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Pandora + love the way you lie

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Adonis + Pandora
 
   
C’est enfin le weekend et comme chaque weekend Adonis sort, il n’est pas si fêtard que ça, mais rester seul chez lui le rend dingue, il se drogue et reste défoncé tout le weekend, du coup pour éviter cela, il se rend dans un bar à une soirée organisé par un élève de la fac. Il reconnaît quelques camarades eliots, quelques mathers qu’il méprisse et au loin, il reconnaît Pandora qui semble flirter avec un illustre inconnu. Adonis soupir, il ne sait pas pourquoi ça le rend jaloux, pourquoi ça l’énerve, mais hors de question pour le jeune homme de rester sans rien faire. Il s’avance vers le barman et après quelques mots échangés, lui tend un beau petit billet ainsi qu’un laxatif. Adonis se met donc en retrait dans un coin, buvant son verre en attendant que Pandora et son flirt commandent à leur tour à boire. Un sourire s’affiche sur son visage lorsqu’il voit le barman mettre le laxatif dans le verre de l’inconnu. Après quelques minutes, ce dernier se lève et court dans les toilettes, victoire pour Adonis qui s’avance non sans fierté vers Pandora seule et en plan au comptoir. J’ai l’impression que tu le fais chier .. Ou alors c’est moi. disait-il avec son petit sourire fier sur les lèvres. Pandora n’est pas née de la dernière pluie, elle doit bien savoir qu’Adonis a payé le barman pour qu’il insert quelque chose dans le verre du type. L’Eliot attrape le verre de la jeune femme comme s’il s’agissait du sien. Merci, fallait pas, j’aurai pu le payer moi-même. ajoutait-il en buvant le verre de la demoiselle sans la lâcher du regard, il est fier, il s’est débarré du mec pour un petit moment.
   

   
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Je fronçais mes fins sourcils, arborant une légère moue méprisante tout en me redressant de mon siège rouge. D'une main, j'empoignais mon sac noir que je passais à mon épaule gauche, jetant un fugace regard à l'horloge murale de mon salon qui indiquait vingt-deux heures cinquante. Un peu de retard ne faisait de mal à personne quand il s'agissait de moi, mais par ailleurs, je n'aimais pas que les autres le soient. En gros, je pestais contre mes copines et connaissant mon sale caractère, elles n'en firent aucun commentaire. Grimpant donc dans la bagnole, j'attrapais mon miroir et mon gloss rose bonbon pour me refaire une beauté. Arrivée à destination, j'entrais dans la boite de nuit arborant une robe noire m'arrivant au niveau des genoux dont le dos était quasiment nue jusqu'à la chute de mes reins. Éternellement, des bottines en cuir noir étaient présentes en guise de chaussures, bottines claquant à peine sur le sol alors que je me dirigeais vers mon objectif, le bar. Un homme déjà présent m'invita à prendre un verre. Verre qu'il commanda avant même d'avoir eu le temps d'ouvrir ma bouche pour lui mettre un vent. Haussant les épaules, je le laissais faire. Par contre, lorsqu'il commença à parler, j'avais envie de l'étranger. Un petit branleur dans son genre ne m'intéressait pas. M'bon, il avait été poli à m'offrir un verre, alors j'allais être polie à le boire avant de l'envoyer chier. Sauf que, bizarrement et après quelques gorgées, le garçon semblait transpirer et au moment où j'allais demander ce qui lui arrivait, il fila à la chiotte laissant aussitôt sa place à... Adonis. Ben voyons. Toi, ici et juste après ce désagrément ? Pourquoi n'étais-je pas surprise ? Peut-être parce qu'on se ressemblait un peu trop pour avoir deviné que la subite absence du jeune homme, venait de l'un de tes plans diaboliques. Un sourire étire gracieusement mes lèvres tandis que je t'écoutais et te regardais boire mon verre. « Cet homme était sur le point de me faire un baise pied si je le demandais. Je crois plutôt que quelqu'un l'a volontairement poussé dans les chiottes. » Quelqu'un comme... Toi. Adonis. D'ailleurs, mon regard t'accusait sans une once de crainte dans les yeux. « Oh je te rassure, je ne l'ai pas encore payé. Alors tu pourras toujours le payer toi-même et payer celui que je vais commander maintenant. » Sur une pointe provocatrice et un clin d'œil défiant, je levais légèrement ma main pour faire signe au barman qui ramenait gentiment son cul. « Ce que vous avez de plus fort ce soir ! » Que je commandais en reposant mes prunelles dans les tiennes. Ô Adonis, ce soir, tu es encore plus sexy que les autres soirs. Je m'en lèche même la lèvre sans m'en rendre compte.

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Adonis + Pandora
 
   
La gentillesse ça n’existe pas chez Adonis, il n’aime pas faire plaisir aux autres, ils ne pensent pas aux autres, il n’apprécie pas les autres. L’amitié n’est qu’une perte de temps, les gens sont une perte de temps, soit il se sert d’eux, soit ils les ignorent, mais Pandora c’est différent, une amitié qu’il ne saurait décrire. Ils s’énervent, ils se déchirent, ils se pardonnent, ils se cherchent, ils terminent ensemble dans un lit, et rebelote. Ils se vannent, ils rigolent, c’est un cercle vicieux, mais une chose est sûre, il apprécie la jeune femme. Peut-être parce qu’elle lui ressemble, parce qu’elle n’est pas comme les autres personnes qu’il fréquente au quotidien. Quand tu as un physique aussi repoussant que le sien, tu serais prêt à faire n’importe quoi pour tirer un coup. C’est bien connu, Adonis n’est pas du genre aimable avec les gens qu’il n’apprécie pas et ce jeune homme, aussi gentil soit-il probablement, n’entre pas dans les petits papiers du jeune Eliot. Pourquoi ? Peut-être parce que ce dernier s’est approché un peu trop près de la belle Pandora. Jaloux et possessif, voilà comment qualifier Adonis. Il sourit à la remarque de Pandora sur le verre qu’elle n’a pas payée et qu’elle ne compte pas payer. De toute évidence l’argent n’est pas un problème pour le jeune homme, ça ne le dérange en aucun cas de payer sa consommation. Il croise ensuite le regard envoûtant de Pandora, autant être franc, cette dernière n’a jamais laissé indifférent Adonis, alors lorsqu’elle se lèche discrètement les lèvres, le cœur du jeune homme s’emballe. T’es pas mal ce soir. avouait-il sans aucune gêne et sans lâcher son sourire des lèvres, regardant la demoiselle dans les moindres détails. Sa chevelure parfaite, sa silhouette de mannequin et sans oublier ses fines jambes qui rendrait n’importe quel homme complètement fou. Adonis termine rapidement son verre, puis tourne la tête dans la boite de nuit, fixant les jeunes alcoolisés dansant au rythme de la musique ou quelques mecs lourds se prendre des vestes. Il regarde une nouvelle fois son interlocutrice, fixe quelques instants ses jambes presque nue puis se remet à sourire de toutes ses dents. Ta robe n’est pas trop courte pour pouvoir danser ? Au pire des cas tu pourras te coller contre moi, ça me dérange pas. Oh que non, ça ne le dérange pour rien au monde.
   

   
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Bizarrement, je m'attendais à une réplique de la sorte venant de toi. Critiquer le physique de ce jeune homme qui pourtant, n'avait rien à envier, même pas à toi Adonis. Mais cela m'amusait plutôt de bien de voir à quel point tu pouvais laisser parler ta jalousie. « Mh... T'es sûre que t'as pas un problème de vue ? À moins que ce soit la pénombre qui t'ai empêché de voir son physique. Il est bien plus baraqué que toi. Et tu as vu sa taille de guêpe ? Mh... Il doit être bon lit. » Riant de plus belle, je secouais la tête, même si je n'etais pas fan du contact physique avec les hommes, avec toi, c'était différent. Toute cette tension sexuelle, me poussais à chaque fois dans tes bras. À vouloir te toucher et te dompter. Bordel, même là à y penser, je pourrais te déchirer la chemise et planter mes lèvres sur ton torse pour un baiser aussi fiévreuse que la température qui montait de plus en plus en moi. Depuis quelques minutes, depuis que t'es apparu en face de moi. Et que me vallait ce compliment placé juste après t'es yeux détaillant chaque infime partie de mes courbes avantageuses ? Compliment qui me ravissait au fond. « Je sais. Comme tous les autres soirs. Par contre toi, t'es pas tellement habillé pour ce lieu. » Peste jusqu'à la pointe des canines. J'agrippe ta cravate et t'attire vers moi pour la défaite et la déposer sur le bar. Je fais pareil pour ta veste. Maintenant, tu étais mieux ainsi, vêtu d'un simple jean et chemisier. « Maintenant t'es pas mal aussi ! » Que je lâchais enfin dans un sourire. Puis lorsque tu me proposais de danser, je regardais la foule présente sur la piste de danse. Réticente dans un premier temps, je finis par porter mon regard sur toi. « Si tu arrives à faire en sorte qu'aucun homme sur la piste m'touche, je veux bien t'accorder une danse. » Même si au fond, je savais que c'était pour me toucher, pour me sentir plus proche de toi, que tu voulais m'inviter sur la piste. Et ce que je venais de te demander n'allait pas être chose facile étant donné tous les corps qui se frottaient sur la piste par le manque de place, je savais qu'aucune tâche ne t'était irréalisable. J'étais juste curieuse de savoir comment tu allais t'y prendre. Car quand Pandora venait en boîte, jamais elle ne dansait si elle voyait qu'il n'y avait pas de grande espace pour elle. Et j'étais devenue si compliquée à cause de mon escroc de père qui n'avait jamais été le mien finalement. J'étais bien heureuse de l'avoir envoyé en enfer.

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