Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWho are you when it’s 3 AM and you're all alone ? (dina)
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Who are you when it’s 3 AM and you're all alone ? (dina)

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La fête battait son plein, si certaines personnes s'étaient enfermés dans des chambres pour y pratiquer le coïte, d'autres, l'avait été mais de manière non consenti sur le balcon. Encore une oeuvre de Louve qui t'avais plutôt amusé. Le coup classique. Un petit enfermement juste pour entendre les personnes gueulées, déblatérant des injures à la minute. Mais ça n'en était pas resté là, non puisque ces même personnes s'étaient acharnées sur elle. Ce que tu trouvais pathétique mais pour autant, tu n'avais pas daigné levé le petit doigt pour l'aider. La raison ? La débrouillardise. Nous étions connus tous les deux pour faire des coups ensembles, mais tu l'étais tout autant pour ta capacité à te foutre complètement du sort des autres. Du moment que ça ne te touchait pas, tu ne te bougerai pas. Et tu ne t'en cachais pas, l'égoïsme faisait parti intégrante de ta personnalité, et même si Basile se moquait de toi, te traitant de lâche, ça t'importais peu. L'important, c'était ta conscience et seulement ça, le reste n'était que futilité. Tu dormais très bien le soir, et pouvais sans aucun soucis te regarder dans un miroir, te complimenter tout en t'admirant droit dans les yeux. Louve était une grande fille. Tu avais une autre affaire, plus sérieuse à régler et elle se nommait Serah. Cette blonde artificielle et pathétique qui avait eu le don de te mettre dans une colère noire, cette pimbêche qui avait touché ta personne sans ton autorisation. Portant atteinte carrément à ton intégrité. Tu avais appris sa présence en discutant avec Basile. Et ton cerveau de là, c'était enclencher faisant fonctionner ses engrenages pour trouver une idée des plus humiliantes qu'il soit. D'ailleurs, tu l'as cherchait. Et tu ne mis pas longtemps avant de t'apercevoir qu'une blonde s'était engouffrée dans les toilettes. Tu savais que c'était elle. Tu le sentais. Une fois la porte enclenchée tu te mets derrière et pose tout ton poids contre la porte. « Dis-moi, tu sais qu'un plat ce mange froid, même glacé ? » demandas-tu d'une voix monotone, préparant la bouteille d'alcool que tu détenais dans tes mains. Ce n'était que le début d'une longue semaine où tu étais prêt à lui en faire voir de toutes les couleurs.

@Dina J. Ricci
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❝ WHO ARE YOU WHEN IT’S 3 AM AND YOU'RE ALL ALONE ?.
MARIN & DINA.

T'es arrivée depuis pas longtemps mais tu te fais déjà bien chier à cette soirée. T'as fais le tour rapidement, de base, tu voulais juste venir et piquer Basile. Tu voulais le piquer et lui rappeler que t'es encore là, que tu seras toujours là en fait. Alors ça valait le coup de faire un détour, mais maintenant que c'est fait, la soirée te semble bien fade, grise, alors tu bois encore et encore en te disant que peut-être grâce à ça, t'arriveras à oublier l'ambiance merdique qu'il y avait ici. Ton regard zone sur les visages, les jeux qui commencent, qui finissent, ceux qui s'éclipsent tour à tour main dans la main pour revenir séparés et débrayés. Ça te fais doucement rire, t'as juste l'impression d'être dans un vieux cabaret bas de gammes. Puis tu te lèves finalement, bouge ton cul du canapé qui a prit la marque de ton boule à force, une bouteille que tu attrapes au vol avec ton sac à main enfilé sur l'épaule. Tu quittes le petit monde du salon, longe un couloir en cherchant des yeux une salle de bain histoire de t'évader un peu. Seule. Pour ne pas changer, parce que t'es pas bonne pour être en communauté. Tu bloques devant une porte blanche, la pousse et allume la lumière alors que tu clignes des yeux en détaillant l'intérieur avant de t'y engouffrer. Tu fouilles à l'intérieur de ton sac, sortant ton paquet de clope, ton pochon de beuh et fouilles encore pour trouver ton paquet de feuilles que tu peines à mettre la main dessus. Tu grognes, ta main à l'intérieur de ton sac remue le peu d'trucs qui sont dedans et tu sursautes légèrement. Levant la tête vers le miroir en face de toi pour y découvrir ton reflet, puis tu te retournes vers la porte qui vient de se claquer brutalement. Tu lâches le tout, t'approches de la porte et tape d'un coup d'un seul avec la paume de ta main. - HEY ! Que tu cries d'abord, ton visage à quelques centimètres du bout de bois immobile. Bordel, c'était quoi leur délire à tous de vouloir t'enfermer quelque part en fait ?! T'appuies avec énergie sur la poignée, poussant avec ton épaule en même temps mais la porte bouge que de quelques millimètres. Et puis une voix apaisée masculine se fait enfin entendre, te parlant de vengeance sans comprendre quoi que ce soit. - Ecoute moi pauvre con, t'as intérêt à ouvrir la porte sinon je te jure que je la défonce et que je te fous la gueule au fond des chiottes ! Tu répliques d'une voix presque enjouée, ironie plein la bouche alors que tes lèvres son crispées de haine. Et tu marques la fin de ta menace d'un autre coup de main portée contre la porte, accompagné d'un petit grognement de rage.

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Tu ne savais pas vraiment ce qu'il t'arrivais en ce moment. La haine s'était épris de toi, et si tu t'étais toujours refusé à elle, dans le passé, au détriment de la connerie, aujourd'hui tout ressortait. Tu n'avais envie que de vengeance, une tempête grondait en toi, te rendant irrité et désagréable. Tu ne supportais même plus de simples remarques, ou bien même des situations qui t'aurais rendu autrefois juste blasé. Non, à présent, tu voulais que tout le monde mange la poussière comme tu avais pu le faire après ton enlèvement. Tu voulais que tout le monde puisse goûter à la peur que tu avais ressenti, et que dans le fond, même si tu ne désirais pas l'admettre, que tu possédais toujours. Et ce envie déchirante revanche que tu voulais prendre, commençait par sa source, cette gamine blonde platine qui avait eu l'audace de poser sa main sur toi. Tu te haïssais de ne pas avoir pu répliquer cette fois-ci, toi qui ne te salissais jamais les mains, aujourd'hui tu voyais tout ça d'un autre oeil. Coinçant la jeune femme dans la salle de bain de l'appartement, tu t'amusais de l'entendre déjà gueuler. D'ailleurs, tu remarquais que mine de rien, elle avait de la force, et surtout, qu'elle avait de la hargne. Te menacé, encore, n'était pas très judicieux de sa part. Tu agites l'alcool, trouvé, et surtout mélangé pour être près au moment voulu. « Tu n'es pas vraiment en position de force. » répliquais-tu en ayant un fin sourire sur les lèvres, laissant une marque sur ton visage, celle d'un possible pacte avec le diable. Après quelques minutes de combat conte une porte, la blonde, se fatigue enfin, attendant seulement que tu ouvres la porte pour te foutre une droite certainement, encore. Ce que tu fais finalement, mais en ne lui laissant nullement le temps de comprendre qu'elle se reçoit un mélange d'alcool attrapé sur la table avant de l'enfermer. Moment même, ou ton sourire disparaît en voyant qu'elle n'était pas Serah. Mais. Quelqu'un d'autre. « ah. » répliquais-tu simplement face à ton ignorance, et surtout ton aveuglante machination. « je me suis trompé. Désolé. » disais-tu, avant de finalement poser la bouteille près du lavabo et de rebrousser chemin, comme si rien ne s'était vraiment déroulé.
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C'était la cerise sur le gâteau, à croire que le monde rêvait de me voir enfermer dans une cage. Un virus en liberté, prête à contaminer tout ce qui bouge de sa démence psychologique en quête d'assouvir toujours plus et plus fort sa soif de liberté. Je grogne derrière la porte, poussant un bon coup avant de finalement m'adosser dessus. À quoi bon lutter ? T'as plus de force que moi de toute façon, alors je peux rien faire de plus que de me casser la voix dans des jurons qui te sont destinés minutieusement, ou à me briser les mains en tapant contre la porte dans le vent. Parce que tu restes toujours tranquillement contre elle, déblatérant en sécurité derrière le bout de bois qui nous sépare. Je serre les dents, pas envie de te répondre plus et tant qu'à faire, je vais même continuer mes occupations d'avant que tu interviennes. Je reprends mon joint, effrite un peu de beuh avant de le rouler et de le tasser contre le lavabo. Et je savais que tu finirais par te faire chier à un moment, que tu finirais par céder à la tentation d'ouvrir la porte et ça ne manque pas.. C'est ce que tu fais, pour finalement te rendre compte de ta bêtise. Je te regarde, la bruit du verre qui rencontre le marbre du lavabo, ton regard s'attarde dessus quelques secondes avant de le relever vers toi qui est déjà en train de prendre la fuite. J'attrape la première chose qui me passe sous la main, t'as de la chance que ce ne soit qu'un gros savon et pas la bouteille que tu viens de me laisser. - Et maintenant, je suis en position de force Ducon ?! Je jette le savon dans la foulée, visant la tête et c'est en plein dans le mile. La prochaine fois tu feras peut-être plus attention avant de te tromper. - Merci pour la bouteille. Dernières paroles qui sortent de ta bouche avant de retourner dans la pièce. Profitant pour allumer ton joint que t'as eu le temps de rouler pendant ta garde à vue improvisée.

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T'as l'air d'un con. Tes yeux rejoignant d'un blonde, certes mais pas celle dont tu voulais tant te venger. Tu perds en vitesse. Ta jouissance n'est plus palpable, puis que ta bêtise si bien concocté n'avait pas marché. Du moins pas sur la bonne personne. Coincé devant elle, la bouteille en main, tu finis par la lâcher, tu te sentais tellement débile d'y avoir cru que sur le coup. Tu ne voyais pas d'autre choix que de faire machine arrière, peut être qu'en t'éclipsant, elle n'y verrait que du feu, oubliant tout. Et surtout ta connerie. Sur un malentendu, tu voulais vraiment que tes pensées prennent formes, se moulant parfaitement à ta réalité. Mais si tu contrôlais parfaitement l'argent, ou bien tes émotions, le temps était une chose indéfinissable, glissant entre tes doigts de mortel. Tu repars donc, espérant que sous le choc la jeune femme ne comprenne pas et surtout en reste la. Malheureusement pour toi, c'est tout le contraire qui se produit, la jolie blonde en plus de te foutre un heardshot, tu te balances une pique bien placée. La douleur sur le coin de ta tête, te forçant à appuyer dessus pour frotter cette zone en particulier. Tu te retournes, attrape l'objet de toutes tes souffrance à terre, pour lui lancer de nouveau. « T'es malade ? Ça fait mal putain. » répliquais-tu en fronçant les sourcils, mécontent de son acte. Tu l'as rate, forcément. « Recommences ça et ça peut très mal finir. » Et t'étais plutôt sérieux, après tout elle se trouvait dans une salle de bain, qu'elle ne fasse pas la maligne longtemps ou tu dégainerais ton arme fatale.
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