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OLIVER MATTHIEW DAVIS - Complément de fiche

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Apparence physique et manies
II still fall on my face sometimes
'Cause I'm perfectly incomplete




Élancé et mince, je fais parti de ceux qui ont physique dit "nerveux"; tout en nerfs et peu en muscles, seulement faut pas croire que je n'en ai pas du tout, merci. Mon poids et ma taille exacte? La taille, la dernière fois qu'on m'a mesuré, je faisais 6pieds (183 cm) ça doit pas vraiment avoir changé. Et le poids, heu... bonne question, je ne m'en soucie pas vraiment avec la structure que j'ai, mais c’est je dois certainement être classé poids-plume.

Mes yeux sont bleus, parfois gris : ça dépend des jours, de mon humeur, de la température... en fait, j'ai jamais véritablement saisi. Mes cheveux sont blonds naturels. Et, oui; ils sont un peu longs. Et, non; je n'en changerai rien. Je les attache parfois pour éviter de les avoir dans les yeux en travaillant. Donc, ouais, je suis aussi pire qu’une fille à me trainer 350 élastiques au fond de mes poches.

Pour le style vestimentaire, faut pas se casser la tête à chercher : confortable et simple. Certains trouveront que j'ai un style négligé. J'ai un fort penchant pour les vêtements noirs, mais je n'ai pas que ça dans mes placards. Souliers, bottes, t-shirts, pulls, tant que j'y suis bien, ça me va. Je porte rarement des shirts ou bermudas, préférant les jeans même durant la saison chaude. Dans ma chambre, il n'est pas rare que je me promène sans haut, ou avec une veste ouverte. J'ai toujours des bijoux, que ce soit une montre, des bracelets, des bagues, des colliers ou chaînes... Je porte parfois un chapeau ou une tuque, parfois un foulard, j'aime bien les lunettes de soleil aussi.

Mes manies? Celle qui est la plus flagrante, c'est que je passe mon temps à jouer avec ma tignasse; c'est pas de la nervosité, c'est un geste ancré. Lorsque je me perds dans mes pensées, il n'est pas rare que je masse mes jointures tatouées, un tic développé depuis qu'elles sont marquées.

Quand je suis nerveux, je me mordille les ongles. Quand je suis énervé, je donnerais tout pour fumer, mais je fume aussi quand je suis détendu, alors pas de quoi s’alarmer. Quand je suis vraiment énervé, j'essaie de faire passer en peinturant, si possible avec la musique à fond. Si je ne peux pas me défouler par l'art, faites gaffe! Je deviens chiant au possible, incisif et provocateur. Je deviens un accro au combat perdu d'avance : j'ai besoin de me battre, de goûter mon propre sang pour savoir que je suis vivant et me ramener sur terre. Ouais, moi-même je me trouve pathétique... alors j'essaie de ne pas atteindre se stade trop souvent. Artiste dans l'âme, il m'arrive de me laisser envahir par le spleen. Là aussi, c'est pas super comme attitude, alors j'essaie de ne pas côtoyer les idées noires trop souvent : elles sont tentatrices, calmes, mais oh combien destructrices.

Je bois à l'occasion, mais les drogues ne m'ont jamais attiré. Mes addictions sont restreintes à la nicotine, la caféïne et l’expression artistique.

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Piercings, tatouages et cicatrices
Tout est gravé quelque part sur ma peau
Tell'ment qu'j'en ai les bras
comme des romans-photo




Mes tatouages et mes piercings font partie de ma personne; je ne regretterai jamais l'un d'entre eux. Certains évoluent simplement dans leur significations avec le temps. Les images sur mon corps racontent mon histoire autant que mes cicatrices. Et si chacun de mes tatouages à une signification où une histoire, mes piercings sont plutôt un caprice esthétique. Je n’en compte que trois pour l’instant : le lobe d'oreille gauche, la narine droite et le nombril. Je ne change que très rarement les plus apparents - le nombril, c’est encore discutable - et même si vous portez attention, vous ne verrez pas grand différence : je garde sensiblement toujours les mêmes modèles.

Une dizaine de tatouages sont dispersés sur mon corps, mais vous ne verrez jamais votre nom s'inscrire sur ma peau : c'est hors de question. Ce n'est pas une preuve d'amour ; c'est une preuve de stupidité.

Mon premier tatouage trône sur mon épaule gauche, date de mes quinze ans (oui, ça peut se fausser des papiers et ça se trouve assez facilement un tatoueur qui se fou de votre date de naissance) et représente un boulet. De base, je voulais provoquer mon père qui me traitait de boulet pour la famille alors que je trouvais qu'il était pire qu'un gardien de prison avec ses règlements. Maintenant, ça représente plus l'ensemble du poids de la tradition familiale auquel je n’ai plus besoin de me plié. J'ai aussi une ancre de navire sur l'épaule droite, pensée pour mon frère : le seul lien d'attache que j'ai véritablement en ce bas monde. Placé volontairement à l'opposé de celui de mon père. Un cœur d'encre noir et des papillons sur le pecto gauche pour ma mère qui a plié bagage lorsque j'étais jeune, laissant une marque sur l’enfant que j’étais à l’époque, mais il ne me reste que de bons souvenirs. Et maintenant, je pourrai en créer d’autre puisque l’on s’est retrouvé cet été. L'inscription « Love, Always and Forever » et la rose sur mon avant-bras droit, qui, non, n'est pas une preuve d'amour visant une personne en particulier, mais pour rappeler de toujours faire ce qu'on aime pour s'épanouir entièrement. Conseil que je n'ai vraiment mis en pratique qu'en m'inscrivant à Harvard, même s'il est sur mon bras depuis plusieurs années. Les deux moitiés de crânes sur le pecto droit sont pour représenté que pendant des années j'ai tenté d'assembler deux vies qui n'avaient rien en commun : ce que l'on attendait de moi et qui je suis réellement. L'hirondelle old-school à l'intérieur du biceps droit : célébration de ma première participation en tant qu'artiste à un vernissage. Ce que j’ai pu en être fier de cette soirée! Viennent ensuite mes majeurs, que j'adore. Le crâne sur la gauche : la fatalité qu'on ne contrôle pas tout dans la vie. La croix sur la droite : la foi qu'on peut tout de même trouver le moyen d'écrire sa propre histoire. Plus bas, les croisés d'ailes d'Hermès, brulées aux pointes, à l'intérieur et l'extérieur de mes deux chevilles : mon art qui me porte, m'empêche de devenir complètement cinglé et me permet de m'exprimer. Si on remonte au-dessus du coeur d’encre, oui, y’a bien un mot d’inscrit. « Unreasonable ». Copie carbone du tatouage d’un autre mec qui n’est plus présent dans ma vie. Il date du temps des fêtes 2016-2017 et c’était un cadeau. Premier tatouage en duo que j’ai accepté, charmé par l’idée à cette époque. Ce mot nous décrivait. Nous et notre relation. Aujourd’hui, il en décrit le souvenir. Le second tatouage en commun qui orne ma peau est avec une personne qui est toujours présente dans ma vie et que je ne souhaite pas voir partir : mon adorable cousine et femme de ma vie. Traversant une période noire, j’ai voulu qu’elle arrête de se faire du mal et lui faire réaliser qu’elle n’était jamais seule. Que je serais toujours là, peu importe l’heure où le lieu. « Never alone » s’inscrit donc délicatement sur nos poignet. Mon dernier tatouage en date n’a pas vraiment de signification. C’est un pur crush artistique. J’ai vu ce design de fleurs, crâne et motif dans le calepin de dessin de mon coloc et je l’ai tanner pour qu’il me le vende. À la place, il a accepter de me le tatouer. Ouais, il est tatoueur. Un tatoueur assez cinglé pour me le faire directos dans notre chambre de la Lowell. Remarquez, j’ai été assez cinglé pour accepter sans l’ombre d’une hésitation.

Donc voilà… M’enfin… Bon d’accord, je l’avoue, il en manque un sur la liste. Je fais parti de ces cons qui se sont fait tatoué par pari. Et pas n’importe où non plus : la fesse droite. 17 ans, imbibé et trop prompt à plonger dans un pari, j’ai eu mal pendant une semaine! Il n’a pas été fait dans un super salon, parce que y’en avait pas un qui voulais nous accepter sur-le-champ - les types censés, quoi! - alors c’est pas le top. Je ne sais plus trop pourquoi, un soir entre amis, un mec m’a mis au défi de me faire tatoué « Bob Dylan » sur la fesse droite. J’ai accepté à condition qu’il se fasse inscrire « Beethoven ». Je suis passé en premier sur la chaise, donc vous comprendrez que je suis le seul crétin qui s’est fait encré.

Outre celui-là, dont je ne suis pas réellement fier et que je ne vais pas crier à tous va, j’aime tous mes tatouages. Certains diront que c'est beaucoup, moi je dis qu'il me reste encore beaucoup de place sur le canevas et que je ne m'arrêterai pas là.

Pour les cicatrices, je n'en ai pas beaucoup. Une de quelques points, quelque part dans le fond de la tête à l'arrière de mon crâne : j'ai fait une chute avec mon skateboard. Un doublé sur et sous le pied droit, en forme d'étoile : j'ai mis le pied sur un clou étant enfant. Une microcicatrice suite à une appendicite. Je me suis déjà ouverts ou cassés certains doigts, mais ça ne paraît plus trop. En revanche, on peut distinguer la cicatrice qui est restée lorsque je me suis ouvert la main gauche (le grand creux entre le pouce et l'index... je ne me souviens plus du nom). Le Spring Break 2016 de Harvard, au Chili, m'a laissé une cicatrice près de la tempe droite, à la limite de la racine de cheveux et une ouverture de quelques centimètres ainsi que plusieurs petites cicatrices sur l'intérieur de la cheville gauche qui viennent abimer mon tatouage. Ça m’a profondément fait chier pendant un temps, mais on m’a donné une nouvelle façon de les voir alors ça passe mieux.

(Invité)