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Le moment était enfin arrivé, je l'avais attendue avec une certaine impatience, faire ta connaissance et découvrir que ça collait aussi bien entre nous deux avait été une vrai surprise pour moi. Il faut dire que j'étais pas forcément le genre de fille qui fait la discussion, je savais ce qu'un homme attendait de moi et je venais rapidement au fait pour ne pas qu'il est à se forcer et à me parler du beau temps. En l’occurrence avec toi, j'avais aimé discuté, ce petit jeu de séduction entre nous n'avait pas été désagréable et je m'étais prise au jeu de l'attente. Une attente qui n'avait fait qu'accentuer le désir que j’éprouvais pour toi, mais il me semble que c'était l'effet recherché. Un jour et demi à simplement discuter par message interposé, tandis que je rêvais de pouvoir enfin poser mes mains sur ton corps et que tu puisses peut-être m'aider à assouvir cette envie irrassasiable de sexe. Comme, je ne voulais pas que tu t'attendes à mon arrivé c'est sur les coups de cinq heure trente du matin en sortant de soirée que je décidais de venir te rejoindre à ton hôtel. Comme convenu, le réceptionniste avait une carte de ta chambre pour moi, il m'indiqua le numéro et l'étage et je filais dans l'ascenseur. Dans celle ci, je retirais ma robe, pour faire mon entrer dans ta suite en sous vêtements. Je m'approchais et une lampe était resté allumé, me permettant de te voir endormie. Un fin sourire sur les lèvres, je m'approchais de toi et me glissais sous la couette, ma main glissant dans ton boxer pour venir te réveiller comme je te l'avais promis. Commençant des vas et vient, je venais coller mon corps contre le tien. « Je suis là, Ezio. » Murmurais-je en glissant mes lèvres contre le lobe de ton oreille et intensifiant les vas et vient avec ma main qui se trouvait dans ton boxer.
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La soirée fut assez rude pour Ezio. Il avait bien bu et bien mangé en compagnie de ses potes d'enfance. Quelques italiens, triés sur le volets dans ses ancienne connaissances, avaient fait le déplacement pour venir le voir. Il dormait à poings fermés, se laissant bercer par la douce mélodie de ses légers ronflements. Il ne rêvait pas non, il était simplement dans les bras de Morphée, inconscient. Voilà plusieurs semaines qu'il ne dormait plus vraiment, sa rupture avec Louison l'empêchait d'être serein et de pouvoir imaginer un avenir sans elle. Son alliance toujours accrochée à une chaîne autour de son cou, il n'arrivait pas à s'en défaire. Pour la première fois depuis des jours et des jours, son sommeil était lourd. Le bel italien était parti loin, son esprit semblait avoir quitté son corps plus un endroit moins obsédant que son quotidien. Après trois heures de néant total, Ezio revient légèrement à lui en sentant une main le caresser. « Enfin tu me pardonnes, il mio amore. » marmonna-t-il d'une voix incompréhensible. Ses yeux s'ouvrirent lentement et un parfum vint chatouiller ses narines. Un parfum de femme. Un parfum qui ne ressemblait en rien à celui de Louison. Et la voix qui suivit ce parfum lui confirma qu'effectivement, ce n'était pas son ex-femme. Il ouvrit les yeux en grand et, grâce à la petite lumière de la lampe de chevet, se replaça dans le contexte de la chambre d'hôtel. Se résignant à passer un bon moment en compagnie de son ex-femme, il afficha néanmoins un fin sourire sur ses lèvres.
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Je n'étais pas venue cette nuit pour me soucier de tes peines de cœur, je supposais que tu avais des amis pour ça, puis j'allais clairement coucher avec toi ce soir alors je ne comptais pas penser une seule seconde à ton ex femme. Bien sûr, j'avais émis l'hypothèse que tu fasses machine arrière, prit de remords ou je ne sais quoi d'autres, après tout j'étais pas la bonne personne pour comprendre le phénomène amoureux. Depuis un jour et demi que j'attendais ce moment, je comptais au contraire te faire oublier celle qui t'avait rendu aussi malheureux en te donnant du plaisir. Je n'avais bien entendue pas l'intention de discuter, alors c'est tout de suite que j'avais laissé ma main se glisser dans ton boxer. Tu mis quelques minutes pour enfin réalisé qu'il ne s'agissait pas de ta chère et tendre épouse, mais de moi. « Bonsoir. » Lâchais-je d'une voie sensuelle alors que j'obtenais enfin un sourire de ta part.
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