Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(declan & wade) chaos
-19%
Le deal à ne pas rater :
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H -16Go/512 Go
1299 € 1599 €
Voir le deal


(declan & wade) chaos

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mon cœur avait fait un bon en voyant le pochon de drogue dans la petite main de ma fille. Elle l'avait agité comme si elle m'avait demandé d'ouvrir un petit paquet de boudoir. Les hurlements ont suivi en lui attrapant le sachet des mains. Elle avait du caractère cette petite et surtout, elle ne comprenait pas mon angoisse et le pourquoi j'avais haussé le ton subitement. La pauvre. Je m'en voulais de ce qui était en train de nous arriver, alors qu'en réalité, ce n'était en rien ma faute. J'avais juste cette poisse pas possible. Ni une, ni deux, je fouille un peu plus et je me rends compte avec horreur que plusieurs sachets se trouvent à des endroits différents de mon appartement. Mes mains tremblent aussi vite que mon cœur bat, je suis complètement paniquée et pour la première fois depuis très longtemps, j'envoie un sms à Wade, Declan ainsi qu'à Alexander pour leur demander de venir. J'avais besoin d'aide parce que ma fille était là et qu'il fallait que l'un deux s'en occupe pendant que j'allais devoir retourner l'appartement pour le vider totalement ce qui était ma source de plaisir il y a encore un an. J'attrapais ma fille et j'allais avec elle dans sa chambre, faisant de mon mieux pour paraître normal. Je préparais ses affaires à la hâte et peu de temps après, Alexander arrivait pour la récupérer et la remmener chez lui. Elle allait être mieux avec Robyn, dans un environnement sain. Pour ma part je faisais les cent pas en attendant mon meilleur ami ainsi que mon frère.

@Wade B. Forbes @Declan Yates-Hamilton
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tout partait en vrille, Declan avait cette sensation tenace de tournis, comme lorsqu'on ne maîtrise rien et qu'il est de bon ton d'endurer et de prendre son mal en patience en attendant l'accalmie. Le Déchu se demande simplement quand tout ceci va s'arrêter. Quand ce Maître arrêtera définitivement de chanter. Et si il peut participer à la mise à mort du concert, il le fera avec joie. C'est de renoncements qu'il emplit ses poches ces derniers jours. Son arme, son badge, sa vie. Et voilà que sa sœur l'appelle en proie à la panique. De la drogue a été planquée chez elle. Elle veut s'en débarrasser. Declan lui conseille de ne toucher à rien, et même si ça lui arrache les tripes de prévenir Cooper. Mais Alaska est aussi têtue que lui et fait la sourde oreille. Il décide donc d'aller au plus vite chez sa sœur, pense à prendre sa moto mais renonce par ce temps et arrive quelques minutes plus tard chez elle. Habitant le même quartier, ils ne sont pas très loin l'un de l'autre. Declan se dirige avec empressement vers l'appartement d'Alaska. « Tu n'as touché à rien ? » demande-t-il alors qu'elle lui ouvre la porte. Elle ne sait pas quoi faire, et lui non plus à vraie dire. Il sait simplement qu'il faut réfléchir et ne pas agir dans la précipitation.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais pas hésité longtemps en recevant le message d'Al, sentant surtout l'urgence de la situation. J'me souvenais de ce sentiment saisissant lorsqu'on comprend que quelqu'un est entré chez soi durant son absence. De cette impression d'être observé, surveillé.. ce que subissait ma meilleure amie depuis mon enlèvement. Mais de la drogue ?! Putain de merde. La simple pensée de Lilou en train de jouer avec de l'herbe me glaçait le sang. Enfoirés. Pas besoin d'être un sorcier pour comprendre la panique d'Alaska face à la drogue, ce qui rendait la chose encore plus cruelle. Vu qu'on habitait qu'à quelques pâtés de maison l'un de l'autre, j'avais lâché le boulot que j'avais commencé pour enfiler ma veste et courir jusqu'à chez elle. C'est arrosé par la pluie que j'arrivais devant sa porte, essoufflé par ma course. Je frappais, mais j'entrais quasi instantanément, tombant nez à nez avec Alaska et son frère. - J'ai fait au plus vite.. dis-je en m'avançant vers elle, la serrant un instant dans mes bras pour lui donner un peu de réconfort. - Salut dis-je à l'intention de Declan en lui serrant la main. - Vous avez commencé à chercher ? demandai-je en jetant un coup d’œil circulaire sur la pièce.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Aussitôt Lilou partie avec Alexander que je commence à faire les cent pas dans mon appartement. Quelqu'un s'est introduit chez moi, quelqu'un a caché de la drogues, mon pire ennemi. J'en tremblais parce que j'avais peur de faire une bêtise. Retomber dans la drogue ne serait pas une très bonne idée, mais quand je voyais tous ces sachets sous mon nez, je devais avouer que l'envie était plus que présente. Je détourne mon regard et je le pose sur mon portable afin d'appeler Declan et Wade à l'aide et en suivant les conseils de mon grand frère, j'envoie un dernier message à Clay pour qu'il arrive au plus vite. C'est Declan qui arrive le premier. « Tu n'as touché à rien ? » - « Non » que je répondais en panique. « Enfin si, celui-ci » que je disais en pointant du doigt la table basse. Wade arrive à son tour et me prend aussitôt dans ses bras. Je le serre contre moi, quelques secondes. « J'ai fait au plus vite.. » Comme toujours. « Alexander est venu chercher Lilou » J'avais eu tellement peur mine de rien. « Vous avez commencé à chercher ? » - « Non, pas encore et Clay, un ami des stups, va arriver d'une minute à l'autre avec un chien... » Je savais très bien que je devais laisser les flics en dehors de ça, mais Clay allait venir en ami et non pas en tant que flic.

@Clay Fitz. Cooper @Declan Yates-Hamilton @Wade B. Forbes
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

C'est avec surprise qu'ils m'ont vu emboiter le pas en direction du chenil où sont enfermés les corniauds de la brigade canine, ces chiens à qui souvent il plait à certains de me comparer. Quatre cages faites de parpaing et de grillage se sont rajoutées aux vieux box désagrégés, vestiges d'un passé révolu qui pourtant revoit le jour. C'est pour dire ô combien cette branche s'est bien développée depuis sa création il y a tout juste trois ans. Et dire que la DEA n'existait pas à Boston auparavant... C'est étonnant.
L'un des canidés réputé pour sa docilité s'est attiré mes faveurs d'emblée, toujours en proie personnellement à cette phobie que cette espèce représente. A peine la laisse étreinte entre mes doigts crispés que son maître que je pensais absent me hèle en plaisantant. " Tu vas le promener Cooper ? " C'est un peu çà ... Et bien que dissimulée, il la perçoit aisément cette frayeur qui tapie dans mon regard me fait de temps à autres hésiter.  " Juste une heure. " Mais il élève la main, contrarié lui aussi puisque ce chien est légalement sous sa responsabilité une fois sorti des grilles. " Je ne peux pas te laisser faire çà. Tu sais bien. " Mais il sait tout aussi bien que moi que je ne reculerais pas, pas devant lui et passant à coté, j'oublie un instant ce que je traine à bout de bras de l'autre coté: le chien muselé." Dis que tu n'as rien vu. " Il pourrait dans un moment d'égarement craindre pour sa place et rédiger un rapport qui me couterait certainement un blâme. Un autre.

[Quelques minutes plus tard...] Alors me revoilà planté devant cet immeuble déjà visité, le regard rivé sur les étages en amont à tergiverser sur ce que je suis en train de commettre pour elle. De temps à autres, j'entends au derrière le monstre qui gratte frénétiquement, enfermé dans le coffre pour ma propre satisfaction. J'ai pris soin de lui ôter tout ornement qui pourrait trahir son appartenance aux forces de l'ordre. C'est un malinois comme un autre à présent... Et en parlant de la bête d'ailleurs, il est temps de lui rendre de sa liberté. Avec précaution néanmoins et une distance de sécurité entre moi et ce que recèle le coffre, j'ouvre ce dernier. Il est couché et daigne se lever qu'une fois le hayon grand ouvert pour venir bien sagement s'assoir à coté de son nouveau maitre. Sa fragile loyauté me frustre au seul souvenir de lui avoir été comparé, me considérant comme plus méritant que ce clébard qui donne la patte à qui voudra. Embrayant dans les couloirs, gravissant les escaliers, j'arrive finalement à destination et ne me fais pas prier pour frapper à la porte de l'intéressée.  

CODAGE PAR AMIANTE
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)