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Friendship never ends ►EZIO & LEYAH

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Friendship never ends
« Ez dépêche toi de m'ouvrir sinon j'appelle la police pour défoncer la porte ! » Voilà près de cinq minutes que j'étais là, sur le palier de son appartement à tambouriner sur sa porte d'entrée et que celle-ci n'avait encore pas daignée s'ouvrir devant moi. J'avais beau insister il n'y avait rien à faire. J'avais tenter de sonner, de l'appeler mais rien. Je m'étais dit que peut être il m'avait oublié, mais j'avais rapidement évacuer cette idée, me disant qu'on oublie pas sa meilleure amie surtout quand on l'a déjà oublié pendant un petit moment avant ! J'avais aussi eu à l'esprit le fait qu'il avait pu sortir pour se bourrer la gueule pour oublier ses soucis et qu'il n'était pas rentré, mais j'avais aussi éliminé cette possibilité. En fait, toutes les possibilités n'étaient pas les bonnes, il n'avait pas d'excuse pour ne pas être là alors qu'il m'avait promis d'être à moi toute la journée. Est ce que je l'avais eu à moi et rien qu'à moi ne serait ce qu'une journée depuis notre rencontre ? Depuis mon arrivée ici ? Non, alors je méritais bien qu'il respecte son engagement. Surtout qu'il avait un milliard de choses à me dire, à m'expliquer et que j'avais un milliard de câlins à lui faire pour lui remonter le morale. Quand il s'agit de servir d'oreille attentive et de distributeur d'amour, j'étais plutôt forte ! « Ezio ! Ca me fait pas rire bor... » Bordel oui c'était bien le mot qui allait sortir de ma bouche alors que j'étais encore en train de donner des coups sur la porte. Mais il avait ouvert avant : les cheveux en bataille, les yeux à peine ouvert, en caleçon, l'odeur du lit sur la peau, la chaleur de la couette se dégageant de son corps. Quand j'entendis la porte du palier s'ouvrir, je m'imaginais plutôt bien me faire engueuler pour avoir crié comme une poissonnière, je plaquais donc mes deux mains sur son torse nu pour le pousser, pouvoir entrer et refermer la porte à double tour derrière nous. « Il est dix heures chaton ! On est levé à dix heures dans la vie réelle ! » Avec ce qu'il venait de lui tomber sur le coin du nez, je pouvais assez bien comprendre qu'il ne soit plus sur la même planète que nous, mais quand même, il fallait bien rester en adéquation avec la réalité un peu. « Et oui... je suis désolée pour mon entrée fracassante mais je m’inquiétais... Et le double tour dans la serrure c'est pour pas que tu t'enfuis et pas que ton voisin me casse la gueule ! » Je lui fais les yeux de biche pour me faire pardonner parce qu'il a vraiment la tête dans le cul pour le coup. Je dépose un baiser sur sa joue puis je remonte ma main qui tient un sachet. « J'ai apporté des viennoiseries ! »
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@Ezio Scorsese :heaart: et voilà ma louisette Friendship never ends ►EZIO & LEYAH 3850463188
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Même dans les bras de Morphée, Ezio ne semblait pas trouver le repos et la sérénité tant recherchés. Il voulait juste oublier toute cette histoire, ne jamais avoir proposé à Louison de l'accompagner en Italie. Sans ça, il ne serait pas tombé amoureux et n'aurait pas vécut la meilleure et la pire histoire possible. Tout son petit monde s'était écroulé autour de lui mais Ezio faisait bonne figure. Il feintait l'indifférence. Cette force tranquille était déstabilisé mais ne le montrait à personne. Il faisait comme si tout allait bien, comme si cette rupture n'était qu'un détail dans sa vie. Plus de couple, plus de femme, plus de bébé. L'italien avait fait un sacré bon en arrière, comme si rien de tout ça ne s'était passé, comme s'il avait simplement rêvé.

Alors que le néant l'avait envahis, Ezio se réveilla en sursaut. Il mit quelques secondes avant de se replacer dans le contexte de sa chambre. Quelques secondes durant lesquelles, il chercha désespérément un repère, un signe familier sur lequel se raccrocher. La voix lointaine de Leyah parvint à ses oreilles, cela aurait dû être une douce mélodie mais au lieu de ça, elle gueulait comme une campagnarde. Excédé, l'italien vint s'avachir sur son lit, de tout son long. Il poussa un soupire sans précédent avant de finalement se lever avant qu'elle n'ameute tout le quartier. « J'arrive, défonces pas ma porte, tu seras mignonne. » grogna-t-il entre ses dents. Ezio traîna des pieds jusqu'à son entrée et appuya sur la poignée pour ouvrir la porte. Il afficha une mine désabusée tandis qu'elle se rua dessus pour pouvoir entrer dans l'appartement. Surpris, il fit quelques pas en arrière sans émettre la moindre émotion sur son visage. « Tu serais pas venue, c'est à quinze heures que j'me levais. » râla-t-il, pas content. Il fronça les sourcils en l'entendant parler mais afficha un large sourire en voyant les viennoiseries apparaître tel un mirage en plein désert. Il écarquilla ses petits yeux. « Hm, t'es toute pardonnée, j'ai la dalle ! » Il avait toujours faim celui-là. Ezio replaça correctement ses cheveux sur sa tête et alla jusqu'au salon où il s'affala lourdement sur le canapé. Il se frotta les yeux avant de regarder Leyah et d'afficher un sourire hypocrite. « Bébé, tu veux pas venir en aide à ton meilleur ami et lui faire un café bien fort ? steuplait ? » lui demanda-t-il en espérant qu'elle cède à son caprice. De toute façon, c'était bien connu, un Ezio au réveil était un Ezio exécrable.
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« Parce que je suis pas mignonne autrement ? » Je le regardai avec mes petits yeux d'amour, parce que je suis un petit ange adorable et pas une poissonnière qui gueule dans le couloir d'un immeuble, sur le palier de son meilleur ami pour le réveiller pour pouvoir passer la journée avec lui parce que ça fait bien trop longtemps que ce n'est pas arrivé. « Tu feras la grasse mat' la prochaine fois que tu auras n'importe quelle autre blonde à voir mais pas moi ! Tu m'as promis qu'on passait la journée ensemble la journée commence pas à quinze heures ! » Je dépose un baiser sur sa joue et lui passe la main dans les cheveux pour les ébouriffer. Bien sûr, je me mets vraiment sur la pointe des pieds parce qu'il fait trois tailles de plus que moi, je saute presque. « Mange chaton, mange, je vais te faire ton petit café ! » Je le regarde affalé dans le canapé, un sourire se dessine sur mon visage pendant que je me dirige vers la machine à café pour lui faire couler sa potion magique. Blonde que je suis, je ne mets pas la capsule correctement et c'est la catastrophe, ça déborde de partout, et ça coule de partout sauf dans la tasse. Ca me fait rire, beaucoup rire. Je finis par lancer à Ezio qui attend son café : « Tu vas patienter un peu chaton hein ! Ta meilleure amie est blonde ne l'oublie pas ! » Tu vas attendre ton café pendant des minutes voir des heures mon chéri, mais promis je travaille pour que tu l'aies le plus vite possible. Je me mare toute seule tellement je me trouve idiote pour le coup. Finalement c'est peut être moi qui aurait dû rester au lit ce matin parce que là je passe vraiment pour une cruche alors que je ne suis pas une barbie sans cervelle. Quand je finis par réussir à faire son café je reviens dans le salon et je m'installe sur Ezio, sur ses cuisses pour éviter de lui faire mal malgré mon poids plume. « T'as vraiment une sale tête Ez ! Tu le sais ça ? » Je déteste le voir comme ça, il est tellement plus beau quand il sourit. Vraiment je déteste voir les gens que j'aime mal et Ezio en fait parti.

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Assis et avachi dans le canapé, Ezio priait presque pour que Leyah lui fasse son café. C'était bien simple, sans sa dose de caféine, il n'était capable de rien. Il faisait déjà des efforts en essayant de rester poli et courtois. Que ça soit sa meilleure amie, sa soeur ou même sa copine du moment, l'italien n'était pas du matin. Il fallait un certain temps afin de pouvoir émerger de son sommeil et revenir à la dure réalité. Il vint battre des cils pour essayer de la convaincre mais ce fut presque de trop. La blondinette lui assura qu'elle comptait lui faire et se dirigea, de ce pas, dans la cuisine pour mettre la cafetière en marche. « T'es parfaite, Leyah. » dit-il en posant lourdement sa tête contre le haut du dossier. Il ferma les yeux et fronça les sourcils en entendant du bruit de l'autre côté. En l'entendant rigoler, il ouvrit un oeil et essaya de tordre sa tête pour l’apercevoir. « Ne fou pas le bordel dans ma cuisine, j'te préviens Blackburn. J'ai tout nettoyé hier, j'aimerais que ça reste propre. » marmonna-t-il de son ton très aimable du matin. Oui. En plus d'être ronchon le matin, il était maniaque. Rien pour plaire celui-là. Mais en entendant la blondinette éclater de rire et galérer, il ne pu s'empêcher de rigoler à son tour. Elle n'était pas croyable cette fille. Après de longues minutes d'attente, elle revint avec son café, lui arrachant un sourire. Ezio se redressa légèrement et prit le café de sa main droite et vint placer l'autre sur la cuisse de Leyah. Sans chercher à comprendre plus loin, il l'apporta à ses lèvres pour en boire une gorgée, peu être un peu chaude. « Arrête ça, j'suis beau comme un dieu, tu rêves de moi tout le temps. » s'amusa-t-il à dire pour esquiver la question. Ses doigts glissaient sur ses cuisses tandis qu'il s'enfilait son café comme s'il était froid. Une fois terminé, il se pencha en avant pour poser la tasse sur la table basse. « Ca va nous faire du bien de passer la journée ensemble, ça fait trop longtemps qu'on ne s'est pas vu, j'sais même plus comment tu t'appelles. » s'amusa-t-il à dire. Il lui tendit sa main pour rigoler. « Ezio Scorsese, 26 ans, réinscris sur tinder depuis une semaine, enchanté. » Il explosa de rire. C'était puéril mais là, l'italien ressentait le besoin de se changer les idées.
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« J'aime bien les hommes maniaques tu sais ?! » J'essaye de combler parce que pour le coup il y a de l'eau de partout et s'il arrive, il risque de hurler autant que j'ai crié sur le palier de sa porte pour qu'il ouvre. Mais j'ai une chance, c'est qu'il n'est pas bien alors je pense qu'il va juste faire la loque sur son canapé pendant toute la journée. Enfin jusqu'à ce que je réussisse à le faire bouger parce que je ne compte pas faire sa boniche toute la journée. A petite dose j'adore ça, j'adore lui rendre service parce que c'est mignon mais nous ne sommes pas au moyen âge, les femmes ne font pas tout de nos jours. Quand je reviens vers lui, il dépose sa main sur ma cuisse et je ne peux m'empêcher de lui faire des papouilles sur le dessus de la main. Cette tendresse, cette proximité me manquait, ça fait du bien de le retrouver. « T'as dit que j'étais parfaite c'est ça ? Je suis pas sûre qu'être un dieu ça suffise pour une fille parfaite ! » Je me penche vers lui et dépose un petit baiser sur sa joue. « J'avoue quand même que je rêvais de toi... Simplement parce que c'était ma seule manière de te voir ! » Et oui depuis qu'il s'est rapproché de Louison, il fallait bien avouer qu'on se voyait beaucoup moins, je peux même dire que j'avais un peu de peine de m'être éloignée de lui mais visiblement notre relation dérangeait alors que c'était juste un ami proche, mon meilleur ami ? Aujourd'hui ? C'est toujours le cas, notre amitié est toujours intacte même si je ne nierais jamais que c'est un mec canon. J'ai la chance d'avoir des meilleurs amis canons, je ne vais pas cracher dessus. A défaut d'être bien entourée en amour, je le suis en amitié. « Je m'appelle Leyah... Inscrite sur Tinder depuis une éternité ! » J'éclate de rire et je me laisse tomber sur lui après lui avoir serré la main. Il est allongé sur le canapé à regarder le plafond, je suis couchée sur lui, sur le ventre, ma tête posée sur son torse. Je me redresse légèrement et dépose ma tête sur mes mains pour le voir. Avec un petit sourire je finis pas lui demander : « T'as eu combien de match depuis une semaine que je fasse ma jalouse un peu ? » Encore des filles et des filles dans sa vie, je n'aime pas ça, je ne veux pas me voir évincée une nouvelle fois. « Dis donc t'es moins confortable qu'avant ! La déprime ça te fait maigrir toi aussi ? » Je le taquine et à la fin de ma phrase je commence à lui faire des chatouilles le long des côtes.
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La main dans la sienne, Ezio n'arrivait à être sérieux, même avec tout ce qu'il traversait. L'échec cuisant de son couple ainsi que la perte du bébé, l'avaient menés dans une situation des plus alarmantes. La détresse pouvait aisément se lire sur son visage, il n'était plus que l'ombre de lui-même mais faisait bonne figure. Ezio Scorsese, réinscris sur tinder depuis une semaine. C'était tragique. Jamais, ô grand jamais, il n'aurait pu penser qu'une telle chose n'arrive. Son couple avec Louison lui semblait tellement solide un mois plus tôt, comment avaient-ils pu en arriver là ? L'éternel jemenfoutiste venait de se prendre une claque énorme en pleine gueule. Néanmoins, il sauvait les apparences et éclata de rire à la réponse de sa meilleure amie, Leyah. « Depuis quand t'as pas baisé hm ? Tu dois être toute rouillée. » s'amusa-t-il à dire pour la taquiner un peu, avant de se laisser tomber en arrière, entraînant la blondinette dans sa chute. Machinalement, ses yeux se posèrent sur le plafond qu'il fixait sans réel but, sans pensées concrètes. Son bras vint enrouler le dos de Leyah tandis que l'autre pendait dans le vide. Il baissa les yeux et vint lui sourire avant de réfléchir. « J'en sais rien, j'ai dû avoir une dizaine de like, quelques matchs et deux ou trois rendez-vous. C'est juste pour le cul que j'suis là dessus, pour oublier mon ex si tu préfères ... et toi ? » avoua-t-il sincèrement. Ezio ne se voilait pas la face, il était conscient que son compte tinder n'avait rien d'anodin. Il le faisait juste dans l'espoir d'oublier Louison. Plutôt que de se terrer chez lui à pleurer l'échec de son couple, il baisait d'autres meufs. C'était un bon compromis pour lui. « Déconnes-pas, j'ai remarqué aussi, j'ai perdu un peu de masse. T'inquiète pas que je retourne à la salle depuis quelques jours, il y a eu trop de laissé allé. » dit-il, le coeur lourd. C'était général, il s'était laissé allé à l'amour et en payait le prix aujourd'hui. Sans plus attendre, il attrapa maladroitement le sachet de viennoiseries de sa main, l'ouvrit et vint en prendre un. L'italien allait en foutre partout mais qu'importe, il passera l'aspirateur plus tard. Il l'apporta à sa bouche et vint croquer un gros morceau. « Hm, c'est une tuerie ton truc .. t'en veux ? » marmonna-t-il, la bouche pleine avant de lui foutre le croissant sous le nez. Il rigola en voyant la tête de Leyah. Ezio était irrécupérable.
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A sa question, je ne pus m'empêcher de lui envoyer un petit coup dans les côtes. Quel enfoiré ! Mais bien sûr il me faisait rire. Je fis mine de réfléchir quelques instants pour lui faire croire que les toiles d'araignée avaient eu le temps de se former dans mes parties intimes avant de lui répondre : « Pas si longtemps que ça en fait... » Ca fait longtemps que je n'ai pas eu une histoire sérieuse, une éternité que je n'ai pas été amoureuse tout simplement parce que je ne l'ai jamais été mais très peu de temps que je n'ai pas couché avec quelqu'un. En effet, il y a quelques jours, une soirée anodine comme on en a fait des dizaines et des dizaines avec Noam a dérapé. L'attirance physique et des sentiments amicaux allant surement trop loin nous ont conduit à nous embrasser et à passer à l'acte. Sauf que depuis : plus de son et plus d'image. Je sais que ce n'est pas par déception de sa part puisqu'il s'est exprimé à ce sujet une fois notre ébat terminé, mais je ne comprends pas. J'ai l'impression qu'il laisse installer la gêne entre nous et ça ne me plait pas. J'ai besoin de Noam comme j'ai besoin d'Ezio, mes deux meilleurs amis, ces deux beaux gosses, j'en ai besoin dans ma vie, chacun à leur manière mais j'en ai besoin. Aujourd'hui, loin de ma famille et loin de l'Australie mes amis les plus proches sont mes bases, mes fondations, ils sont tout simplement ma nouvelle famille. « Je te demanderai bien ton avis d'ailleurs sur ma petite connerie mais non, ça serait trop bizarre de parler de ça avec toi ! » En effet, je ne me vois pas parler du fait que j'ai couché avec mon meilleur ami, avec mon second meilleur ami et si les rôles entre les deux jeunes hommes avaient été inversés, cela aurait été pareil.« Tu sais que je suis pas bête ? Je sais bien que t'es pas un coureur... Et plus généralement je sais que les mecs oublient une nana en baisant un peu partout ! Si ça panse ton coeur, je ne vais rien dire, mais protège toi, je veux pas que tu te retrouves daron ou malade en un claquement de doigt ! » Ca c'est mon côté maternel qui ressort et c'est aussi une déformation professionnelle. Et oui, j'assiste à des accouchements et je vois des bébés presque tous les jours alors je sais trop bien à quel point un accident peut être vite arriver. Certains bébés naissent sans avoir été désirés, ils se retrouvent à subir une vie dans laquelle ils n'ont rien demandé et je ne voudrais pas que mon meilleur ami ait cela sur la conscience. Je tiens un peu trop à lui pour le laisser faire cela. « Tu m'enverras un message quand t'iras ? Peut être qu'on pourra y aller ensemble dans la semaine, j'ai pas mal de repos. » J'ai repris le sport la semaine dernière et j'ai eu mal partout alors il ne faut pas que je reste trop longtemps sans en faire afin de bannir les courbatures de ma vie. Je ne suis pas une barbie qui se la pète ni une grande sportive mais j'aime entretenir mon corps pour qu'il reste svelte et pouvoir m'en servir de temps en temps... Juste quand il le faut ! Lorsqu'il présente le croissant sous mon nez, je croque dedans sans le prévenir puis je rigole en lui disant : « C'est excellent ouai ! C'est parce que c'est excellent que ça va se déposer directement sur nos hanches et nos fesses ! Mais avec tout le sport en chambre que tu fais tu vas vite éliminer ! » Je me marre toute seule et lui donne une petite pichnette sur le nez. Je le charrie mais j'ai tellement du mal à imaginer ce bel homme en train de passer de femmes à femmes. Ce n'est pas réellement son genre d'ordinaire. « Tu kennes pas tout le campus quand même hein ? » Je m'en assure. Moi jalouse ? Non juste possessive ! Un tout petit peu !
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Ce croissant était divin et la fille qui croquait dedans aussi. Ezio adorait Leyah. Il ne connaissait pas cette fille depuis bien longtemps et pourtant, le feeling s'était tout de suite installé entre eux. Elle était rapidement devenue indispensable à sa vie, une meilleure amie, une confidente. Malheureusement pour lui, Louison l'avait empêché de voir trop de fille, elle piquait des crises lorsqu'il s'approchait de trop près à une fille. Ce temps là était terminé, il pouvait de nouveau se faire accoster par une nana ou même passer un peu de temps avec celle qu'il voulait. Après tout, Leyah était son amie et il avait envie de partager pleins de choses avec elle. Cela commençait par un bon croissant au petit matin. « Ca va se déposer où ? » s'amusa-t-il à dire en posant sa main sur la hanche de la blondinette. Il chercha à tâtons sa fesse qu'il trouva rapidement. « Ah là ? » Ezio éclata de rire en palpant sa fesse. « Dis donc, c'est moelleux ici. » Il se jouait d'elle, pour la taquiner. Mort de rire, il enleva sa main de là et vint la déposer dans le dos de la jeune fille, pour la serrer encore un peu plus contre lui. Rapidement, Leyah vint lui demander s'il ne baisait pas tout Harvard. Cette question vint surprendre Ezio qui ne s'attendait pas à un tel sérieux. On pouvait sentir la possessivité dans ses mots, c'était mignon. « Nan t'inquiète, je ne ken pas tout Harvard, j'fais gaffe où je laisse traîner ma queue. » répondit-il bêtement. Il leva les yeux au ciel avant de croquer une nouvelle fois dans son croissant qui était tellement bon. « Tu veux essayer ? T'sais, t'as juste qu'à enlever ton jean, abaisser mon caleçon et c'est parti. » dit-il la bouche pleine. Il rigola de plus belle en voyant la tête et la réaction de la belle blonde.
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« T'es pas cool ! Finis les câlins là tu m'as vexée ! Rien ne se pose sur mes fesses à part tes mains actuellement alors qu'elles n'ont rien à y faire ! » Malgré la main posée dans mon dos et le câlin du jeune homme, je m'appuie sur son torse pour me relever et me diriger vers la cuisine, l'écoutant mais ne lui répondant pas. Vraiment, je fais celle qui est super vexée mais ce n'est pas le cas. J'espère juste que ce n'est pas vrai ce qu'il a dit, que je n'ai pas pris des hanches... En même temps c'est les fêtes et on grossit tous un petit peu pendant les fêtes mais vraiment je n'ai pas l'impression d'avoir trop pris. Au pire j'irais faire du sport avec Denys pour perdre tout ça. Autant lier l'utile à l'agréable, pourquoi se priver. Lorsqu'il m'explique comment coucher ensemble, je ne peux m'empêcher de faire une tête qui veut tout dire... Je ne saurais pas la décrire même avec un miroir devant moi tellement je n'étais pas préparée à ce qu'il me dise ça. Sérieusement Ezio, c'est pas comme ça qu'on parle aux femmes. Mais je me prends au jeu. Je reviens vers lui et je mets mes mains vers mon bouton de jean que je commence à défaire et à baisser sur mes jambes. Après tout, il m'a déjà vu en maillot de bain, alors en sous-vêtement c'est pareil. Mon jean arrivé aux genoux je relève un oeil vers lui tout en lui disant : « Ben alors tu attends quoi ? » Je finis par éclater de rire et remonter mon pantalon tout en me jetant sur lui. « T'es canon mais t'es vraiment con et pas romantique pour un sou quand tu veux ! Je sais même pas comment une nana a pu te supporter plus de cinq minutes ! » Je lui adresse un petit sourire tout en déposant un baiser sur sa joue. Moi je le supporte mais juste comme mon meilleur pote un peu lourdo parfois. Après l'avoir taquiné et charrié un peu, bien installée sur lui, je dépose ma tête près de lui et je finis par lui dire en soupirant : « Je suis HS en ce moment, tu sais que t'es assez moelleux pour que je m'endorme sur toi ? » Et op, t'es bien foutu Scorsese mais t'es un bon oreiller quand même alors ne me taquine pas trop sur le gras qui s'installe sur mes fesses ou je peux trouver du gras sur ton corps. En disant ces mots, j'associe les gestes et ferme les yeux. Je suis vraiment épuisée si bien que je ne tarde pas de m'endormir pour de vrai, dommage pour lui mais la journée ne fait que commencer et je suis bien trop contente d'avoir retrouvé notre complicité et notre proximité pour le lâcher comme ça.
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RP TERMINE
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