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(ELLIOT + HIPPO + LUCKY + NATH) misery business

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J’allais à la cuisine histoire de me servir un café pour me réveiller et m’éclaircir les idées. Ouais, il était bien 11h du mat passé et alors? Je baillais sans retenue, vêtu d’un simple short, torse nu. Bah quoi, j’étais chez moi, j’avais le droit de me balader comme je voulais. Par contre, elle, elle était pas chez elle. Je me tournais vers Hippolyte, qui se baladait en sous-vêtements dans la baraque comme si elle possédait le bien. « Tu peux pas vivre avec des fringues sur le dos en fait? » Je soupirais et roulais des yeux. Ça faisait quelques jours qu’elle avait débarqué avec sa valise et qu’elle avait commencé à squatter chez Nath et moi. Elle m’avait dit qu’elle voulait fuir Cole. Tu m’étonnes, vu ce qu’on m’a raconté de ce mec… Enfin, là n’était pas la question, j’avais accepté, histoire de rendre service. Mais elle prenait un peu trop ses aises à mon goût, même si ça allait bien avec sa personnalité parfois je-m’en-foutiste. Puis, c’est pas comme si elle avait des complexes cette nana. Mis à part son gros ventre de femme enceinte là… Eurk.


@"N. Hippolyte Dunford" @Lucky E. Burberry
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C'est dans ton antre que je me réveille. Un matin de plus, je suis presque en train de m'habituer.a vivre ici, mon chez moi comblé de solitude été loin de me manquer. Et j'étais venu trouver refuge ici, près de toi, comme si personne ne pouvait mieux m'aider, me comprendre que toi. Fuyant mon futur époux pour un probable amant, pour la tentation qui ne cesse de brûler dans une infime partie de moi. Infime mais présente, et elle est en train de me consumer comme elle est en train de consumer délicatement ma relation avec Cole. Cette nouvelle relation, celle que j'ai toujours voulu mais à croire que tout ce que j'aime.. Je me dois de le briser. Alors je dévale les escaliers en sous vêtements, elle est loin la pudeur et l'innocence avec laquelle tu avais pu me connaître. C'est toi qui a soufflé dessus et l'a faite disparaître. - Tu vas pas me dire que ça te dérange Maxwell ! Que je pouffe dans un petit rire narquois, fière même avant de venir déposer un baiser au creux de son cou. Baiser volage, vif. - Tu te charges de mon petit dej ?.. Que je demande le sourire en coin provocant au coin des lèvres. M'entourant du plaide chaud posé sur le canapé sur lequel je me laisse retomber.




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Lorsque j'ouvrais les yeux, la lune avait laissé sa place au soleil. Ses forts rayons caressaient brutalement mon visage. Bordel ! Ce n'était pas agréable de se réveiller avec une lumière agressant les yeux ! M'bon, heureusement que mon humeur était beaucoup plus calme à mon réveil aujourd'hui. La nuit, de par sa délicieuse caresse, m'avait porté conseil. J'avais ruminé et passé en boucle, tous les conseils de ma meilleure amie. Et ce que j'avais décidé de faire était bien clair à présent. Ce que je m'apprêtais à faire ? Venir te voir Elliot. J'avais envie de te voir. Je voulais te voir comme si je revenais après un an d'une bataille sans merci entre mon esprit et mon cœur. Tu me manquais atrocement. Tu pouvais les sentir mes pas ? Se rapprocher de plus en plus de toi... Après avoir fait craquer nombre de mes articulations je finis par quitter ma chambre avec quelque chose de particulier dans les mains. Et comme une gamine heureuse d'avoir reçu le cadeau qu'elle voulait, je quittais mon domicile en marchant aussi gracieuse qu’une gazelle vers chez toi. Nous étions finalement à deux pattés de maisons, plus proches que nous l'aurions imaginé au final. Tous les regards se portaient sur la chose que je tenais en main et mon sourire qui paraissait si semblable à elle. Une fois devant ta porte, je portais une main vers mon cœur pour essayer de le calmer, mais en vain. Je n'avais plus envie de fuir. J'avais fait un gros fuck à ma peur et à ma jalousie. Je voulais arrêter de me voiler la face. Résolue à ne plus pouvoir rester loin de toi. Je ne pouvais pas et je voulais plus, parce que l'idée de te perdre pour de bon, me terrorisait et me faisait plus de mal que de bien. Je l'avais compris ça, que ce n'était pas en restant loin de toi, que je réussirais à avancer. Je voulais le faire avec toi, qu'importe que tu ne sois pas prêt... Je voulais juste être à tes côtés et si encore, tu voulais bien de moi dans ta vie. J'inspirais un bon coup avant de sonner. Je tendais cette chose que j'avais dans les mains devant mon visage lorsque la porte s'ouvrait. J'aurais l'air bien conne si c'était ton meilleur pote qui m'avait ouvert. La honte que j'aurais eu putain... « Je viens en paix ! » Lançai-je en attendant quelques secondes, avant de pencher ma tête sur le côté et de te tirer la langue dans mon plus beau sourire. Cette chose était en fait mon coussin émoticône pleurer de rire. Mais par contre toi, là et d'un coup, t'avais l'air super tendu. Ton visage se décomposait et je fronçais les sourcils avant de me rapprocher de toi et de pousser légèrement la porte pour me diriger vers le salon t'imposant ainsi, ma présence. « Allez, fais pas ton timide je t'ai déjà vu en boxer et même.... » Nu.... Ma phrase se coupa net à la vue d'une Hippolyte enroulé à moitié dans du plaide chaud où il fallait être aveugle pour ne pas voir qu'elle portait des sous-vêtements. Mayday Mayday. Mon sang ne fit qu'un tour et je plantais mes ongles dans mon cousin à défaut de ne pas pouvoir les planter dans le cou de la blonde, face à moi. « On peut savoir ce qu'elle fout à moitié à poil chez son ex alors qu'elle va se marier ? » Bah ouai, les nouvelles vont vitesse grand V ici et ce n'est pas parce que je ne disais rien que je n'en savais rien. « Ah j'vois ! Elle est en train de prendre son futur époux pour un gros con. » Futur mari pour qui je l'avais sauvé parce que je savais qu'il tenait à elle et à son gosse. Je regrettais là d'un coup. J'aurais dû la laisser pourrir. « Dire qu'il faisait passer ça... Avant tout le monde. » Ça, en désignant sa personne de mon index qui fixait le long de son corps, totalement dégoûtée par cette fille. Et enfin, je posais mon regard sur toi, Elliot. « Qu'est-ce qui se passe ici ? » Que je demandais histoire de ne pas tirer de conclusion trop hâtive. Mais oui, j'étais carrément en boule là. Trop vénère. Je bouillonnais et je remerciais ma meilleure amie de me rappeler dans un coin de ma tête, qu'il fallait que je garde mon self contrôle.
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Je laissais un sourire mesquin border mes lèvres à la remarque d’Hippolyte. Non, en effet, ça ne me dérangeait pas franchement. Même si… « J’te préfère quand t’es pas enceinte. C’est… handicapant. » Et j’arquais un sourcil suggestif à son attention. Elle pose ses lèvres dans mon cou, comme si c’était normal, comme si c’était naturel. Comme si on était à nouveau ensemble, alors que ce n’était clairement pas le cas et honnêtement, je pense que ce ne le serait plus jamais. Cela n’empêche que j’avais quand même une certaine affection envers elle, et quand elle m’avait appelé au secours, je l’avais tirée de sa misère et acceptée chez moi. Mais elle faisait sa petite princesse, me quémandais le petit-déjeuner alors qu’elle allait s’affaler dans le sofa, emmitouflée dans un gros plaid. Je roule des yeux. « C’est pas parce que t’attends un gosse que t’es incapable de te faire un café toute seule, hein. Je suis pas idiot à ce point ! » C’était devenu bon enfant entre elle et moi. On s’entendait bien, on se taquinait. Presque comme des amis de longue date. Sauf que des amis n’étaient pas censés coucher ensemble ou même éprouver ne serait-ce qu’une once de désir l’un envers l’autre. T’façon, ça dérangeait plus personne — Lucky et moi, c’était du passé, c’était fini, et Cole je m’en foutais un peu, je le connaissais pas ce gars après tout. Je sortais deux tasses, préparais deux cafés et t’en rapportais un. « Savoure le bien, parce qu’à partir de demain, c’est toi aux fourneaux. » Je lui lançais un clin d’oeil alors que j’entendais qu’on frappait à la porte.

Je posais ma tasse sur le plan de travail et allais ouvrir, pour découvrir… un coussin emoji? Hm…? « Je viens en paix ! » Et moi, je manquais de m’étouffer en entendant la voix de nulle autre que Lucky. Qu’est-ce qu’elle faisait ici? Pourquoi était-elle là? Qu’est-ce qu’elle voulait? La paix? Euh… j’avais le pressentiment que celle-ci n’allait être que de courte durée. Alors, comme pour éviter le drame, je refermais un peu la porte, la laissant entrouverte, juste assez pour passer ma tête. « Lucky, qu’est-ce que tu fais là? » On avait été clairs, pourtant. On s’était dit au revoir, un au revoir digne de ce nom. Elle n’était pas censée être là. On n’était pas censés se voir. Du moins, plus maintenant. Notre histoire, peu importe ce qu’elle était, faisait maintenant parti du passé. Mais elle avait l’air déterminée, et elle poussait d’elle-même la porte pour s’inviter à l’intérieur de la villa. « Allez, fais pas ton timide je t'ai déjà vu en boxer et même.... » Et voilà. Ce qui devait arriver arriva. Elle tomba nez à nez avec une Hippolyte presque à poil dans mon canapé. Et moi, toujours derrière Lucky, je passais ma main dans ma nuque. J’étais dans la merde. « On peut savoir ce qu'elle fout à moitié à poil chez son ex alors qu'elle va se marier ? » Ouais, bonne question que je me posais souvent moi aussi, mais c’était pas franchement mes affaires. « À croire que votre ex n’est pas très bon à garder ses nanas. » Cole avait d’abord laissé filer Lucky et il laissait filer Hippolyte également. Et les deux étaient chez moi. Et j’sais pas si c’était une bonne chose, au final. Pas pour moi, du moins. Lucky lançait des piques à Hippo concernant son fiancé, et moi, je n’écoutais que d’une oreille peu attentive. J’étais en train de prier pour que le Bon Dieu me sorte de cette situation délicate indemne. Lucky se tournait vers moi, me quémandant des explications. Ok, elle était bien plus calme que ce que j’aurais imaginé. Le calme avant la tempête? Sûrement. « Alors de 1, c’est pas ce que tu crois. On a pas couché ensemble. Enfin, si, mais pas là maintenant. » Elliot Maxwell, tu ferais mieux de la fermer, tu t’enfonces. « De 2, elle m’a demandé si elle pouvait venir squatter ici quelques temps et j’ai dit oui parce que… » Parce que quoi? Parce que j’avais besoin d’attention et de distraction après que Lucky m’ait laissé? J’avais eu l’effet d’une rupture, lorsqu’elle s’était éloignée sans se retourner après notre dernier baiser, et pourtant, on n’était même pas ensemble. Totalement ridicule. « Bah parce qu’elle en avait besoin et que j’suis gentil. » La palme d’or du mensonge est décernée à Elliot Timothy Maxwell. Applaudissements mesdames et messieurs!


@N. Hippolyte Dunford @Lucky E. Burberry
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Froisse la bouche, lève les yeux au ciel dans un soupire reflétant autant de mépris que d'indifférence à son pique. - Pourtant ça n'avait pas l'air de te déranger l'autre soir.. Flashbacks d'une nuit mouvementée, d'une soirée à en casser les murs, le point final qu'on avait soit disant mit à notre passé. À tout ce qui nous rapproche malgré nous. À croire que le corps est faible, ou est-ce juste une mauvaise excuse pour protéger les choix guidés aveuglement par l'envie. Cacher la petitesse de notre esprit tiraillé par d'autres tourments qu'on préfère abandonner dans des plaisirs charnels. J'aime ça avec toi. C'est ça le pire, c'est que je ne devrais pas. Tout est mauvais, malsain dans ce qu'on fait et pourtant on continue bêtement. Tu rumines derrière moi, et je souris encore alors que tu capitules en venant me ramener une tasse chaude. - N'oublie pas que je suis forte en matière de persuasion.. Clin d'œil, te rappelant à nouveau le fait que tu as finalement succombé, encore.

Le bruit lourd d'une main qui s'échoue contre le bois, une voix que je connais que trop bien et, une rancoeur enflammée qui ne cesse de s'alimenter. - Et c'est repartit ! Que je murmure, lassée de devoir me trimballer sa présence un peu partout dans ma vie. Que ce soit dans mon passé ou mon futur, elle ne cesse d'être là comme une puce qui gratte, qui persiste et qui dérange beaucoup trop. Elle rentre, évidement, et mon visage s'illumine en voyant le sien se décomposer. Je baisse les yeux vers ma petite tenue, avant de les révéler vers elle en fronçant les sourcils d'un air faussement désolé. Haussement d'épaules, je lui adressais un simple "coucou" de la main avec un sourire arrogant au coin des lèvres. - Bonjour à toi aussi Lucky. Répliquais-je d'abord avec dédain, me levant ensuite pour me poser contre le dos du canapé et lui faire face. - Te marier, coucher avec Elliot ne t'as pas empêché de continuer d'aimer Cole, non ? Que je demande en sachant pertinemment la réponse. Cette pauvre fille fait une fixette sur lui depuis ce maudit jour où il a accordé un semblant d'attention à son plan cul. - Ne vient pas me faire la morale soit mignonne, on sait pertinemment toutes les deux que tu es mal placé. Les yeux rivés vers mes ongles vernis, ma manucure m'intéressait plus que cette énième discussion de sourd. - Et surtout ne demande pas des comptes quand tu ne fais que ramasser les restes. Dis-je en relâchant mon bras, la main qui vient taper contre ma cuisse alors que mon regard venait enfin affronter le sien. Je me redresse, tourne la tête en écoutant les explications d'Elliot qui sont, d'ailleurs, nulle à chier. Je manque de pouffer de rire en voyant son malaise, mais je me pince les lèvres pour m'efforcer de rester sérieuse. - Et qu'il avait aussi terriblement envie de moi si tu veux tout savoir ! Je me mords la lèvre, le rire au fond de la gorge, avant de balayer ma chevelure blonde en arrière pour laisser ma nuque à découvert. - Je crois même qu'il me reste encore quelques preuves du dégât.. Dis-je en posant mon index sur un suçon à moitié effacé.




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J'en avais juste marre qu'elle soit dans ma vie. À croire qu'elle était destinée à y rester. Et la voir ici dans ta baraque presqu'à poil, me filait la nausée. Je ne savais pas sur qui me défouler, contre toi, ou contre cette pétasse. À peine je posais une question, que tu surenchérissais sur Cole. « Il est juste naïf, comme toi d'ailleurs. Tous les deux, vous levez la queue dès qu'Hippolyte le demande. Et sa présence ici, me le prouve encore une fois... » Encore une fois tu me prouves que t'as rien à foutre de mon ressenti. Tout ce que tu faisais, c'était me faire mal. Encore plus quand je voyais que tu ne savais pas lui dire non. Alors n'accuse pas Cole, Elliot ! Parce que t'es pareille. Et c'était la goutte qui débordait le vase lorsque tu m'avouais que tu avais again, recouché avec elle. Je serrais très fort mes poings et je baissais la tête, me retenant même d'exploser le volcan qui sommeillait en moi, faisant de gros efforts pour garder mon self contrôle. Parce que oui, ça me faisait super mal et on pouvait même lire cette tristesse à travers mes yeux. J'imagine que la plus heureuse ici, devait être Hippolyte Dunford. « Oh j'vois ! Elle t'a sorti l'excuse comme quoi, elle ne voulait pas rester toute seule, blablabla... La victime à la Hippolyte. » Je laissais échapper un faux rire juste après mes mots. Mots qui sonnaient amers d'ailleurs. C'est fou comme j'avais envie de lui péter la gueule dès qu'elle l'ouvrait celle-là. « Arrête, t'essaies de te donner bonne conscience ? Je ne me fais jamais baiser par un autre quand je suis en couple ou bien fiancée et sur le point de me marier ou bien même mariée tiens... » Mais apparemment elle, c'était sa spécialité, se faire baiser gratuitement. « Les restes ? Tu veux savoir ce qui est sortie de la bouche d'Elliot, deux fois ? Une fois, quand il m'a certifié ne t'avoir jamais aimé... J'crois que ce qu'il aimait, c'était te baiser étant donné que t'as les jambes facilement écartables... La seconde fois, c'était la dernière fois quand j'ai appris que vous aviez couché ensemble, il m'avait recertifié qu'avec toi, c'était que pour du cul. Alors franchement, si t'es fière d'avoir ce suçon dans le cou, je vais pas t'en empêcher meuf. J'espère que tu seras aussi fière de montrer cette jolie oeuvre à ton cher futur et tendre époux. » Dis-je en pouffant de rire. Et si elle croyait que sa presence ici était dû à son charme incontesté, elle se fourrait le doigt dans l'oeil. Hippolyte, t'es juste qu'un moyen de m'oublier. Et malgré ça, tu n'y arriveras pas. Mais bien bien bien, puisqu'elle voulait se la jouer comme ça... « Ça tombe bien Elliot, puisque t'es si gentil, tu peux bien m'accueillir moi aussi non ? J'en ai b'soin. » Te demandai-je en fondant un sourire sur mes lèvres. N'est-ce pas une excuse bidon comme ça qu'elle t'avait sorti pour se retrouver dans ton lit ? Et toi ? Toi tu l'accueillais à chaque fois, la quéquette en feu. Et ça, ça m'énervait de ouf parce que moi, moi je pouvais tout t'offrir. Franchement ? Dis-moi ce que je n'avais pas que les autres avaient ? Ou bien qu'elle avait ? Merde quoi ! « Façon, elle est assez grande ta baraque. » Mine de rien en me déchaussant et en retirant mon manteau pour prendre place sur un canapé et faire déjà comme chez-moi, assise en tailleur. Cette égoïste à tout fait pour que je lui laisse Cole et elle l'a eu, mais cette fois, pas question que je lui laisse Elliot ! Et si c'est une déclaration de guerre qu'elle voulait, elle l'aura. Ainsi, la fusillant du regard, je lâchais mon venin... « Maintenant que tu as eu Cole, le jeu ne t'intéresse plus ? Faut que tu passes à un autre ? » ...sur un ton mesquin. Bah oui, son nouveau challenge c'était toi, elle aimait bien me prendre tout ce que je convoitais juste pour prouver qu'elle pouvait absolument tout avoir en claquant des doigts. La preuve, il avait fallu qu'elle apprenne pour notre mariage pour qu'elle se ramène vers toi et te sorte le grand jeu. Et toi, tu tombais juste dans ses filets. Comme Cole... Tu vois, vous n'étiez pas si différents que ça... Moi qui pensais le contraire... J'suis blessée Elliot, ne vois-tu pas que mon cœur en souffre ? Pas elle... Tout sauf elle...
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Oui, c’est clair, Hippo était forte en matière de persuasion. C’est pour ça que je m’étais retrouvé chez elle, et que là elle était chez moi. Je soupçonnais de la manipulation de qualité. Elle était très douée pour obtenir ce qu’elle voulait, et même si j’étais conscient que c’était un art, je me laissais toujours avoir, comme si j’étais nouveau à ça, comme si c’était la première fois qu’elle jouait de ses charmes sur ma personne. Naïf que j’étais. En revanche, ce n’était pas la seule à me faire tourner la tête. Il y avait une autre blonde aussi, j’ai nommé Lucky. Sauf qu’elle, elle avait mis fin à notre relation. C’était fini. Hippo, au contraire, je savais que ça ne serait jamais totalement fini. Que si l’un poussait un peu le vice, l’autre replongerait dedans. C’était ce qui s’était passé dernièrement, et deux fois en plus.

Mais là, j’me retrouvais dans de beaux draps entre les deux blondes qui envahissaient ma maison. Et les excuses que je donnais à Lucky, qui avait bien plus mon attention qu’Hippolyte à cet instant, elles étaient pourries. Les pires excuses qu’un homme aurait pu donner pour se justifier auprès de ses deux maîtresses. « Il est juste naïf, comme toi d'ailleurs. Tous les deux, vous levez la queue dès qu'Hippolyte le demande. Et sa présence ici, me le prouve encore une fois... » Et le plus triste dans tout ça, c’est qu’elle n’avait pas tort. J’enrageais à l’idée d’être ne serait-ce qu’un poil comme Cole — même sans le connaître — et pourtant, si on s’en tenait aux faits, on avait fait la même chose. Alors, je me contentais de rester silencieux et j’écoutais les répliques que se balançaient les deux jeunes femmes face à moi tel un jeu de ping pong qui allait un peu trop vite pour mon pauvre cerveau. Et Hippo, qui suggérait que Lucky ne récupérait que les restes. Ironique, quand on y pense, puisque pour moi, c’était elle, les restes que moi je récupérais, à défaut de pouvoir avoir celle que je voulais réellement. « Les restes ? Tu veux savoir ce qui est sortie de la bouche d'Elliot, deux fois ? Une fois, quand il m'a certifié ne t'avoir jamais aimé… » Ohlala… Eh les filles, ça vous dirait d’éviter de creuser le trou de ma tombe s’il vous plait? D’un côté, Lucky ne mentait pas, et je l’avais déjà dit à Hippolyte. Je ne connaissais pas l’amour, et j’avais beau être resté un an avec elle, jamais je n’étais tombé amoureux. « La seconde fois, c'était la dernière fois quand j'ai appris que vous aviez couché ensemble, il m'avait recertifié qu'avec toi, c'était que pour du cul. » Et ça, j’pouvais pas le nier non plus, puisque quand Hippolyte avait demandé de venir ici quelques temps, j’avais tout de suite accepté en précisant que j’avais besoin d’une attention spéciale. C’est de ta faute aussi, Lucky, j’avais besoin d’un lot de consolation après la scène que tu m’avais fait au café ! Et voilà qu’Hippolyte se donnait à coeur joie pour m’enfoncer encore plus, dévoilant un reste violacé de nos ébats trainant là au creux de son cou. Et je levais les yeux au ciel en soupirant discrètement, priant encore et toujours le Bon Dieu pour qu’il me donne la solution miracle au problème qui était en train de se créer sous mes yeux coupables. « Ça tombe bien Elliot, puisque t'es si gentil, tu peux bien m'accueillir moi aussi non ? J'en ai b'soin. » Euh… QUOI? D’ailleurs, c’était quand le moment où Dieu allait enfin commencer à écouter mes putains de prières? Pas maintenant apparemment, puisque Lucky se mettait à l’aise sur l’autre sofa, en face d’Hippolyte. Et elle reprenait sa gué-guerre d’ado. « STOP ! » lâchais-je en haussant quelque peu le ton. « C’est bon là, vous avez quel âge? Quinze ans? » Je m’approchais du salon où elles étaient toutes les deux, croisant les bras sur mon torse. « Allez-y, dites-moi toutes les deux à tour de rôle ce que vous me reprochez, histoire que cette embrouille soit un minimum constructive. » La définition de donner le bâton pour se faire battre. Bravo, Elliot. Brillante idée. « Sérieux, j’attends. » Allez, lâchez-vous, c’est le moment pour dire tout ce qui vous passe par la tête. Et qui sait, ça se trouve, on mettra certaines choses au clair.

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Nous étions en train de déclencher la troisième guerre mondiale Hippolyte et moi. À nous envoyer des piques et des reproches à coups de canons. Une chose est certaine, entre elle et moi, il n'y aura jamais de trêve. Jamais d'entente. Ce sera ainsi jusqu'à ce que nous nous perdions de vue. Quant à toi, tu semblais vouloir cesser le feu, à nous demander de stopper nos gamineries et à y glisser un fouet pour qu'on te fouette. Ce n'est pas ce que tu venais de faire en nous proposant de dire à tour de rôle, ce que nous te reprochons ? Te fusillant ainsi du regard, tu faisais comme si tu ne savais pas ce que moi je te reprochais. Déjà cette attraction qu'il y avait entre elle et toi, que tu pouvais certainement taire si tu le voulais. Et alors, ouvrant ma bouche, je n'eus le temps de placer mes mots qu'Hippolyte surenchérissait la première. « J'ai rien à te reprocher moi, j'avais envie de ken, que tu sois là et t'étais là... So tout va bien. » Qu'elle crachait exaspérée, repoussant ses cheveux en arrière pour faire sa diva. Elle se lève et disparaît quelques petites minutes avant de revenir avec son sac à dos et fringué. « Quant à toi ! » Ses pas se rapprochaient de moi, sentant ses doigts se glisser dans le bas de mes cheveux pour y caresser quelques mèches. « Essaie de toutes tes forces de pouvoir me ressembler, tu n'y arriveras jamais. Personne n'arrive à la cheville d'Hippolyte Dunford. » Claqua sa langue en m'envoyant un clin d'œil aguicheur par la suite. Elle se tourne enfin vers toi et pose son index contre ta joue. « J'espère que t'assumeras de lui dire que j'étais plus bonne qu'elle au lit comme tu me l'as sussuré à l'oreille après avoir crié mon prénom... Allez, à toute ! Et sans rancune Burberry ! » Crachant de nouveau son venin avant de prendre la porte et s'en aller. Et Bien-sûr, l'aveu qu'elle venait de lancer, n'était qu'un pur mensonge, mais c'était Hippolyte et elle ne pouvait pas partir comme ça sans foutre le bordel. Quant à moi, je restais juste sans voix, essayant de contenir mes larmes. Fallait pas que je pleure. Non non et non. Bordel ça faisait mal putain. Je regardais mes cheveux, les caressais instinctivement. Est-ce vraiment pour lui ressembler que je me suis teinte en blonde  ? Gad ! Lucky, ne laisse pas ses mots t'atteindre...
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J’sais pas trop pourquoi je leur demandais de cesser leurs gamineries et leur proposais de me battre à mort. Me dire tout ce qu’elles me reprochaient, à tour de rôle. Quoi? Fallait bien qu’a sorte un jour ou l’autre, de toute façon… Hippolyte fut la première à prendre la parole. « J'ai rien à te reprocher moi, j'avais envie de ken, que tu sois là et t'étais là... So tout va bien. » J’haussais vaguement un sourcil. Fair enough. J’avais fait la même chose avec elle. J’avais eu envie d’effacer mon désir pour l’autre blonde sur son corps à elle, et ça avait marché, le temps d’une nuit ou deux. Mais pas plus. Hippolyte s’éclipsait et revenait quelques instants après, Lucky et moi toujours silencieux, prête à mettre les voiles apparemment. Tu me diras, bon débarras. Et bien sûr, elle ne manquait pas de faire une sortie digne de ce nom face à sa meilleure ennemie, puis face à moi, et je me contentais de rouler des yeux à sa remarque. Remarque totalement erronée, au passage. Et elle passait la porte sans se retourner.

Et moi, je lâchais un soupir, prenant la place d’Hippolyte dans le sofa qui se trouvait face à l’autre sur lequel t’étais assise. Et je te regardais. En silence, pendant de longs instants. Et toi, tu ne me regardais même pas, plongée dans la contemplation de tes mèches blondes. Mais cette conversation n’était pas finie. « C’est à toi, Lucky. » lui précisais-je donc, comme pour la ramener à la réalité. « Dis-moi ce que tu me reproches. » Parce que t’en avais des choses à me dire, apparemment. Sinon, on serait pas dans cette situation. Et fallait vraiment mettre les points sur les ‘i’, une bonne fois pour toutes. Quitte à s’engueuler méchamment. Quitte à ce que tu verses des larmes. Quitte à se foutre sur la tronche. Fallait qu’on extériorise tout ce qu’on retenait depuis le début.

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Obnubilé par ce qu'Hippolyte venait de dire, pendant un instant, j'avais souhaité qu'elle disparaisse, parce que sûrement, je n'aurais aucun remord à la laisser pourrir si elle n'avait pas été enceinte. Me repassant en boucle ses mots, je ne savais plus où me mettre, je ne savais même plus réfléchir, ni même prendre une décision, comme celle de quitter par exemple, ton domicile moi-aussi. Mais je restais là pourtant, comme si j'attendais que tu me dises qu'elle avait tout inventé juste pour foutre de la merde entre nous. Mais apparemment, tu ne disais rien, comme si c'était vrai et que finalement, c'était moi le dindon de la farce dans toute cette histoire. À la place, tu me reposais la même question à laquelle, moi je n'avais eu le temps de répondre. Finalement, je lâchais mes mèches et levais mes yeux vers toi. « Je te reproche Hippolyte. Je te reproche de te l'avoir tapé après notre lune de miel, t'as même pas attendu le divorce au moins... Je te reproche toutes ses filles que tu laisses t'approcher vulgairement sous mes yeux... Je te reproche de ne pas être honnête avec moi et avec toi-même... Parce qu'Elliot, je ne suis pas idiote, tu réagis super mal quand un mec m'approche alors ne me reproche pas de m'être attachée à toi, quand toi, tu l'es aussi... Sinon, tu n'aurais pas été vénère d'avoir reçu les papiers de divorce... Vénère de voir des mecs tourner autour de moi... Même que si tu t'en fichais, tu ne m'aurais pas donné les pires excuses de l'année, concernant la présence d'Hippolyte chez toi... Je... » Me levant du canapé, je retirais mon écharpe que je laissais tomber au sol en marchant vers toi. Une fois à ta hauteur, je passais une jambe de chaque côté de tes cuisses afin de m'asseoir à califourchon sur ton bassin. Et plongeant mes yeux dans les tiens, je posais d'une légère caresse, mes mains sur tes joues. « Je ne vais pas m'excuser d'être tombée amoureuse de toi. Mais si tu veux qu'on joue à ça, que nous soyons comme deux amants qui se désirent, qui se caressent, qui s'embrassent jusqu'à la fusion endiablée de leurs deux corps sans jamais s'appartenir, soit... Je suivrais le mouvement, mais... Il ne faudra alors jamais me reprocher de faire exactement comme toi... » Et tu savais où je voulais en venir. Si tu voulais emprunter ce chemin-là, je m'y ferai. Je serais là quand tu auras besoin de moi et je serais ailleurs, quand un autre en aura besoin... Comme ce que tu fais présentement avec toutes femmes qui te désirent et que tu me reproches de m'en plaindre. Puis maintenant, moi j'avais aussi une question. « C'est vrai ce qu'elle a balancé avant de partir ? Qu'elle... Est... Enfin tu sais... » Plus bonne que moi ? Puis c'est vrai que t'as crié son prénom ? Elle est aussi bonne que ça au lit ? T'as pris tellement ton pied que tu m'as oublié ? Bordel, pourquoi je me posais toutes ces questions, alors que là, à quelques centimètres de tes lèvres, j'avais qu'une seule envie, t'embrasser.
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