en faudra un bien plus spécial pour son mariage. C'est un événement rare, qu'il vivra qu'une fois normalement quand même. Tu continuais en le flattant, sincère, pas juste pour lui faire oublier ta gaffe. Lui avouant comment il se sent dans ce genre de tenue. Je sais... Tu avais dû supporter durant ton enfance, les robes toutes propres et presque princesse avec des froufrous, ce que tu détestes amplement. Sauf que y avait pas le choix, tu voulais que ta mère aille au delà du physique, de l'habit et qu'elle voit en lui tout le bon que tu y trouves. Pour ça, y avait qu'avec un premier abord en costard que ça pouvait peut être marcher. Peut être. Pour l'instant il fallait dévorer ce petit déj pour commencer la journée. Ou se dévorer l'un l'autre, c'était l'idée que Denys semblait avoir. Sa main sur ta cuisse te fit avoir des frissons. Tu le laissais pourtant faire, aimant jouer avec le feu, jusqu'à doucement lui bloquer celle ci entre tes deux cuisses. La salle de bain à une baignoire... que tu réponds, le regard séducteur, appuyant sur ce détail que vous n'avez pas au loft. De quoi lui donner encore plus envie. Le rendre fou. Mais d'abord on a plein de choses à voir, ou à tester... Parce que qui dit visite, ne veut pas dire être super sérieux. Tu avais bien en tête de lui faire perdre la sienne durant ce séjour. Jouer avec ses nerfs, ses envies, le titiller de désir, le pousser à bout pour qu'il prenne le contrôle, qu'il agisse. Tu voulais lui faire comprendre qu'aller voir ailleurs n'avait aucun intérêt, qu'il trouverait nul part cette énergie, ce côté innovant, cette attraction, ce désir, malgré des mois de relations. Seule toi pouvait l'empêcher de tomber dans une routine sexuelle. Seule toi peut lui procurer autant d'excitation, de plaisir, et il devait en prendre bien conscience. T'inquiètes pas que j'ai prévu ce qu'il faut pour ça.... Léchant ta lèvre inférieure, tu prends ta fourchette pour manger tes œufs, laissant bien tes lèvres glisser sensuellement sur la fourchette, bien provocante. Qu'il se nourrit bien car toi tu comptais bien te nourrir de lui...
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Qualifiant la demoiselle de 'petite joueuse' pour ses ebats en jet privé, mon regard s'était ensuite reporté sur l'écran, parce que cette discussion et les doigts de ma petite amie sous mon T shirt,  contre ma peau, tout ça commençait à me donner sérieusement chaud. Mais erreur fatale, le qualificatif choisi était pire que vexant pour miss Défi à côté de moi, elle reprit mes mots et je sentis ses doigts bouger, glisser, descendant dangereusement jusqu'à la lisière de mon pantalon. Ok. Le film n'existait plus à nouveau. "Arrête voyons..." Rigolai-je nerveusement, hésitant à attraper sa main pour la stopper, parce que dans le fond je la savais tout à fait capable de s'adonner à ce genre de caresse, même ici en plein vol. Mais qu'un tel geste pour l'arrêter nous grillerait sûrement d'autant plus auprès de nos voisins... Et quand elle annonça l'avant goût qu'elle allait me donner, c'était trop tard pour esquisser le moindre mouvement. Elle avait déjà glisser une couverture par dessus nos jambes et elle se faufilait, sous mon pantalon, sous mon caleçon... Le rouge me montant directement aux joues, toussant pour masquer le soupir que le contact de ses doigts venait de provoquer, je sentis mon érection s'accroître davatange et ce malgré le malaise, et mon pouls lui continuait de s'affoler... Et avec un sourire satisfait et diabolique elle retira alors sa main, l'air de rien... Coup d'oeil paniqué vers le plaid, comme pour m'assurer que l'objet masquer bien l'effet des bêtises de ma petite amie, je tournais ensuite le visage vers cette dernière. "J'ai trop envie de toi... T'es une tortionnaire Ashleigh Strauss..." lui soufflai-je alors à l'oreille... "Tu sais que ça va se payer ? " menaçai-je alors. "

A l'hôtel, mon impatience pour connaître la suite du programme se manifesta à nouveau, justifier rapidement par le peu de voyage réalisé ces derniers temps pour le baroudeur que j'étais. Depuis le spring break en fait en y pensant... l'évocation de ces vacances sembla rendre Ash presque nostalgique. "Le premier séjour d'une longue série." Commentai-je avec une voix nettement plus optimiste qu'elle. Peut être parce que y'avait eu cette fin amère et ce moment horrible où je l'avais trouvée au pieu avec ce gars, peut être que c'était pour cela que je ne gardais pas un souvenir aussi impérissable qu'elle de notre SB , malgré les autres bons moments qu'on avait pu passer. Ash me questionna alors sur l'évent printanier à venir. "Bah en fait... Je n'en ai pas parlé avec Hadès." Avouai-je. Parce que si mon boss était de la partie pour le voyage, ça voudrait dire que j'aurais des congés pendant cette période là, et l'occasion de profiter aussi... "Je ne sais même pas la destination de cette année... Mais oui peut être qu'il aura besoin. Je vais en parler avec lui en rentrant, je te redirais ça." On parlait du programme londonien et je tiltais alors avoir laissé celui que j'envisageais d'emmener en boule dans le coffre de ma voiture de fonction... donc apparemment shopping obligé, au pire ça servirait pour les noces de Priape sauf que Ash ne le voyait pas ainsi.  "Tant de mystère..." Rigolai-je, essayant de paraître détendu même si l'idée qu'elle me traîne quelque part où le costume était le dress code de rigueur, ça me faisait flipper. Déjà parce que je me sentais ridicule la dedans malgré ses compliments, deuxio parce que ça voulait dire milieu huppé, milieu avec lequel je n'étais pas coutumier et où je risquais de me sentir encore plus doublement ridicule. "Plus spécial ? Rouge avec des rayures jaunes ?" Repris-je en chassant mon coup de flippe, préférant plaisanter sur ma tenue de juin prochain. "Priape me tuerait mais rien que pour voir sa tête je serais cap." Me marrai-je, toujours partant pour rendre mon aîné dingue. Puis c'est de nouveau sur le programme que notre discussion revenait. J'avais clairement une idée en tête de par où commencer : la chambre, la salle de bain,  la douche... autant dire que le feu allumer pendant le vol était loin d'être éteint et ma main baladeuse contre sa cuisse était explicite. Elle la bloqua et annonça que la chambre était équipée d'une baignoire. "Ça me rappelle un certain coup de fil..." Mais Ash annonçait qu'on avait beaucoup à faire et voir et je repliquai : "Use moi autant que tu veux, fais moi crapahuter dans la ville toute la journée, tu passeras quand même une nuit blanche ce soir..."
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Comme tu n’aimais pas ce lieu, les gens vous entourant il fallait bien que tu te diverties autrement. Quoi de mieux que profiter de la présence de ton petit ami pour ça ? Puis de le faire un peu payer pour vous obliger a supporter tous ces inconnus, ce bruit. Tu t’amusais donc à faire glisser ta main dans son pantalon et caleçon, observant bien le rouge qui gagnait ses joues. Un sourire aux lèvres, tu te pinces la tienne quand il feint de tousser pour masquer la moindre réaction. Une chance que la couverture vous couvre pour qu’aucune bosse n’apparaisse a travers son pantalon... Le truc c’est que ça t’excite encore plus. Sentir son sexe se durcir, la chaleur de celui ci et l’effet que ça a sur le grec... Tu retirais donc ta main alors qu’il avouait son envie de toi. Ce qui avait été le but mais là aussi tu t’étais prise à ton propre jeu ayant tout autant envie que lui. Et à sa menace, tu jouais, comme toujours : meme pas peur...

Le vol continua et enfin vous débarquiez à l’hôtel. Papiers bouclés, valises montées, c’était l’heure du petit déjeuner. Ambiance sympa, excités du séjour qui arrive, discussion qui dévie sur le temps depuis lequel il n’a pas voyagé aka depuis le sb. Voyage qui avait été votre premier, votre dernier aussi. Enfin plus vraiment dernier depuis que celui ci avait été mis en place. Denys voyait déjà plein d’autres voyages et ça te réconfortait. Ça t’avais manqué de voyager avec lui avec tout ce que vous aviez prévu qui avait été mis en parenthèse a cause de son bracelet électronique. D’ailleurs le sb allait arriver bientôt et ça te faisait venir au fameux sujet. Je ne connais pas la destination aussi mais ça doit sûrement encore été remplis de plein d’activité super génial, sans parler du pays et paysage où vous serez. Oui, voit avec lui... T’étais pas sereine parce que si c’était un non pour qu’il puisse avoir des congés ou un non qu’il vienne avec Hades, ça te ferait bien chier et cassera ta joie d’y aller. Mais s’y prendre à l’avance c’était le mieux, pour qu’il s’organise et qu’il puisse dire oui peut être. Puis il avait oublié son costard, mais c’était qu’un détail auquel tu avais déjà trouvé réponse : en acheter un autre. Lui il voyait là l’opportunité pour le mariage de son frère, de ne pas porter celui du travail. Mais pour cette occasion special tu voyais pas le jeune homme porter un costard qu’il avait déjà porté. Tu te mis à rire à sa proposition d’un rouge à rayures jaunes. Quel horreur ! Et pourquoi pas avec des pois vert aussi non ? que tu dis en tirant la langue. Mangeant ton petit dej, tu voulais savoir ses plans, ce qu’il avait envie de voir, visiter. Toi tu connais tout, c’était pour lui que les balades allaient avoir lieu, fallait qu’il voit des choses qui l’intéresse. Pour l’heure, c’était juste votre chambre et toi qui avait toute son attention et son intérêt. Sa main sur ta cuisse, remontant dangereusement, tu le laisses faire jusqu’à la lui bloquer avant qu’il n’aille trop haut. Ses idées étaient tentantes mais tu en avais d’autres aussi sympathiques. Bien que le titiller avec la baignoire c’était aussi agréable. Te remémorant le souvenir de votre appel coquin, ta lèvre supérieure pinça ta lèvre inférieure. Un peu plus fort quand il affirma son envie de te faire passer une nuit blanche. Tu sais que j’oublie pas ce genre de choses, tu vas devoir t’y tenir... Le regard coquin, defiant, tu lui fais comprendre que tu aimes son envie. Tu continues de prendre ton petit dej en sa compagnie et une fois celui ci terminé, c’est le moment d’aller à la rencontre de Londres. On va commencer par les grands classiques vu que tu ne m’as rien dit de ton envie de programme l’entraînant hors de l’hôtel, tu cherches un taxi pour vous emmener plus vers les monuments typiques. Direction Tower Bridge s’il vous plait que tu demandes au chauffeur en lui donnant l’argent nécessaire. Étant le lieu le plus loin et qui vous permettra de revenir vers le reste ensuite. Apres faudra marcher attention
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Y’avait qu’elle pour me faire cet effet. Pour d’une caresse, d’un mot, d’un regard, m’enflammer comme elle le faisait… Et profitant que l’hôtesse de l’air passait dans le couloir pour distribuer des boissons, je demandais un verre d’eau bien fraiche… Histoire de reprendre mes esprits et me calmer ? Ou peut être histoire de me venger. Miss Strauss n’avait pas peur, mais elle ne connaissait pas la règle : Tu m’allumes je te refroidis. Et levant mon verre à mes lèvres, je feins un instant de boire, vidant le liquide avant de venir saisir le glaçon dans le fond, glaçon que je glissais rapidement, sans lui laisser le temps de réagir, dans son décolleté avant de venir la chatouiller histoire de l’empêcher de retirer trop rapidement la glace de sous le tissu… En fait, pour les autres passagers, on était peut être pire que les gosses qui s’agitaient partout dans l’avion.

Petit déj ensuite, et discussion voyage, évoquant les futurs à venir et surtout le prochain en date pour miss Strauss : le spring break. Mon programme était moins certain, boulot oblige, j’allais devoir m’organiser avec Hadès. J’hochais la tête, promettant à Ash d’en parler à mon boss et de la tenir au courant. On dériva ensuite, du costard oublié à celui qu’on allait devoir racheter pour le fameux et mystérieux moment huppé qu’elle me réservait, et enfin sur celui qu’il me faudrait pour le mariage de mon frère, que j’aurais bien choisi bariolé pour faire rager Priape, proposition qui amusa mon interlocutrice même si elle n’approuvait pas. « Je te préviens, si un jour je me marie, je me déguise pas en pingouin. » Je n’aimais pas les trucs cérémonieux. Déjà je n’étais pas pour l’Eglise, en plus je m’imaginais pas un truc prout prout coincé, mais plutôt un mariage décontracté, ambiance plutôt champêtre, voyant surtout dans les noces l’occasion de réunir tous nos proches… Enfin, j’étais vraiment en train de parler mariage avec Ashleigh Strauss là ? Ouais, mauvaise idée. Enfin j’avais utilisé le conditionnel, elle n’allait pas flipper, c’était pas comme si j’avais dit ‘quand on se mariera’. Dans le doute, je lançais vite une autre question, noyant le poisson : « Tu m’aideras à choisir mon costume pour juin? » Et ma main glissait ensuite contre sa cuisse, avec des idées bien chaudes en tête sur la façon de commencer nos visites. Blocage de mon ascension par les jambes de la demoiselle. Beaucoup de trucs à faire, à voir. Qu’elle m’use, je lui promettais quand même une nuit blanche… Et le repas englouti direction l’extérieur, trouvant rapidement un taxi. On allait apparemment commencer par les classiques, et elle annonça qu’ensuite nous allions devoir marcher. « C’était qui miss ampoules au pied en Jamaïque, rappelle moi ? » lui demandai-je sur un ton taquin, me rappelant d’un des treks où elle avait fini sur les rotules. « Après le petit déj que tu viens de prendre, je te porte pas je te préviens… » la charriai-je alors en rigolant.
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Avec ton petit jeu, à force de l'allumer, de lui donner envie de toi, de faire l'amour, mais le privé vu le lieu et la troupe de personnes, tu allais en récolter ce que tu avais semé... Si tu pensais bien t'en sortir c'était fichu. Te concentrant sur le film après que ta main est libéré son membre, qu'il t'annonçait qu'il y aurait des représailles, tu ne pensais pas que ça viendrait tout de suite... Son verre d'eau, descendu rapidement, tu ne le vis pas venir avec son glaçon lâché dans ton décolleté. Froid, c'était très froid ! T'agitant sur cette sensation contre ta peau, pas le temps d'y plonger ta main pour récupérer le bout perdu vu que le grec se chargeait de te chatouiller. Traître ! tu t'amuses à lui dire, tentant de stopper ses mains dans un premier temps, pour ensuite y attraper le glaçon. Ce qui est dommage, c'est que d'un, tu aurais pu venir le chercher toi même, non tu ne te stoppais jamais à ce petit jeu coquin. Deux, je suis toute mouillée et je pointe..., sourire malicieux, tu t'éclates à faire passer ta langue sur le morceau, façon bien sensuelle et explicite de ce que tu aurais pu lui faire si ce glaçon était son sexe. Tentatrice, oui.

Puis au petit déj, la discussion allait de bon train, un peu trop même quand le grec se lança dans un aveu qui te refroidit un peu. Tu savais pas trop comment prendre la chose. S'il se marie ? Ca sonnait comme s'il envisageait ça mais pas avec toi, ce qui pouvait être une bonne chose vu ton avis bien tranché sur la question de ce type d'engagement. Pourtant d'un autre, ça te déplaisait fortement de l'imaginer avec une autre, heureux, ayant cette petite vie parfaite qu'il s'est battit dans son esprit depuis des années. Les récents événements, cette demande que tu savais qu'il avait fait à Dina, ça accentuait ton malaise, ce manque de confiance, en toi, en votre couple, cette façon dont il vous voyait peut être. Je te préviens, si un jour tu te maries, je serais pas là pour le voir que tu dis d'un ton un peu tranchant malgré toi. Non, tu ne concevais pas de faire semblant de te réjouir de son bonheur avec une autre, plutôt crever que faire l'hypocrite et assister à ça. C'était aussi une façon de lui faire comprendre que tu n'avais aucune envie de le savoir aux bras d'une autre. L'épreuve Dina avait été assez pour enfoncer le couteau dans la plaie. Un léger malaise, tu tentais de passer au dessus avec sa question suivante, celle du mariage de son frère en juin prochain. Je compte pas te laisser le choisir avec quelqu'un d'autre. Ton déterminé, bien imposant, tu marquais à nouveau ton territoire auprès de lui. Juin c'était dans longtemps et beaucoup de choses pouvaient arriver entre mais... tu n'avais pas envie d'imaginer que ce mariage aurait lieu sans toi, sans toi à ses cotés. S'il comprenait pas que tu lui appartenait et que t'avais pas envie de laisser ta place alors tu ne sais pas quel décodeur il avait besoin. Ce qui semblait être assez clair, sa main se perdant sur ta cuisse, s'amusant à son tour de te faire tourner la tête et de devenir le chasseur et toi la proie. Le calmant, pour le moment, il assurait être toujours en forme ce soir pour t'empêcher de fermer les yeux et plutôt te faire grimper les rideaux. Délicieuse idée qui faisait naître des sensations au sein de ton bas ventre. Stop, c'était pas le moment. Bien tentant mais tu voulais vraiment lui faire part de ta vie ici, de tes années passées, de ces endroits que tu as vu et revu. Qu'il s'imprègne de ce qui a été ton monde autrefois, qu'il s'y sente comme chez lui, comme dans ton monde, parce que c'est ce qu'il était devenu, ce qu'il avait fait. Au revoir l'hôtel, bonjour le taxi pour aller tout droit vers le pont le plus célèbre du pays. Ca ne t'est pas venu à l'idée que je faisais semblant pour abuser de ton dos et ta gentilesse ? Nez plissé, petite grimace adressée, tu souris et vins le frapper à l'épaule suite à sa remarque. Ca c'est parce que t'es pas assez costaud et sportive, tu trouves des excuses... Ou comment le charrier en retour pour obtenir ce que tu voulais : qu'il te porte. C'était en l'attaquant sur ses capacités que tu allais gagner tu l'espères. Puis spas ma faute si j'aime être sur ton dos et avoir une belle vue de là haut... L'amadouer de compliments, ça aussi, c'était ton plan pour réussir. Une vingtaine de minutes plus tard et vous voilà sur place. Un merci au chauffeur et vous sortez pour marcher en direction du pont. Magnifique vue sur l'autre côté de la ville qui est à votre disposition. On pourra y revenir la nuit si tu veux parce que ça rend encore plus beau et plus sympa. Peu de monde y sont et c'est bien plus intime et agréable à tes yeux. C'est plus calme, plus apaisant et plus d'une fois t'a traîné ici quand t'avais envie d'être seule, de te retrouver et de prendre l'air.
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Comme des gosses, riant et s’agitant sur nos sièges, le glaçon ayant l’effet immédiat de faire se débattre ma petite amie qui finit par aller chercher l’objet froid du bout de ses doigts en me provoquant malicieusement : dommage pour moi, j’aurais pu aller le chercher moi même là où je l’avais glissé. « Je vais peut être commander un nouveau verre d’eau fais attention… » rigolai-je alors séduit par l’idée. Surtout quand elle ajouta un point numéro deux à la liste des ‘dommage’. Mes prunelles se dirigèrent naturellement vers sa poitrine, notant qu’en effet, elle disait vrai et qu’on pouvait voir l’effet du froid apparaître, même à travers le tissu. Et mon regard vrilla ensuite sur ses lèvres, sur sa bouche, sa langue, le glaçon avec lequel elle jouait de manière suffisamment explicité pour que ça ravive un peu plus mini Denys dans mon caleçon… « Ash, mets le dans mon calbut… Tu vas me faire mourir… » J’avais vivement besoin d’être refroidi en fait…

Petit déjeuner pour se requinquer, et boulette quand la discussion s’orienta mariage. Je m’étais pourtant dit qu’un ‘si’ et une conjugaison au conditionnel serait moins flippant pour la blonde, plutôt qu’un quand on se mariera… Mais le ton sec et catégorique qu’elle employa pour me répliquer que si je me mariais, elle n’y serait pas, ça me fit me décomposer un peu… « Euh… » Comment lui dire que c’était pas le genre de choses que je m’imaginais faire avec quelqu’un d’autre qu’elle, et qu’un jour de noces sans la mariée présente c’était impossible ? Comment lui dire ça, sans que ça sonne comme un ‘je vais vouloir t’épouser Ashleigh Strauss’, même si c’était bien ce que ça voulait dire… « Je parlais d’un vrai mariage tu sais… Un mariage qui veut dire quelque chose, avec quelqu’un qu’on aime et avec qui on veut faire sa vie… » tentai-je de me rattraper, pensant que c’était peut être encore l’épisode Louve qu’elle avait en travers de la gorge, sous entendant avec mes mots que ce mariage là avait donc été faux. « Mais euh… on n’est forcés de rien. » ajoutai-je, pour alléger la chose, pour pas qu’elle se sente obligée d’ajouter quoi que ce soit, parce que je le savais qu’elle, elle n’était pas mariage et co, et que ce n’était probablement pas dans ses projets. Je me disais juste que peut être, avec le temps. Après tout, j’aurais jamais cru qu’elle accepterait d’être en couple un jour, ni même qu’elle serait adepte des petits voyages à deux comme celui qu’on entreprenait aujourd’hui, alors peut être que pour le mariage aussi, elle changerait d’avis un jour. En attendant, je noyais le poisson en parlant vite de celui de mon frère, et à nouveau son ton sonnait un peu catégorique quant à son aide pour mon costume. « Me laisse pas choisir tout seul en tout cas, sinon tu vas devoir passer ton 30 juin au bras d’un clown en rouge et jaune. » rigolai-je… Pour commencer la journée, miss Strauss me fit revoir mes projets, stoppant mes doigts dans leur balade le long de sa cuisse. Qu’importe, on ne dormirait pas de la nuit pour compenser, et on se levait ensuite, direction le taxi pour entamer nos nombreuses visites du jour. « Tsss, et le massage de pieds que tu réclamais corps et âme ensuite ça aussi c’était de l’abus ? » me marrai-je en me souvenant très bien que sa petite mine fatiguée après notre sortie trek jamaïquain n’avait rien de faux. Sauf que si je la taquinais, elle me le rendait bien, tape sur l’épaule et soulignant mon manque de force et d’entrainement pour la porter, et le fait que le copieux petit déjeuner englouti ce matin n’était qu’une excuse. « Je suis coach sportif je te rappelle. » me défendis-je avec un petit air vexé. Bon, chauffeur ET coach sportif, mais Hadès était très à cheval sur ses entrainements matinaux alors si y’avait un bon point positif avec ce job c’était que je gardais la forme. Et elle me soufflait alors plus doucement que c’était pour la vue qu’elle aimait être portée. « Oui, mais moi, j’aime bien mieux la vue quand tu marches juste devant moi. » répliquai-je, avec un grand sourire, signifiant clairement que c’était pour mater son joli petit derrière que je la préférais devant moi que perchée sur mon dos. La voiture ralentit et nous déposa alors, et on commença notre balade, Ash me signifiant qu’on pourrait revenir de nuit, j’observais un instant la vue, la ville qui s’étalait devant nous avant d’acquiescer : « C’est toi la guide alors je te fais confiance… » Ma main alla se glisser dans la sienne ensuite pour continuer d’avancer en profitant des lieux.

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