ELIOT HOUSE ► Masquerade Ball

Les questions. Les entrevues. Les réponses. Les envies. Elle m'en pose. Elle se prépare à m'en poser. Elle veut savoir. Déjà. Mon nom. Ce que je n'ai pas dis. Ensuite savoir si je connais sa famille. Je souris légèrement. Comme toujours. Charmeur. Délicat. A souhait. Bref. L'homme Eliot dans toute sa splendeur. Qui ne connait pas la famille Wildingham ? Citer moi une personne qui ne connait pas votre famille, très chère, et je vous m'engager à cuisiner pour vous le diner de notre prochaine rencontre. Prochaine ? Pourquoi pas. Elle m'intrigue. Enormement. Inlassablement. Et le plus drôle. Elle est énervante. Elle n'arrive pas à faire autre chose. Les gens m'ont parlé d'elle. Les gens ont discuté d'elle. Les gens savent qui elle est. Et moi. Moi  je veux la voir comme elle est. Compliqué ? Non. Je ne crois pas. Juste bizarre. Mais. Politesse. Délicatesse. Envie. Voilà ce qui rythme la conversation. Elle me donne raison. Trop facile. J'en souris. Un peu plus. Silencieux. Le revoilà le moi. L'observateur. Le calculteur. Le bon moment pour frapper. Le bon moment pour entrouvoir l'envie. Le bon moment tout court. Elle connait l'idiot. Tant mieux. Plus facile à abbatre. Elle connait Zeus. Elle connait Hades. Tant mieux aussi. Plus facile à en rire. Mais elle se rattrape. Cela me fait rire légèrement. Oui. Un petit rire. Peu de gens le savent. Je sais rire. Et même blaguer. Mais qu'en la présence de personnes intimes. Personne d'autre. J'humecte mes lèvres. Le gout du champagne de nouveau en bouche. Le gout de la richesse dans la bouche. Le gout de la vie sur mes lèvres. J'apprécie sa présence. Je pense que les autres personnes n'ont rien d'exceptionnel contrairement à vous. Cet aura qui se dégage de vous est presque aussi parfait que le mien. Et voilà. C'est repartit. Je termine ma coupe. Fini l'alcool. Place à la fête. Ou juste au bon moment. Enfin presque au bon moment. Je ne suis pas sur. Je n'ai pas envie. Je ne veux pas avoir envie. Je veux juste m'éclater. Je dépose la coupe sur le côté. Musique délicate en fond. Je tends ma main. Légère. Simple. Est-ce que vous savez danser ? C'est un bal après tout mademoiselle Wildingham. Alors puis-je vous demander une danse ? Raffinée. Délicat et surtout gentleman. J'aurais pu aller chez les rouges. Mais c'est bien chez les bleus que j'ai choisit. Pourquoi ? Parce que j'adore mettre mon grin de sel partout ou je passe. Ajouter à ça. Juste la présence de Hades et Zeus. Et c'est parfait. Juste. Devinement bien.

@Athénaëlle A. Wildingham

Tenue de Zé:

La discutions t’ennuie, tu est une jeune femme capricieuse, peu de personne arrive à avoir ton attention plus de deux minutes, mais pour une fois, tu accepte d'accorder ton temps à une personne que tu ne connais pas. Tu écoute et tu fini par répondre spontanément « Très bien, j'espère que vous appréciez cuisiner dans ce cas. » Oui la famille Wildingham n'ai pas connu en Afrique, ni par les inuits, ni au Pérou, et j'en passe, et il n'as pas précisé de localité dans sa demande de citation. « L'idée d'un dîner, cuisiné par vos soins ne me déplaît pas. » Bien au contraire même, tu est curieuse de voir si il cuisine aussi bien que Noah. Après tout rare sont les jeune héritiers et héritières qui savent cuisiner. Tu bois une nouvelle gorgée de champagne, et tu plonge ton regard dans le sien. Un regard froid et pourtant très séducteur à la fois. Il n'est pas le seul à savoir jouer de ses charmes, tu sais le faire aussi, et à ce jeu là, il n'y aura pas de vainqueur, pas ce soir en tout cas. Un aura presque aussi parfait que le sien ? Alors lui il ne se prend vraiment pas pour n'importe qui. Tu laisse un léger rire t'échapper. Il te propose une danse, et tu souris tout en déposant ta coupe et ton masque à côté de vous et glisse délicatement ta main dans la sienne. « Apprenez le à vos dépens. » tu ne lui avouera pas que tu sais très bien danser, que ton père t'as fais prendre des cours de danse depuis ton jeune âge pour parfaire ton éducation celons lui. Tu lance un regard sur l'assemblé, visiblement personne ne danse, alors vous seriez les premier à vous lancer, et tant mieux, tu aime quand les regards se posent sur toi. Tu espère que ton cavalier sache lui aussi danser, ainsi vous serez admirés. Tu le suit.

Tenue d'Athé:

Je la regarde. Elle me cherche. Elle ose. Elle pense. Elle croit. Mais elle ne sait rien. Sa reponse me fait sourire. Je la tente. Je teste. J'essaye. Je souris même. Mais voilà. Elle a perdu. Je n'ai pas dit ou. Je n'ai pas dit quand. Elle va perdre. Première victoire. Alors bien. J'assume. Et bien, vous verrez que ma cuisine est simple mais très appréciable. Enfin si vous avez la chance d'y gouter. Ce qui ne sera pas le cas. Je suis joueur. Je suis très fort. Je suis très habile. Et quand je pose ma coupe sur le pleateau d'un serveur. Je l'interpelle. Je souris. Excusez moi très cher. Une simple petite question. Vous n'avez qu'à hocher la tête. Peu importe. Connaissez la famille Wildingham ? Et bien sur. Contre toute attente. Le serveur répond positivement. Je souris. Je le laisse travailler. Je suis victorieux. Et bien. Je pense que vous avez perdu ma chère. Mais je peux m'engager, quand même, à vous préparer un diner, très prochainement. Joueur mais fair play. Cela ne me ressemble pas. Mais je joue. J'aime ça. Je m'amuse. Le bal masque est vide. Personne ne danse. Personne ne joue. Personne ne s'éclate. A moi de commencer. Une simple danse. Un simple moment privilégié. Un seul moment avec la jeune femme. Je lui souris. Je lui tends ma main. Elle la prend. Elle ne sent pas le danger. Petite naive. Petite chose manipulée. Mais j'adore. J'en profite. Elle pose son masque. Elle pose même sa coupe. Elle veut avoir les regards sur elle. Cela me fait sourire. Elle est presque comme moi. Je suis bien plus intéressant. Bien plus mignon. Et bien plus cool. J'avance. Mains dans la main avec elle. Jusqu'au milieu de la piste. J'en profite. Je lui fais la révérance. Un poil en retard sur les conventions. Mais je m'amuse. Je me mets face à elle. Ma main sur sa hanche. L'autre se glisse sur sa main nue. Je la regarde. Je veux jouer. Mais pas maintenant. Pas en pleine danse quand même. Si ?Une simple danse. Un simple moment de parcours. Mais c'est fini. Je redeviens l'observateur. Le calculateur. Le simple Belge qui analyse tout avant d'agir. Je suis comme ça. Zeus frappe. J'agis et je frappe. C'est ainsi. Duo légendaire. Duo parfait. Je regarde cette femme. Mais je ne suis pas fermé. Non. Loin de là. Heureusement.

@Athénaëlle A. Wildingham

Je savais bien que débarquer chez les péteux que sont les Eliots n'était pas la meilleure idée du siècle. On m'a vite fait comprendre que je n'étais pas la bienvenue par ici. Je ne savais pas qui était cet homme, mais visiblement il avait l'air d'être le grand péteux en chef. Je suis chez les Cabots, votre altesse. Je savais bien qu'il n'allait pas apprécié mes qualificatifs, le fait est que je n'en avais littéralement rien à foutre. C'était assez difficile pour moi de faire ce genre de défi dégradant, je n'avais pas besoin qu'on me complique la tâche en me foutant un fils à papa au milieu du chemin. Il m'avait fait un petit discours en me balançant concrètement que je n'étais pas digne d'être ici et que je devais foutre le camp. Bien évidemment ce ne serait pas drôle s'il n'y avait pas une ou deux menace en prime. C'est connu, les hommes eliots sont courageux. Je devais renvoyer cette image de petite princesse kawaii pour le défi, mais ma nature haineuse envers les gosses de riches est vite revenue sur le devant de la scène. Ecoute, balance tes bulldogs si tu veux mais ce n'est pas la peine de te la jouer Don Vito Corleone en me menaçant comme un lâche. J'ai rien fait de mal, calm your tits. Il allait faire quoi ? Me frapper ? Je suis prêt à encaisser n'importe quel coup si ça peut ruiner la réputation de quelqu'un qui le mérite. Ma bizutrice est une personne que tu ne pourrais même pas imaginer avoir dans ton lit dans tes rêves les plus fous, cow-boy. Je n'avais aucun intérêt  à rester ici désormais, il est bien évident que je ne pourrai pas terminer mon défi ici. Et avant de créer un quelconque drama, la meilleure solution pour tout le monde était que je quitte la soirée. Elle avait l'air chiante à en mourir de toute manière. Je rebroussais chemin, avec la volonté de terminer mon défi ailleurs. Peace out !

En vue actuellement des paroles de la jeune Cabot, cela te fait sourire. Tu souris, en fait, tu ne peux pas te retenir. Votre Altesse, cette remarque qui t'éclate un rire face à ça. Tu aurais pu demandé à Hades de venir mais bon. Tu commenças à l'avancé vers la porte, sans trop de problemes. Tu souris en coin bien sur, parce qu'arriver à la porte, elle commence à faire son discours. Une petite Cabot qui se rebelle. Wouah. A noter dans les anales. Tu n'as rien d'autres à faire que de venir embêter les grandes personnes. Il va falloir que tu te trouves d'autres amis en plus. Mince c'est bête. Dis-tu avant de sourire encore plus J'aime menacer mais le probleme c'est que ce ne sont pas des menaces en l'air. Donc attention quand même. Mais finalement, tu commences à rire. Elle fait la maligne, elle fait la grande, alors qu'elle n'est rien. Tant mieux, je n'avais pas envie de l'avoir dans mon lit et encore moins avoir une Cabot tout court. Mais merci quand même du compliment. La sortie est là, je t'accompagne. Et passe le bonjour à Sacha de ma part lâches-tu pour refermer la porte derrière elle.

@Kitty J. Park

Je l'a regarde avec son verre à la main. A l'entendre parler je comprend qu'elle avait carrément sa place parmi nous ça se sentait. Elle faisait la meuf au dessus du monde. Après tout, au vu de son corps, elle a le droit de le faire. Je l'a regarde puis mon regard se plonge dans le sien. Je lui avais posé quelques questions histoire de savoir à qui je parlais, à une Eliot ou pas. Elle me dit qu'elle était une inspirante Eliot. J'hoche la tête. "En effet tu as carrément le look et la personnalité pour être l'une des notre en effet. Après on verra bien qui sera ton cher bizuteur. Et de là on verra si en effet tu seras son double ou pas." Je lui fais un clin d'oeil. Bon d'un côté heureusement je ne suis pas le double d'Hadès, je ne le supporterais pas du tout. Mais pas du tout. J'ai toujours été un petit rebelle avec mon bizuteur je suis comme ça. Elle se présente maintenant. Je souris en embrassant sa main. "Enchanté dans ce cas. Moi c'est Andrew Spector." Si on enlève le fait qu'elle se sent au dessus du monde, elle a l'air sympa en faite. De toute façon je ne fais même plus attention à ce qu'il se passe autour de moi. Le reste je m'en fous, là je fais connaissance avec cette jeune Noa.