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Nom : Kostas ◇ Prénom : Rhéa◇ Âge : 25 ans ◇ Date et lieu de naissance : 1 Janvier 1993 né à Athènes en Grèce. ◇ Nationalité :Grec ◇ Orientation sexuelle : Hétéro◇ Statut amoureux : Mère célibataire ◇ Statut social : Aisé ◇ Métier : Superviseur & conseillère dans une boutique Versace◇ Anciennes études : (2010-2013) économie et gestion.
(2013-2015) Analyse et stratégie internationale (Abandonner.) ◇ Groupe : Boston Citizens
(2013-2015) Analyse et stratégie internationale (Abandonner.) ◇ Groupe : Boston Citizens
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Rhéa Kostas - 25 ans - Superviseur & conseillère dans une boutique Versace
Rhéa Kostas
feat Bella Thorne
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DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VIS TU ICI ?
Nos lèvres sont telles si pècheresse que les mots qui les font vibrer ? Les souvenirs sont-ils aussi précieux qu’un premier baiser échanger pour un jeu ? Les premières caresses lorsque ses mains fermes me parcouraient sont-elles aussi tranchantes que la haine naissant en moi ? Je ne pourrais jamais oublier ma venue dans cette ville lointaine. Je suis venue, j’ai vécu et je suis partie en refermant la dernière page du livre de ma vie derrière moi. Je n’aurais jamais pensé que lorsque mon pied aura touché le sol de ma terre natale, le deuxième ouvrage débutera. Je ne désirais retourner dans ce pays cauchemardeux. Mais, le jeu de la vie se mit à grandir en moi et m’apporta un lancement de dé surprenant. Vivre libre ou vivre pour eux ? Je choisis de vivre pour nous. La page annonçant le premier chapitre apportait avec elle un changement rocambolesque. Je fuis ! Je fuis avec lui ! Quittant ce pays donc je suis née. Pour revenir à celle qui avait été la meurtrière de mon cœur. Je suis revenue pour de bon. Je dois me battre pour vivre humblement afin de pouvoir éviter le pire. Ce mot semble mettre un soupçon de gravité, mais j’exagère un peu. Je suis venue étudier, je suis partie et me revoilà pour une vie meilleure ! Depuis combien de temps suis-je ici ? Il y a moins d'un an ! Peut-être quelques jours ! La vérité je suis ici depuis une semaine ! Mais, Bonston me réservera bien des surprises !
Nos lèvres sont telles si pècheresse que les mots qui les font vibrer ? Les souvenirs sont-ils aussi précieux qu’un premier baiser échanger pour un jeu ? Les premières caresses lorsque ses mains fermes me parcouraient sont-elles aussi tranchantes que la haine naissant en moi ? Je ne pourrais jamais oublier ma venue dans cette ville lointaine. Je suis venue, j’ai vécu et je suis partie en refermant la dernière page du livre de ma vie derrière moi. Je n’aurais jamais pensé que lorsque mon pied aura touché le sol de ma terre natale, le deuxième ouvrage débutera. Je ne désirais retourner dans ce pays cauchemardeux. Mais, le jeu de la vie se mit à grandir en moi et m’apporta un lancement de dé surprenant. Vivre libre ou vivre pour eux ? Je choisis de vivre pour nous. La page annonçant le premier chapitre apportait avec elle un changement rocambolesque. Je fuis ! Je fuis avec lui ! Quittant ce pays donc je suis née. Pour revenir à celle qui avait été la meurtrière de mon cœur. Je suis revenue pour de bon. Je dois me battre pour vivre humblement afin de pouvoir éviter le pire. Ce mot semble mettre un soupçon de gravité, mais j’exagère un peu. Je suis venue étudier, je suis partie et me revoilà pour une vie meilleure ! Depuis combien de temps suis-je ici ? Il y a moins d'un an ! Peut-être quelques jours ! La vérité je suis ici depuis une semaine ! Mais, Bonston me réservera bien des surprises !
QU'EST-CE QUE TU AIMES / N'AIMES PAS DANS CETTE VILLE ?
Ente ses bâtiments historiques et ses attraits touristiques, il y a cette ville la beauté des lieux renfermant milles et une histoire. Malgré son charme qui ne cessera de me faire rêver, il y a ses souvenirs honteux, destructeurs. Je ne peu dire si je suis heureuse de visiter les lieux qui mon fait sourire autre fois. Je ne sais qu'une chose, cette ville renferme en elle des citoyens de multiculturels qui nous permets de connaitre leurs saveurs.
Ente ses bâtiments historiques et ses attraits touristiques, il y a cette ville la beauté des lieux renfermant milles et une histoire. Malgré son charme qui ne cessera de me faire rêver, il y a ses souvenirs honteux, destructeurs. Je ne peu dire si je suis heureuse de visiter les lieux qui mon fait sourire autre fois. Je ne sais qu'une chose, cette ville renferme en elle des citoyens de multiculturels qui nous permets de connaitre leurs saveurs.
COMMENT TE VOIS TU DANS 10 ANS ?
Il est certainement plus compliqué de se percevoir dans les années futures lorsqu’on ne sait pas comment nous allons être au réveil demain ! Je ne parlerais pas énormément. Je me vois vivre dans ma demeure vivant d’amour et de rire. Partageant avec le diamant de ma vie son épanouissement. Le percevoir avancer peu à peu souriant et vivant sa vie de préadolescent comme tous les autres. Mais, je me vois combler par l’amour d’un homme partageant ma vie et la sienne. Le prenant comme son fils et le soutenant dans les moments douloureux comme les moments de bonheur. Nous grandissons dans un avenir certain alors que je serais propriétaire de ma ligne de vêtement. Je vois ms vêtements dans les plus grands magasins de ce monde. Mais, n’exagérons rien ! Avançons un pas à la fois vers cet avenir digne d’un conte de fées.
Il est certainement plus compliqué de se percevoir dans les années futures lorsqu’on ne sait pas comment nous allons être au réveil demain ! Je ne parlerais pas énormément. Je me vois vivre dans ma demeure vivant d’amour et de rire. Partageant avec le diamant de ma vie son épanouissement. Le percevoir avancer peu à peu souriant et vivant sa vie de préadolescent comme tous les autres. Mais, je me vois combler par l’amour d’un homme partageant ma vie et la sienne. Le prenant comme son fils et le soutenant dans les moments douloureux comme les moments de bonheur. Nous grandissons dans un avenir certain alors que je serais propriétaire de ma ligne de vêtement. Je vois ms vêtements dans les plus grands magasins de ce monde. Mais, n’exagérons rien ! Avançons un pas à la fois vers cet avenir digne d’un conte de fées.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle KRWN et j'ai 24-27 ans. Je suis Québecoise ''canadienne', et j'ai connu le forum grâce à Bazzart. Je suis tombée sur forum grâce à une publication sur Bazzart. Je le parcours depuis quelques mois sans savoir si je devrais m'inscrire ou non. Puis hier, j'ai céder à la tentation en voyant ce pv haut en couleur alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Bella Thorne comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par SDHA. Je fais environ 500-3500 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Aaric bushnell.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7997]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t83620-f-la-mere-de-mon-fils]►[/url] <span class="pris"> Bella Thorne</span> ◊ “Rhéa Kostas”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
À mon réveil, l’autre côté du lit est froid. Je tâtonne à la recherche d’une présence inconnue. Cette fâcheuse habitude ne m’a pas quittée depuis près de deux ans. Je recherchais toujours cette source de chaleur et d’amour m’ayant arraché d’une main féroce mon cœur battant. Je serais entre ma main froide le drap refroidi par la fenêtre légèrement ouverte. J’ouvris doucement les yeux en réalisant que mes rêveries étaient purement fantaisie. Un simple rêve qui me hantait lorsque ma solitude se faisait ressentir. Je me redresse sur un coude en regardant au coin de ma chambre. Il y a suffisamment de lumière dans cette chambre royale pour éclairer le petit visage endormi de cet ange. Je l’observais dormir telle une fée marraine. Cette source de bonheur me fit sourire dans la péninsule de la pièce. Je l’observais dormir pelotonné contre son renard en peluche. Collant sa petite joue contre le nez du jouet. Le visage de Eros frais comme le rosé. L’innocence et la paix se dessinaient sur son visage. Il était là dormant comme si rien pouvait le blesser ni le déranger. Cependant, si seulement, s’il savait que ce petit monde au goût de la royauté allait changer, et tout cela, par la cause de son grand-père. Cet homme avare ! Estimant qu’une bonne image valait mieux que les sentiments de ça file. Il n’aurait jamais dû ! Jamais ne durent me menacer en prenant mon enfant, mon diamant comme négociation. Un échange pour échange. Je me laissais retomber contre mon oreiller. Mon regard se posa sur le plafond qui accueillait depuis peu les premières lueurs du soleil. Je soupirais. Allais-je vraiment faire un tel acte ? Je recouvrais mes yeux de mon bras. Cachant ainsi toutes visions. Fermant les paupières, je laissais ma respiration devenir lente presque absente. Puis, les images me reviennent. Ses souvenirs précieux, mais douloureux.
Devrais-je me sentir coupable ? Suis-je une idiote ? Pas réellement. J’avais toujours vécu sous la surveillance offerte à la famille royale, mais à dix-huit ans, mais mon goût de l’aventure me permit de tout quitter pour vivre le rêve américain dû moins. Vivre un rêve comme étudiante. Je me rappelle d’avoir abordé le sujet délicat avec cet homme capricieux. Il avait accepté, mais je devais respecter un contrat invisible émis par lui. Vivre sous la tutelle d’une nourrice. Comment aurais-je pu dire non ? J’allais pouvoir fuir et vivre librement sous quelques conditions minimes. Cependant, moi qui désirais vivre librement et caché de tous, mais le contraire de se fit pas attendre. Entre les paparazzis qui annonçait mon arrivé à l’aéroport et ma courte tentative de fuir ma nourrisse, mon entré à l’université ne passa pas inaperçus. Je pouvais faire autrement et me laissais séduire par la popularité. Adieu espoir d’être invisible et bonjour mean girl !
Puis sans prévenir, il est apparu. Celui aux lèvres délectables. Je n’aurais pu penser une seconde qu’une amitié tel que nous partageons aurait été plus loin. Cependant, lors d’une soirée arrosée tout changea par l’intermédiaire d’un jeu. Comment s’appelait-il ? Ha ! Oui ! Action ou vérité. Un simple gage qui créa en lui tout comme en moi des palpitations. Il avait approché ses lèvres contre les miennes, les laissant se caresser doucement dans une danse sensuelle puis mes lèvres s’entrouvrent le laissant se faufiler. À cet instant, nos langues se mirent à danser. Partageant entre elles une danse sensuelle qui ne passait pas inaperçu. Dire que ce simple baiser avait eu le pouvoir de changer une amitié de longue date en relation. J’ai pu le découvrir et apprendre à le connaitre sous un autre jour. Malgré les désaccords d’une relation si impure aux yeux de mon paternel, je continuais sans relâche. Il apportait en moi cette flemme que toutes femmes désirent ressentir. Je lui offris ce qui était le plus précieux pour moi, ma pureté. Cette petite chose fragile se cachant en nous. Il brisa ce mur protecteur en me faisant connaitre le ciel. Cependant tel un archange, le sol s’écroula sous mes pieds après un an. Je croyais être la seule dont ses mains parcouraient chaque parcelle de peau, ses baisés qui m’avait parcourus. Mais, je me trompais. On avait joué au chat et à la souris en cachant notre relation a plusieurs pendant deux mois, mais le secret aurait dû rester ainsi. Moi qui avait cru à l’amour avec un grand a venais de comprendre que l’amour est le pire des sentiments.
Je me souviens encore de ton visage lorsque tu compris que j’avais découvert l’acte impardonnable que tu avais commis. Je laissais mes prunelles regarder les tiennes en te laissant lire en moi et d’une simple voix vibrante je laissais sortir faiblement « Au revoir et merci. ». Dire-je en me retournant. Je quittais le dortoir dont tu faisais partie. Je ne me retournais aucunement pour ne pas verser la moindre larme. Ma personne avait été détruite et ma fierté aussi. Je descendais la dernière marche de l’escalier et saluais mon chauffeur. Je regardais les drapeaux attacher à la voiture vaguant sous le souffle du vent. Je pris une grande respiration et embarquais dans la voiture de l’ambassade. J’enfilais la ceinture et demandais à ma surveillante d’embarquer avec le chauffeur. Je regardais la vitre noir qui me séparait d’eux et laissait ma première larme descendre contre ma joue, je me serais ma robe blanche en criant et pleurant comme jamais. Je me détestais ! Je détestais ma naïveté, ma stupidité ! Je détestais qui j’étais ! Je m’insultais de tous les noms. Je laissais ma voix remplie de rancœur parcourir la voiture. Je n’étais pas choquée contre cette femme ayant partagé son lit ! Non ! Elle était seulement celle ayant profité d’un bénéfique, mais j’étais furieuse contre lui. Je regrettais d’avoir quitté la Grèce pour vivre ici. Je regrette d’avoir partagé son amitié, son amour, ses baisés et lui avoir tout donné. Je ne lui avais pas donné de chance de s’expliquer ni de me parler. J’étais peut-être égoïste ou lâche ! Mais, je ne pouvais vivre ici et marcher dans les couloirs qui allaient tout me rappeler. Je n’avais pas cette force. Je n’avais pas la force de mes belles-sœurs ni de ma mère. Je détestais mon père et mes frères de commettent se genre de geste, alors lui … Je restais ainsi jusqu’à l’aéroport. Je montais dans notre jet privé et quitta ce pays misérable. Assise confortablement dans le siège de l’avion, je me laissais séduire par Morphée. À bout de souffle, mes larmes décidèrent de ne plus apparaitre. Dans un dernier reniflement, je fermais mes yeux et dormis.
J’enlevais le bras qui recouvrait mes yeux. Notre relation avait été détruire par le pire sort, mais il m’avait offert quelques choses de merveilleuses. Une chose que je n’aurais pus remédier. Ce petit prince au sourire guérisseur. Un enfant surpris ! Je n’aurais pu remédier même-ci on a bien essayé. Je me levais de mon lit et avançais vers lui. Je me laissais tomber sur le sol et le regardait entre les barreaux.
« Nous allons fuir ! Jamais, je vais laisser ton grand-père choisir un replaçant. Je suis celle qui te guidera ! Nous allons retourner vers aux États-Unis, nous allons retrouver ton père. Il doit te connaitre. Mon cœur, mon enfant ! Pardonne-moi de faire des erreurs. Je ne suis pas parfaite et je ne le serais jamais. J’essaie simplement de te donner ce qu’il a de mieux et pour le moment on délaisse cette maison et nous allons vivre chez ma marraine à Boston. Je vais chercher comme jamais ton père. »
Je me relevais et me dirigeais vers la salle de bain. Je pris le temps de me préparer. Mon grand frère m’aida à partir sans que personne ne réalise. Je pris alors Eros et quittais ma maison pour retourner ou là à tout commencer.
Devrais-je me sentir coupable ? Suis-je une idiote ? Pas réellement. J’avais toujours vécu sous la surveillance offerte à la famille royale, mais à dix-huit ans, mais mon goût de l’aventure me permit de tout quitter pour vivre le rêve américain dû moins. Vivre un rêve comme étudiante. Je me rappelle d’avoir abordé le sujet délicat avec cet homme capricieux. Il avait accepté, mais je devais respecter un contrat invisible émis par lui. Vivre sous la tutelle d’une nourrice. Comment aurais-je pu dire non ? J’allais pouvoir fuir et vivre librement sous quelques conditions minimes. Cependant, moi qui désirais vivre librement et caché de tous, mais le contraire de se fit pas attendre. Entre les paparazzis qui annonçait mon arrivé à l’aéroport et ma courte tentative de fuir ma nourrisse, mon entré à l’université ne passa pas inaperçus. Je pouvais faire autrement et me laissais séduire par la popularité. Adieu espoir d’être invisible et bonjour mean girl !
Puis sans prévenir, il est apparu. Celui aux lèvres délectables. Je n’aurais pu penser une seconde qu’une amitié tel que nous partageons aurait été plus loin. Cependant, lors d’une soirée arrosée tout changea par l’intermédiaire d’un jeu. Comment s’appelait-il ? Ha ! Oui ! Action ou vérité. Un simple gage qui créa en lui tout comme en moi des palpitations. Il avait approché ses lèvres contre les miennes, les laissant se caresser doucement dans une danse sensuelle puis mes lèvres s’entrouvrent le laissant se faufiler. À cet instant, nos langues se mirent à danser. Partageant entre elles une danse sensuelle qui ne passait pas inaperçu. Dire que ce simple baiser avait eu le pouvoir de changer une amitié de longue date en relation. J’ai pu le découvrir et apprendre à le connaitre sous un autre jour. Malgré les désaccords d’une relation si impure aux yeux de mon paternel, je continuais sans relâche. Il apportait en moi cette flemme que toutes femmes désirent ressentir. Je lui offris ce qui était le plus précieux pour moi, ma pureté. Cette petite chose fragile se cachant en nous. Il brisa ce mur protecteur en me faisant connaitre le ciel. Cependant tel un archange, le sol s’écroula sous mes pieds après un an. Je croyais être la seule dont ses mains parcouraient chaque parcelle de peau, ses baisés qui m’avait parcourus. Mais, je me trompais. On avait joué au chat et à la souris en cachant notre relation a plusieurs pendant deux mois, mais le secret aurait dû rester ainsi. Moi qui avait cru à l’amour avec un grand a venais de comprendre que l’amour est le pire des sentiments.
Je me souviens encore de ton visage lorsque tu compris que j’avais découvert l’acte impardonnable que tu avais commis. Je laissais mes prunelles regarder les tiennes en te laissant lire en moi et d’une simple voix vibrante je laissais sortir faiblement « Au revoir et merci. ». Dire-je en me retournant. Je quittais le dortoir dont tu faisais partie. Je ne me retournais aucunement pour ne pas verser la moindre larme. Ma personne avait été détruite et ma fierté aussi. Je descendais la dernière marche de l’escalier et saluais mon chauffeur. Je regardais les drapeaux attacher à la voiture vaguant sous le souffle du vent. Je pris une grande respiration et embarquais dans la voiture de l’ambassade. J’enfilais la ceinture et demandais à ma surveillante d’embarquer avec le chauffeur. Je regardais la vitre noir qui me séparait d’eux et laissait ma première larme descendre contre ma joue, je me serais ma robe blanche en criant et pleurant comme jamais. Je me détestais ! Je détestais ma naïveté, ma stupidité ! Je détestais qui j’étais ! Je m’insultais de tous les noms. Je laissais ma voix remplie de rancœur parcourir la voiture. Je n’étais pas choquée contre cette femme ayant partagé son lit ! Non ! Elle était seulement celle ayant profité d’un bénéfique, mais j’étais furieuse contre lui. Je regrettais d’avoir quitté la Grèce pour vivre ici. Je regrette d’avoir partagé son amitié, son amour, ses baisés et lui avoir tout donné. Je ne lui avais pas donné de chance de s’expliquer ni de me parler. J’étais peut-être égoïste ou lâche ! Mais, je ne pouvais vivre ici et marcher dans les couloirs qui allaient tout me rappeler. Je n’avais pas cette force. Je n’avais pas la force de mes belles-sœurs ni de ma mère. Je détestais mon père et mes frères de commettent se genre de geste, alors lui … Je restais ainsi jusqu’à l’aéroport. Je montais dans notre jet privé et quitta ce pays misérable. Assise confortablement dans le siège de l’avion, je me laissais séduire par Morphée. À bout de souffle, mes larmes décidèrent de ne plus apparaitre. Dans un dernier reniflement, je fermais mes yeux et dormis.
J’enlevais le bras qui recouvrait mes yeux. Notre relation avait été détruire par le pire sort, mais il m’avait offert quelques choses de merveilleuses. Une chose que je n’aurais pus remédier. Ce petit prince au sourire guérisseur. Un enfant surpris ! Je n’aurais pu remédier même-ci on a bien essayé. Je me levais de mon lit et avançais vers lui. Je me laissais tomber sur le sol et le regardait entre les barreaux.
« Nous allons fuir ! Jamais, je vais laisser ton grand-père choisir un replaçant. Je suis celle qui te guidera ! Nous allons retourner vers aux États-Unis, nous allons retrouver ton père. Il doit te connaitre. Mon cœur, mon enfant ! Pardonne-moi de faire des erreurs. Je ne suis pas parfaite et je ne le serais jamais. J’essaie simplement de te donner ce qu’il a de mieux et pour le moment on délaisse cette maison et nous allons vivre chez ma marraine à Boston. Je vais chercher comme jamais ton père. »
Je me relevais et me dirigeais vers la salle de bain. Je pris le temps de me préparer. Mon grand frère m’aida à partir sans que personne ne réalise. Je pris alors Eros et quittais ma maison pour retourner ou là à tout commencer.
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