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Nom : Solheim ◇ Prénom : Sunde-Skirne Leiv Prononcez Sunde comme le Sundae ◇ Âge : 21 ans ◇ Date et lieu de naissance : Oslo (Norvège) le 17 Juillet 1996 ◇ Nationalité : Norvégien ◇ Orientation sexuelle : Bisexuel ◇ Statut amoureux : Incapable d'aimer ◇ Statut social : Aisé (fils d'un Ambassadeur) ◇ Job étudiant : Tuteur ◇ Études majeures : Astronomie ◇ Études mineures : écrire ici
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Sunde-S Solehim - 21 ans - 4ème année - Astronomie - Tuteur
Sunde-Skirne Solheim
feat Ross Lynch
feat Ross Lynch
Mather House
Il y a longtemps, je jouais le jeu. Gentil gars, bonnes notes, bonnes fréquentations, digne fils d'un ambassadeur, de la fierté dans leurs regards. Mais ça fait tellement longtemps. J'ai arrêté de jouer leur jeu, j'ai arrêté de respecter les règles depuis lors. Je fais ce que je veux, quand je veux, comme je le veux, et j'emmerde le monde qui trouve ça décadent. Je suis libre. Du moins en apparence, ce foutu démon me colle à la peau. J'ai depuis lors, tous fais ce que je voulais, si vous les écoutez, tout de travers. J'aime trop les fêtes, les défis, la liberté, l'alcool et la drogue qui m'enlèvent ce démon. Je veux m'amuser, et rester aussi libre que je l'ai toujours été. De tout et de rien. Mes règles, mon monde, mon jeu.
student
Mather dans l'âme. Enfin de ce qu'il en reste au vu de mon cas. Je n'ai ma place nul part ailleurs, j'en ai bien peur
Pas assez bosseur, playboy, fille, artiste, altruiste, snob pour intégré une autre confrérie. Sunde aurait bien voulu trouver sa place ailleurs au cas où mais aucune autre maison ne lui offrirait ce que la mather pourrait lui offrir : des gens comme lui. Des personnes qui comprennent et ne juge pas. Bien loin des Eliot étriqué. Des gens qui ont les mêmes valeurs, la même liberté. Les Lowell semblent partager la liberté mais ils sont trop artiste pour un gars comme Sunde qui aime la beauté des choses mais ne saurait concevoir lui même cette beauté artistique puisque trop primaire.
Pas assez bosseur, playboy, fille, artiste, altruiste, snob pour intégré une autre confrérie. Sunde aurait bien voulu trouver sa place ailleurs au cas où mais aucune autre maison ne lui offrirait ce que la mather pourrait lui offrir : des gens comme lui. Des personnes qui comprennent et ne juge pas. Bien loin des Eliot étriqué. Des gens qui ont les mêmes valeurs, la même liberté. Les Lowell semblent partager la liberté mais ils sont trop artiste pour un gars comme Sunde qui aime la beauté des choses mais ne saurait concevoir lui même cette beauté artistique puisque trop primaire.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Comme si j'allais pouvoir noter l'ambiance décadente... Vous m'avez vu ? Malheureusement la prise d'otage c'était autre chose. J'étais à la cafeteria avec mon ex. Non c'est pas mon ex à cause de ce jour là.... mais oui, ce jour là je l'ai perdu. Elle était venu pour moi, seulement pour me voir, de l'autre bout du pays... Pour me dire de ne pas m'en vouloir, de lâcher prise, d'aller de l'avant... Ce taré avec un flingue, on a essayé de se cacher, de rester tranquille, mais faut croire que c'était un peu trop le bordel, et une fois de plus, je lui ai fait défaut. J'ai pas su la protéger... Et je l'ai vu ce vider de son sang et s'éteindre petit à petit. Son sourire s'évanouir, la vie quitter son corps. J'ai essayé de la garder, j'ai essayé de faire pression, mais cette foutu balle perdu était mal placé, et elle est morte sous mes yeux. Sous tout leurs yeux. J'ai vraiment fait de mon mieux pour ne pas pleurer, et ça, je l'ai réussi. Par contre après.. ce fut pire. Encore pire qu'avant. Et mes parents m'ont collé un psy sur le dos. Comme si il pouvait arranger quoi que ce soit..
Comme si j'allais pouvoir noter l'ambiance décadente... Vous m'avez vu ? Malheureusement la prise d'otage c'était autre chose. J'étais à la cafeteria avec mon ex. Non c'est pas mon ex à cause de ce jour là.... mais oui, ce jour là je l'ai perdu. Elle était venu pour moi, seulement pour me voir, de l'autre bout du pays... Pour me dire de ne pas m'en vouloir, de lâcher prise, d'aller de l'avant... Ce taré avec un flingue, on a essayé de se cacher, de rester tranquille, mais faut croire que c'était un peu trop le bordel, et une fois de plus, je lui ai fait défaut. J'ai pas su la protéger... Et je l'ai vu ce vider de son sang et s'éteindre petit à petit. Son sourire s'évanouir, la vie quitter son corps. J'ai essayé de la garder, j'ai essayé de faire pression, mais cette foutu balle perdu était mal placé, et elle est morte sous mes yeux. Sous tout leurs yeux. J'ai vraiment fait de mon mieux pour ne pas pleurer, et ça, je l'ai réussi. Par contre après.. ce fut pire. Encore pire qu'avant. Et mes parents m'ont collé un psy sur le dos. Comme si il pouvait arranger quoi que ce soit..
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
J'en faisais parti. J'attire la misère j'ai u peu l'impression. J'étais parti pour les Lacs, ouais les étendus d'eaux, je pensais qu'on était bon, je sais nager. Tu parles, il y a eut un tremblement de terre et j'ai morflé, comme ceux qui étaient là. Certains s'en sont bien ou pas trop mal sorti, j'ai gagné le droit d'être rapatrié à Boston Illico Presto, j'imagine que mes parents ont fait jouer des relations, et je suis resté à l'hôpital deux bon mois. Ca a rajouter quelques cicatrices à mon corps déjà meurtris de partout. Je suis plutôt bon à encaisser la douleur.
J'en faisais parti. J'attire la misère j'ai u peu l'impression. J'étais parti pour les Lacs, ouais les étendus d'eaux, je pensais qu'on était bon, je sais nager. Tu parles, il y a eut un tremblement de terre et j'ai morflé, comme ceux qui étaient là. Certains s'en sont bien ou pas trop mal sorti, j'ai gagné le droit d'être rapatrié à Boston Illico Presto, j'imagine que mes parents ont fait jouer des relations, et je suis resté à l'hôpital deux bon mois. Ca a rajouter quelques cicatrices à mon corps déjà meurtris de partout. Je suis plutôt bon à encaisser la douleur.
TON ADMISSION À HARVARD
Pourquoi Harvard ? Parce que c'était la Fac à côté de Boston où sont mes parents depuis quelques années. Je crois que mon essaie vibrant sur les constellations de notre ciels, et leur intérêt bien trop important à mes yeux. Mon désir ardent et brûlant de mieux comprendre le soleil, et à vrai dire les astres. Je sais pas pourquoi mais ça a sembler les toucher. J'imagine que mes résultats de SATs a peut être dû aider. Peut être que de dire que j'aimerais découvrir d'autres planètes ou étoiles dans le ciel a aidé, à vrai dire je pense qu'ils ont eut pitié de moi, parce que... je me l'explique pas. J'ai une opinion très positive de moi, vous avez vu?
Pourquoi Harvard ? Parce que c'était la Fac à côté de Boston où sont mes parents depuis quelques années. Je crois que mon essaie vibrant sur les constellations de notre ciels, et leur intérêt bien trop important à mes yeux. Mon désir ardent et brûlant de mieux comprendre le soleil, et à vrai dire les astres. Je sais pas pourquoi mais ça a sembler les toucher. J'imagine que mes résultats de SATs a peut être dû aider. Peut être que de dire que j'aimerais découvrir d'autres planètes ou étoiles dans le ciel a aidé, à vrai dire je pense qu'ils ont eut pitié de moi, parce que... je me l'explique pas. J'ai une opinion très positive de moi, vous avez vu?
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Saturne et j'ai votre âge. Je suis fr et j'ai connu le forum grâce à top-site/forum de pub/autre. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Lyndon Du Luxembourg (Quincy House). J'utilise cRoss Lynch comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 500mots mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8019]►[/url] ► <span class="pris">Ross Lynch</span> ◊ “Sunde-S. Solheim ”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
Sunde-Skirne est née à Oslo en Norvège. Son père est ambassadeur de Norvège, et à cause de son travail, ils démangèrent très souvent pendant son enfance. Ainsi Sunde-Skirne à déjà habité et visiter la Suède, la Corée, la Russie, la France, l'Australie avant que ses parents ne s'installent de façon plus régulière à Seattle vers l'âge de 12 ans. Sunde-Skirne comme tout enfant d'ambassadeur élevé dans un milieu un peu plus sophistiqué, apprit très jeune à manier le piano avec une facilité et une mélodie assez déconcertante et agréable. Bien loin d'être un supplice pour le jeune enfant, c'était des moments très agréable à passer en compagnie de son tuteur et de sa mère qui assistait quand elle pouvait à toutes ses leçons. Leur arrivé à Seattle, permis à Sunde-Skirne de se faire enfin des amis de façon durable. Enfant adorable, il a de bonnes notes, et n'a jamais eut de problèmes. Mais le début de l'adolescence fait émerger sa nature bisexuel. Un peu perdu, mais toujours aussi "gentil garçon", il fait son petit bonhomme de chemin, ses parents n'ont pas l'air de le rejeter pour ce qu'il est, et jusqu'à un point tout va bien. Tout va bien jusqu'à ce qu'il la rencontre. Rachel. La fille la plus belle que le monde ai porté. Belle, et gentille. En théorie, une gentille jeune fille, et un gentil garçon ne devraient pas remuer autant les esprits, mais apparemment le passé Bi de notre gentil garçon Sunde-Skirne semblait déplaire à certains. Et malgré l'adorabilité de notre gentil petit couple, ils se firent enquiquiner par moment, par un groupe de pas gentil garçons. Mais il était bien avec elle. Elle était bien avec lui. Appelez ça de la naïveté, ou la beauté du premier amour véritable, mais ils étaient bien, tellement qu'ils ne s’imaginaient pas vivre l'un sans l'autre. Ils n'avaient qu'une quinzaine d'année, mais se voyait déjà planifier leurs vies ensembles. Et le plus tragique ce fut la brutalité de la réalité qui leur revenaient en pleine face. Ce petit groupe passa à la vitesse supérieur. On lui avait toujours dit d'ignorer leurs provocations, que la violence ne résoudait rien, et Sunde-Skirne était non-violent profond. Mais ce soir là, il aurait volontiers exploser la tronche de tous ces gens là si seulement il avait pu. Voir sa petite amie, son âme soeur se fait maltraité de la sorte, c'était bien pire que tout ce qu'ils leur faisaient subit à lui. Les cris, les larmes, la colère, l'impuissance, ces souvenirs ignobles ancrés dans son âme à tout jamais, ce furent sa punition pour aimer l'être humain quelque soit son genre (binaire). Rachel reporta le viol, et les brutalités qu'elle avait subit, mais Sunde-Skirne ne s'y résouda jamais. Bien sûr, il alla à l'hôpital comme elle. Bien sûr ses parents se doutaient de ce qui s'était passé en voyant ce petit couple dans cet état, mais jamais ils ne lui demandèrent. Ils ne voulaient pas le forcer, ils ne voulaient pas, le traumatiser plus qu'il ne l'était. Mais cette nuit, cette soirée maudite brisa leurs couple. L'amour véritable, ne peut pas tout endurer apparemment. Ils s'en voulaient tout les deux. Ils avaient mal tout les deux. Ils ne pouvaient pas se regarder tout les deux, ni même se croiser sans souffrir, sans repenser à la soirée la plus ignobles de leurs vies. Cette impuissance que Sunde-Skirne avait ressentit était ancré en lui. Un vrai homme aurait protéger sa petite amie. Un vrai homme n'aurait pas laissé la situation dégénérée. Du moins il le croyait. Et tandis que Rachel se repliait sur elle-même et tentait d'aller de l'avant, Sunde-Skirne sombra comme vous vous endormez, doucement, puis d'un seul coup. Il se mit à rejeter tout et tout le monde. Voler, mentir, tricher, et faire des graffitis. Ses graffitis étaient tous plus ou moins centrer sur son ancien couple et la brutalité du monde, signant toujours §. Il cassa les choses, il se mit à boire de façon déraisonnable et illégale vu son jeune âge, offrant son corps à celui ou celle qui en voulait, sans en avoir rien à faire, et la drogue fut la suite logique de sa déchéance. Il n'avait pas su protéger l'amour de sa vie, il n'avait su éviter le pire, et il s'en voulait bien plus qu'il ne l'admettait. Cette humiliation, cette souffrance comme une plaie béante qui ne voulait pas se refermer continuant de saigner, seul ces déviances semblaient calmer cette petite voix qui lui disait qu'il n'était rien, qu'il ne valait rien. De l'extérieur on pouvait presque croire que Sunde-Skirne n'était qu'un gosse de riche qui s'ennuyait comme les autres, qui cherchait juste à s'amuser, et c'était à peu près ça. Sa déchéance brisait le coeur de sa mère, et il pouvait voir toute la déception et la souffrance du monde dans son regard quand les policiers le ramenaient à la maisons, ou quand elle devait venir le chercher en cellule complètement défait. Elle essaya de lui parler, de lui parler de ce soir là, de comprendre pourquoi il réagissait comme ça, mais Sunde-Skirne se murait, et ne lui parlait plus. Ses parents le soutenaient, ils essayaient de l'aimer, de le réconforter, mais rien n'y faisait, Sunde-Skirne était incapable de se pardonner. Personne ne devait jamais savoir ce qui s'était passé ce soir là, personne ne devait jamais comprendre à quel point il n'avait été qu'un moins que rien. Alors il prit l'habitude de sourire, de faire la fête, d'être joyeux, de rire, de faire des blagues, d'être là pour ses amis, sans que personne ne réalise vraiment qu'il était au bord du gouffre. C'est un garçon intelligent même si souvent il joue le débile, et travailleur, il a de bonnes notes partout où il s'investit, et parfois il donne des coups de mains pour qui veut, pour aider à ce que les gens ne coulent pas en cours, et il l'a toujours fait.
Ses parents pensèrent que le changer de ville, d'air, lui ferait du bien. Ils vinrent s'installer à Boston deux ans avant son admissions à Harvard. Ils ne comprirent pas que Sunde-Skirne avait toucher le fond, et que changer de ville n'aiderait rien. Il postula à Harvard, et dans d'autres établissements, mais tout les trois furent soulagé quand Sunde fut prit à Harvard. Il était proche de ses parents. Ils pourraient garder un oeil sur lui, même si ils leur faisaient dépenser beaucoup d'argent avec ces "coups d'éclats". Sunde entachait la réputation de son père, mais depuis il commençait à être habitué. Rachel accepta de venir à Harvard pour le voir, et lui parler. Elle voulait lui dire de ne pas s'en vouloir de ce qui s'était passé. Et malgré le taré avec son flingue dans la cafétéria, elle a essayé de lui faire comprendre qu'elle ne lui en voulait pas, jamais. Mais après la mort de Rachel lors des prises d'otages, ce fut encore plus dur émotionnellement pour Sunde, même si il faisait comme si tout allait bien, une partie de lui est morte ce jour là. Une partie qui ne reviendra jamais. Il a enterrer avec Rachel tous ces rêves d'avenirs, et de vies meilleures. Il est rentré à Seattle pour l'enterrer, et a essayé d'exprimer ses regrets et remords a ces parents, mais tout ce qu'il a su faire c'est pleurer comme une madeleine. Ces parents ont pleurer avec lui, mais ça n'a rien arrangé pour lui.
(Invité)