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Nom : Miller ◇ Prénom : Almaアルマ ◇ Âge : 22 ans ◇ Date et lieu de naissance : Le 19 avril 1995, à Londres. ◇ Nationalité : Britannique ◇ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle ◇ Statut amoureux : Célibataire, où es-tu bel homme au bouquet de cigarette ? ◇ Statut social : Aisée, ses parents ont beaucoup d'argent, mais elle veut vivre par soi-même. ◇ Job étudiant : Serveuse dans un bar à mis-temps. ◇ Études majeures : Théâtre ◇ Études mineures : Le dessin, l'art
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Alma Miller - 22 ans - cinquième année - Théâtre - Serveuse à mis temps.
Alma Miller
feat Alissa Salls
feat Alissa Salls
mather
La liberté. Chose que tout le monde a, mais tous reproche de ne pas en avoir assez. Un sentiment de bien être, d'être maître de soi. C'est ce que je veux, faire mes propre lois, les suivre. Prouver à soi-même qu'on peut faire des choix et ne pas suivre ceux des autres. On attend de moi que je sois Parfaite, avec un grand P. Comme ma sœur. Faire de grandes études dans la plus grande université du pays, faire le même parcours, être aussi sérieuse. Le souhait de mes parents. Le souhait de ma sœur. Mais pas le mien. Et puis je ne vais pas vous mentir, je suis une grosse fêtarde et je ne dis pas non à plusieurs verres histoire de s'amuser
STUDENT
Student, parce-que seul la Mather house me tente le plus parmi toute les autres. Et puis, les autres confréries ne me correspondent pas, je préfère avoir mes propres règles personnellement. Dans les deux cas, que je sois dans la Mather ou en student, rien ne change niveau liberté. A part que dans une confrérie c'est bien plus festif, et se faire des potes est bien plus facile.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
2014-2015
L'Horreur avec un grand H. Ce terrible événement qui a touché plus d'un. Je n'ai pas été victime de ces agresseurs, mais mentalement ça n'allait pas, ça n'allait plus. Comment réagir à ça ? J'ai ressenti énormément de peine et de peur, je ne savais pas comment m'y prendre pour rassurer quelques gens, j'étais inutile. D'un côté, j'ai été soulagée de ne pas avoir fait partie des victimes, mais d'un autre, j'avais de la haine en moi. Ce passage restera longtemps gravé, car les sentiments étaient bien trop fort, rien que d'en parler j'en ai mal au coeur.
2014-2015
L'Horreur avec un grand H. Ce terrible événement qui a touché plus d'un. Je n'ai pas été victime de ces agresseurs, mais mentalement ça n'allait pas, ça n'allait plus. Comment réagir à ça ? J'ai ressenti énormément de peine et de peur, je ne savais pas comment m'y prendre pour rassurer quelques gens, j'étais inutile. D'un côté, j'ai été soulagée de ne pas avoir fait partie des victimes, mais d'un autre, j'avais de la haine en moi. Ce passage restera longtemps gravé, car les sentiments étaient bien trop fort, rien que d'en parler j'en ai mal au coeur.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Spring break 2016, voyage au Chili.
Le voyage qui ne fallait pas manquer, j'étais super excitée, j'allais pouvoir m'amuser, me lâcher, profiter d'un paysage qui m'est inconnu. Et dire que j'ai croisé un gars super sexy.. Voilà que le mal arrive. Personne ne s'y attendait, tous était sur le choc. Comment on aurait pu prévoir ça ? j'ai eu tellement peur quand j'ai senti le sol bougé. Moi qui admirait les chutes de Petrohue, je ne m'y attendais pas. Nous avons tous fait de notre mieux pour s'en sortir indemne : Il y'avait ceux qui s'entraidaient, et ceux pour qui s'étaient chacun pour soi. Au moins, j'ai pu voir les personnes de confiance.
Spring break 2016, voyage au Chili.
Le voyage qui ne fallait pas manquer, j'étais super excitée, j'allais pouvoir m'amuser, me lâcher, profiter d'un paysage qui m'est inconnu. Et dire que j'ai croisé un gars super sexy.. Voilà que le mal arrive. Personne ne s'y attendait, tous était sur le choc. Comment on aurait pu prévoir ça ? j'ai eu tellement peur quand j'ai senti le sol bougé. Moi qui admirait les chutes de Petrohue, je ne m'y attendais pas. Nous avons tous fait de notre mieux pour s'en sortir indemne : Il y'avait ceux qui s'entraidaient, et ceux pour qui s'étaient chacun pour soi. Au moins, j'ai pu voir les personnes de confiance.
TON ADMISSION À HARVARD
L'université de mes grands-parents, de mes parents, de ma soeur, de tout ceux qui portent le nom de Miller. C'est comme une "tradition", un héritage qu'on se donne à chacun. Faire partie d'une des plus grandes université me rend énormément fière, sachant que je continues la lignée familiale. J'ai toujours eu d'assez bon résultats même si je ne le parais pas au premier coup d'oeil. Mon dossier d'admisson m'a prise des décennies, ce fut long de pouvoir tout écrire correctement sans oublier le moindre détail avant de pouvoir postuler. Le 'student's essay' , Mon meilleur moment. J'ai pu -enfin essayé- de me démarquer des autres. J'ai parlé de ma passion pour le théatre, le jeu d'acteur, la réalisation d'une pièce... Depuis que je suis jeune j'adore ça, passer devant une scène et pouvoir interpréter un rôle. Je veux montrer à ma famille et à moi que j'ai les capacités et les moyens de me débrouiller et de créer mon propre et unique avenir.
L'université de mes grands-parents, de mes parents, de ma soeur, de tout ceux qui portent le nom de Miller. C'est comme une "tradition", un héritage qu'on se donne à chacun. Faire partie d'une des plus grandes université me rend énormément fière, sachant que je continues la lignée familiale. J'ai toujours eu d'assez bon résultats même si je ne le parais pas au premier coup d'oeil. Mon dossier d'admisson m'a prise des décennies, ce fut long de pouvoir tout écrire correctement sans oublier le moindre détail avant de pouvoir postuler. Le 'student's essay' , Mon meilleur moment. J'ai pu -enfin essayé- de me démarquer des autres. J'ai parlé de ma passion pour le théatre, le jeu d'acteur, la réalisation d'une pièce... Depuis que je suis jeune j'adore ça, passer devant une scène et pouvoir interpréter un rôle. Je veux montrer à ma famille et à moi que j'ai les capacités et les moyens de me débrouiller et de créer mon propre et unique avenir.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Jas' et j'ai un âge entre dix et vingt ans !. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Le forum est simplement sublime alors j'ai décidé de m'inscrire! . J'utilise Alissa salls comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par weheartit;pinterest. Je fais environ 300 mots minimum par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/t83137-alma-miller-alissa-salls]►[/url] ► <span class="pris">ALISSA SALLS</span> ◊ “ Alma Miller ”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
NOËL DEUX-MILLE TROIS. (8 years)
2 décembre.
L'attente, le froid, la famille, le père noël. J'ouvris violemment la porte, et une énorme bouffée d'air frais vint caresser mon frêle visage blanc, devenu rouge. Il neigeait, des flocons tombaient des cieux, se posant sur le sol pour le couvrir d'une grosse couche blanche. Je restai devant ce magnifique paysage, la bouche entre-ouverte et le regard empli d'étoile. "Alma, tu n'y vas pas ?" Je me tournis vers cette voix, celle de ma mère, celle qui souriait. "Non, j'ai promis que j'attendrais Alya avant de pouvoir toucher la neige." Alya, c'est ma grande-sœur, mon model, ma meilleure amie. Elle était à l’intérieur de la maison, allongée dans son lit, lisant un roman qui m'avait l'air très compliqué. "Harr.....otter ?" J'ai seulement vu un bout du titre. M'enfin, je l'interrompu dans sa lecture en sautant sur celle-ci. "Pas maintenant Alma, je lis." Je continuais de la secouer, la tirant hors de sa chambre, le sourire au lèvre. Un soupir sortit de sa bouche. "Bon, qu'est-ce qu'il y a ? Tu as perdu ta langue ?" Je me mis légèrement à rire, la voyant dans l'incompréhension total. Je réussis enfin d'atteindre le devant de la porte, lui tenant fortement la poignet avec le tout le peu de force que j'avais. "Surprise." J'ouvris doucement la porte, laissant voir la neige qui tombait. J'attendais avec impatiente sa réaction, je voulais la surprendre, la rendre un tout petit peu heureuse. Sans m'y attendre, elle déposa un léger baiser sur ma joue puis couru dans la neige. Ses lèvres étaient chaudes, le contact avec ma joue me fit frissonner. J'alla courir à mon tour sans plus attendre et ria de toute mes forces. J'ai adorais ce moment.
25 décembre au petit matin.
Mes yeux étaient fermés, la fenêtre presque ouverte, ma couverture qui recouvrait tout mon corps. C'était le grand jour. Non pas celui d'ouvrir les cadeaux, même si ce moment reste l'un de mes préférés, mais celui où je vais pouvoir montrer à tout le monde ce que j'aime faire et ce que je sais faire. Je sentis une main me caresser la joue, d'une tendresse folle, d'une tendresse inexplicable. J'ouvris un œil, puis deux. Ma mère, ma sœur, mon père, toute ma famille était dans ma chambre à l'attente que je me réveille. Je me suis redressée, frottant mes yeux avec mes mains chaudes par la chaleur de ma couette. "Alma, c'est aujourd'hui. C'est aujourd'hui ta pièce." Ma mère me murmura ces mots à l'oreille et je me suis contentée de lui sourire. Je sortis de mon lit, puis Alya, my sister, mit de la musique. Tout le monde se mit à chanter en descendant en bas, je fis de même et on dansait tous, main dans la main. C'était magique. "Forever young". Je courus vers le sapin en compagnie de ma sœur, cherchant nos cadeaux. Je pris un paquet, et l'ouvrit avec aucune élégance, ce qui fit bien rire ma grand-mère. A l’intérieur il y'avait un costume, celui que je rêvais tant, celui qui me fallait pour mon rôle. Il était parfait. Je l'adorais déjà, peut-être qu'avec ça j'allais plaire à Elias ? Ce garçon faisait fondre mon cœur, même en hiver. Il joue le premier rôle, celui du prince qui sauve la princesse, celui qui dépose un baiser à la princesse. Malheureusement, ce ne sera pas moi, je joue un tout autre rôle, celle qui est la confidente du prince, sa meilleure amie, celle qui l'aime secrètement alors que lui en aime une autre. Ce n'est qu'une histoire après tout, je ne suis pas véritablement le rôle que je vais jouer, et lui non plus. Peut-être qu'il m'aime lui aussi, au fond, j'en sais rien. Je n'arrive pas à savoir ce qu'il pense, il m'est totalement hors-d'atteinte.
PRINTEMPS DEUX MILLE ONZE. (16 years)
premier baiser première clope.
La neige fondue, laissant place à l'herbe fraîche, aux fleurs par milliers, aux arbres qui renaient. Une nouvelle année. J'étais sortie ce jour-là, histoire de me dégourdir les jambes, de respirer les odeurs qui se mélangent n'en faisant plus qu'une. J'ai croisé des personnes de mon lycée, je me suis avancée vers eux et ils m'ont accueilli dans leur groupe. Chacun était différent, chacun avait sa manière d'accueillir, chacun m'ont sourit différemment. On a tous commencé à parler, à s'échanger, à rire, à s'insulter pour plaisanter. J'ai passé un super bon moment. J'avais besoin de ça, depuis que ma sœur était partie à la fac, à Harvard, je me sentais un peu seule, j'avais besoin d'elle. Ma Meilleure Amie. Le noir fit place, c'était le soir et j'étais toujours en compagnie de ce groupe. Ils voulaient me montrer leur endroit avant que je rentre, je me suis sentie privilégiée sur le coup. Je les ai suivi, dans une décharge, pleine de voiture cassé mais dessiné, de l'art. On s'est tous mis à s’asseoir en haut d'un gros bus qui était dans un sale état, on a tous regardé devant nous. Une des filles avait sorti un joint, et une autre puis tout le monde. Je n'avais jamais touché une cigarette, je ne connaissais pas le goût, j'étais tentée.On m'en a proposé une, j'ai refusé, ils ont insister, j'ai fini par accepter. Je l'ai allumé, puis entré dans ma bouche et j'ai aspiré. Ça n'avait pas si mauvais goût, j'ai même plutôt aimé. J'en ai repris une deuxième, une troisième et ainsi de suite. J'allais devenir accro.
Mon choix.
Je souhaite, je veux, je peux, j'ai envie, j'ai besoin. J'étais au restaurant, en compagnie de toute ma famille, de ma sœur y comprit. Elle était venue nous rendre visite, on l'a manqué beaucoup trop d'après elle. Elle m'avait manqué à moi aussi, et elle était venue au bon moment. "Comment se passe tes études ? Tu as vu, Harvard est une excellente université." Mon père avait dit cela, fière de sa fille, de Alya, une belle réussite. Elle acquescia, disant que tout se passait très bien, que son envie de devenir médecin était plus fort. Je l'admire. "Et toi Alma ? que souhaites-tu faire ?" Cette question sortit de nul part, surement un de mes cousins qui fait semblant de s’intéresser à moi. Tout le monde se mit à me regarder. "C'est vrai, je ne te l'avais jamais demandé, que veux-tu faire plus tard ?" Continua mon père, attendant ma réponse. Il devait surement s'attendre à un "Je veux être médecin, comme ma sœur!" Chose qui n'arrivera pas. Je sentis mon cœur battre à grande allure. "Moi ? Je veux être actrice." J'ai souris, histoire de faire bonne impression. On me regardait bizarrement. J'entendis rire à droite, puis à gauche, et tout le monde fit de même. Même ma sœur. "Pourquoi vous riez ? Je ne plaisante pas, c'est ce que je veux faire." On a commencé à me prendre plus au sérieux. Mon père m'a regardé. "Bon, Alma, vois-tu, on veut le meilleur pour toi, et vu tes notes, tu pourrais largement viser plus haut." Non, non et non. Actrice, point barre. "Papa a raison, Alma, soit plus mature voyons." Cette voix, cette charmante voix. Alya, Non, Pourquoi as-tu dis ça ? je pensais que tu allais me soutenir, me défendre. Alya, tu ne sais pas, qu'à ce moment là, les mots que tu as dit avec autant de naturelle, ont changer mon avis sur toi. On a tous beaucoup débattu, et ils ont fini par accepter mon choix mais à deux conditions : Que je fasse mes études à Harvard, et que je 'réfléchis' au moins, à un tout autre métier.
ÉTÉ DEUX MILLE TREIZE. (18 years)
départ.
Mon choix n'a pas changé : Actrice je veux être, Actrice je dois être, Actrice je vais être. Je vais m'envoler, pour Boston, pour une autre vie, pour un nouveau pays, pour mon avenir. Ma mère avait pleurer ce jour-là, je l'avais prise dans mes bras puis je l'ai serré très fort contre moi. Mon père lui, me regardait, laissant un petit sourire s'échappait. "Tu vas me manquer." J'ai cru que j'allais verser une larme, juste une, mais je me suis contenue. Et je l'ai à son tour serré dans mes bras. Ils m'ont accompagné à l'aéroport puis je leur ai dit au-revoir. Pas qu'a eux, à mon pays, à ma ville, à ma maison ; tout ceux que j'aime. bye bye, et bonjour toi, Harvard.
2 décembre.
L'attente, le froid, la famille, le père noël. J'ouvris violemment la porte, et une énorme bouffée d'air frais vint caresser mon frêle visage blanc, devenu rouge. Il neigeait, des flocons tombaient des cieux, se posant sur le sol pour le couvrir d'une grosse couche blanche. Je restai devant ce magnifique paysage, la bouche entre-ouverte et le regard empli d'étoile. "Alma, tu n'y vas pas ?" Je me tournis vers cette voix, celle de ma mère, celle qui souriait. "Non, j'ai promis que j'attendrais Alya avant de pouvoir toucher la neige." Alya, c'est ma grande-sœur, mon model, ma meilleure amie. Elle était à l’intérieur de la maison, allongée dans son lit, lisant un roman qui m'avait l'air très compliqué. "Harr.....otter ?" J'ai seulement vu un bout du titre. M'enfin, je l'interrompu dans sa lecture en sautant sur celle-ci. "Pas maintenant Alma, je lis." Je continuais de la secouer, la tirant hors de sa chambre, le sourire au lèvre. Un soupir sortit de sa bouche. "Bon, qu'est-ce qu'il y a ? Tu as perdu ta langue ?" Je me mis légèrement à rire, la voyant dans l'incompréhension total. Je réussis enfin d'atteindre le devant de la porte, lui tenant fortement la poignet avec le tout le peu de force que j'avais. "Surprise." J'ouvris doucement la porte, laissant voir la neige qui tombait. J'attendais avec impatiente sa réaction, je voulais la surprendre, la rendre un tout petit peu heureuse. Sans m'y attendre, elle déposa un léger baiser sur ma joue puis couru dans la neige. Ses lèvres étaient chaudes, le contact avec ma joue me fit frissonner. J'alla courir à mon tour sans plus attendre et ria de toute mes forces. J'ai adorais ce moment.
25 décembre au petit matin.
Mes yeux étaient fermés, la fenêtre presque ouverte, ma couverture qui recouvrait tout mon corps. C'était le grand jour. Non pas celui d'ouvrir les cadeaux, même si ce moment reste l'un de mes préférés, mais celui où je vais pouvoir montrer à tout le monde ce que j'aime faire et ce que je sais faire. Je sentis une main me caresser la joue, d'une tendresse folle, d'une tendresse inexplicable. J'ouvris un œil, puis deux. Ma mère, ma sœur, mon père, toute ma famille était dans ma chambre à l'attente que je me réveille. Je me suis redressée, frottant mes yeux avec mes mains chaudes par la chaleur de ma couette. "Alma, c'est aujourd'hui. C'est aujourd'hui ta pièce." Ma mère me murmura ces mots à l'oreille et je me suis contentée de lui sourire. Je sortis de mon lit, puis Alya, my sister, mit de la musique. Tout le monde se mit à chanter en descendant en bas, je fis de même et on dansait tous, main dans la main. C'était magique. "Forever young". Je courus vers le sapin en compagnie de ma sœur, cherchant nos cadeaux. Je pris un paquet, et l'ouvrit avec aucune élégance, ce qui fit bien rire ma grand-mère. A l’intérieur il y'avait un costume, celui que je rêvais tant, celui qui me fallait pour mon rôle. Il était parfait. Je l'adorais déjà, peut-être qu'avec ça j'allais plaire à Elias ? Ce garçon faisait fondre mon cœur, même en hiver. Il joue le premier rôle, celui du prince qui sauve la princesse, celui qui dépose un baiser à la princesse. Malheureusement, ce ne sera pas moi, je joue un tout autre rôle, celle qui est la confidente du prince, sa meilleure amie, celle qui l'aime secrètement alors que lui en aime une autre. Ce n'est qu'une histoire après tout, je ne suis pas véritablement le rôle que je vais jouer, et lui non plus. Peut-être qu'il m'aime lui aussi, au fond, j'en sais rien. Je n'arrive pas à savoir ce qu'il pense, il m'est totalement hors-d'atteinte.
PRINTEMPS DEUX MILLE ONZE. (16 years)
La neige fondue, laissant place à l'herbe fraîche, aux fleurs par milliers, aux arbres qui renaient. Une nouvelle année. J'étais sortie ce jour-là, histoire de me dégourdir les jambes, de respirer les odeurs qui se mélangent n'en faisant plus qu'une. J'ai croisé des personnes de mon lycée, je me suis avancée vers eux et ils m'ont accueilli dans leur groupe. Chacun était différent, chacun avait sa manière d'accueillir, chacun m'ont sourit différemment. On a tous commencé à parler, à s'échanger, à rire, à s'insulter pour plaisanter. J'ai passé un super bon moment. J'avais besoin de ça, depuis que ma sœur était partie à la fac, à Harvard, je me sentais un peu seule, j'avais besoin d'elle. Ma Meilleure Amie. Le noir fit place, c'était le soir et j'étais toujours en compagnie de ce groupe. Ils voulaient me montrer leur endroit avant que je rentre, je me suis sentie privilégiée sur le coup. Je les ai suivi, dans une décharge, pleine de voiture cassé mais dessiné, de l'art. On s'est tous mis à s’asseoir en haut d'un gros bus qui était dans un sale état, on a tous regardé devant nous. Une des filles avait sorti un joint, et une autre puis tout le monde. Je n'avais jamais touché une cigarette, je ne connaissais pas le goût, j'étais tentée.On m'en a proposé une, j'ai refusé, ils ont insister, j'ai fini par accepter. Je l'ai allumé, puis entré dans ma bouche et j'ai aspiré. Ça n'avait pas si mauvais goût, j'ai même plutôt aimé. J'en ai repris une deuxième, une troisième et ainsi de suite. J'allais devenir accro.
Mon choix.
Je souhaite, je veux, je peux, j'ai envie, j'ai besoin. J'étais au restaurant, en compagnie de toute ma famille, de ma sœur y comprit. Elle était venue nous rendre visite, on l'a manqué beaucoup trop d'après elle. Elle m'avait manqué à moi aussi, et elle était venue au bon moment. "Comment se passe tes études ? Tu as vu, Harvard est une excellente université." Mon père avait dit cela, fière de sa fille, de Alya, une belle réussite. Elle acquescia, disant que tout se passait très bien, que son envie de devenir médecin était plus fort. Je l'admire. "Et toi Alma ? que souhaites-tu faire ?" Cette question sortit de nul part, surement un de mes cousins qui fait semblant de s’intéresser à moi. Tout le monde se mit à me regarder. "C'est vrai, je ne te l'avais jamais demandé, que veux-tu faire plus tard ?" Continua mon père, attendant ma réponse. Il devait surement s'attendre à un "Je veux être médecin, comme ma sœur!" Chose qui n'arrivera pas. Je sentis mon cœur battre à grande allure. "Moi ? Je veux être actrice." J'ai souris, histoire de faire bonne impression. On me regardait bizarrement. J'entendis rire à droite, puis à gauche, et tout le monde fit de même. Même ma sœur. "Pourquoi vous riez ? Je ne plaisante pas, c'est ce que je veux faire." On a commencé à me prendre plus au sérieux. Mon père m'a regardé. "Bon, Alma, vois-tu, on veut le meilleur pour toi, et vu tes notes, tu pourrais largement viser plus haut." Non, non et non. Actrice, point barre. "Papa a raison, Alma, soit plus mature voyons." Cette voix, cette charmante voix. Alya, Non, Pourquoi as-tu dis ça ? je pensais que tu allais me soutenir, me défendre. Alya, tu ne sais pas, qu'à ce moment là, les mots que tu as dit avec autant de naturelle, ont changer mon avis sur toi. On a tous beaucoup débattu, et ils ont fini par accepter mon choix mais à deux conditions : Que je fasse mes études à Harvard, et que je 'réfléchis' au moins, à un tout autre métier.
ÉTÉ DEUX MILLE TREIZE. (18 years)
départ.
Mon choix n'a pas changé : Actrice je veux être, Actrice je dois être, Actrice je vais être. Je vais m'envoler, pour Boston, pour une autre vie, pour un nouveau pays, pour mon avenir. Ma mère avait pleurer ce jour-là, je l'avais prise dans mes bras puis je l'ai serré très fort contre moi. Mon père lui, me regardait, laissant un petit sourire s'échappait. "Tu vas me manquer." J'ai cru que j'allais verser une larme, juste une, mais je me suis contenue. Et je l'ai à son tour serré dans mes bras. Ils m'ont accompagné à l'aéroport puis je leur ai dit au-revoir. Pas qu'a eux, à mon pays, à ma ville, à ma maison ; tout ceux que j'aime. bye bye, et bonjour toi, Harvard.
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