Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNOVA ❀ Bonne année avec un mariage en perspective ? - Page 2
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NOVA ❀ Bonne année avec un mariage en perspective ?

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« Je suis le Prince rebelle de Monaco en effet. C’est ainsi que la Presse me dépeint depuis mon plus jeune âge ! Ils disent aussi que j’ai relativement changé depuis mon service militaire obligatoire avant que je n’intègre Harvard, il y a quatre ans » expliquas-tu avec un sourire posé. Tu te doutais que ta future fiancée devait te voir différemment sur le Campus puisque tu n’affichais que ton visage de sale type là-bas, imbu de sa personne etc… Un vrai prince non ? Fin bref, tu l’écoutais parler attentivement… Vu que tu avais toujours vécu en tant que tête couronnée, tu ne pouvais pas vraiment te projeter afin de comprendre ce qu’elle pouvait ressentir, néanmoins tu ne pouvais nier que ça faisait d’elle une personne bien plus forte que toi. Par contre, lorsqu’elle se mit à parler de son frère jumeau qu’elle avait finalement rencontré, ton ami d’enfance d’ailleurs, tu te mis à répondre d’une voix songeuse : « Ce n’est pas bête, c’est même très compréhensible. Avoir un jumeau ou une jumelle, c’est le lien le plus fort, le plus inexplicable dans une famille… Je ne sais pas comment je réagirais si jamais je venais à perdre ma sœur jumelle Alice. Même si on se chamaille depuis le berceau, il n’empêche que je ne pourrais jamais vivre sans elle ; je sais toujours quand elle ne va pas bien et inversement… ». Votre conversation avait dévié sur l’affaire des enlèvements à Harvard et du coup, tu lui avouais que tu avais également été enlevé tout en te montrant rassurant envers elle. Tu lui expliquais que tu n’avais rien du tout physiquement, sauf que tu ne pouvais pas nier le fait que jamais tu ne pourrais oublier cette affaire… Cela t’avait marqué pour un temps indéfini, comme la prise d’otage de 2015 où tu avais failli y laisser la peau en voulant jouer les héros. « N’y pensons plus… Il faut se dire qu’il ne s’est rien passé, sinon on va se torturer l’esprit à tout jamais malheureusement. Il faut qu’on essaie d’avancer. Je sais que c’est plus facile à dire qu’à réaliser… ». La perte de tes souvenirs, c’était clairement ce qui te faisait le plus chier dans cette histoire d’enlèvement, puis ensuite venait le fait d’être cloîtré dans un lieu sans fenêtre, ni rien du tout… Ta claustrophobie avait failli avoir raison de toi mais heureusement qu’Ezio était là pour t’en empêcher, sinon tu aurais fini tôt ou tard par craquer mentalement. Tu avais repris la parole afin de lui promettre de la protéger quoiqu’il arrive, quand bien même, tu ne la connaissais pas encore. Néanmoins son frère et sa petite sœur te connaissaient et ils savaient que tu tenais toujours tes promesses. Pendant que tu parlais, elle t’interrompit soudainement parce qu’elle venait de comprendre quelque chose. En effet, elle te disait que sa mère l’avait appelée au début de l’année afin de lui poser des tas de questions sur votre confrérie etc, mais surtout sur un garçon qui lui plaisait… Tu ne pus t’empêcher de pouffer légèrement de rire. « En effet, vu comme ça, elle tâtait bien le terrain. Ma mère m’a plusieurs fois demandé si ma vie sentimentale était rangée, comme si ça lui faisait peur que je sois fou amoureux d’une fille… » répondis-tu d’un ton songeur tout en détournant légèrement ton regard de la jeune femme avant de reporter entièrement ton attention vers elle, alors qu’elle t’avait demandé si vous pouviez rencontrer tes parents un peu plus tard. Du coup, tu l’avais aussitôt rassurée sur le fait que ça ne se ferait qu’une fois ses parents à elle, soient arrivés sur le territoire Monégasque. De plus tu lui disais que si tes parents l’avaient choisie elle, plutôt qu’une autre, cela voulait dire qu’elle allait leur plaire. Ce à quoi elle répondait qu’ils auraient pu choisir sa petite sœur à elle… « Je pense qu’ils avaient leur raison. On leur demandera un jour. ». Tu lui adressas un sourire amusé à cette idée incongrue, puisque tu te doutais pertinemment que tes parents ou les siens ne donneraient pas beaucoup de détails sur leur décision de vous marier. Pour l’heure, tu lui proposais de lui faire visiter ton cher Pays, malgré sa petite taille. Et alors que vous parliez de l’annonce de vos fiançailles pendant le réveillon de Noël, elle t’avouait qu’elle n’était pas trop indifférente vis-à-vis de l’alcool, ce qui eut le don de te faire rire. Du coup, tu lui faisais savoir que vous alliez vous éclipser ni vu ni connu dans ta chambre comme ça vous pourriez vous bourrer la gueule sans qu’on ne vous voie. « Ça me donnera une excuse de ne pas assister à cette discussion aussi. D’habitude, je n’ai pas le choix… Mais si on file en douce, ça peut être très drôle ! » souris-tu à cette idée. Ensuite, tu lui fis une sorte de surprise en lui souhaitant son anniversaire. Elle était choquée que tu le saches, du coup elle voulait savoir qui avait vendu la mèche mais tu fis mine de t’éloigner en disant que tu ne dirais rien. Sa réaction offusquée te fit pouffer de rire avant de lui avouer que tu avais checké le registre des Eliots. Un sourire malicieux sur le visage, tu l’écoutas parler alors qu’elle croisait les bras en mode boudeuse que tu aies autant d’avance sur elle. « Je suis un jeune chef militaire à Monaco, ma belle. Je me dois d’être toujours en avance de phase sur les autres » répliquas-tu avec un ton faussement moqueur. Comme elle te demandait si vous pouviez vous arrêter quelque part pour manger un bout, tu lui demandais aussitôt ce qu’elle voulait et elle optait pour un fastfood. Du coup, tu demandas au chauffeur de changer de direction pour vous rendre au centre ville de Monte-Carlo. Tu te mis à rire en entendant Nova dire qu’elle rêvait d’un bon fastfood depuis sa montée dans l’avion. « Moi j’ai envie d’un bon milkshake à la vanille » répondis-tu pour faire légèrement écho à son envie. Vous arriviez finalement et le chauffeur gara la voiture avant d’ouvrir la portière de la princesse. Tu descendis quelques instants plus tard et elle te demanda dès que tu l’aies rejointe, où vous alliez vous rendre. Tu lui donnas le bras naturellement puis tu l’emmenas jusqu’à un fameux petit fastfood. « On va aller chez Carlito, c’est une petite enseigne qui prépare les meilleurs burgers du monde et ils ont tout un assortiment de milkshake… Un vrai délice » dis-tu avec fierté tandis que vous aviez dans la rue, tu saluais de temps à autre les passants qui s’inclinaient à ton passage. « Il faut s’y habituer à ce genre de choses » dis-tu à ta fiancée avant que vous ne vous arrêtiez devant un petit restaurant. « Nous y voilà ». Carlito Muñez, le propriétaire, vint carrément à votre rencontre en disant que c’était toujours un honneur de te recevoir dans son restaurant. « Plutôt à la terrasse ou à l’intérieur ? » demandas-tu à Nova.
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« Tu as de le chance, je ne lis pas la presse à scandale. » t'as pas le temps pour ce genre d'idiotie et pourtant t'as souvent fait la une avec tes maladresses. T'es loin d'être une princesse exemplaire et les journalistes ont vite compris que ça te prendrait un long moment avant de t'adapter. Encore aujourd'hui, tu te sentais épié par des regards sans compter sur cette impression d'être suivi à longueur de temps. Tu te confiais naturellement à lui. Comme un patient à son psychologue. On t'as toujours dit que parler à des inconnus, des personnes qui ne font pas partie de ta vie était plus facile que de t'ouvrir à une personne qui te connais par cœur. C'était étrange, mais avec lui tu ressentais cette envie de lui en dire plus, de te dévoiler alors que tu avais une image de lui en le voyant sur le campus si différente que dans cette voiture. À croire qu'il ne faut jamais juger la couverture, mais voir par-dessus. Ton jumeau, la personne la plus importante au monde. Quand il t'annonce qu'il a une sœur jumelle à son tour, tu restes presque ébahi par ces mots. À vrai dire, tu n'as pas cherché plus loin que le bout de ton nez et tu ignorais qu'il avait une jumelle. Un point en commun et tu te sentais soulagé de voir que ce lien que tu as avec Oscar n'est pas dû à ton imagination, mais que c'est bien un lien réel. « Je suis surprise. Vraiment.. » dis-tu en passant une main dans tes cheveux pour dégager tes yeux « Je ne savais pas que tu avais une jumelle. Faut croire qu'on a plus de points commun que je ne pourrais le penser. » plus la discussion avance et plus tu as cette impression de lui ressembler. Rapidement, la conversation tournait sur les enlèvements en Novembre. Une prise d'otage et une perte de souvenirs pour tout le monde. Tu ne t'es pas retrouvé avec Arthur car tu l'aurais vu dans cette grande pièce. Il te répond avec bienveillance comme depuis que tu es arrivé, mais comment tu pourrais oublier ? « Si tu arrives à passer outre c'est une bonne chose. Je sais que je ne suis pas prête d'y arriver. Pas avec tous les cauchemars que je fais. » Ne jamais dire jamais. C'est ce que tu te dis depuis toute petite et pourtant tu perds confiance en cette phrase. Déjà que depuis des années tu te battais pour reprendre le dessus. L'enlèvement a été comme le coup de trop. Tu faisais des cauchemars presque chaque nuit, tu t'enfermais sur toi-même depuis l'enlèvement en ne voyant presque personne. Ta première sortie ? C'était le réveillon de Noël. Il n'y aurait pas eu ça, tu n'aurais pas pris l'avion pour Olso et tu serais encore dans ton appartement à tourner en rond et broyer du noir. C'est vrai que tu as ce sourire angélique sur tes lèvres, mais ce n'est qu'une façade pour cacher la partie la plus sombre de ton âme. Vous étiez les marionnettes de cette grosse mascarade organisé par vos familles et ceux depuis plusieurs mois. Tu te souvenais d'une chose et lui aussi. Tout s'emboîtait parfaitement ensemble et tu n'as rien vu venir. Tu continuais ta petite vie d'étudiante sans te soucier de toutes ses questions que ta mère t'a posées même si au fond de toi, tu trouvais tout cela très étrange de sa part. « En quoi c'est dérangeant que tu sois fou amoureux ou alors totalement libre ? Ce n'est pas comme si ce mariage était un mariage avec des sentiments. » tu entrais dans le vif du sujet. Un mariage arrangé n'est pas une mince affaire et même si tu aimais bien ce que le jeune homme te montrais, tu n'en oubliais pas moins qu'il s'agissait que d'un simple engagement entre vos deux familles et qu'il n'avait aucune obligation envers ta personne. Tu haussais les épaules quand il te disait vouloir demander des explications. Tu savais qu'aucun de vous n'aurait de réponses. Tes parents sont passés maîtres dans le domaine de ne rien avouer et pourtant tu as essayé tant bien que de mal d'obtenir un simple indice. Sans grand succès. Le repas officiel approchait à grands pas et tu te voyais déjà loin de la table pour éviter la discussion politique entre vos deux pays. Non pas que tout ceci ne t'intéressais pas, mais ça ne te motivais pas plus que ça de passer toute une soirée à parler que de politique et tous les sujets qu'allaient avec. « Que vont penser tes parents s'ils me voient partir en douce avec toi. Il faudra être très subtil, je te fais confiance. » il fallait bien préparer cette mission commando pour la réussir avec succès. Cependant, tu ne te faisais pas de soucis. Après tout, il a fait son service militaire et en l'écoutant, il n'était pas cet homme à abandonner et accepter les échecs. Tu arquais un sourcil en ayant tes bras croisés contre ta poitrine alors qu'il prenait des informations sur toi en douce et prenant une longueur d'avance. Tu ne cautionnais pas son agissement et tu comptais bien rattraper ton gros retard. Il avait pas mal d'informations sur toi alors que t'en avais très peu. Ce n'était qu'une question de temps avant d'être à pied d'égalité. « Si je comprends bien, ça te donne le droit d'espionner ta future fiancé ? » demandais-je avec un petit sourire au coin des lèvres. Une simple question en tout bien, tout honneur. Pour le coup, il ne pouvait pas t'en vouloir d'avoir une petite faim. Certes, tu as décidé de prendre un vol régulier avec d'autres passagers, mais le seul bémol c'était la nourriture. T'as toujours eu beaucoup de mal avec ça. Prévoyante, tu avais sur toi quelque chose à grignoter, mais pour cette fois ; rien du tout. « Alors allons assouvir nos envies. » répondis-tu au jeune prince avant de sortir de la voiture lorsque le chauffeur s'arrêta une fois arrivé pour t'ouvrir la porte. Arthur te rejoignait très rapidement et il t'offrait même son bras pour un peu plus « d'intimité » dans les rues de Monte-Carlo et tu le suivais en écoutant chaque mot qui sortait de sa bouche. Tu lui faisais confiance pour l'endroit. De toute façon, il était le mieux placé pour savoir où aller et surtout il connaissait les meilleurs endroits du coin. « C'est parfait. Je te fais confiance, j'espère ne pas être déçu. » un challenge pour le prince ? C'est possible. Tu pouvais être très exigeante quand tu le décidais. Tu marchais près de lui en regardant autour de toi chaque recoin, chaque parcelle que tu dévorais des yeux comme pour imprimer l'instant. Proche d'Arthur, tu t'accrochais à son bras comme si ta vie en dépendait surtout quand tu voyais un bon nombre de passant qui s'inclinait à votre passage. T'étais surprise et t'avais peur. En Norvège, tu n'avais pas l'occasion de te promener de la sorte dans les ruelles de la ville où alors en étant vraiment bien caché. La ville étant trop vaste, tes parents te surprotégeaient sans cesse. « Je crois que je ne vais pas m'y habituer aussitôt. » avouais-tu en serrant un peu plus son bras contre toi. Non pas que les habitants te faisaient peur, mais chez toi c'était si différent. Par chance, vous arriviez devant le restaurant. Tu aimais le style et le propriétaire qui venait vous saluer en personne. Tu n'attendais pas plus de ce genre d'endroit. Tout pour te sentir bien et passer un bon moment. « J'aime beaucoup. » dis-tu à ton fiancé en entrant à l'intérieur pour regarder de plus près avant de te tourner vers ce dernier pour lui donner ton choix. « La terasse si ça ne t'embête pas. J'ai envie de profiter du soleil. » Tu ne cachais pas ton envie d'en profiter. En Norvège, le temps n'est pas à la fête et il fait beaucoup plus froid qu'ici ça, c'est indéniable. « Cette table m'a l'air bien. » tu montrais le petit coin de la terrasse qui n'attendait que vous pour prendre place et c'est ce que tu fis. Il s'installait en face de toi comme pour capter toute ton attention. Un moment moins intime que dans la voiture avec les passants qui s'aventuraient dans la ruelle et qui te dévisageaient au passage. Une blondinette encore inconnue en présence du prince ? Ça pouvait porter à confusion. Sans perdre de temps, le propriétaire apportait les cartes pour faire votre choix tout en vous disant qu'il ne fallait pas hésiter. Sur l'instant, tu te disais que ce service, cette attention était juste présente parce qu'Arthur était là et que la normalité restait à l'aéroport, là où il t'a récupéré. Tu le remercias avec un sourire en posant ouvrant la carte pour voir les délices avant de poser naturellement et en ayant le nez dans le menu. « Alors dis-moi, est-ce que le prince a succombé au charme d'une femme à Harvard ou alors est-il toujours célibataire ? » Il ne pourra pas te dire que tu n'entrais pas dans le vif du sujet une fois de plus. Tu te retrouvais dans une histoire de mariage arrangé. Qui dit mariage arrangé dit aucun sentiment l'un pour l'autre. T'était la parfaite inconnue jusqu'à il y a quelques heures à ses yeux et se pouvait-il qu'une jolie jeune femme partageait sa vie malgré ses obligations. « J'aime quand les choses sont claires. Au moins, je sais dans quoi je m'embarque. » Tu débarquais dans sa vie d'étudiant paisible sans prévenir. Pauvre de lui.

@Arthur Grimaldi
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Tu arquas un sourcil étonné lorsqu’elle t’avoua qu’elle ne lisait pas la presse à scandale… C’était bien rare de nos jours mais au moins, elle n’était pas aux faits de tes frasques de jeunesse etc… Même si au final, tu te doutais que son frère jumeau Odran allait lui parler de toi maintenant. Fin bref, tu ne puis t’empêcher de lui répondre : « Quand on est une personnalité de notoriété comme un futur Roi ou une future Reine, c’est presque impossible d’éviter la presse à scandale… Qu’on lise ou non ces torchons, on finit par s’y retrouver. ». La dernière phrase, tu l’avais dite d’un ton peiné mais tu te rattrapas bien vite pour que votre conversation prenne un tour que tu ne t’attendais pas… En effet, comme si vous vous connaissiez depuis des années, elle se confiait à toi tout naturellement… Lorsqu’elle s’était mise à parler de son frère jumeau, qui n’était autre que ton ami d’enfance Odran, tu lui apprenais que tu avais toi-même une sœur jumelle et que de ce fait, tu comprenais mieux que personne ce dont elle était en train de te parler. De plus, tu ajoutais que tu ne saurais peut-être pas comment agir si jamais tu venais à perdre ta sœur jumelle. Votre lien était si fort, malgré le fait que vous ressentiez cette rivalité due à l’amour paternel gagné par Alice, et l’amour maternel que tu monopolisais. En voyant son expression ébahie, tu ne t’attendais pas à ce qu’elle l’ignore mais elle était réellement surprise par cette information que tu venais de lui donner. « Je pensais que ton frère aurait parlé d’Alice, ma jumelle. Mais c’est vrai qu’ils ne se connaissent pas vraiment non plus. Il passait plus de temps avec moi. J’ai aussi un grand-frère qui s’appelle Andrea. » ajoutas-tu comme ça elle saurait pour tous les membres de ta famille. Il était presque normal que votre conversation se tourne sur les événements qui allaient chambouler votre vie pendant quelques temps, voire presque à vie… En effet, une histoire d’enlèvement ce n’était jamais très facile à vivre et en plus, ce genre de choses n’arrivait que dans les films normalement. Fin c’était toujours ce que tu croyais mais en fin de compte, depuis que tu étais à Harvard, il ne se passait pas une seule année sans qu’il ne se passe des événements impossibles dans une Université aussi prestigieuse… L’attaque terroriste à la bombe, les agressions et viols qui s’étaient terminés par des prises d’otages dans plusieurs lieux de l’Université… Et maintenant ces enlèvements ! Tu disais à ta future fiancée que tu essayais de passer outre, parce que tu n’arriverais probablement pas à tourner la page sinon mais il semblerait que ça soit trop difficile pour elle. Elle en faisait même des cauchemars… « Je comprends… J’en fais aussi de temps en temps surtout que je me trouvais un espace clos et je souffre d’une légère claustrophobie. Mais je ne veux pas que cette histoire me brise comme ce fut le cas lorsque j’ai été blessé par balle lors des prises d’otages… » avouas-tu tout en la regardant longuement. Vous discutiez maintenant de vos fiançailles, et elle disait que sa mère avait tâté le terrain en lui posant des questions. Du coup, cela t’avait rappelé les questions de ta propre mère… En effet, vos parents semblaient vraiment avoir préparé ce mariage depuis de belles lurettes : les seuls qui n’étaient pas au courant, c’était Nova et toi ! Mais maintenant si, et c’était vraiment trop précipité là ! Fin, c’était en soit totalement logique qu’ils accélèrent les choses vu la peur que vos parents avaient eu en apprenant votre enlèvement. Tu racontais à Nova ce que ta mère t’avait posé comme questions, ce qui semblait la surprendre puisqu’elle demandait clairement ce qui serait dérangeant dans le fait que tu sois amoureux. Comme elle le disait si bien, votre mariage ne serait que de façade, une union politique et amicale entre deux Grandes Nations… « Ils se disent peut-être qu’un jour, nous finirions par tomber amoureux l’un de l’autre » suggéras-tu d’un ton pensif alors que vous continuez à parler de votre futur mariage arrangé. Après que tu aies dit que tu comptais avoir des explications de la part de vos parents, elle te faisait savoir qu’elle voulait attendre avant de rencontrer tes parents. Tu l’avais aussitôt rassurée, que ce n’était pas encore l’heure de cette rencontre officielle… En effet, vu que tout cela exigeait un Protocole bien défini, il fallait attendre le souverain de Norvège, le père de ta fiancée. Par la suite, tu lui suggérais clairement, vu qu’elle t’avait dit qu’elle ne tenait pas vraiment l’alcool, de vous éclipser dans ta chambre pour boire à votre guise sans que vos parents ne trouvent quelque chose à y dire. Surtout que vos Pères allaient probablement parler politique pendant presque toute la soirée de Réveillon… Du coup, une opération Commando s’imposait pour filer en douce. « Je préparerais un plan. Tout se passera bien » souris-tu vu qu’elle t’accordait sa confiance pour le coup. Ensuite elle avait été surprise d’apprendre que tu étais au courant pour son anniversaire, et comme elle voulait savoir d’où tu tenais cette information, tu faisais semblant de refuser mais tu finissais par avouer que tu avais fait des petites recherches sur elle, par le biais du registre des Eliots. « Oui, et ça évite que tu tues ton frère parce qu’il m’aurait tout appris sur toi… » rétorquas-tu avec un sourire malicieux alors que tu voyais clairement dans ses yeux qu’elle était déterminée à avoir un max d’informations sur toi afin que vous soyez sur le même pied d’égalité. « Tout comme toi, mon anniversaire tombe un jour spécial dans l’année… » donnas-tu en guise d’indice pour qu’elle découvre ta date d’anniversaire. Maintenant, elle réclamait à manger alors tu avais ordonné à ton chauffeur de faire un détour pour vous rendre dans le fastfood de Carlito qui faisait les meilleurs burgers du monde à tes yeux, mais aussi et surtout, ton péché mignon : les milkshakes à la vanille. Une fois arrivés sur les lieux et que vous soyez sortis du véhicule, tu l’avais prise par le bras. Sur votre passage, les gens vous saluaient tout en regardant Nova, d’un air étonné. La nouvelle allait très vite se répandre de toute façon, du coup tu n’allais pas l’expliquer maintenant. De plus, il y aurait un communiqué officiel pour annoncer vos fiançailles. Tu disais à ta fiancée qu’il fallait s’y habituer à tant de révérences etc. « Je comprends. Monaco est tellement petit comme pays que passer inaperçu quand tu appartiens à la famille royale, c’est difficile. Du coup, je prends toujours du temps pour saluer toutes les personnes que je croise. Des fois, dans un quartier, je peux même les appeler par leurs noms. » expliquas-tu alors que vous arriviez finalement chez Carlito. Le propriétaire des lieux venait directement à votre rencontre, tandis que tu demandais à ta fiancée où elle voulait manger. Elle disait qu’elle aimait beaucoup l’endroit avant d’opter pour la terrasse. « Je préfère manger à la terrasse quand je viens ici, donc c’est un très bon choix » souris-tu tout en l’emmenant jusqu’à la table qu’elle venait de repérer. Vous preniez immédiatement place tandis que le propriétaire des lieux vous apportait la carte des mets avant de s’éclipser vers ses cuisines, vous laissant ainsi seuls pendant quelques temps pour que vous puissiez discuter en toute intimité, malgré le fait que les passants vous regardaient toujours aussi bizarrement. Toi, tu te contentais juste de leur adresse un salut de la main avec un grand sourire. Pendant qu’elle regardait le menu, ta fiancée te posa soudainement la fameuse question sur ta vie sentimentale. Avant que tu ne répondes, elle expliquait qu’elle aimait quand les choses étaient claires afin de savoir dans quoi elle s’embarquait. « Oui moi aussi j’aime quand tout est clair. Donc pour te répondre, je suis encore célibataire. Je profite juste de la vie, mais toujours dans le plus grand respect des femmes. Je ne promets juste pas des choses que je ne pourrais pas honorer. Je n’aime pas l’idée d’être la cause du malheur d’une femme. » avouas-tu d’un ton posé tout en la regardant, puis en inspirant légèrement, tu lui retournas sa question : « Et toi ? Est-ce que tu as un jeune homme qui a fait vaciller ton cœur au point de t’en amouracher ou alors tu es toute aussi célibataire que moi ? ». A ce moment-là, une des serveuses de Carlito venait prendre votre commande. « Honneur aux dames »[/color] dis-tu en souriant d’un air amusé ; elle passa donc sa commande puis vint ton tour. « Un grand milkshake à la vanille comme d’habitude, avec quelques churros pour moi. ». La serveuse rougissait pendant qu’elle prenait vos commandes, puis une fois que c’est fait, elle s’en alla rapidement. « Suis-je aussi intimidant ou est-ce la faute de mon rang ? » demandas-tu d’un ton pensif avant de reporter ta pleine attention sur la future réponse de ta fiancée.
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Il t'avouait que c'était inévitable. Que tu le voulais ou non ton nom et ton image se retrouvait dans ce genre de torchon que tu ne prenais pas la peine de lire. Acheter ce genre de presse serait trop bon pour eux et surtout ça serait te rabaisser à leur niveau. Tu vaux bien mieux que ça et même avant de savoir que tu avais du sang royal dans tes veines, ce genre de magazine ne t'intéressait pas. Tu hochais la tête négativement pour lui confirmer que tu ignorais qu'il avait une jumelle. Ouais, tu ne faisais pas bien tes devoirs ma petite car il en connaissait des choses à ton sujet alors que toi, rien du tout. « On a pas trop parlé lui et moi… Je crois qu'il ne le prend pas très bien. Il n'est pas venu me dire au revoir ce matin quand je suis monté dans la voiture c'est pour te dire. » Une chose de plus qui te tracassais. Odran, c'était ta vie, ton monde, ton souffle. Déjà que tu avais du mal avec cette idée de mariage arrangé, ne pas avoir ton frère à tes côtés était encore plus dur. « Finalement, on se ressemble bien plus qu'on ne pourrait le penser. Entre tous ces drames. Qui l'aurait cru ? Moi qui pensais que t'étais égoïste et imbu de ta personne. Faut croire que l'image que tu renvois est toute autre. » tu n'hésitais pas à lui dire le fond de ta pensée sans réfléchir aux mots employés. T'étais comme ça : spontanée, franche et parfois impulsive. En parlant d'impulsivité, vos parents n'ont épargné aucun de vous, vous jetant dans la gueule du loup en voulant créer une alliance et qui sait peut-être une histoire d'amour ? Tu trouvais cette situation ridicule. Tu te connaissais et tomber amoureuse était bien trop fort pour que ça t'arrive un jour. Il y avait bien longtemps que tu ne croyais plus en ce genre de choses. Tu y avais cru une fois en pensant aimer un homme jusqu'à ce que ce dernier te brise totalement. Rapidement, Arthur te rassurait sur la soirée à venir. T'avais hâte qu'elle se termine et pourtant t'étais excité de savoir qu'il y aurait une petite mission pour échapper à toute cette torture diplomatique qui n'était pas pour toi. « De toute façon, je compte le tuer quand même. Il m'a donné aucune information et j'ignorais même que tu le connaissais c'est pour te dire. »La relation de ton frère avec Arthur existait depuis bien longtemps et tu n'étais pas encore dans sa vie alors comment pouvais-tu le savoir ? Alors que vous arriviez sur le lieu du fast food pour grignoter un peu, il te confiais un indice sur sa date de naissance. Tu fronçais tes sourcils pour réfléchir tout en remuant ton petit nez. C'était un détail chez toi qui faisait toute la différence. Un peu comme dans « Ma sorcière bien aimée ». Excepté Noël et la Saint-Valentin, tu ne connaissais pas d'autres jours spéciaux. Enfin c'était les seuls qui te venaient en tête. « Ne me dis pas que c'est le 14 février. » ça ne te surprendrais même pas. T'es bien née le 25 décembre. C'est que le Prince de Monaco aurait un grand cœur ? Plus votre discussion avançait et plus tu lui trouvais que des points positifs. Tu ne pouvais comparer la Norvège à Monaco par la grandeur, mais tu trouvais ça généreux de sa part d'aller à la rencontre des habitants. Au moins, il montrait de l'intérêt pour son peuple et ce n'était pas comme ça partout malheureusement. « T'as l'air vraiment proche d'eux. C'est même touchant de voir le temps que tu accordes aux passants alors que tu pourrais juste les ignorer et continuer ton chemin sans te préoccuper d'eux. » Cette facette qu'il te montrait, tu appréciais. Il a de la chance que tu n'es pas ce genre de femme qui s'entiche du premier venu ou tombe sous le charme du premier mec qui montre ce genre de qualité. Rapidement, tu te retrouvais sur cette terrasse en sa compagnie. Un choix qui lui convenait vu qu'il t'avouait préférer l'extérieur et la vue plutôt que l'intérieur du fast food. Attrapant le menu entre tes doigts fin, tu regardais tout ce que cet endroit pouvait t'offrir en attendant une réponse à ta question. Il était temps d'entrer dans le vif du sujet non ? Rapidement, il ne se faisait pas prier pour te répondre et sans le vouloir, tu sentais ce soulagement, ce poids s'enlever de tes épaules. Te retrouver fiancé à cet homme était compliqué pour toi alors si en plus il avait une femme dans sa vie, l'hécatombe. « Tu sais, tu n'as pas besoin de t'expliquer. Ce que tu fais avec les femmes ça ne regarde que toi. » non pas que tu voulais les détails, mais il te donnait des explications alors qu'il était libre malgré cet engagement qu'il avait envers toi. La serveuse arriva intimidé par Arthur et ça te faisais sourire de voir à quel point il pouvait en faire craquer des demoiselles sur son passage. « Une portion de frites pour moi s'il vous plait. » demanda-tu avec ce sourire qui ne te quittais presque plus depuis ton arrivée. Elle prenait la commande d'Arthur et retournait à l'intérieur toujours déboussolé d'avoir parlé avec le prince. « Je suis libre comme l'air. Je profite des avantages d'être célibataire. Aucune obligation envers un homme, aucune prise de tête. Juste le plaisir et rien d'autre… » t'espérais ne pas le choquer avec tes propos. Pour une princesse ce n'était pas très convenable de parler des hommes de la sorte et heureusement que ton paternel n'était pas là, il en perdrait ses cheveux le pauvre. « Aucun des deux, t'es très séduisant alors que je peux comprendre qu'elles te regardent ainsi. » un compliment bien dissimulé ? Possible. Même pas dix minutes entre la commande et l'arrivée de vos denrées. Tu remercias la serveuse qui ne quittait pas Arthur des yeux. Faut croire qu'il a du succès et qu'il pourrait même y trouver la femme de sa vie avec toutes ses femmes qui le dévoraient à chaque passage. « Je vais devenir jalouse si ça continue. » disais-tu en rigolant « Bon appétit. » t'attaquait tes frites avec les doigts. Au diable les convenances. T'étais une jeune femme dans un fast food. « Après ce petit temps passé en ma compagnie, pas trop déçu de devoir t'engager avec moi ? » ta franchise finira par te perdre un jour.


@ARTHUR GRIMALDI-D.M.
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