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{I know he's just not right for you
And you can tell me if I'm off
But I see it on your face
When you say that he's the one that you want}
crédit/ Google. ✰ w/Beth
Tu n’étais pas énervé, mais juste déçu qu’elle te voit comme un mec qui saute sur tout ce qu’il bouge. D’accord, la première fois, tu l’avais dragué comme un con parce que tu avais de l’alcool qui coulait dans tes veines après t’être fait plaqué par la fille qui allait devenir ta femme. Surtout, comment pouvoir Beth pouvait dire ça de toi alors tu avais été présent pour elle dans les moments les plus coriaces comme sa crise de panique dans l’ascenseur ? Ou bien encore ce soir ? Alors que tu étais débout devant la porte, prête à la retenir, voilà que la jolie brunette se mets à fondre en larmes. Tu voulais la prendre comme toi, mais tu avais peur de lui faire peur en réalisant toi-même ce geste. Finalement, c’est d’elle-même que la jeune femme de vingt-trois ans vient se blottir dans tes bras. Tu pouvais sentir ses petits bras se refermaient autour de ta taille, tandis que les tiens viennent entourer la Dunster. Ton nez vient alors se nicher dans ses cheveux qui étaient frisés. « Je suis-là Beth, il ne peut pas te toucher tant que tu seras à mes côtés. » Tu savais d’avance que le petit-ami allait la frapper aussitôt parti de chez-toi. Doucement, tu la portes comme une princesse sachant pertinemment qu’elle tremblait trop pour pouvoir marcher pour la poser doucement sur le canapé à tes côtés. Ses fesses étaient sur tes jambes tandis que son visage était contre ton torse de profil. Tu n’osais plus vraiment bouger, tandis que tu sentais encore les tremblements du corps de l’Américaine. Dans un souffle, tu réponds « Ce n’est pas grave. » Tu fais un petit sourire, chose qu’elle ne pouvait pas voir étant donné que Beth était blottit contre toi, visage contre ton torse. N’osant plus bouger, de peur qu’elle s’enfuit à nouveau. Tes mains étaient posées sur le canapé. Tu voulais juste lui prouver que certes, tu es un garçon, mais pas profiteur pour un sou. Tes yeux bleus se mettent alors à regarder le plafond attendant un geste, une parole enfin n'importe quoi concernant Mademoiselle Di Laurentis.
(Invité)