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ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande

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Nom : Carstairs ◇ Prénom : Elizabeth Hanna ◇ Âge : 24 ans ◇ Date et lieu de naissance : Philadelphie, un 3 mars ◇ Nationalité : Américaine ◇ Orientation sexuelle : Les abdos masculins et autres joyeusetés ◇ Statut amoureux : Le coeur comme l'Everest, imprenable ◇ Statut social : Modeste, issue d'un milieu ouvrier ◇ Job étudiant : Travaille dans une boutique de locations de films ◇ Études majeures : Danse ◇ Études mineures : Histoire de l'art

   
Code:
Elizabeth H. Carstairs - 24 ans - année d'étude - domaine d'étude - vendeuse dans une vidéothèque
   

   
Elizabeth H. Carstairs
   feat Ariana Grande

   
   
QUINCY HOUSE
Quelle piètre image pourrais-je renvoyer au travers de cette maison ? Pourtant, j’ai changé, en bien, du moins j’essaye de le prouver et je souhaite que mon expérience puisse être le témoin de ma rédemption. Je pense que mon image correspondrait aux ambitions des Quincy même si mon parcours est réellement atypique. J’ai à cœur de réussir et de me démarquer, en bien, afin de prouver que malgré les galères, il y a une grande probabilité de s’en sortir et de devenir quelqu’un d’un minimum respectable.
LOWELL HOUSE
La danse est la seule constante dans ma vie qui m’a permis de tenir et elle est encore la seule chose qui soit stable. Jamais elle ne trahit, jamais elle ne ment, elle n’est que passion. J’imagine que les Lowell seraient capables de comprendre cette passion qui parfois envahit trop ma vie et qu’ils pourraient même partager ce sentiment d’évasion qui me caractérise lorsque je m’évade au rythme de la musique, sans prétention, simple vérité qui se dessine au son de mes pas.

   
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
   Je n’ai pas assisté aux faits car j’étais encore à Philadelphie. Néanmoins, les informations ont circulé dans toute l’Amérique et je me suis surprise à m’imaginer à la place de ces pauvres étudiants agressés et pris en otage. J’ai retenu mon souffle jusqu’au dénouement de l’affaire. J’imaginais ma fratrie à la merci de ces psychopathes et j’ai poussé un soupir de soulagement lorsque les choses sont rentrées dans l’ordre. Pourtant, je n’aurais jamais imaginé que de tels évènements puissent entacher la réputation d’une telle université.

   
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
   Il faisait très chaud cet été là et je travaillais d'arrache pied écoutant les lamentations des clients lorsque certains touristes parlèrent de ce terrible coup du destin, ce tremblement de terre qui ravagea une partie de leur pays. J'avais assez à faire pour m'occuper des affaires des autres sachant que les miennes me semblaient insurmontables après mon overdose. Pourtant, j'ai guetté du coin de l'oeil la tournure qu'ont pris les choses, on dit que la culture peut aider mais je me suis sentie en sécurité pour une fois, pensant inimaginable qu'une telle chose puisse arriver dans ma petite ville native.

   
TON ADMISSION À HARVARD
   Les raisons de mon inscription à Harvard ne sont pas forcément les mêmes qui motivent les autres étudiants. Je ne cherche pas le prestige dont l’université jouit mais j’ai décidé d’y retrouver quelqu’un, perdu de vue depuis quelques temps et que je n’arrive point à me sortir de l’esprit. Apprenant sa récente venue, je n’ai pas cherché bien loin et ai rempli le dossier d’admission en croisant les doigts que mes notes en théorie, ne reflétant pas mon niveau en danse, ne m’envoient pas vers un refus pur et simple. J’ai également joint quelques lettres de recommandation, ce qui a dû faire pencher la balance en ma faveur car mes résultats aux SATs furent plus que moyens. J’ai fait mon essai sur ce que la danse m’a apporté, le meilleur qu’elle a fait ressortir après ma descente aux enfers et le but qu’elle forme pour m’éloigner de toutes les tentations faciles du quartier dont je suis issue. Finalement, c’est lors de l’entretien que j’ai pu énumérer mes motivations, cachées ou non. J’ai toujours été entière et j’ai parlé sans prétention, avec mon cœur et ma vision de l’avenir que pourrait peut-être m’offrir Harvard.

   

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas ahaha  :rvmp: et j'ai 26 ans  ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 2442039969 . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Design qui claque, contexte intéressant et évolutif, et l'activité m'ont séduite alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Ariana Grande comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par jacy, eledhwen. Je fais environ 500 à plus, beaucoup plus mots par RP et mon personnage est un scénario crée par James Thompston.

   Je souhaite
    adhérer un flood d'intégration (?)
 

   Je recense mon avatar
 
   si scénario:
   
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7963]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t74306-f-ex-petite-amie-petite-amie-on-ne-sait-plus-trop#3006338]►[/url] <span class="pris">ARIANA GRANDE</span> ◊ “ Elizabeth H. Carstairs ”[/size]
   
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L’air tendre soufflait sur les bâtiments s’étirant à perte de vue, océan d’immeubles à l’aspect fébrile d’où des cris d’origines diverses s’élevaient. Les marches serties de diamants et les sorties au parc en compagnie de dames vêtues élégamment n’avaient jamais été monnaie courante au sein de notre foyer mais l’amour y était, lui, très présent. J’étais petite et je ne pouvais envier ce que je ne voyais pas car nous ne sortions que très rarement des rues aux airs de labyrinthes dont je sais pourtant le plan sur le bout des doigts, de South Philly. Le sud, ce lieu condamné par les ambitieux commerciaux, les frileux investisseurs et les sceptiques au portefeuille inconvenant en cet endroit où il est plus aisé d’en voler un que de le sortir et payer. Mon père et ma mère s’aimaient, enfin était-ce ce que je croyais du haut de mes quatre ans lorsqu’elle prit la porte, laissant notre fratrie de quatre enfants à la charge de notre père. La beauté latine qu’elle était avait trouvé plus généreux à appâter et abandonnait le navire, guère native pour être mère, avait-elle souligné avec des mots plus crus. « Tu gardes ta marmaille, ils me cassent les pieds à longueur de journée ! » De jolies palabres alors qu’à peine timide petite fille, je ne comprenais que la moitié des choses qui se passaient. Je l’ai pleurée, je ne la pleure plus désormais, elle n’est qu’un courant d’air, ce fantôme qui a bercé mon enfance de son absence, un poison qui coule dans mes veines et qui ne ressortira jamais mais peut s’effriter et finir par disparaître grâce à mes efforts constants.

Mon père, homme investi plus qu’il ne faut pour sa famille n’a jamais voulu refaire sa vie. Je l’entendais parfois pleurer silencieusement, non pas cette perte, mais la vie qu’il ne pourrait guère nous offrir. Je n’étais pas la plus âgée de la famille mais j’ai rapidement aidé, prenant en charge mes frères et sœurs dès l’adolescence : les repas, les lessives et même les devoirs, délaissant mes propres études pour les leurs. Mon seul hobby, un qu’on ne pouvait m’enlever était cette petite association de quartier où je dansais depuis mon plus jeune âge. J’oublie lorsque mes pas foulent le sol, bercée par le son enivrant de la musique, je suis autre qu’Elizabeth fille d’une latine indigne et d’un américain trop bien pour porter des charges jour après jour. Mes fréquentations n’ont jamais été très recommandables mais mes actions toujours en marge avec la légalité, souhait irrévocable de mon père. J’étais la parleuse qui ne fait rien, celle qui sermonne et déçoit parfois, aide souvent mais jamais celle qui trompe. Je me voyais accumuler des ménages ou entrer dans un magasin afin d’aider mon père mais il m’inscrit en cachette à une audition pour cette école d’art dont je feuilletais certains magazines depuis un moment. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je reçus la convocation. J’hésitais mais il ne me laissa pas le choix, m’offrant pour cette occasion une tenue que je garde encore précieusement dans ma garde-robe. Il s’était mis sur son 31, avait attaché ses cheveux souvent en bataille le long de ses épaules et avait rasé sa barbe de près. Je me souviens encore les hésitations dans ma voix lors de l’audition. Le stress s’était emparé de moi et j’avais raté une partie de ma présentation puis j’avais fermé les yeux et fredonné un air imaginaire dans ma tête, marquant le tempo de mon pied et la musique de ma chorégraphie s’était lancée. Je n’ai jamais pensé être retenue mais une bourse m’a été attribuée et j’ai pu circuler chaque jour, d’un bout à l’autre de la ville, pour étudier la danse. J’étais un peu en retrait face à ce monde qui m’était inconnu, enfant des quartiers et passais parfois pour la fille sauvage qui ne dit mot et fuit face au contact. J’avais des relations en dehors et ceux qui touchaient ma peau et me susurraient des mots peu enviables mais jamais je n’avais fait cas de celui que je frôlais un jour, un dénommé Sullyvan.

Il dégageait quelque chose qui m’était inconnu, un je ne sais pas quoi qui m’attirait dangereusement. Il était la convoitise de nombreuses demoiselles mais brillait aussi par son infidélité. Ils n’étaient pas très fidèles au South et elle ne s’imaginait pas une seconde que ce bellâtre s’intéresserait à son matricule même si elle ne pouvait s’empêcher de lorgner dans sa direction, totalement différents des hispaniques et autres communautés restreintes de son petit quartier. Il m’aborda un jour, à l’aube de mes vingt ans, pour se présenter et parler de son groupe monté récemment avec deux de ses amis. Le cœur déjà meurtri de blessures passées, je ne me souciai pas de sa réputation et le pensais différent. Alors, simplement, j’envisageai qu’il puisse donner à mon monde un peu plus de couleur, un peu plus de saveur et je m’épris de lui. Quelques semaines plus tard, il me présenta ses compères de musique, Tony et James. Tony semblait tempérer le groupe par son attitude calme et discrète tandis que James était plus distant, autant avec son ami Sullyvan qu’avec moi. Un mystère tout entier, autant par sa prestance sur laquelle parfois je m’attardais que par sa nature fuyante. Je m’entendais à merveille avec ce nouveau cercle d’amis et participais même à l’élaboration de leurs clips, mettant mes talents de danseuse au profit de leur travail. Naïvement, je le pensais sincère et filais le parfait amour en sa compagnie.

• Les semaines se transformèrent bientôt en plusieurs mois et notre relation s’effritait, ayant perdu de sa saveur d’antan. Les disputes s’enchainaient et un élément vint finir de briser l’amour que je lui portais. Je n’étais pas cette fille différente qui avait réussi à le mettre dans le droit chemin puisqu’il m’avait trompé, et pas qu’une fois, avec plusieurs autres filles, confirmant sa réputation. Je n’eus même pas la force de lui clouer le bec et je préférais fuir, loin de cette ordure qui pouvait bien rôtir en enfer. Je pris la direction, dévastée par la nouvelle, du studio du groupe, seul havre de paix qui me procurait un bien être sous la forme d’un petit appartement prêté par les aimables parents de Tony pour le groupe. Je me tenais sur le palier et avait l’impression que mes coups de poings sur la porte pour qu’on m’ouvre ne réussiraient jamais à calmer le son de mes battements de cœur me martelant la tête. Je pensais trouver Tony mais ce fut James qui me fit face, stoïque. J’étais déchue, les cheveux en bataille, les yeux rougis par les sanglots trop nombreux que j’avais lâchés et les joues rosies par la situation. Je me tins immobile, les pupilles braquées dans celle de James et me dis à cet instant qu’il me comprenait, que je le voyais toujours sans le voir réellement. L’énigme s’ouvrait face à moi et sans prononcer un mot, il m’encercla de ses bras qui devinrent le refuge le plus sûr que je connaisse, après ceux de mon père. Nous restâmes un moment dans cette position, sans souffler mot jusqu’à ce que j’arrête de m’agiter, que mes larmes cessent et que ma respiration retrouve un rythme régulier.

Les mots glissèrent facilement sur ma langue, je lui confiais mes souffrances, mes peines, ce que je n’osais dire à mon père afin de ne guère raviver son chagrin. Il m’apprit des points importants de sa vie, nous confiant mutuellement l’un à l’autre le plus naturellement du monde. Une grande partie de la nuit passa que je ne vis pas l’heure défiler sur le cadran. Face à face, son regard m’envoûtait, appelant au soulagement et à bien d’autres sentiments que je ne comprenais pas pouvoir être si soudains. Je n’avais jamais parlé de choses aussi intimes qu’avec lui. Je le fixai, d’un air perdu entre l’hébétement et l’interrogation tandis qu’il me frôla de ses lèvres, invitation à demi mesure que je ne réussis à stopper. Ainsi lové au dessus de mon corps, des papillons apparurent dans mon ventre et eurent raison de mes bonnes résolutions. Je glissai déjà mes mains sous ses vêtements afin d’ôter ces derniers. S’ensuivit l’ordre logique des choses et nous passâmes la nuit ensemble, ce qui marqua le début de notre relation.

Ce rapprochement ne fut point au goût de Sullyvan qui tenta par tous les moyens de nous séparer. J’étais tombée amoureuse de James et je n’avais nullement l’intention de retourner auprès de ce fourbe qui avait bafoué mon honneur plus d’une fois. Néanmoins, il en vint à jouer avec l’amitié de longue date qu’il entretenait avec James en le faisant chanter : soit il payait une grosse somme d’argent, soit Sullyvan utilisait les textes de James écrits pour le groupe. Le brun ne céda pas et ils en vinrent aux mains, conduisant les deux hommes à l’hôpital sous le coup de multiples fractures. Tony mit fin à cette querelle en rendant ses textes à James mais cela marqua la fin de l’amitié entre les trois.

Nous étions deux, sans l’ombre de Sullyvan me tenant sous sa coupe et d’un James meurtri par ses sentiments envers moi. Les évènements récents rendirent James austère, il se terra dans l’écriture de textes dépressifs et foncièrement obscurs. Peu à peu, c’est la drogue qui devint son allié dans la tourmente et James prit un peu des déboires de Sullyvan qui meurtrissait son corps à coup de cocaine et autres joyeusetés. J’étais abattue et me sentais impuissante mais pour lui qui avait été mon pilier, je ne pouvais me résoudre à abandonner. Alors, je m’accrochai à lui et finis par le suivre en avalant ces pilules censées lui rendre la vie plus belle, pilules qui nous bousillèrent tous deux. Leur effet fut positif dans un premier temps, j’oubliai ma vie, mes problèmes et je voyais James dans le même état mais pour être plus proche de lui, je n’avais pas à hésiter. Hélas, un drame s’ensuivit.

22 ans à se battre contre toutes les addictions possibles et inimaginables trainant dans mon quartier et voilà que je cherchais du réconfort et un moyen de communiquer avec James à travers ces cochonneries. Sort du destin, ces mêmes drogues me jouèrent des tours et je fus victime d’une overdose. A mon réveil, je me trouvais à l’hôpital sans être capable de mettre mot sur ce qui m’était arrivé et il était absent, la seule personne présente à mes côtés étant mon père. Le bilan était sans appel : j’avais avalé un cocktail explosif de cachets pour me retrouver à flirter avec la mort. Son séjour à l'hôpital dura quelques mois, l'overdose avait entraînée quelques séquelles qui finirent par être guéries au fil du temps. Je n’eus guère le choix quant à la suite des opérations et dus me plier aux exigences des médecins et de mon père : la cure de désintoxication. Mes souvenirs étant en morceaux, je ne me souviens en rien de cette effroyable  nuit si ce n’est ce manque qu’il a provoqué en moi et qui répond au nom de James. D’après ce que l’on m’a dit, j’ai été victime d’une overdose mais mon cher et tendre n’a pas été impliqué, faute de preuves et qu’il est aujourd’hui aux abonnés absents et n’a laissé aucune trace.

Mes pensées s’envolaient souvent vers James qui faisait le mort mais si j’hésitais à reprendre contact, je n’étais pas sûre des mots à employer. Ainsi, il me fallut deux ans pour trouver le courage de lui envoyer un simple message : «James, je ne t'en veux pas. Je suis désolé. Elizabeth » en espérant qu’il ait conservé le même numéro. Je n’ai aucune rancœur envers lui et j’ai fini par lui pardonner ses méfaits, pensant que je n’ai pas été à la hauteur pour le laisser ainsi sombrer dans la dépression et m’y engouffrer à mon tour. Pourtant, il ne répondit pas et je me déplaçai jusqu’à chez ses parents. Quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre qu’ils ne les avaient même pas mis au courant de mon overdose en prétextant une simple rupture. Néanmoins, je tins ma langue quant à la période sombre de leur fils par respect pour eux et pour lui.

Il y avait eu lui et je ne pus me résoudre à abandonner. Ainsi, avec mes maigres économies, je pris le chemin de Harvard et décidai d’intégrer le même cursus qu’avant mais au même endroit que James. J’étais partie dans l’optique de travailler car mes notes n’ont jamais été parfaite mais mon talent réussit apparemment à convaincre car je réussis les examens d’entrée à ma grande stupéfaction. Une fois arrivée sur place, je dégotai un job afin de pouvoir payer une partie de mes études et me liai d’amitié avec une dénommée Erin. Malgré ma présence sur le campus, je ne recroise le beau brun que plusieurs mois, voire presque un an après. En effet, lors du bal de fin d’année où James et Erin décident d’être cavaliers, Erin m’a présenté à James et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant qu’il s’agissait de celui de mes souvenirs. Nous nous isolons pour discuter et il m’avoue que ses sentiments sont toujours présents ce qui me laisse dubitative et distante. Nous n’en parlons pas de suite à Erin, mais, par la suite, elle apprend la vérité ce qui rend l’atmosphère tendue entre nous trois. Elle ne me donne plus de nouvelles et je souffre de la situation. Pendant ce temps, James m’apprend le décès de son père lors d’une soirée improvisée au restaurant. A notre sortie, il m’embrasse mais je continue à rester distante, mettant son geste sur le coup de l’état dans lequel il se trouve à cause de cette perte.
Les semaines passent et nous ne nous croisons guère avant la fin du Summer Camp. Les choses s’arrangent entre James et Erin et nous nous revoyons, tous deux, au bord du lac à la fin du séjour pour discuter et faire le point. Les choses ont été mouvementées pour moi ces derniers temps, j’ai appris que mon père était très endetté financièrement et en passe à l’expulsion, ce qui l’a rendu très malade. James ou mon père…je n’ai pu lutter plus longtemps et j’ai plié bagages jusqu’à Philadelphie, mettant James dans la confidence et ne m’attardant par peur du chagrin m’envahissant, coupable de laisser l’un ou l’autre.

Il y a deux mois que j’ai quitté Harvard et géré la situation du mieux que j’ai pu. Je suis de retour et compte bien reprendre correctement ma vie en main.

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Bienvenue, bon courage pour ta fiche ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 2593235929
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queeeeeeeeeen ariana ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 4205929361
bienvenue à la maison, amuses-toi bien :heaart:
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53979
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Bienvenue ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 3850463188
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande UqVihWUg_o
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Rhys Ackerman

Âge : 23
Lieu de naissance : brighton, uk
Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
Date d'inscription : 15/03/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : crédit: thv1@tumblr
Faceclaim : kim taehyung
Crédits : midnight---shadow @tumblr (av)
Multicomptes : kaiden, kaze, donovan, kyro
Description (1) : rhys ackerman ————
ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86
single · bisexual · brighton, uk · future law school student · basketball player · rich guy · korean
education · photographic memory · selling exams answers

Description (2) : ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande O4O8rlbd_o
RPS en cours :
04 RPs › 20/10 → 27/10
01 RPs › 27/10 → 03/11
02 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 12
NOVEMBRE : 02
Warnings : sexe, alcool, drogues (amphétamines), langage vulgaire, possible parentalité (grossesse)
RPS : 119
Messages : 63637
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Rhys Ackerman
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modération & codage | PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t165819-rhys-ackerman-kim-taehyungRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t166603-rhys-ackerman-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t166159-meetsachussets-rackerman
BIENVENUUUUUUE ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 3850463188
(Rhys Ackerman)



“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

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Bienvenue parmi nous ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 1365124802
Good luck pour ta fiche and have fun ELIZABETH H. CARSTAIRS ► ariana grande 1230098378
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