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Tu ouvres la porte à la volée, tu n'en pouvais plus. Non, tu n'avais plus à attendre. Après plusieurs heures à rester assis, gentiment, ne rien commenter, juste te taire bien sagement comme le parfait étudiant. Maintenant tu étais libre. Tu pouvais promouvoir tes projets les plus vertigineux, les plus fou, beaux, comme monter une startup ou bien encore lancer ma collection de fringue. Mais pour le moment, ma seule préoccupation s'était centré autour de ma vessie et de sa capacité à se retenir qui allait, je le sentais, bientôt exploser. Je claque les portes, et accours aux toilettes que je trouve sans Ana. Putain, merci mon dieu, pensais-je d'une force, dont personne n'en avait même le degré. Je déboutonne mon pantalon avec rapidité, et fini finalement par me soulager, marquant mon visage d'un état extatique. Après quelques vérifications dont j'avais le secret, je sortais des toilettes, avançant dans la cuisine pour me laver les mains. C'est à cet instant précis, qu'un bruit assez étrange avait fait irruption dans le silence religieux des lieux, venant de ma chambre. Je fronce les sourcils. Mais q'est-ce que ? mes pensées s'arrêtèrent puisqu'une seule, et unique s'affichait presque collé sur mon visage, tellement j'en étais imprégner. Le danger. Je m'arrête. Essuie mes mains avant de prendre le vase sans forme que Colin m'avait offert, voyant ici une raison pour que ma décoration si pauvre s'enrichisse. Selon ses mots. Mais je l'emmerde. J'attrape l'objet, surpris par le poids je tente de le suivre dans sa gravité mais me rattrape finalement. Putain, grommelais-je dans ma barbe de trois jours, mal rasé. Je prends une respiration, et même si la peur me tire les tripes, je ne perds pas de mon courage, ouvrant la porte pour lever le vase afin qu'il atterrisse sur l'assaillant. Mais rien de tout ce que j'avais pu imaginé n'avait finalement été réel. Louve, allongé dans mes draps jouaient de manière concentré sur sa DS. Dans mon élan, je m'étais figé dans une position inconfortable et bientôt, je reposais le vase sur un côté afin qu'il ne me dérange pas. « Qu'est-ce que tu fou dans mon lit ? » demandais-je, la scrutant, essayant de chercher déjà, un moyen de la punir. Et les idées ne furent pas très longue à arriver jusqu'à mon cerveau. Je prends la bouteille d'eau sur la commode et commence à l'arroser. « Et ça dégage. Hop. » m'écriais-je pour m'être de l'entrain, la motiver même dans cette démarche.
@Louve Perol
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