aides-moi à ne pas sombrer (scorsese)

Démuni, Ezio n'arrivait plus à aligner deux idées dans sa tête. Il ne comprenait plus rien à sa relation avec Louison. Plus le nouvel an approchait et plus l'italien se perdait dans son histoire d'amour. La nuit dernière qu'il avait passé avec Adria, n'arrangeait rien à la situation. Certes, il ne s'était rien passé entre eux mais rien que le fait de se retrouver dans un hôtel avec une autre fille avait réveillé quelques mauvais démons. Il n'avait pas trompé sa femme, il l'aimait trop pour ça mais c'était tendu. Dire qu'il n'avait pas regardé, au moins une fois, Adria serait mentir. Il restait un homme. Un homme désespéramment seul, dans le doute permanent. En voyant que Mila avait répondu à sa photo sur instagram, il en profita pour la contacter, pour lui lancer un ultime appel à l'aide. Ezio avait besoin de parler et d'être éclairé sur les choses. Acceptant de venir d'urgence, sa cousine ne mit pas longtemps avant de le rejoindre dans son appartement. Lorsqu'elle toqua à la porte, il se leva difficilement de son canapé pour venir lui ouvrir. Il rassembla sa salive au fond de sa gorge pour déglutir difficilement. Un noeud s'était formé depuis quelques jours, il n'arrivait pas à s'en dépêtrer. Une fois devant la porte, il l'ouvrit pour y découvrir le visage d'ange de sa petite Mila. « Merci d'être venue chaton. » dit-il de sa langue maternelle. Cela lui faisait un bien fou de pouvoir s'exprimer dans sa langue natale, l'italien. Il la prise dans ses bras pour un petit câlin apaisant. Ezio qui était seul depuis trop de semaine, il avait envie de contact là. Ce tactile en puissante ressentait le besoin de toucher les gens, de se rassurer inconsciemment.

Ton cousin va mal, et tu le ressent dans sa façon de t'envoyer une sorte d'ultime appel à l'aide, tu les connais bien ses appel à l'aide car ils sont très rares. Tu n'as pas le temps soudain, tu enfile ta veste camouflage, tu tes chaussure, et tu fuit ton studio très rapidement, sans prendre la peine de fermer à clé, tu t'en fou tes affaire son dans ta chambre à la Mather, ici dans ce studio ta vie est en suspend, en attente d'une suite, alors tu as pris très peu d'affaire, tu n'as même as décorer l'endroit. Bref. Tu fonce vers chez Ezio, hors de question de perdre trop de temps à flâner dans les rues surtout qu'il y fais froid. Tu te dépêche et tu arrive, enfin devant la porte de l'appartement. Tu toc. Ton cousin t'ouvre et tu le ressent, il te prend dans ses bras, comme si pour lui toucher une personne familière ou non lui semblais vital, tu soupire avant de te serrer dans ses bras. Tu l'aime, et tu ne supporte pas de le voir dans un tel état. Tu referme la porte. « Je ferais toujours tout pour toi bébé. » tu parle dans ta langue natale, entre vous c'est une évidence de parler en Italien. Vous n'êtes que tout les deux, et Trevis ne vous en voudras pas, alors oui tu lui répond dans votre douce langue maternelle qui semble vous rassurer. Vos vis ne sont pas simple en ce moment et tu le sais. Tu lui tiens la main, tu ne la lâche pas car dans le fond de ton cœur tu sais que sa le rassure et tu ne veux plus jamais le lâcher. « Je suis là maintenant, dit moi, tu veux boire un verre ? » Tu lui dépose un bisou sur sa joue, et tu lui fais un clin d'oeil.