Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityStay please, don't leave me alone - Basila
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Stay please, don't leave me alone - Basila

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Nous somme dimanche, il est 14h, voilà maintenant onze foutues heures que tu as été retrouvée. Tu ne sais plus quoi pensé de ta vie, de ce qu'il t'arrive en ce moment. Tu est froide, peu ouverte depuis ton retour, et sa ne te ressemble pas, tu t'est barricadé dans ta chambre et tu te mur dans le silence. Tu as un nouveau téléphone, mais tu t'en fiche, tu ne l'as pas encore allumé. Tu es seule, et sa te plaît ainsi ! Debout face à ton miroir, tu observe ton reflet, tes yeux son remplis de colère, tu en veux terriblement au monde, mais sans en vouloir à personne à la fois. Tu te sent juste stupide, oui voilà c'est ça, tu es simplement trop conne, tu avais foncé tête baissé dans un vulgaire piège, et sous quel prétexte ?! Car les jeunes hommes été mignon ? Que tu es en dalle de cul depuis que tu n'es plus vierge et que tu cherche par tout les moyen à oublier tes sentiments pour ce Mather Camille, en couchant avec tout ce qui bouge ? Tu te trouve pathétique et finalement tu comprend pourquoi l'ancienne Mila avait garder sa virginité, pourquoi elle détester l'amour et n'avais jamais plus aimé depuis Don. Tu fronce les sourcil et jette un dernier regard haineux sur ton reflet avant d'y envoyer ton poing que tu ressert immédiatement après. Laissant un très léger filet de sang en couler. Le bruit de fracas du miroir à attirer l'attention, de qui ? Tu ne sais pas, mais tu entend très clairement des pas ce diriger vers la porte de ta chambre, qui est tout simplement fermé à clé. Oui tu t'es renfermé dans ton monde, regagnant cette carapace si difficile à percer. Tu ne t'ouvre plus à personne depuis ton retour, même Serah n'as pas eu à faire à ta présence, puisque à peine arrivée, tu avais pris une douche et foncé t'enfermer dans ta chambre. Te voilà seule, avec toi même, enfin presque seule si tu oublis les âmes qui remues derrière la porte de ta chambre.
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Onze heures. Onze longues heures depuis que j'ai retrouvé Mila et Louve, abîmées, déshydratées et crevant la faim près du port. L'image de leurs corps recouverts d'ecchymoses, de griffures défile en boucle, encore et encore dans mon esprit. Après m'être assuré que le cousin de Mila allait bel et bien la récupérer pour la raccompagner, j'avais ramené Louve chez moi pour veiller sur elle, je ne lui avais presque pas adressé la parole, mais qu'importe. J'avais été là pour elle, elle s'étaient endormie d'épuisement dans mon grand lit tandis que j'avais squatté le canapé pour la nuit. Notre relation est bien loin d'être au beau fixe depuis quelques semaines, mais c'est inenvisageable pour moi de la laisser seule, pas comme ça. Elle dormait encore quand j'ai enfourché ma bécane en direction de chez Mila, je veux m'assurer qu'elle aille bien ou au moins, qu'elle n'aille pas trop mal.

Le bruit du verre brisé force mes traits à se tendre, je presse la pas en me dirigeant vers le son.. La chambre de Mila. J'essaie d'ouvrir, mais la porte est verrouillée. Serah n'a pas l'air d'être à l'appart. Je toque doucement, je ne veux pas l'effrayer, elle a eu sa dose de traumatisme. - Mila.. Elle ne répond pas. Rien. Que dalle. Un silence trop lourd. - C'est moi.. Inutile d'en dire plus, elle pourrait reconnaître ma voix parmi des centaines, aussi facilement que je pourrais reconnaître la sienne. - Tu sais que si t'ouvres pas j'vais être obligé de forcer ta jolie porte.. J'esquisse un léger sourire amusé, je suis pas le genre de type à me pointer chez elle avec une boîte de chocolat, en lui caressant l'épaule et en lui répétant que je suis là pour elle. Très peu pour moi. Moi, j'suis juste là. J'suis juste là et c'est suffisant. Je m'adosse au mur juste en face de l'encadrement de sa chambre, les bras croisés. Je sais qu'elle ouvrira, peu importe le temps qu'elle prendra, peu importe si je devais passer la journée devant sa foutue chambre. Elle ouvrira.     
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Depuis ton retour, c'est tout juste si tu ne repousse pas les limite de ton corps, tu as certe pris un douche, mais tu n'as encore ni bus, ni manger, tu est juste enfermée dans ta chambre, sans avoir fermer l'oeil non plus. La voix qui résonne dans ton appartement, tu la connais, juste derrière cette porte, Basile est là. Tu ne sais pas quoi faire, tu connais bien le jeune homme, il va resté jusqu'à ce que tu lui ouvre la porte, sauf que toi tu n'as pas envie. Tu soulève son haut et regarde les bleues sur ton corps, tu à une rage terrible qui boue en toi. Tu fini par tout simplement pleurer, tout en te laissant glissé le loin de la porte, le cul par terre tu grimace, tu pleure, tu ne sais plus si ta vie est réelle ou si c'est simplement un cauchemar. « Je vais bien Basile, rentre chez toi. » tu essaye de le rassurer, mais ta voix est anormalement froide, le ton que tu emplois est stoïque, non tu ne vas pas bien, car tu est jamais froide comme ça. Et puis on entend clairement es sanglot. Dans un long soupire, tu sèche tes larmes, te lèves difficilement à cause de la douleur, et tu déverrouille la porte. Tu ouvre, et fais face à ton ami, tu es en short de sport, et en haut assez ample, les cheveux encore très humide due à la douche que tu as prise. Ton poing est toujours serrer et le sang coule toujours, un petit filet fin. « Je vais bien. » Tu ferme la porte pour pas qu'il ne vois le miroir en morceau sur le sol de ta chambre. « Je suis désolée, je … Je suis fatiguée, j'ai pas encore réussi à faire quoi que se soit mise à part prendre une douche. » Oui autant lui dire la vérité, histoire qu'il sache que tu ne t'ai pas hydraté, tu n'as pas manger, et puis tu ne t'est pas soigné. Bref, comme d'habitude tu es une vraie calamités sur pattes comme nana.
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« Je vais bien Basile, rentre chez toi. » Menteuse. Evidemment qu'elle ne va pas bien , comment elle pourrait aller bien ? Je lâche un soupire impatient en entendant ces mots qui ne sont dits que pour tenter de me rassurer et de me faire partir. Mais moi, je compte pas bouger jusqu'à ce qu'elle se décide à ouvrir cette foutue porte. Je l'entends qui essaie de calmer ses sanglots, d'étouffer sa peine et ça me tue d'être là, de l'autre côté. Elle doit le sentir parce que j'entends ses pas qui se dirige vers la porte et la clé qui tourne dans la serrure pour la déverrouiller. « Je vais bien. » Connerie. Je découvre une Mila courbée par la fatigue, els yeux explosés d'avoir trop pleuré, de peine, de douleur, de rage aussi. Les cernes marquées et les traits tirés. Elle referme presque aussitôt la porte de sa chambre pour cacher ce qu'elle ne veut pas que je vois. Mais c'est trop tard. Bien sûr que j'ai vu les débris de verre éparpillés dans sa piaule, ses fringues de la veille abandonnés en boule au pied de lit comme si ils criaient trop de souvenirs pour qu'elle trouve la force d'y retoucher. « Je suis désolée, je … Je suis fatiguée, j'ai pas encore réussi à faire quoi que se soit mise à part prendre une douche. » Je fronce les sourcils en ne l'écoutant qu'à moitié, mes yeux glissent sur ses phalanges recouvertes de sang. J'attrape fermement son poignet pour l'attirer vers moi et examiner sa blessure de plus près. Je ne vais pas lui demander ce qu'elle a fait, elle ne voudra pas me le dire et j'ai pas envie de le savoir. Elle a le droit d'avoir mal, elle a le droit d'être en colère. J'hausse les épaules en disparaissant derrière la porte de sa salle de bain, celle où j'avais finis dans la douche avec Ziggy quelques jours plus tôt. J'attrape un bandage et du désinfectant dans leur trousse à pharmacie et revient me poster devant Mila. Sans un mot, je désinfecte sa plaie et enroule sa main de la bande. - On va manger un truc. Je m’apprête à aller dans la cuisine quand finalement, je change d'avis et me retourne vers elle en attrapant sa petite tête brune entre mes mains et la laissant se reposer sur mon torse solide le temps d'une seconde. - J'suis là maintenant. 
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Tu soupire, finalement tu es sortie et tu lui dit que tu vas bien, que tout vas bien, et pourtant sa sonne faux, oui terriblement faux même. Tu le laisse t'observer et rapidement il saisie ton poignet et observe ta blessure, comme si tu en avait pas déjà assez partout sur le corps. Tu baisse la tête, tu n'as pas envie qu'il croise ton regard, tu ne veux pas qu'il te juge même si tu sais très bien que Basile ne te jugera jamais. Il part dans la salle de bain et reviens avec le nécessaire pour te désinfecter ta blessure. Tu ne dit rien et le silence devient presque terrible, une vrais lame qui cisaille ton cœur. Mais tu n'as pas la force de parler, de répondre à quoi que se soit, alors tu te laisse tout simplement faire. Une fois qu'il à terminé tu ose enfin posé ton regard sur lui, sans dire un mot, tu te contente de l'écouter te dire que vous alliez manger un truc, vraiment ? Non merci sans façon, tu as juste envie de te laisser engloutir par la vie, alors manger c'est pas ce qui t'importe le plus là tout de suite. Tu soupire, prête à le suivre où il voudrais puisque il est le seul à t'avoir fais sortir de ta chambre. Mais sans vraiment crier gare, il se retourne et prend ta tête entre ces mains, venant alors la poser sur son torse, tu attrape ses mains et les dirige vers ton dos alors que tes bras juste après passe autour de son cou, et tu te met à pleurer, sans vraiment aucune raison, juste comme ça. Il est là maintenant, et c'est tout ce qui compte pour toi. Tu retiens quelques sanglot pour réussir à parler. « C'était un enfer. » C'est tout rien de plus, de toute façon tu n'as rien à ajouter, tu as juste vécu un enfer, tu à crus mourir à mainte reprise, mais heureusement tu es encore là. Tu te retire de son étreinte, plonge ton regard dans le sien, et ajoute sur un ton emplie de peur. « Je veux plus jamais que tu me laisse seule. » Voilà c'est dit, tu ne veux plus jamais être seule, tu as peur, tu ne veux plus jamais que sa t'arrive ce genre de merde.
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Mila, c'est cette nana qui ne laisse personne indifférent. On l'aime ou on la déteste, mais un juste milieu est tout bonnement impossible. Elle et son cœur de lionne, conquérant qui ne recule devant rien. Sa force de caractère et sa silhouette de petite poupée qu'on a presque envie de câliner, le contraste saisissant qui m'a toujours fait sourire. Moi, j'ai choisi mon camp et je l'aime. Je l'ai dis ? Je l'ai dis. Je n'aime pas grand monde, c'est vrai. Je suis un connard, c'est vrai aussi. Mais, elle est l'une des exceptions qui vient confirmer la règle. Une Mila sans son Basile, il faudrait se lever très très tôt pour pouvoir espérer le voir un jour.   

La bande blanche ne tarde par à se souiller de son sang, celui qui avait déjà pourtant trop coulé extérieurement et intérieurement, l'imaginer dans une telle situation c'est presque intolérable. Je garde mon sang-froid pour elle, parce qu'elle n'a certainement pas envie de me voir éclater son appartement et garder les empreintes de mes poings sur tous les murs. « C'était un enfer. » Je la laisse le dire, mais je ne veux pas l'entendre. Je ferme les yeux à l'entente de ce que je savais déjà et la laisse enrouler ses bras autour de mon cou, en la serrant encore un peu plus fort contre moi. - C'était un enfer pour moi aussi de pas savoir où vous.. où tu étais. Et pourtant l'enfer je maîtrise, je le connais par cœur pour être enfermé à l'intérieur depuis toujours. Elle se détache de moi et relève ses grands yeux humides vers les miens. « Je veux plus jamais que tu me laisse seule. » Mes mains solides viennent entourer son visage, réchauffer son teint trop pâle. J'approche mon visage du sien pour être sûr qu'elle comprenne que c'est une promesse : - J'te laisserai plus Mila.
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Sentir ses bras autour de ta taille à ce côté si rassurant pour toi, et pourtant dès que tu essaye de fermer les yeux tu as ses image en boucle de combat horrible que tu as vécu. Ton Basile, il est comme toi, vous êtes presque des TEI l'un comme l'autre. TEI ? C'est un terme bref pour dire trouble explosif intermittent. En gros vous êtes des bombes à retardement, et vous pouvez exploser à tout moment. Ton Basile tu l'aime, et tu sais comment il est, tu sais que intérieurement là maintenant il à envie de tout foutre en l'air, mais qu'il se retiens, et heureusement pour vous, car toi à la moindre bride de violence tu explosera. Tu t’enivre de son odeur si particulière et cher à ton cœur. Tu ne veux plus qu'il te laisse, jamais.Ses mains prennent en étaux ton visage, la chaleur de ses paume réchauffe tes joues pâle et creusée par le manque de nourriture pendant ces jours de captivité de merde ! Tu le sens dans sa voix, sa résonne comme une promesse. Tu lui souris, laissant bien malgré toi tes larmes continuer de couler. Finalement après une profonde inspiration, tu arrive à calmer tes larmes. « Je t'aime bébé. » Non vous n’étiez pas un couple, mais plus des frère et sœur, et oui pour toi c'est naturel de lui dire ces mots là. Tu sais que parler de ce qu'il t'est arrivé la bas te ferais du bien, mais à Harvard tu été en cursus de Psychologie et de Médecine, donc tu sera ta propre psychologue, car toi tu es comme ça, tu intériorise tout pour mieux exploser plus tard, beaucoup plus tard. Ton regard se pose dans le sien, et tu attrape sa main pour le tirer vers le canapé. « Je grille une clope et après on mange d'acc ? » Ouais tu essaye de ne plus penser à ça, car broyer du noir c'est pas ton truc, tu ne sais pas faire, en tout cas toi sa se transforme souvent en tornade et tu saccage tout sur ton passage, et franchement là, si toi tu explose Basile va suivre et ton appartement après il sera bon pour accueillir Jerry tant il ressemblera à un gruyère. Tic Tac, qui de vous deux explosera en premier ?
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