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Le coup de la panne (Nina)

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Les journées en tant qu’employé d’Hadès ressemblaient à tout autre chose que lorsque je devais cumuler mes deux temps partiels, courant entre le garage et le gym club et cumulant les heures sup à en perdre la tête. Là, j’avais du temps pour moi, mon boss s’avérant être bien plus cool que ce qu’Ashleigh avait craint au départ. J’avais le loisir de lui faire son programme sportif en tant que coach, le conduire ensuite à droite à gauche en tant que chauffeur, le prince ayant un emploi du temps plutôt chargé, et bien sûr, j’avais également l’entretien de son parc automobile impressionnant en charge, mais il me laissait organiser mon temps comme il le voulait, on échangeait et je me surprenais à l’apprécier de plus en plus, même si on venait de deux mondes radicalement opposés et que ma petite amie le détestait. Quand je vis donc le nom d’Hadès s’affichait sur l’écran de mon téléphone, je pris aussitôt l’appel. Le belge m’expliquait qu’une de ses amies était en rade sur une route dans la banlieue de Boston, que par ce temps glacial, il ne pouvait pas la laisser en galère, et qu’il était actuellement en pleine réunion. Les garages du coin étant débordée, la jeune femme n’avait apparemment pas pu trouver de dépanneuse et lorsqu’elle avait appelé Hadès à la rescousse ce dernier avait pensé à moi. « Pas de soucis. » acceptai-je alors. Une mission dépannage ? Ca allait me rappeler mon ancien job. Mon patron raccrocha avant de m’envoyer l’adresse où se trouvait la jeune femme, et je réalisais alors que je ne lui avais même pas demandé l’identité de la principale intéressée. Qu’importe, j’avais l’adresse, c’était le principal, je n’allais pas trouver 50 demoiselles en détresse au bord de la route. Roulant dans mon costard sur mesure au volant de la voiture de luxe du Belge, je ralentis en arrivant près de l’endroit qu’il m’avait indiqué. Je vis alors une brune emmitouflée dans son manteau et qui semblait mourir de froid. Je me garai sur le côté et sortis, me figeant en me rapprochant d’elle : « Nina ? » L’impression de replonger un an et demi plus tôt fut saisissante, quand elle avait débarqué pour des réparations au garage où je bossais à l’époque, moment qu’elle avait passé à me draguer, moment rendu ensuite lors du summer camp où l’on avait un peu flirté, se perdant de vue ensuite avec la rentrée. Le temps avait passé, mais visiblement : « T’as toujours des problèmes avec tes voitures ou c’est ta tactique pour me revoir ? » plaisantai-je en me rapprochant d’elle.

Hj : en plus on va avoir un autre rp ensemble ma Candice, avec Baptou et Kingsley hanwii
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le coup de la panne — C’est ça d’oublier ses papiers et surtout son argent. Et avoir une voiture qui ne fonctionne pas vraiment. Oh mais qu’elle adore ce genre de journée. Non, elle ne veut plus faire d’effort, elle en a déjà marre. Alors, oui, elle appelle Hades pour qu’il vienne la chercher. Et pourquoi pas, passer du temps avec lui. Il lui manque. Beaucoup trop. Puis, il réussit à l’apaiser et en ce moment, elle en a besoin. C’est qu’elle accumule les galères. Sa mère lui coupe les vivres, pour qu’elle puisse s’assumer, enfin, financièrement. Nina a besoin de payer son loyer. Un loyer cher et une amie de l’université, enfin surtout une camarade de classe lui a parlé d’un job au Nirvana. Juste de la danse, pas de vêtements qui volent. Comme elle se débrouille bien en danse, elle tente. Mais c’est dégradant alors personne ne doit être au courant. C’est tout. Puis, ce maître chanteur qui lui pique sa carte bancaire. Oui mais il n’y avait pas grand-chose. Elle peut toujours utiliser cette excuse. Mais il y a aussi une légère agression, survenue quelques jours plus tôt. Et le départ de sa sœur et de son meilleur ami, qui amène à quitter la Eliot. Ce n’est plus pareil, elle se perd. Enfin, un message d’Hades qui lui annonce ne pas pouvoir se libérer mais son chauffeur sera là, d’une minute à l’autre. Bon, elle ne va pas faire sa capricieuse et elle accepte. Là voilà, à attendre près de la voiture. Non pas la sienne. Parce qu’elle n’en a pas, elle conduit peu. Là, elle en avait besoin pour une urgence en dehors de la ville. Mais le retour n’est pas comme elle l’espérait. Une voiture se rapproche et s’arrête. Et un homme en costard sortit.. jusqu'à ce qu’il prononce son prénom. Elle arque un sourcil et elle le remarque enfin. Denys. Elle se souvient bien de lui. Oh très bien. C’est toi, le chauffeur ? Au moins, il reste dans le milieu des voitures. J’étais à deux doigts de poser des affiches pour te retrouver… qu’elle s’amuse, sur le même ton et d’un sourire en coin. Tu ne répares plus les voitures ? Dommage, j'espérais te revoir à l'oeuvre. Faut l'avouer, c'était plus sexy. Quoique, tu pourrais peut être voir ce qui cloche avec cette.. voiture. qu'elle montre à quelques pas d'elle.

hj : ouiii, trop bien Le coup de la panne (Nina) 1001568715
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 Un dépannage pour une amie d’Hadès ? C’était une mission toute trouvée pour moi, non sans me rappeler mon ancien job. C’est rapidement que je me rendis sur place, garant le véhicule de luxe du prince sur le côté, descendant pour m’approcher d’une silhouette féminine, une brunette, qui attendait près d’une voiture à l’arrêt, et au bout de quelques pas je me figeai de surprise quelques secondes en reconnaissant la demoiselle : Nina. Elle parut tout aussi étonnée que moi, ne s’attendant probablement à ce que je sois l’employé de l’Eliot. « Oui c’est moi, j’ai… changé de boulot comme tu le vois. » Mieux payé et plus de temps pour moi, Hadès avait réussi facilement à me convaincre d’accepter son offre d’embauche. « J’ai eu… tellement de galères ces derniers temps. J’ai pas pris le temps de te donner des nouvelles j’avoue, pardonne moi… » La prison, la sortie ensuite, mes deux jobs chronophages qui ne m’avaient pas laissés une minute à moi, mes embrouilles dernièrement avec ma petite amie… Galères oui. « Mais ça me fait plaisir de te revoir. » et j’accompagnais ses mots d’une bise sur sa joue, histoire de me faire plus facilement pardonné de ces derniers mois de silence radio. « Je m’occupe que des voitures de monsieur de Belgique désormais. » Chauffeur et chargé de l’entretien de son parc automobile. « Mais pour toi, je peux faire une exception… » D’abord, je retournai vers la jaguar d’Hadès, retirant ma veste malgré les températures fraiches de la saison, je ne pouvais pas risquer de salir mon costard sur mesure que mon boss m’avait acheté à mon embauche. Je remontais les manches de ma chemise et direction la voiture en rade. Je me posai derrière le volant, tournai la clé de contact, faisant tousser un peu le moteur… Le diagnostique me parut assez clair : « C’est surement la batterie… » Je filai quand même regarder un peu sous le capot. Tout semblait en place, et avec le froid qu’il faisait, la batterie n’avait surement juste pas supporté. « T’as des pinces crocodiles ? Tu sais deux grosses pinces, rouge et noire, reliées par câble ? » demandai-je à tout hasard à Nina. Ha si j’avais eu mon matos de mécano comme avant, je l’aurais dépannée en deux deux la jeune femme…  
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le coup de la panne — Et dire que cette voiture n’est pas à elle. Elle pourrait juste l’abandonner et rentrer chez elle ? Non, elle ne peut pas. Elle a promis de rendre la voiture, pour ce soir. C’est rare qu’elle conduise. Elle a toujours peur d’avoir un accident mais elle tente d’affronter sa peur et de l’utiliser un peu plus souvent. Voilà qu’aujourd’hui, elle tombe en panne. Peut être le signe d’arrêter de conduire et de continuer à prendre la décision de prendre les transports en commun. C’est mieux pour elle. Heureusement, Hades vole à son secours, enfin, c’est plutôt son chauffeur. Voilà la surprise en découvrant un ancien crush. Depuis le temps, elle a souvent entendu parler de lui et des rumeurs qui se sont formées autour de lui. Sans vraiment y prêter attention ou même s’y intéresser. Mais là, elle ne s’attendait pas à le retrouver. Lui qui a résisté à ses avances, qui peut facilement la déconcerter. Je ne sais pas ce qui est le mieux, ta tenue de mécanicien.. Même si c’était simple, faut l’avouer. Ou, ton costume. Elle garde ce ton de flirt, de taquinerie. Pourquoi, elle changerait de comportement avec lui ? Même après des mois. Ce n’est pas la peine de te justifier avec moi. Nous nous ne sommes rien promis. C’est le cas. C’était une journée, une seule journée. Après plusieurs quiproquos mais ça a été très agréable et elle en garde un bon souvenir. Elle ne serait pas rancunière après ces mois de silence. Après tout, elle non plus, elle n’a pas donné de nouvelle. Son sourire revient facilement à sa remarque et son baiser sur la joue. Je dois avouer que le plaisir est réciproque. C’est une belle surprise, mieux qu’elle n’aurait pu l’imaginer. Le retour à la maison semble plus intéressant, tout d’un coup. Je savais que le mécanicien en toi, était toujours là. Elle peut bien profiter du chauffeur privé d’Hades, non ? C’est son ami, il ne dira rien. Puis, est-ce quelqu'un refuserait de faire quelque chose pour Nina ? Alors, elle le regarde retirer sa veste et partir en direction de la voiture. Faisant quelques pas, comme si, elle était vraiment intéressée par le problème de la voiture. C’est la batterie, qu’il dit. C’est presque du chinois. Même si, dans le passé, Nina s’intéressait aux vieilles voitures, avec le temps, elle s’en est lassée. Et son intérêt pour les voitures est devenu inexistant. Mmh.. et tu penses pouvoir faire quelque chose ? Parce que si, elle pouvait avoir de l’aide, sans pouvoir débourser de l’argent. Mademoiselle ne roule plus sous l’or, à présent. Elle ne peut pas se permettre ce genre d’écart. Tu peux toujours vérifier dans le coffre, ce n’est pas exactement, ma voiture. Celle d’un ami, qui espère la revoir, ce soir. En bon état, bien entendu.
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  C’est avec surprise que le dépannage prenait des airs de déjà vu. Tout simplement parce que la demoiselle en détresse n’était pas une inconnue : Nina était donc l’amie d’Hadès, et c’était également une ancienne cliente du garage où je bossais, un ancien flirt d’été aussi. Et quand elle commenta le changement de tenue opéré par ma reconversion professionnelle, je me permis de lui répondre : « Moi je vote pour la tenue de mécano, j’ai toujours l’impression d’étouffer avec une cravate autour du cou. » Et ma main se portait naturellement sur l’accessoire, tirant doucement sur le tissu pour la dénouer un peu. Mon impression de suffoquer là dedans était surement du au manque d’habitude, mais je n’avais pas vraiment le choix, d’ailleurs j’ajoutai : « Tu te doutes qu’Hadès n’aurait jamais accepté que je bosse pour lui en bleu de travail recouvert de cambouis. » C’était l’un de ses proches apparemment, donc elle devait connaître le caractère pointilleux du belge. Il avait même refusé que je m’achète un costard dans une boutique de prêt à porter, préférant payer lui même et m’en faire faire un sur mesure. « Tu le connais depuis longtemps ? Le monde est petit. » Et puis histoire d’illustrer encore mieux cette expression, je lui révélai ce qu’elle savait peut être déjà : « Je sors avec Ashleigh, la meilleure amie de ta coloc d’ailleurs. » Je n’avais jamais croisé Nina quand j’étais allé rendre visite à Lucky, mais ça aurait pu arriver. Je m’excusais ensuite pour le silence radio, notant agréablement que la brune ne m’en tenait pas rigueur, un bisou contre sa joue et j’avouai être content de la revoir. « Par contre, t’as la poisse avec les voitures ou comment ça se passe ? » Parce qu’il fallait toujours qu’on se retrouve dans ces conditions là ? Peut être que je bossais pour Hadès, mais exceptionnellement et puisqu’il m’avait envoyé ici auprès de Nina, je pouvais bien me remonter les manches et reprendre ma casquette de mécano le temps d’une petite expertise. Et le diagnostique était rapide : panne de batterie. Radio qui avait trop fonctionné, phares oubliés, chauffage à fond. De multiples raisons qui pouvaient justifier ce Ko. « On va la recharger, c’est rapide, il nous faut juste le bon matos. » Elle m’informa alors que ce n’était pas sa voiture. « Oh, tu l’as pas volé j’espère ? Je suis pas en très bons termes avec les flics, si on pouvait éviter ce genre d’ennuis. » la taquinai-je en délaissant le moteur pour filer fouiller le coffre, attrapant avec un sourire victorieux les précieux câbles. « Alléluia. On va te recharger ça en moins de deux. » Et hop, j’allais brancher les pinces sur la batterie de la demoiselle d’un côté, et sur celle de ma voiture de l’autre côté, me rappelant quelques uns des dépannages effectués à mon époque de mécano.
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