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HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk

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Nom : Blackburn. Un nom sans plus, ni moins. T’en a déjà croisé d’autre des Blackburn, rien de particulier. 9 lettres qui te servent d’identité en gros. ◇ Prénom : Blondasse prénommée Holly, ou holy shit, t’as l’habitude. Ce dernier sonne à tes oreilles comme le requiem de ta vie, l’essence de ton ironie. ◇ Âge : 23 ans, voilà voilà. Qu’ajouter de plus ? En mi-chemin entre la vingtaine et le quart de ta vie, on est tous très contents pour toi. ◇ Date et lieu de naissance : Toi, tu viens tout droit d'Angleterre, pointant le bout de ton nez le 4 avril 1994, dans cette même ville où t’as passé un quart de ton enfance, Londres. ◇ Nationalité : 100% britannique, c’est là-bas que tu t’es forgée. Et même quand t’aimerais oublié d’où tu viens, tes racines résonnent comme un lourd écho à tes oreilles. Tu portes pas tes origines dans ton cœur mais non plus comme un boulet au pied. Un entre-deux, subtil mélange, pour pas changer. ◇ Orientation sexuelle : T’en sais rien, tu t’en fous, tu vas où le vent te mène (ou plutôt où Tinder t’emmène). ◇ Statut amoureux : (emoji qui chiale de rire) ◇ Statut social : T’es loin de chier des dollars, n’empêche que t’es sacrément aisée. Tu consommes sans trop t’en soucier, t’as pas le temps de niaiser. ◇ Job étudiant : T’as une tête à avoir un job ? Non merci, tu préfères la position de cliente. Et puis merde, c’est pas comme si t’avais besoin d’en avoir un quoi. ◇ Études majeures : Écrire, ça a toujours été ton échappatoire. Quand t’as su que le journalisme ça s’étudiait, tu pouvais que suivre cette voie. Trouver l’équilibre entre de lourdes études et ce que tu souhaites véritablement faire de ta putain de vie, tu penses avoir au moins accompli ça. ◇ Études mineures : Déjà que t’es pas une passionnée des cours en général et des examens, hors de question que tu te prennes la tête à étudier deux fois plus. Faut pas déconner non plus.


Code:
Holly Blackburn - 23 ans - 2 ème année - journalisme


Holly Blackburn
feat Elsa Hosk


GROUPE 1
La Mather t’es prédestinée. En fait, t’es persuadée qu’elle a été pensée pour un profil comme le tien. Toi, tu comptes rester jeune jusqu’à ta mort. Accoudée à ton bon vieux poto l’alcool, quand tu comptes pour cousin le dancefloor, t’es une fêtarde de première. Forte tête, le sang chaud, t’aimes bien faire parler de toi, savoir ton nom aux bouts des lèvres de tous et même si tu as beau prétendre le contraire, tu kiffes ça. À s’en demander si tu les crains pas, ces mots dits à ton sujet.
GROUPE 2
Le sexe féminin domine, t’es du sexe féminin donc tu domines. T’es pas militante pour les droits de la femme non plus mais tout juste assez féministe pour faire de ta seconde famille des courbes familières. Au début te mêler avec des féministes surdouées ça t’enjaillait pas, aujourd’hui t’as l’esprit plus ouvert et tu te dis pourquoi pas.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Tu t’étais pas encore pointée à Harvard à c’t’époque et tu t’en carrais pas mal de ce qu’il s’y passait. Trop occupée à glander on-ne-sait-où, en pleine recherche du soi-même. À présent, pour sûr que t’en as entendu parler mais faut avouer que ton opinion a pas bougé d’un pouce. Tu t’en fous toujours autant, et puis pourvu que ça se reproduise pas en fait. Oops.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Le Spring Break ? ‘ttendez, faut pas croire que pour le plus gros événement de l’année votre Holly allait une fois de plus se mélanger aux étudiants à la grosse tête d’Harvard. Tu as reçu la notif et t’en est marrée - on te juge pas, t’étais sûrement trop bourrée. Une fois l’esprit clair, un post Instagram pour te civiliser puis le tour était joué.

TON ADMISSION À HARVARD
T’as toujours excellé à l’école, du moins c’est ce que tes résultats indiquait. Tu t’entêtes facilement, et mauvaise perdante comme t’es tu as toujours souhaité te hisser là où les autres n’étaient pas. Tu as bossé dur, sans trop de difficulté puisque t’avais de quoi faire et le meilleur en est sorti. Difficile à croire mais tout s’est produit d’un coup, mois d’janvier où t’en as eu marre de ton mode de vie et que les choses devaient finalement changer. Du genre ambitieuse, à croire que tout t’es accessible, t’as pas eu froid aux yeux en soumettant tes dossiers aux universités prônant les meilleurs classements. Te voilà à Harvard, comme si ta vie n’avait pas changer du tout au tout depuis que t’y a montré ta gueule.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle chemical bliss mais honnêtement appelez-moi Esther HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 1881463262 et j'ai 19 putain d’années. Je suis française dans le saing et j'ai connu le forum grâce à Axelle l’an dernier. ILH c’est là où je me sens le plus à ma place, j’me sentais obligée de revenir dès que possible alors j'ai décidé de m’inscrire de nouveau. J'utilise Elsa gorgeous Hosk comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par cosmic light pour celles d’en haut et kawaiinekoj ce génie pour les icons. Je fais environ 1 mot par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  

Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7994]►[/url] ► <span class="pris">ELSA HOSK</span> ◊ “ Holly Blackburn ”[/size]

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HOW TO DROWN A BLONDE POUR LES NULS

       Londres. Une bien belle ville, n’est-ce pas ? Tu t’y es toujours plu : son style typique, son histoire, sa culture, Londres a tout pour plaire. Tu te demandes encore pourquoi il a fallu que vous la quittiez. Du haut de tes 11 ans, tu te doutes que le changement s’installe. Les cartons s’empilent, les discussions sur votre prochaine destination se multiplient. Bref, t’es destinée à quitter la capitale pour une cité au doux nom de Bath. Doux nom de merde, d’ailleurs. Au début, t’étais plutôt ouverte à cette nouvelle, comme si déménager allait changer du tout au tout mais aujourd’hui t’en veux à tes parents. Comme cette ville t’a forgé, elle t’a détruite. Elle t’a fait comprendre qu’il n’y a qu’un pas entre la force et la faiblesse et t’auras enfoncé plus bas que terre dès que ta confiance en ton toi-même se formait. Quand t’es qu’un enfant et que tu sais causer aux autres, c’est pas dur de se faire des amis, comme on a la sale habitude de les appeler et de te formater une vie cryptée de nouvelles infos par-ci par-là. C’est ce que t’as fais, petite nouvelle de l’école à t’être trouvé une bande de potes assez fidèle. Dedans, il y avait Leo. Il est ressorti du lot direct, lorsqu’il s’agissait de faire des balades main dans la main pour découvrir la ville, c’était toujours lui. Vous aviez votre quartier général où vous vous rendiez pour discuter des heures, que ce soit au plein jour où sous les rayons du clair de lune, vous étiez les deux doigts de la main. Des âmes-soeurs sans qu’il n’y ait une once d’amour. Tout le monde trouvait votre relation ambigüe et vous regardait d’un drôle d’oeil, comme si cette relation était déplacée. Ils pensaient tous que derrière ça se retournait bel et bien une histoire d’amour mais pourtant ta seule réponse à leurs questions était : « c’est un amour fraternel ». T’étais bien naïve, et ouais. Car ce à quoi tu n’avais pas songé c’est qu’il y avait peut-être bel et bien un quelconque truc derrière ces messages par douzaine de milliers, ces 400 pas fois une infinité et toutes ces premières fois accomplis à ces côtés. Premières clopes, premières fêtes, premier baiser, vous combiniez vos forces pour affronter le long et douloureux chemin qu’est l’adolescence. Dans le fond, t’étais persuadée que vous aviez les mêmes pensées à propos de tout ce que ça représentait. Comme deux frères, ni plus ni moins.
       Ce soir-là, Leo a peut-être décidé que les choses seraient différentes. T’en sais rien à vrai dire, juste une soirée où tu l’invitais encore une fois à dormir pour discuter jusqu’à pas d’heure, mêlant vos chants mixtes pour former une véritable symphonie. L’absence de tes parents à la maison était spéciale, mais pas dérangeante. Tes parents le connaissaient bien, t’avais que son nom à la bouche depuis votre emménagement. Eux-mêmes pensaient que vous étiez en couple, à croire que tu devais le dire gay pour qu’ils te croient. Ils ne comprenaient pas, comme tout les autres que tu pensais, c’tout. Assise en tailleur sur ton lit, une chaude soirée d’été - pour changer, ta fenêtre ouverte, Leo s’était incrusté par cette dernière à l’heure prévue. Ponctuel, comme d’hab. Il te rejoint, et là c’est vite devenu bizarre. Tu considérais absolument pas ta tenue aguicheuse, loin de là, puis t’étais pas véritablement pudique avec lui : qu’est-ce qu’il s’en foutait. Encore une fois, tête de linotte a mal pensé. Par bizarre, t’entends vraiment bizarre. Vous discutiez un peu de tout et de rien, assis l’un à côté de l’autre - il ne cessait de se plaindre de la chaleur que tu te souviens - puis soudain il s’est rapproché, un peu trop. Au début, tu riais. Putain, comme si c’était drôle quoi. Tu pensais qu’il te taquinait t’sais, mais il devenait trop proche alors tu l’a gentiment repoussé. Grave erreur, action inutile puisqu’il s’approche de nouveau et s’exécute sans plus attendre. Tu le désirais vraiment vraiment pas. Par frère, t’entendais qu’avoir un quelconque lien avec lui serait quasiment de la consanguinité. Tu lui as demandé de s’arrêter, plusieurs fois, mais tes cordes vocales semblaient se recroqueviller à chaque mouvement de trop. T’en avais plus la force, t’avais plus d’autre choix que de te laisser salement faire, prise au piège. Ces pensées trop accablantes, le reste tu l’a rayé de ta mémoire au fil des années. L’essentiel est là, le jour où t’auras peut-être la force d’hausser la voix. Et croyez-moi, la suite n’en fut pas plus réjouissante. Trop fébrile, par la suite, tu t’étais innocemment endormie, honteuse. De nature grande gueule, qui n’hésite pas à dire ce qu’elle pense, une fois ton innocence ôtée tu te sentais plus vide et faible que jamais. L’humiliation a fait de toi une autre personne, celle que tu te désespères à cacher sous ces amas d’émotions. Forcée à changer de potes, voire à ne pas en avoir pendant un moment, tandis que chaque fois que tu entendais son nom ou que ton regard croisait le sien ces visions d’horreur ne semblait plus te quitter. T’étais tétanisée et tu voulais que ça s’arrête. T’en avais parlé à personne, pourquoi faire ? Expliquer à quel point ta confiance en lui t’avais détruite, t’exposer comme si de rien n’était, décrire chaque mot prouvant Ô combien t’as pu être naïve. T’as terminé ce cauchemar et cette hantise en finissant le lycée livrée à toi-même, des résultats prometteurs mais une fragilité si prononcée que cette honte a fini par recouvrir ce tempérament de feu qui t’étais propre. Tu considères Leo comme la pire erreur de ta vie et ne souhaites plus jamais croiser son regard, ne plus entendre son nom et surtout ne plus entendre le son de sa voix qui résonne à tes oreilles comme la pire des douleurs. Les sens nous font vivre mais n’hésitent pas à nous détruire dès que l’occasion se présente. Comme la vie peut être une pute, c’est fou ça.


GAME OVER, PLEASE PRESS RESTART

« J'ai aimé les gens, les inconnus qui passent, aimé l'amour. J'ai aimé la nature, la nuit, le vent, la neige, et tout ce qui est sensation m'a saisit jusqu'à l'âme. J'ai aimé les choses les plus simples et les plus innocentes, les marches sous la pluie et le froid aigre des petits matins d'hiver ; j'ai aimé aussi les choses les plus étranges, l'ombre des sanctuaires, la magie des clairs de lune et des crépuscules précoces. J'ai aimé Dieu et Diable, et à chaque instant où j'ai aimé j'ai été amour et rien qu'amour. C'est ce qui perd les petits enfants. Un beau jour un mur leur renvoie leur amour disloqué et ils se brisent contre lui. J'ai rencontré le mur. J'ai ramassé mes débris. Et je recommence.

J'étais devenue insensible. Le normal, le bien, le logique, ça ne me suffisait plus. J'allais toujours plus loin mais je n'y trouvais rien, les meilleurs moments c'était toujours avant et je ne mettais jamais de pansement là où ça saignait tout le temps. J'étais lourde de routine, ça m'obsédait, l'ordinaire m'emmerdait alors tout ce que je trouvais à peu près à mon goût je le consommais. Sans réfléchir, sans attendre. Se sentir sans cesse vivante. J'avais la perpétuelle sensation de manquer alors j'étalais ma vacuité. Je m'exposais sur les réseaux en permanence. J'avais mon musée du soi-même, de la suffisance. Je donnais des réponses sans que personne n'ait posé de questions. Les faibles suivaient, c'était déjà ça. Mais dès que je lorgnais sur mes voisins je voyais que beaucoup faisaient mieux que moi. Je me disais qu'il ne fallait jamais prendre les gens pour des moutons mais ne jamais oublier qu'ils le sont. Je ne voulais plus y penser. Fallait toujours chercher à être aimée, portée tel un apôtre. Toujours être plus belle dans le regard de l'autre, tout faire pour se griser de plus en plus souvent. Tu montes, tu montes – et tu descends. Tu cherches à enfouir tes dépressions sous un flot d'actions remarquables. Tu joues au type dont les rires ne sont plus valables, du genre de ceux qui résonnent toujours trop fort et trop souvent. Du genre de ceux qui cachent les pires remords, les pires mal-être inavouables. T'as beau dire t'es pas bête, t'es un gagnant, t'as de l'appétit, mais un jour tu le sens, tu le sais que t'as raté ta vie et là tu fuis. Tu fuis tout en sachant pertinemment qu'en partant tout au bout de toi même tu ne changeras que le décor de tes problèmes, tu retrouveras jamais la pureté du fœtus, la fuite c'est juste de la peine en plus. C'est comme ça que tu te retrouves paralysé, paralysé par la peur de la prochaine erreur. C'est comme ça que dans sa vie on choisit surtout ses problèmes de débauche et l'amour comme si on allait à un entretien d'embauche. La valeur d'un homme se mesure à la quantité de vérité qu'il peut supporter. Je ne voulais plus y penser. »


       Tu fais une remise à zéro. Tu construis une nouvelle Holly, celle que les gens vont redouter, celle qui pensera constamment derrière son insouciance et sa soif d’adrénaline, sa soif de voyager sans cesse, sa soif de vivre tant qu’il est encore temps. Abusant et ré-abusant de son charme, fondant la bâtisse de par les multiples coups d’un soir, manipulation aux quatre coins du globe. L’international aura connu le phénomène Blackburn. Ce retour aux sources, t’en avais besoin. Tu voulais te sentir jeune, femme, forte, puissante & désirée. Et ce que tu désirais, tu l’obtenais. Tu vas pas te refaire avoir. Cette fois-ci, tu décides d’être maître du jeu et de faire comme bon te semble. Qu’importe ce que les gens pensent, qu’importe ce qu’ils disent, qu’ils te craignent. Certes t’es pas parfaite, tu traînes avec toi le lourd fardeau du passé et des craintes mais soit. Tu voles tant que t’as des ailes, puis la suite on verra.

I’LL BRING THE KARMA TO YOUR GAME

       Le rêve américain lui tendant la main, la princesse aux cheveux de soie s'envola vers le Massachusetts, rêvant de décadence américaine et d'intégrer la prestigieuse université de Harvard depuis quelques mois. Tout juste un mètre soixante-dix, bouche en cœur. Battement de cils. Cheveux dans le vent. Elle sait comment faire, Holly. Pour attirer le regard des gens sur elle. Pour les faire ruisseler, ces regards, sur sa somptueuse silhouette. Gestes calculés. Comédie répétée. Ça devient presque naturel. Holly comme un mirage. Ses prunelles qui promettent monts et merveilles. Comme une rare sirène. Claquement de doigt. Ça fait longtemps qu'elle n'est plus là, Holly. Ouais, son langage corporel reflète son caractère. Méfiante, loyale, direct, teigneuse, égocentrique, colérique, vulgaire, passionnée, sensuelle, caractérielle, provocante, joueuse, secrète, rancunière, fêtarde, confiante, manipulatrice, tête brûlée, mystérieuse, maligne, indépendante, bornée, impulsive, superficielle, jalouse, entière, spontanée, putain de fragile dans le fond, tout un tas de mots pour la décrire, que ça plaise ou non elle est comme elle est, Holly. Être étudiante. C’est classe, un peu. Ça fait plaisir à papa et maman, surtout. Grandes études, prestigieuse. Elle bosse à fond. La vérité c'est qu'elle se projette pas Holly. Demain c'est trop loin. Holly c'est maintenant. Tout de suite, là. Alors elle profite. Sale gosse de riche, un peu. Elle adore ça, Holly. Qu'on l'aime ou qu'on l'haïsse. Pourvu qu'on pense à elle. Pourvu qu'elle s'imprime dans votre rétine. En un simple claquement de doigt. Elle réalise pas vraiment. Profite, beaucoup. C'est indécent, cette manie de consommer. Mais elle désire pas Holly. Elle possède.
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Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 3850463188
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PTDR MEUF, j'me disais justement ce soir en plus : dingue mais Asra me manque. HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 1881463262 HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 1881463262

REBIENVENUUUUUE A LA MAISON HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 4205929361

(et pour l'honneur du Asriel, j'veux du lien) :loukas:
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Bienvenue chez toi dans ce cas :D Bonne chance pour ta petite fiche!! HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 1839924927
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@Sofia Weasley merci jolie rousse HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 166564858

@Gabriel Mohn MOGO BORDEL. Asra dans nos cœurs, Gabriel ne pourra jamais l'oublier wesh HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 927261665 Honorons-les comme il se doit écoute, on s'trouve ça vite hein :loukas:

@Andrew T. Spector merci à toi et t'inquiète pas j'crois que j'ai jamais eu un tel élan d'inspiration de ma vie HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 1881463262 Sûrement l'idée de revenir t'sais HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 2157042859
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REEEBIENVENUUUUUUUUUUUE. face
contente de te revoir sur le forum. HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 152426858
installe toi, fais comme chez toi, tu connais la maison. HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 166564858
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@Holly Blackburn : jamais, il en a trop perdu des femmes là face
mdrrr waiting for you HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 152426858
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Rebienvenue :heaart: bon courage pour ta fiche
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@Marin N. Perol sa tête de con m'avait manqué, pour tout te dire face. Mercii Ninon, tkt même pas j'vais me mettre à l'aise HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 152426858

@Gabriel Mohn J'arrive j'arrive attends HOLLY BLACKBURN ► Elsa Hosk 1815259351

@Sloan Bushnell Mercii Louise :heaart:
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