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structure ton délire s'il te plait (louan)

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Il y a quelques jours de cela, tu as fêté Noël avec une poignée de personnes dont ton mari, et depuis, tu as bien entendu déballé tes cadeaux. Parmi eux se trouve ce bon pour un cours de peinture tout frais payé. C’est l’occasion ou jamais de tester ton talent d’artiste. Inconsciemment ou non, dès ton plus jeune âge, tu t’es intéressée à des domaines plus ou moins objectifs et concrets. Néanmoins, au fond de toi, il y a toujours eu cet attrait pour le subjectif. Tu ignores cependant si tu es faite pour un tel univers sans grande variable, tu veux juste t’y adonner et voir ce que cela donne. C’est donc dans ta salopette en jean et tes converses rouges que tu t’es rendue au bar où a lieu ce fameux cours. Tu as pris l’initiative d’enrouler tes cheveux roux dans un bandana et te voilà à présent aux portes d’un nouveau monde. La nuit est bien tombée, la circulation se calme enfin. Postée devant l'établissement tu écrases ta cigarette sous ta semelle, puis, tu y entres rapidement pour te réchauffer de la froideur extérieur. En plus du chauffage qui tourne à plein régime, l’ambiance est fortement chaleureuse et t’invite à pénétrer un peu plus à l’intérieur. Cet endroit te rappelle une soirée particulière avec Suzy. En fait, chaque lieu de cette maudite ville te rappelle Suzy. Tu as l’impression de l’avoir fait en long, en large et en travers à ses côtés. Une mélancolie puissante s’installe aussitôt en toi pendant que tu retires ton manteau et tes gants. Très vite, tu t’avances vers la pièce qui a été dégagé. C’est dingue… Pourquoi ? Où sont les chevalets ? Les sièges ? Tu fronces tes sourcils et aperçois probablement le professeur qui installe des bâches sur le sol. Petit à petit, tu prends un peu plus d’assurance et te faufile entre les gens. Tout à coup, tu vois une bouille familière près du bar, Alan ? Alan Landrum ? Il étudie pas la médecine lui ? De toute manière, t’es plus qu’heureuse de le retrouver ici, cela te fera une bonne compagnie si jamais tu te retrouves en galère avec ton pinceau. T’éloignes ta meilleure amie de tes pensées pour cette soirée et fonces en sa direction, un large sourire illuminant ton visage « Alan ! Qu’est-ce que tu fais ici ? J’suis sûre que quelqu’un nous a offert le même cadeau… Je parie sur Arizona !» lui lances-tu en embrassant ses joues tour à tour. Si seulement tu étais un peu plus attentive, t’aurais vu le flyer collé sur la porte d’entrée indiquant que ce soir, c’était « body painting » et non pas « nature morte ».  « Quoi de neuf Alan ? Ça me fait plaisir de te rencontrer en tête à tête ! Enfin, rassure moi, t’es venu seul ici ? Que je foire pas un plan drague ou quoi… » piailles-tu en attrapant le verre du Mather pour sentir ce qu'il était en train de s'enfiler. « Tu sais, j’ai lu un article qui disait que certains chercheurs affirmaient que l’alcool n’avait aucun impact sur la grossesse. Tu crois que c’est vrai ? Je sais pas ce que je donnerais pour boire un peu de champagne, de vin ou même une bière ! » lui déclares-tu avant de regarder les boissons proposées sur une carte plastifiée.


@Alan Landrum t'as deviné, t'es parti pour te mettre en slip et être recouvert de peinture structure ton délire s'il te plait (louan) 1f618structure ton délire s'il te plait (louan) 1f602
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Vous connaissez ce genre de cadeau qu'on reçoit, mais dont on aurait préféré n'avoir jamais déchiré le papier cadeau ? Et bien celui-ci en faisait partie... Les arts et moi, nous ne sommes pas franchement amis, mais pour faire plaisir à Ari', je me suis forcé à venir à ce cours de body painting, non pas sans appréhension. Heureusement, ils ont eu la bonne idée de placer un bar en attendant le début de ce cours. Demandant un verre à la serveuse, plutôt charmante d'ailleurs, je m'enfilais cul-sec ma consommation avant d'en demander un nouveau. J'ai bien décidé de résister à l'appel de l'alcool dernièrement, mais avouons le, j'ai échoué lamentablement et suis retombé dans mes travers. Portant le liquide a mes lèvres et tandis que du personnel s'affairer à placer des bâches, un visage qui ne m'était pas inconnus vint se poser sous mes yeux. Louison, j'ai passé Noël chez elle et j'ai appris à la connaître plus en profondeur, j'ai découvert une personne sympathique qui a accueilli chaleureusement un inconnu chez elle. " Touché ! On dirait qu'Arizona ne s'est pas fait chier pour les cadeaux et a offert la même chose à tout le monde... ", lui dis-je en laissant échapper un rire avant de venir lui faire la bise. Quoi de neuf, très peu de chose en vérité. Je me suis installé dans un quotidien très routinier depuis ma rupture, chez moi puis en cours quand j'ai la motivation puis à nouveau chez moi, une répétition de cette boucle ennuyeuse ponctuée de quelques sorties au bar pour assouvir des pulsions naturelles. " Un plan drague ? Non pas de risque ! Mais ça peut aller merci ! Et toi ? Pas trop cogneur le petit ? ", demandais-je en baissant mon regard pour venir le poser sur son ventre pour l'instant pas encore trop gonflé alors qu'en ce qui la concerne, elle vint sentir ce que je buvais. J'écoutais sa petite anecdote avec intérêt et la mine désolé, je lui glissais ces quelques mots : " Désolé, je ne devrais pas te tenter comme ça ". Je repoussais mon verre un peu plus loin avant de reprendre : " Pas sûr que ce soit bon pour le petit bout... ". Surement une énième étude bidon, je lui conseillerais de ne pas tester ce genre expérience, mais je n'ai pas à lui dire ce qu'elle doit faire ou pas, c'est une grande fille qui n'a pas franchement besoin de mes conseils. " Alors ! Prête à exprimer tes talents d'artiste sur un corps humain ? ", lui demandais-je, pensant qu'elle était au courant de quoi il s'agissait...

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Alan est adorable. Vous savez, il a cette bouille d’innocent, cette bouille attendrissante et mutine qui arrive avec un seul sourire à vous apaiser. Et ce soir, c’est de cela que tu as besoin. Le Mather était sûrement loin de se douter des rebondissements qui avaient secoué ton existence. Après le nouvel an, ta vie s’était effectivement radicalement transformée. Certes, tu étais peut être encore mariée au nom de la loi, cependant, dans ton coeur, tu étais désormais libre. Depuis que tu t’étais séparée de l’ex-Quincy, tu n’avais pas versé une larme. La colère était encore bien trop présente. Ce type t’avait humilié, bafoué, toi et votre propre gosse. Oui, tu portais encore son enfant, mais tu comptais bien t’en débarrasser très prochainement. Tu ne pouvais plus porter le fruit de la trahison bien longtemps encore. C’était la dernière étape avant de tirer un trait sur cet homme qui t’avait probablement bousillé à tout jamais. Si tu étais lui, tu aurais vraiment du mal à te regarder dans un miroir tous les jours. Si tu étais lui... Il t’avait abandonné à ton sort, à ce qu’il avait crée en toi. T’étais seule pendant qu’il copulait sûrement déjà avec d’autres, comme il l’avait déjà fait quand tu te souciais de votre avenir. Bref. Il était temps d’oublier. La vie reprenait son cours, tu étais une battante et tu voulais dorénavant vivre à cent pour cent, sans réfléchir. La première étape, c’était de passer une soirée en toute légereté, avec comme médiateur, la peinture. Seulement, avant de t’imposer auprès d'Alan, tu t’étais avant tout assurée qu’il n’était pas accompagné et fort heureusement, ce n’était pas le cas. Très vite, sans se douter de la douleur que cela produisait d'en parler, l'étudiant avait dérivé sur le sujet de la grossesse. Ton sourire s'était estompé au profit d'une grimace discrète « Pas encore non » avais-tu répondu sèchement avant de t’intéresser au verre que buvait le brun. Tu lui avais alors concédé ton désir de boire, un désir qui n’avait plus été comblé depuis ces deux derniers mois. Sa réaction avait été mignonne et comme tu n’en avais plus rien à foutre, tu avais attrapé son verre pour le terminer d’une traite. « T’en fais pas pour lui, il en a plus pour très longtemps » rétorquas-tu en faisant allusion à l’embryon niché dans ton utérus. T’ignorais si le jeune homme allait saisir le sous-entendu, de toute façon, t’étais prête à en parler s’il voulait plus de détails. Au final, tu n’avais pas à avoir honte de cette situation désastreuse. Quand Alan t’avait ensuite parlé de talents d’artiste sur corps humain, ton sourcil droit s’était arqué, ne sachant pas où il voulait en venir par là. Une blague de médecin encore ? « Qu’est-ce que tu veux dire par là Alan ? » Et puis, soudain, la lumière fut. Tes prunelles s’étaient arrêtées sur un flyer où l'on y voyait une femme nue, recouverte de peinture  « Oh putain de merde… Pardon, excuse moi pour la vulgarité. J’suis choquée là !! On… on va devoir se foutre en sous-vêtements ou à poil complet ? Et euh… s’auto peindre ? Ou… c’est en binôme ? Nooooon… J’y crois pas » déballas-tu à toute vitesse, tout en masquant ton visage de tes deux mains. « Ça te dérange de faire équipe avec moi ? Je préfère que ce soit toi qui me tartine plutôt qu’un vicieux d'inconnu ! » lui déclaras-tu en commandant un autre verre pour te donner du courage. « Mais… T’es venu en sachant ce qu’il t’attendait ? T’es un vrai fou en fait Landrum ! Je t'imaginais pas aussi dingue...  »
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Dans mon esprit, une grossesse, quand elle est désirée et n'est pas le fruit d'un malencontreux accident, est quelque chose de joyeux, un heureux événement qui peut apporter un bonheur sans limite à un couple. Un petit monstre à qui l'on donnera tout son amour.  Et du peu que j'en ai vu, le petit duo qu'elle forme avec son mec me semblait être heureux, c'est pourquoi je ne compris pas vraiment lorsque je vis son sourire s'effacer après ma remarque. Je n'y fis pas plus attention que cela mais force est de reconnaître que ma curiosité fut titillée. J'avais repoussé mon verre pour priver la jeune femme de toute tentation éventuelle mais cette dernière ne se priva pas pour allonger son bras afin d'agripper mon verre et le finir d'une traite, ponctuant le tout d'une remarque glauque à souhait. Cette fois, ma curiosité ne manqua pas de refaire surface en posant la question qui me brûlait les lèvres: " Y'a un problème Louison ? ". Question stupide, évidemment qu'il y avait un problème… La seule inconnue était de savoir si elle souhaiterait m'en parler, un quasi inconnu dont elle n'a fait la connaissance que très récemment. Néanmoins, je la trouve sympathique et son attitude a quelque chose d'intriguant, d'inquiétant même et c'est pourquoi je désirais en savoir plus. Je remplissais le verre que Louison venait de me vider pour le porter une nouvelle fois à mes lèvres et en boire une nouvelle gorgée avant de lui demander si elle était prête pour ce qui nous attendais. Une demande qui la pris par surprise, ne sachant apparemment pas de quoi il s'agissait. L'idée qu'elle ne sache pas dans quoi elle s'embarquait eu le mérite de me faire rire et d'un signe de tête, je lui fis signe de jeter un œil au flyer non loin pour être éclairé sur la question. " Eh je suis venu autant en touriste que toi hein ! Pourquoi tu crois que je bois ? Je parais détendue mais c'est l'alcool ! ", lui lançais-je alors que je ne cessais de me marrer en voyant sa réaction toute paniquée. En vérité, si je bois, c'est pour éviter de ressentir le manque, éviter que ce bras ne se mette à trembler parce que le corps a besoin de ce liquide que j'ai ingurgité à l’excès pendant une sale période. Ne parvenant pas à arrêter complètement, c'est la seule parade que j'ai trouvé, boire un petit peu chaque jour, juste assez pour combler le vide que mon corps ressent quand je n'ai pas d'alcool dans le sang. " J'accepte de former un duo d'artiste avec toi ma chère Louison ! Je serais ton oeuvre d'art et tu seras la mienne !", continuais-je en empruntant un ton très baroque, préférant plutôt rire de cette situation un poil gênante. Un fou ? Peut-être que certains aime à le penser de ma personne mais ce soir je n'ai pas jouer au dingue comme la demoiselle s'amuse à le dire, je l'ai fait pour une amie: " Je viens surtout pour Ari', elle s'est embêter à me faire ce cadeau et je me vois mal ne pas l'honorer en n'y allant pas. Et puis vaut mieux pas la mettre en colère, ça devient une vraie tigresse dans ces moments là ! ". Balayant du regard la salle, je pus apercevoir que les préparatifs fut presque terminé et reposant mes prunelles sur ma camarade de la maison verte, je lui demandais: " Tu as des talents d'artiste toi ? Parce que moi je préfère te prévenir, ça risque d'être de l'art abstrait ! ".

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La jeune femme était en lutte quotidienne ces derniers jours. Elle avait envie d’envoyer tout le monde chier, mais elle se retenait. Si elle commençait à s’exiler, c’était la fin. Elle était déjà passée pas loin du suicide, sauf que là, elle n’était pas seule. Elle était habitée et c’était encore plus tragique. Avec son comportement agressif, la française avant suscité la curiosité de son nouvel ami en devenir, Alan. « Je me suis séparée de mon … mari. Il m’a trompé, parce que j’étais distante, que je l’avais selon lui trompé avec mon ex. Il croyait aussi que ce gamin que je porte n’était pas de lui. Ce qui est totalement faux. Il s’est fié à des inconnus je… bref. Louison Scorsese va redevenir une Chamberlain bientôt … » lui confia-t-elle en soupirant longuement. La froideur qu’elle utilisait ne reflétait aucunement le chaos qu’elle ressentait profondément. Louison était définitivement amoureuse d’Ezio, elle le serait éternellement et c’était ça le pire. Elle n’arriverait jamais à l’enlever de son fichu coeur, quoiqu’il ait pu faire et qu’il fasse à l’heure actuelle. Néanmoins, elle comptait bien parfois l’écarter de sa conscience et profiter doucement de la vie. Quand elle comprit dans quoi elle était tombée ce soir là, ses yeux s’écarquillèrent et du rouge lui monta aux joues. La française avait souri face à la réflexion plutôt logique du Mather. Boire pour se détendre, pas con. Sauf que pour l’instant, même si elle clamait haut et fort son souhait de se séparer du gamin, elle doutait. Elle se priva donc des différents élixirs offerts ce soir et proposa d’être la muse d’Alan pour ce cours particulier. Le jeune homme accepta et une dose de peur s’échappa lentement. Louison pouffa de rire et ne put que remarquer la gentillesse débordante de son acolyte « T’es trop mignon ! Alors qu’Arizona nous a tendu un sale piège… Franchement, tu dois être un ami en or » répondit-elle tout en tapotant l’épaule de l’étudiant. Elle fût de nouveau questionnée et éclata bruyamment de rire. Louison se connaissait, elle n’avait rien d’une artiste, Ezio oui. Il l’avait dessiné de multiples fois et… et bref. « J’suis inscrite en droit Alan, certes, je fais aussi du théâtre, mais ça n’a rien avoir avec un travail manuel. Tu vas ressembler à rien et moi aussi. Après, peut être qu’on se sous-estime. Perso, je me sous-estime souvent, faut que j’apprenne à avoir confiance en moi » lui confia-t-elle quand le professeur prit la parole et demanda aux participants de se rapprocher de lui. La française tendit l’oreille et se déplaça jusqu’à l’immense bâche tirée sur le plancher. Elle envoya un regard terrifié à Alan tandis que le peintre leur expliquait la leçon du jour. « Je vous invite à passer aux vestiaires et à enfiler des sous-vêtements jetables, à moins qu’ils y aient des courageux pour faire sans » leur glissa-t-il avec un ricanement diabolique. Louison chuchota dans sa barbe « Euh bah je crois pas mec » elle suivit ensuite le petit groupe et passa dans les vestiaires à l’arrière, attrapant un soutien gorge et une culotte assez légère « On se retrouve de l’autre côté Lalan ? » lança-t-elle au Mather tout en disparaissant dans sa cabine.

[…]

Louison était revenue dans la pièce principale, en sous-vêtements de papier hyper immonde. Gênée des regards, elle balançait ses mains dans tous les sens et n’arrivait pas à rester en place. Son ventre était légèrement rebondi, mais pas non plus très visible. Elle retrouva très vite Alan et ne pu s’empêcher de partir en fou rire en fixant son slip « Hmm… Ça te va bien » lui avait-elle menti pendant que le type lançait les directives. C’était pas bien compliqué, il demandait aux participants de s’ouvrir et laisser parler leur créativité. L’objectif : sublimer son partenaire. « Tu ou je commence ? Tu as déjà une idée ? » lui demanda-t-elle en regardant les pots de peinture à leurs pieds.  
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La tromperie... Voilà un sujet que je connais un petit peu de par mon expérience malencontreuse avec l'ex pensionnaire de la Dunster House, celle que j'aimais appelé autrefois "mon amoureuse" et que je ne qualifie plus que comme une erreur de jeunesse malheureusement. La vie est vache, elle place nombre d'obstacles sur notre passage mais je pense aussi que l'on apprends de ces difficultés, qu'on s'en relève toujours plus fort. Je l'écoutais, le regard inexpressif, me dire que son mari avait fauté et que l'avenir ne s'annonçait pas rose pour son couple. " Je ne suis pas franchement le meilleur pour consoler avec les mots... ", lui fis-je savoir avec une mine désolé avant de reprendre: " ... En général, je fais ça avec un câlin quand une de mes amies ne va pas bien. Je la ferme et elles pleurent ou déballent leurs sacs, mais on ne se connait que très peu, ce serait surement un peu déplacé. ". Cela peut durer une heure, comme deux, voire même trois. Parfois jusqu'à ce qu'elles s'endorment dans mes bras. Et non, je n'ai pas était un ami en or dernièrement... Je suis resté cloîtré chez moi, énervé pour un rien, envoyant se faire voir ceux qui venaient m'aider. Ce n'est que très récemment que j'ai pris conscience de mon attitude déplorable envers eux. " J'ai tendance à considérer mes amis les plus proches comme une deuxième famille, Ari' fait indéniablement partie de ceux-là ! Mais ouais faudra qu'on se venge de ce coup bas quand même ! ", m'exclamais-je avec humour mais tout en gardant une pointe de sérieux ! Rigoler d'une situation peu accommodante est selon moi une des meilleures solutions pour l’appréhender un peu mieux. Avant que le professeur ne prenne la parole, la Mather me confia que ses talents d'artistes étaient surement aussi bon que les miens, sacré duo de choc qu'on va former là !!! Puis je lui affichais un visage surpris lorsque je l'entendis me dire qu'elle manquait de confiance en soi, j'embrayais très vite sur ses mots: " Eh ! Moi je suis la pour m'amuser ! Je ne t'en voudrais pas si je ressemble à rien à la fin ! ", tandis que je ponctuais cette remarque d'un rire que je voulais rassurant pour la demoiselle. Je disparus ensuite dans une cabine alors qu'essayant le slip immonde que je devais enfiler je pensais intérieurement que je n'allais pas pouvoir sortir comme ça ! Mais il le fallait bien pourtant... Retournant sur les bâches qui avaient était installé il y a quelques minutes, Louison revint et lâcha un fou rire à la vue de mon accoutrement. " Tu rigoles ??? Tu ferais mieux de faire gaffe, on voit tes tétons en transparence ! ", répondais-je du tac au tac à sa moquerie alors que je partais en fou rire à mon tour. " Oh ça va ! Et après vous demandez pourquoi tout le monde dit que l'art est chiant ! ", lançais-je au professeur quand celui-ci était venu dire à notre duo de baisser d'un ton. Ayant une petite idée derrière la tête, je fis signe à ma partenaire du soir que je commençais et me saisissant d'un pinceau, je commençais à le faire glisser sur le petit bidon légèrement arrondis de la jeune femme après l'avoir plongé dans la peinture. Mon idée ? Essayais de dessiner un gamin dans le ventre de sa mère mais pas sûr que le rendu soit aussi réaliste que je le souhaiterais. " Si tu te moque Louison, je te préviens, je te fais un shampoing à la peinture bleue ! ", l'informais-je alors qu'après une bonne trentaine de minute, elle pu apprécier le fruit de mon dur labeur.

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Louison espérait ne pas avoir mis mal à l’aise le blondinet. Ce n’était pas le but, toutefois, plus elle parlerait de cette histoire, plus elle mettrait simplement de la distance avec. Elle avait alors simplement souri à la réponse du Mather qui se montrait très franc avec elle. Alors comme cela, il croulait sous ce type d’expériences avec ses amies ? Louison n’avait pas voulu s’effondrer sur son épaule, ils n’étaient de toute façon pas encore assez proches pour un tel rapprochement. Heureusement, le professeur avait interrompu cet instant confession et en quelques minutes à peine, les deux Mather s’étaient retrouvés dans des sous-vêtements assez fins et ridicules, l’un en face de l’autre, comme deux gros glands perdus en forêt. La française était rapidement partie en fou rire. Alan avait une espèce de couche-culotte de sumo qui ne passait pas inaperçue. Cependant, il ne s’était pas laissé moqué et avait répliqué en visant les gougouttes de la demoiselle. Louison avait automatiquement porté ses mains sur sa poitrine, totalement outrée. « Tu vas bien te rincer l’oeil hein !! » s’exclama-t-elle avant de reprendre son fou rire. Malheureusement, le médiateur du groupe les avait court-circuité, leur demandant de reprendre leur sérieux. Louison avait été surprise de la répartie du Mather, elle ne croyait pas aussi … nerveux que cela. Le regardant de ses gros yeux, elle le laissa ensuite s’exécuter dans la tâche demandée, nerveuse à l’idée d’être approchée de si près. « Je vais me moquer alors ! Je veux rapidement changer ce roux pour retrouver mon blond, il m’a trop porté la poisse... Donc, je prends ce fameux shampooing ! Sauf que bleu + rouge, j’suis pas sûre que ça fasse jaune » répondit-elle en frémissant lorsque les poils du pinceaux avaient effleuré son bidon. « Ça chatouille cette merde ! » cria-t-elle sous le regard menaçant des autres participants. Elle ferma ensuite les yeux pour se concentrer, laissant Alan faire ce qu’il souhaitait. Elle ne regarderait qu’à la fin, histoire de ménager le suspens. Quand le jeune homme tapa des mains pour signaler son travail terminé, la française rouvrit les yeux et pinça ses lèvres « C’est le moment où je prends peur c’est ça ? » lui lança-t-elle en se rapprochant d’un miroir. Elle aperçut alors un espèce de foetus au milieu de son abdomen et son coeur se serra fortement dans sa poitrine. Alan avait sans doute voulu bien faire. « Je euh… » La blonde était sans voix. Maël, comme elle souhaitait l’appeler ne verrait sûrement jamais le jour. Plus maintenant, à cause de toutes ses histoires. Une larme s’échappa du coin de son oeil et furtivement, elle essaya de la rattraper d’un revers de main. Cette douleur au fond de son coeur, elle n’en pouvait déjà plus. Elle se demandait combien de temps encore elle allait la poursuivre. Effondrée, elle vit par la suite le reflet du Mather derrière elle. Elle se retourna toute fébrile et se jeta dans ses bras sans réfléchir. « J’suis pas bien putain, je veux mourir Alan » lui murmura-t-elle à travers quelques sanglots. « J’comprends pas comment on peut ne plus aimer une personne du jour au lendemain, je comprends pas… » continua-t-elle de geindre en trempant le cou du pauvre américain. Elle s’écarta ensuite et sentit la peau de son ventre se décoller doucement de celle d’Alan. La peinture n’étant pas encore sèche, le dessin s’était transféré sur le ventre de son compère. Malgré les larmes qui coulaient toujours, Louison avait souri en apercevant ce qu’elle venait de réaliser « On dirait que tu es aussi enceinte Landrum… »  
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Au prix que doit coûter ce cours, ils pourraient au moins nous fournir des sous-vêtements digne de ce nom ! Tarzan et Jane étaient mieux habillés que nous alors qu'ils vivaient dans la jungle... Ma partenaire du soir avait osée se moquer de mon charmant slip fait dans un tissu dont je ne parvenais même pas à déterminer la provenance et je n'avais pas manqué de lui retourner la politesse. " Oh tu sais, j'en ai vu d'autres ! Et des mieux ! ", lui lançais-je avant de lui tirer la langue alors qu'elle me qualifiait de mateur sans le moindre scrupule. Si je peux parvenir à lui changer les idées ce soir, je veux bien le faire avec plaisir, à commencer par des taquineries sans queues, ni têtes, qui eurent le mérite d'attirer le regard sur notre duo. Je m'étais proposé pour débuter ma fresque sur son corps et me saisissant des pinceaux, je lui avait signaler de ne pas bougé. Oui ça chatouille, mais si tu ne veux pas empirer le résultat qui sera déjà catastrophique, ne bouge pas ! " Ça fait violet si je ne me trompe pas mais je suis d'accord, ce sera toujours mieux que rousse, je n'aime plus cette couleur non plus ! ". Je me demande bien pourquoi... Mais comme je ne sais rien faire sans être maladroit, j'ai évidemment fait une énième connerie ! Montrant mon art de très mauvais goût à la demoiselle enceinte, je compris que j'avais fait une bêtise que lorsque je la vis s'essuyer une larme descendant le long de sa joue. "Pardon...", eus-je simplement le temps de lui confesser, la mine désolé, avant qu'elle ne vienne se blottir dans mes bras. " Mais quel con ! ", pensais-je alors que je l'écoutais souhaiter mourir ainsi que se demander comment un amour peut chavirer totalement si rapidement. " Je me le demande aussi souvent... ", l'informais-je en faisant référence à mon histoire personnelle tout en essayant de la réconforter comme je le pouvais, glissant ma main de haut en bas et demandant aux curieux de se concentrer sur leurs horreurs plutôt que sur nous, avant de reprendre avec ces quelques mots: " Tu peux vider ton sac, crier, même me frapper, il parait que je suis un bon punching-ball, mais jamais tu dis que tu veux mourir ! Moi je ne veux pas entendre ça ! ". Cette dernière affirmation avait été dite le plus sérieusement du monde afin qu'elle comprenne que l'abandon n'était clairement pas une option envisageable. Abaissant son regard sur mon ventre, son sourire refit son apparition lorsqu'elle vit que la peinture avait était transféré sur mon bidon. " Ah ba c'est malin ça ! Allez vient on va t'enlever ça ! ". Je n’allais pas m'emmerder avec le pinceau cette fois-ci, plongeant les mains dans la peinture comme un gamin en bas âge, pour les passer sur le dessin complètement débile que j'avais fait il y a quelque minutes, l'effaçant pour de bon. J'en profitais pour continuer sur les bras, les épaules, le dos, un véritable massage à la peinture pour la demoiselle en évitant de toucher les endroits un peu trop intime bien évidemment. " Madame a demandée un shampoing ? ", m'exclamais-je alors que je saisissais sa crinière rousse dans mes mains pleins de peintures pour les teintés d'un violet où il subsistait encore quelques touches de bleu et de rouge. Je lui demandais pour finir de fermer les yeux pour que je la barbouille de peintures telle une soldat partant en guerre avant de me reculer d'un pas, une fois mon chef-d'oeuvre terminé. " J'ai toujours su que l'art abstrait était beuacoup mieux ! ". Bon ok... Ça ne ressemble à rien...

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