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never let an old flame burn you twice (célypsy)

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« Encoooore un aaaaautre ! » hurlas-tu au barman derrière son comptoir pendant que tu pianotais à toute vitesse sur ton téléphone. Ta meilleure amie était finalement bien trop occupée pour te rejoindre ce soir, résultat des courses, tu te retrouvais seule face à tes pensées angoissantes, au milieu d’une foule en liesse. Ces derniers jours, tu fuyais comme la peste ton appartement, parce que ce n’était pas uniquement « ton appartement » tu le partageais aussi avec Billie, celle à qui tu avais donné l’exclusivité sans lui accorder ton amour pour autant. La situation était absolument déroutante, car tu étais bien au courant que la française avec qui tu partageais ton quotidien n’attendait que cela, que tu lui avoues enfin tes sentiments. Or, pour la fille perturbée que tu incarnais, cela relevait encore de l’impossible. Tu te connaissais parfaitement depuis le temps que tu avais pris conscience de tes troubles de l’attachement. Les histoires d’amour n’étaient pas fabriquées pour toi, tu étais plutôt faite pour butiner. Néanmoins, ce qui était paradoxal, c’était ce besoin constant d’être aimée et entourée, au risque de se sentir par la suite beaucoup trop étouffée et de repousser autrui. Bref, tandis que tu dialoguais encore avec Adria par textos, tu avais décidé de lui envoyer une photo de toi dans cette ambiance pour la faire culpabiliser. Tu avais alors tendu ton téléphone devant toi pour prendre un cliché, une moue de petite garce scotchée sur ton minois. Puis, une fois le flash éblouissant sorti, tu avais rapproché ton mobile pour vérifier que tu étais potable et là, le gros choc. En arrière plan figurait un visage et une silhouette inoubliable. Ton coeur avait fait une embardée, ta respiration s’était même arrêtée net. Soit tu avais bien vu, soit, Célest Lannister avait un sosie qui se baladait juste derrière toi. Prenant ton courage à deux mains, tu t’étais brutalement retournée en serrant ton téléphone contre ta poitrine. C’était elle. Sa longue chevelure rousse ondulée dégringolait le long de son épaule pour s’échouer définitivement à la naissance de sa taille. Qu’est-ce qu’elle foutait ici ? Surtout après ce drame familial qu’elle avait vécu quelques années de cela en arrière. La jeune femme tapait la discute avec un type, battant de ses longs cils pour l’embobiner comme elle l’avait si bien fait ce soir là, ce soir où tout avait basculé entre vous. Le trac t’avait tout à coup envahi, Célest t’avait toujours impressionné même si tu avais lutté pour ne jamais lui montrer. Tout à coup, alors que tu hésitais à aller à sa rencontre, ses prunelles obscures avaient croisé les tiennes, électrisant ton palpitant déjà faible. Machinalement, tu avais souri en lui faisant un petit signe de salutations, puis, tu avais emboité le pas en sa direction « Célest… » prononças-tu en secouant de la tête tout en la contemplant de la tête aux pieds « Quelles étaient les chances pour que l’on se retrouve ici sérieusement ? Qu’est-ce que tu fais aux États-Unis ? Tu me cherchais c’est ça ? » terminas-tu par blaguer avant de l’enlacer sans réfléchir, oubliant votre passé tumultueux pour savourer l’instant présent et cette joie qui t’emplissait soudainement. « Tu peux nous laisser s’il te plais ? Je dois rattraper le temps perdu avec elle » grognas-tu au jeune homme à vos côtés avant de reporter totalement ton attention sur ton ancienne ennemie devenue également amante par la suite. Longue histoire.
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never let an old flame burn you twice
— with @Gypsy Burberry

Décidément j'avais choisis le meilleur endroit au monde pour venir m'installer, plus les jours passaient plus j'avais l'impression de retrouver des vielles connaissances dans cette si jolie ville d'Amérique. M'enfin c'était pas plus mal vu que j'étais venue ici en ne connaissant pas grand monde, mais je retrouvais déjà ma meilleure amie Megara et je pense que je peux en être heureuse. Retrouver ces personnes voulait aussi dire retrouver des mauvais souvenirs du passé. Dire que j'étais venue ici pour me reconstruire une vie. Il y aura toujours quelqu'un ici, qui saura que je viens de la famille la plus exécrable du monde. Mais dans tous les cas je m'en fichais, j'étais bien connue pour être une battante et cette air de liberté me faisais sentir encore plus vivante et prête à tout pour réussir. Et d'ailleurs maintenant que j'étais libre je comptais toujours autant m'amuser qu'avant et disons que j'étais plus vraiment fan des espaces fermés alors évidement que j'étais de sortie ce soir. Depuis mon arrivée j'avais tester plusieurs endroits et ce soir c'était un autre. Il fallait bien que je trouve le meilleur bar de Cambridge non ? J'avais alors commandée un verre et comme d'habitude j'avais mis peu de temps pour me faire de la compagnie, je savais que mon physique passe rarement inaperçu et j'ai toujours eu le malin plaisir d'en profiter. J'étais en face d'un homme assez charmant, peut-être pas très intéressant mais cela pourrait faire l'affaire pour le début de la soirée. Puis un instant mon regard s'égara et j'étais surprise de poser mon regard sur Gypsy, ou mon petit poussin que j'ai réussis à faire s'envoler du nid. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire en coin en voyant à quelle point elle était encore plus magnifique, elle était devenue une vraie femme et j'avais presque oublié à quel point j'avais pu avoir une "copine" aussi mignonne. Comment t'as devinée ? J'ai fais des kilomètres pour toi tu sais, c'était une surprise, je pensais pas que tu t'en doutais.. Dis-je d'une petite moue tristoune pour ensuite afficher un sourire en coin, bien quoi ? Je suivais sa blague. Et puis disons que j'avais toujours la mauvaise habitude d'être piquante avec elle. Non plus sérieusement, j'avais besoin de quitter Londres après tout ce qui c'est passé donc quoi de mieux qu'Harvard ? Dis-je d'un sourire alors qu'elle venait m'enlacer, elle était peut-être encore plus merveilleuse mais elle sentait toujours aussi bon, cela me rappelais l'odeur qui enivrait mes draps pendant plusieurs mois. Et toi ? T'as atterrie ici parce que t'étais beaucoup trop déprimé de mon départ, donc il fallait que tu changes d'air ? Dis-je d'un air amusée alors qu'elle vira l'homme avec qui je faisais la conversation, j'avais presque oubliée qu'il était là. Mais ma soirée était clairement entrain de prendre un tournant intéressant. Viens, j'te paye un verre. Lui dis-je d'un clin d’œil pour la tirer avec moi jusqu'au bar. Je ne vous disais pas au début, que j'avais choisis la bonne ville ?
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Cela ne sentait pas bon du tout. Retrouver celle qui t’avait à tout jamais transformé en bisexuelle ne présageait rien de bon. Célest était encore plus affirmée qu’à l’époque, sa prestance, son charisme était encore plus puissant. Si elle savait que tu étais en proie à de gros doutes, tu étais fichue. Peu de monde avait su s’immiscer et s’infiltrer dans ton coeur, mais cette rousse en faisait partie. Tu pouvais la compter parmi ta liste officielle des ex, elle était d’ailleurs une des seules à y figurer. Si tu te montrais plutôt amicale et drôle avec elle, c’était uniquement pour masquer ce chaos intense qui régnait tout à coup en toi. Tu souriais pendant qu’elle répondait positivement à ta blague sur la raison de sa présence ici. Tu te doutais bien qu’elle était venue ici pour fuir son passé houleux avec la justice londonienne. Rien que de penser à la merde qu’elle avait dû vivre te rendait toute faible. Tu l’enlaças alors pour lui donner un peu de chaleur, celle dont elle avait sûrement eu besoin lorsqu’elle était enfermée là-bas… T’étais lâche, tu l’avais abandonné alors qu’elle t’avait tout de même offert du bonheur pendant quelques temps. « Touché. Coulé. » répondis-tu en français avant d’écarter le jeune homme de trop entre vous. T’étais pas là pour oublier votre histoire, non. Depuis le temps, tu avais réussi à te faire une raison, à faire ton deuil. Enfin, c’était ce que tu croyais. La revoir ici, en chair et en os, plus belle que jamais te foutait les jetons. La bouche entrouverte, encore surprise de ces retrouvailles, tu t’étais laissée traîner jusqu’au bar par la jeune femme « Eum… Tu t’en sors comment niveau finances ? Je peux payer tu sais, la société Burberry se porte toujours aussi bien » rajoutas-tu en déposant tes coudes sur le comptoir, le dos creusé et le popotin bien rebondi en arrière « J’suis ici pour enfin prendre du temps pour moi… Après la mort de mes parents, j’ai géré les intérêts de notre boite, mais j’ai jamais pu suivre de cours ou quoique ce soit… Harvard, c'est le moyen d’être légitime pour reprendre les rennes de la compagnie tu vois » lui confias-tu en attrapant le verre qui venait de t'être servi « Célest… » murmuras-tu en noyant ton regard lagon dans le sien, totalement déboussolée. T’avais tellement de choses à lui demander, à lui dire. Pour calmer tes pensées désordonnées, tu avais avalé cul-sec ton verre avant de récupérer la goutte qui s’était faite la malle à la commissure de tes lèvres « Je suis désolée. » terminas-tu par prononcer en plissant tes yeux « J’suis désolée de t’avoir abandonné à un instant critique de ta vie… Disons qu’on a morflé chacune de notre côté à mon avis… Mais ce n’est pas suffisant, j’aurais dû venir te voir une fois sortie de… » de l’hôpital psychiatrique, mais ça, c’était dur à l’avouer.  
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— with @Gypsy Burberry

J'arrivais pas à croire que j'étais en face de Gypsy, mon ancienne ennemie ou juste mon petit poussin que j'ai réussis à faire s'envoler du nid. J'étais surprise de sentir mon cœur battre aussi fort en l'a sentant se coller contre moi. Parce que oui j'ai eu des sentiments pour elle mais à l'époque l'entreprise de mes parents était ma priorité et quand je l'a vois maintenant, je me disais juste que j'avais perdu beaucoup trop de temps à m'occuper de choses qui ont finis par m'envoyer en prison alors que j'aurai pu être près d'elle à lui donner l'amour qu'elle méritait vraiment. Mais bon, maintenant nous étions toute les deux des vrais femmes et cette idée me donnais presque envie de changer les choses. Je l’emmenais alors avec moi près du bar pensant qu'un verre ou deux serait le bienvenue pour nos retrouvailles. J'arquais alors un sourcil quand elle me proposa de payer, oui j'avais perdu tout mon argent et ça m'avais rendu dingue, mais j'aimais beaucoup trop l'argent pour rester sans alors évidemment que j'avais trouvée une solution. Mais en parler à Gypsy ? Beaucoup trop compliqué. Je vais très bien, t'en fais pas. Tu crois vraiment que je suis pas sortie de cette galère et que je suis restée pauvre ? Dis-je en levant mes yeux au ciel, oui un jour je serai peut-être un peu moins matérialiste. Désolée Gypsy. Je posais alors mon regard bleu dans le siens pour écouter son histoire, j'avais vécu des trucs pas cool et j'avais vraiment l'impression que c'était aussi le cas de blondie. Et bien je lève mon verre à Gypsy, future patronne d'une grande entreprise. Dis-je d'un large sourire en levant le verre que le barman venait de nous servir. Avant j'aurai pu jalouser sa situation vu que oui, elle, elle avait encore une entreprise à récupérer mais au final j'étais juste contente qu'elle puisse un jour ou un autre s'enrichir et être heureuse. Je fronçais alors mes sourcils quand elle venait me faire des excuses pour son absence. Ça, je m'y attendais pas. Certes je suis partie en prison sans jamais pu lui dire au revoir ni l'a revoir jusqu'à maintenant, mais bon j'avais jamais présumer être assez importante pour qu'elle vienne me voir, la prison est un endroit horrible qu'il ne vaut mieux pas voir. Arrêtes toi tout de suite, t'as pas à t'excuser. Je méritais pas que tu viennes me voir ou que tu t'occupes de moi. Je sais qu'on est sortie ensemble mais j'ai jamais été une bonne copine avec toi alors que toi tu m'as offert tout ton amour. Dis-je d'une légère moue triste en venant doucement poser ma main contre la sienne pour ensuite froncer les sourcils, oui j'avais l'impression de ne pas tout savoir et que le problème de reprendre l’entreprise de ses parents n'avait pas été son seul problème. Y'a quelque chose que tu me dis pas Gyps ? Dis-je en ne quittant pas mon regard du siens, certes j'étais revenue de la prison avec plus de force et de caractère, mais me retrouver face à elle me donne un cœur d’artichaut remplie de remords.
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