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P. ELEKTRA BURGUNDY fiche; en cours - terminée C'est le 24 septembre 1988 à ville de naissance, que la famille Burgundy m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommée Elektra. Je suis statut célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en domaine d'étude, je suis maintenant en année d'étude. OU Depuis maintenant nombre d'année je travail comme métier. Et pour terminer, je fais partie des groupe. |
Études Parlez nous ici du domaine d'étude de votre personnage et pourquoi pas en profiter pour nous parler également de sa vie en tant qu'étudiant, ce qu'il aime faire sur le campus, etc ... Si votre personnage n'est plus aux études, parlez nous de son métier et des études antérieur s'il y a lieu. Aucun minimum de lignes est demandées pour cette partie. | Caractère Dans cette partie vous devrez nous parler du caractère de votre personnage, vous pouvez également nous parler des signes particulier que celui-ci possède. Aucun minimum de lignes est demandées pour cette parte. |
Everyone Has Their Own Story
Si on naît à notre façon, avec nos complications, nos problèmes, c’est assurément décidé que l’on grandira sous notre propre contrôle aussi. Enfin, peut-être pas si sûr tant que cela. Je me rappel, c’était il y a tellement longtemps. Vous savez, ces petits souvenirs qui vous remontent à la mémoire sans que vous sachiez pourquoi et comment. Ils se présentent à des moments sans raison, seulement là pour vous rappeler souvent des choses anodines. Ou pour vous remettre un sourire franc sur les lèvres. Alors, je reviens à ces petits moutons qui me font toujours divaguer du sujet principal. Excusez-moi, mais quand je parle, je suis du genre à ne rien vouloir oublier, je m’assume ; je suis un vrai moulin à paroles.
Donc, je devais avoir trois ans, voir même peut-être deux. C’est vague, vous comprendrez. Je regardais mon frère, le préférer de mon père, c’est sûr. Mon jumeau, au terme de naissance seulement. Et maman, semblait avoir une préférence pour sa fille aux déjà, beau longs cheveux blonds, qu’elle semblait adorer passer des heures à jouer dedans. Je me suis rendue compte à cet instant que je ferais partie d’une famille séparée. Tellement jeune, mais certes, du tout naïve. Les garçons d’un côté et les femmes de l’autre. Ce n’était pas si déplaisant après tout. J’avais autant d’attention que mon frère, mais ce, d’une personne différente. Allez-vous imaginer la différence des goûts que plus tard, nous avons eus. Bref, à cet âge-là, déjà, je savais très bien malaxer les biscuits avec morceaux de chocolat. Mes mains étaient agiles et j’avais cela dans le sang. Et puis, le reste que j’avais dans les cheveux, c’était pour une nouvelle coloration, vous savez hein! Comique que j’étais, ma mère se tournait le dos et je vidais le sac complet de morceaux de chocolat. Quoi ? Il faut que ça goute bon! Ma mère éclatait toujours de rire, à chaque fois et ne me disputait jamais pour des petits trucs aussi simples de la vie. Pendant ce temps, je ne connaissais presque pas mon frère. C’est à peine pour dire que parfois, j’oubliais entièrement son existence parce père l’amenait toujours dans d’énormes expositions de voiture. Et papa .. lui, je ne le voyais jamais. Soit il était avec Justin, mon jumeau, soit il travaillait ou s’orientait envers d’étranges discussions une soirée entière avec des collègues qu’il apportait à la maison.
Malgré les incertitudes que l’on peut rencontrer dans la vie, il faut parfois foncer. Faire sa place, peut être difficile, une étape compliquée et remplie d’émotions. J’en sais quelque chose. L’entrée, le début de l’école. La première fois qu’on est en contact avec l’extérieur d’une façon obligatoire. Avoir des petits travaux. S’éloigner du passe-temps routinier que l’on avait avec notre mère, notre père ou les deux. Je ne sais pas. C’était quelque chose de grandement nouveau pour moi. J’avais peine à accepter que la vie était ainsi. Que l’on n’était pas vraiment libre. Que notre vie se résumait à la répétition de tous les jeunes, que l’on devrait devenir quelque chose, choisir une profession, l’exercer et ainsi, rester en vie. Subvenir à nos besoins quoi. Oui, d’accord, je n’avais que cinq ans, mais pourtant, je voyais déjà tout le reste qui arriverait si rapidement. Donc, à la rentrée, j’ai du apprendre à me trouver des amies. Complications intenses, puisse que depuis ma naissance je n’avais connu personne d’autre que ma famille. J’avais tellement été coupée du monde réel, que ce qu’il y avait à l’extérieur m’effrayait au plus haut point. On me classait parmi les jolies blondinettes de l’école. Au moins, je ne vivais pas d’intimidation ou quoi que ce soit. Je restais moi-même avec les quelques copines que j’avais réussi à me ramasser. Et c’est là, que vers la troisième année que je fréquentais la même école, j’avais compris que mon frère jumeau, lui, n’avait pas trouvé sa place. On ne se parlait presque pas, donc c’était normal que j’eus tant de misère à le deviner. Essayant de lui venir en aide, de lui montrer qu’après tout, il n’était guère seul et que, j’étais prête à l’inviter auprès de mes amies, notre relation qui n’existait déjà pas, se retrouva à se dégrader. Il était le garçon des deux. Être celui qui avait perdu, qui n’avait pas été accepté parmi tout le monde, le mit à terre. Et dans ses années de jeunesse, tout ce que je pouvais voir, avant mes douze ans, c’était un jeune homme qui changeait. Qui avait décidé d’oublier tout ce que son père avait appris. Malgré notre bonne fortune, il était devenu un voyou. Et en quoi cela pouvait-il m’affecter direz-vous? Simple. Si vous auriez vu la situation de la maison. Les crises contre mon frère. Ma mère qui ne dormait plus. La police qui cognait tous les jours à notre porte. C’était un désastre pour le triste nombre d’années que j’avais.
Le lycée. Ah, quel endroit de merde sérieux. Tous les petits clans, leur table respective. T’es un winner ou un loser quoi. T’as pas d’entre deux. Et pourtant, j’ai fait partie des gagnants. Je comprends toujours pas. Certes, on juge que physiquement à cet endroit. T’es laid ou t’es une bombe. T’es la pute ou t’es la/le geek. C’est ainsi que ça fonctionne. J’ai dû passer par une centaine de relations à cette étape de ma vie. J’ai doublé deux années. Je couchais de tous les côtés. Et pourtant, ma seule excuse était seulement que j’avais d’énormes problèmes familiaux. C’était nul, minable. Et non, of course je ne faisais pas pitié. On voulait mon corps. Hommes se tuaient pour m’avoir. Femmes m’enviaient. Je voyais de nouveau les femmes et les hommes d’un côté, à avoir chacun leur but. J’ai appris à vivre comme cela. Maintenant ça ne me fait pas grand-chose. Je l’accepte. Mais je n’ai guère terminé. À partir de là, tellement de choses ont changé. J’ai changé. Évolué. Muri.
Seize ans tout justes, j’ai fréquenté un mec plus longtemps que les autres. C’était pour dire que peut-être, oui seulement peut-être, j’avais enfin face à moi ce qu’était l’amour. Mais je m’en contre foutais. Ce n’était pas fait pour moi, et ce ne le serait jamais. J’étais attirée. Très. Et pourtant, j’avais déjà couché à 50 000 autres endroits, avec une bonne dizaine de mecs. Et étrangement, cet homme disait avoir envie de moi, mais ne voulait pas le faire. Mais attendez, c’est le lycée. Se faire repousser par un homme avec les hormones en feu, c’est normal? Non. C’est peine pour dire que j’ai tout fait pour coucher avec lui. J’ai réussi. Et le lendemain, il est revenu me voir. M’expliquant que c’était terminé. Je ne comprenais pas. Tout ce que je venais de lui offrir, c’était du plaisir à l’état pure. Et c’est quelques jours plus tard, que j’ai appris par sa sœur qui est venue directement me traiter de pute, que plus jeune, il avait été violé par son oncle. Non, n’essayez même pas d’imaginer la gueule que j’ai faite. Ce n’était pas joli. Je ne me suis pas effondrée. Je n’ai pas pleurée. Je suis allée le voir. Je me suis assise à côté de lui et je me suis mise à faire un de ces dialogues. « Écoute.. je ne savais pas. T’es avec moi.. excuse-moi. T’étais avec moi depuis presque six mois. Je crois que c’est quelque chose que tu ne gardes pas pour toi. J’ai jamais fait face à ça. Mais pourtant, je sais que si je l’aurais vécu, au point où je t’aime.. » Le silence total que j’avais eu. Je venais de lui dire un je t’aime que je pensais et ce pour la première fois. J’avais essayé de me montrer forte, de ne pas trop paraitre déstabilisée. « Je l’ai fait pas amour. Par envie. Je l’ai fait parce que j’avais envie de toi et de personne d’autre. Si je l’aurais su, peut-être que les choses se seraient déroulés différemment. Mais c’est trop tard, c’est fait. Et je t’aime .. je t’aime tellement Austin. Crois-moi et dis-moi que tu ressens la même chose. Dis-moi que tu ne regrettes pas. Que t’as toujours envie de voir ce sourire sur mes lèvres. Celui que tu me procures à tous les jours. Que t’as envie de m’embrasser sur la joue, sur le front et partout. Que malgré tout, tu restes amoureux et que t’as envie de continuer notre histoire. Que je ne suis pas en train de me ridiculiser. Je suis amoureuse Austin. Réellement amoureuse. Et ça, de toi. » À cet instant, je me rappel, j’avais étouffé un petit rire tellement nerveux. Un peu plus, et je tombais dans les pommes. Et là, je l’ai vu se lever, me traiter de petite conasse qui tentait de racheter son image seulement. En outre, c’est ce jour que j’ai versé ma première larme pour une histoire d’amour. Et j’ai le cœur plus dur que jamais. Attends, ça c’est juste une légère histoire du lycée. C’est rien. Je n’en ai plus rien à foutre de ça. C’est du passé. Mais tu dois savoir .. pourquoi je te dis que j’ai changé. Tu dois le savoir. Me connaître entièrement. Je suis devenue quelqu’un que j’admire. Je suis devenue tout.
Le lycée. Ah, quel endroit de merde sérieux. Tous les petits clans, leur table respective. T’es un winner ou un loser quoi. T’as pas d’entre deux. Et pourtant, j’ai fait partie des gagnants. Je comprends toujours pas. Certes, on juge que physiquement à cet endroit. T’es laid ou t’es une bombe. T’es la pute ou t’es la/le geek. C’est ainsi que ça fonctionne. J’ai dû passer par une centaine de relations à cette étape de ma vie. J’ai doublé deux années. Je couchais de tous les côtés. Et pourtant, ma seule excuse était seulement que j’avais d’énormes problèmes familiaux. C’était nul, minable. Et non, of course je ne faisais pas pitié. On voulait mon corps. Hommes se tuaient pour m’avoir. Femmes m’enviaient. Je voyais de nouveau les femmes et les hommes d’un côté, à avoir chacun leur but. J’ai appris à vivre comme cela. Maintenant ça ne me fait pas grand-chose. Je l’accepte. Mais je n’ai guère terminé. À partir de là, tellement de choses ont changé. J’ai changé. Évolué. Muri.
Seize ans tout justes, j’ai fréquenté un mec plus longtemps que les autres. C’était pour dire que peut-être, oui seulement peut-être, j’avais enfin face à moi ce qu’était l’amour. Mais je m’en contre foutais. Ce n’était pas fait pour moi, et ce ne le serait jamais. J’étais attirée. Très. Et pourtant, j’avais déjà couché à 50 000 autres endroits, avec une bonne dizaine de mecs. Et étrangement, cet homme disait avoir envie de moi, mais ne voulait pas le faire. Mais attendez, c’est le lycée. Se faire repousser par un homme avec les hormones en feu, c’est normal? Non. C’est peine pour dire que j’ai tout fait pour coucher avec lui. J’ai réussi. Et le lendemain, il est revenu me voir. M’expliquant que c’était terminé. Je ne comprenais pas. Tout ce que je venais de lui offrir, c’était du plaisir à l’état pure. Et c’est quelques jours plus tard, que j’ai appris par sa sœur qui est venue directement me traiter de pute, que plus jeune, il avait été violé par son oncle. Non, n’essayez même pas d’imaginer la gueule que j’ai faite. Ce n’était pas joli. Je ne me suis pas effondrée. Je n’ai pas pleurée. Je suis allée le voir. Je me suis assise à côté de lui et je me suis mise à faire un de ces dialogues. « Écoute.. je ne savais pas. T’es avec moi.. excuse-moi. T’étais avec moi depuis presque six mois. Je crois que c’est quelque chose que tu ne gardes pas pour toi. J’ai jamais fait face à ça. Mais pourtant, je sais que si je l’aurais vécu, au point où je t’aime.. » Le silence total que j’avais eu. Je venais de lui dire un je t’aime que je pensais et ce pour la première fois. J’avais essayé de me montrer forte, de ne pas trop paraitre déstabilisée. « Je l’ai fait pas amour. Par envie. Je l’ai fait parce que j’avais envie de toi et de personne d’autre. Si je l’aurais su, peut-être que les choses se seraient déroulés différemment. Mais c’est trop tard, c’est fait. Et je t’aime .. je t’aime tellement Austin. Crois-moi et dis-moi que tu ressens la même chose. Dis-moi que tu ne regrettes pas. Que t’as toujours envie de voir ce sourire sur mes lèvres. Celui que tu me procures à tous les jours. Que t’as envie de m’embrasser sur la joue, sur le front et partout. Que malgré tout, tu restes amoureux et que t’as envie de continuer notre histoire. Que je ne suis pas en train de me ridiculiser. Je suis amoureuse Austin. Réellement amoureuse. Et ça, de toi. » À cet instant, je me rappel, j’avais étouffé un petit rire tellement nerveux. Un peu plus, et je tombais dans les pommes. Et là, je l’ai vu se lever, me traiter de petite conasse qui tentait de racheter son image seulement. En outre, c’est ce jour que j’ai versé ma première larme pour une histoire d’amour. Et j’ai le cœur plus dur que jamais. Attends, ça c’est juste une légère histoire du lycée. C’est rien. Je n’en ai plus rien à foutre de ça. C’est du passé. Mais tu dois savoir .. pourquoi je te dis que j’ai changé. Tu dois le savoir. Me connaître entièrement. Je suis devenue quelqu’un que j’admire. Je suis devenue tout.
L’année suivante, à mes dix-neuf ans, je suis retournée à l’école. Je voulais devenir une danseuse professionnelle, comme aujourd’hui d’ailleurs. J’ai donc commencé à étudier, sérieusement. Je dansais toujours dans un bar populaire. L’argent rentrait. Je n’étais pas riche, mais j’avais assez d’argent pour vivre aisément. J’étais jeune et je construisais tellement de plans d’avenir. Et fut le moment où je recommençai à sortir avec une dizaine de garçons, je recommençai à coucher avec eux, à m’envoyer en l’air avec tout ce qui bouge, malgré le boulot que j’exerçais. Tout le monde finit par savoir c’était quoi mon boulot. Danseuse. Cela excitait tous les mecs du bahut, et répugnaient les pauvres tâches de filles qui étaient sous la moyenne de la popularité, celles qui avaient tout l’argent qu’elles désiraient par papa et maman. Moi, je vivais libre, je vivais avec mon argent et j’étais indépendante. L’année passa tellement rapidement. J’oublie tellement de partie, j’étais tout le temps défoncée, j’avais plus le goût de grand-chose. Je vivais aisément oui, mais je me détestais par bout. Et un jour, je me rendis compte qu’après tout, j’avais plusieurs choses à envier. Je vivais en paix. Je n’avais pas de parents à qui je devais obéir pour avoir des fonds. Je vivais par moi-même et seulement avec moi-même. J’étais heureuse. Et puis, je vins même à m’admirer. Et c’est quoi? Danseuse c’est un boulot comme les autres after all. Ce n’est pas mieux les gouverneurs et leurs mensonges de merde, non? Et un soir, alors que j’arrivai au bar où il n’y avait aucune danseuse de présente, sauf moi, aucun homme à s’exciter la libido, je cherchai partout pour comprendre. Cherry. Elle était là. « Je t’ai manquée ? » Je ne comprenais rien de cette femme. Elle m’avait regardé pendant presqu’un an dansé, elle m’avait littéralement embrassée et maintenant, elle était là. Seule dans le bar. « Je suis sûre que oui. Je manque à tout le monde. Et en plus de cela, je suis sûre que tu ne m’as toujours pas replacée. » J’avais une mine tellement what de phoque qu’elle sembla en être surprise. « Je ne te savais pas autant bonne actrice. Sabella, arrête de te foutre de ma gueule. C’est moi.. Cherry. La fille du net. » Tant de charme, pour me dire que cette femme était à la recherche d’une proie par le net? « Alors .. excuse-moi Cherry-truc .. mais je ne suis pas Sabella. Je suis Elektra. Différence, tu ne trouves pas? » Elle semblait surprise. Je ne me rappelle plus le nombre de fois qu’elle s’est excusée. Qu’elle avait cru avoir trouvé la bonne personne. Sabella était l’une de mes collègues certes, mais ce n’était pas moi. Je décidai donc de lui offrir un verre. La soirée passa très rapidement. Et après une bonne dizaine, j’étais complètement saoule. Je me rappelle avoir couchée avec cette femme. Le lendemain matin, je me réveillai, en direct où Cherry partait. « Ça tombe bien. Je ne connais pas de Sabella non plus. » Et elle partit comme une personne que je n’avais jamais rencontré. Elle m’avait tellement bien piégée. Tenter de faire pitié, inventer une histoire de la sorte. C’était démon quoi. Et elle avait réussi à tirer son coup. Je me demande même si au fond, je n’avais pas envie d’y participer.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - bibi. ↬ ÂGE - 17 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - québec. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - top obsession. ↬ TES IMPRESSIONS - forum méga-giga-génial. ♥ ↬ CRÉDIT(S) - ici. ↬ AVATAR - heather morris ↬ SCÉNARIO OU PI? - personnage inventé. ↬ LE MOT DE LA FIN - ici. |
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